mardi 17 juin 2008

791 - Le citoyen de base est un minable

Le socle de la société est composé d'hommes ordinaires sans histoires ayant des préoccupations à la hauteur de leurs pieds.

Minus de naissance, ils suivent l'ornière avec des espoirs "d'ascension bancaires", attendent pendant des années leurs promotions d'employés, de comptables, leurs augmentations de salaire de chauffeurs-routiers, leurs réductions d'impôts d'ouvriers spécialisés ou de patrons d'entreprises, aspirent à rembourser leurs maisons achetées à crédit, passent leur temps libre à s'engraisser le corps tout en se vidant l'esprit, sont contrariés -voire franchement énervés- par une rayure sur la portière de leur voiture, vivent avec des soucis d'assurés, meurent avec des rêves de retraite qui ne sortent jamais de leurs têtes. Chez eux la perspective de la retraite est comme un appendice mental, un mystère quasi génétique dont ils ne parviennent définitivement pas à faire abstraction. Ils appellent cela un "acquis social". Pour eux c'est sacré, la retraite. Tellement essentiel qu'ils passent leur existence à l'attendre.

Précisons que ces minables qui travaillent toute leur vie pour se constituer une retraite meurent souvent avant la retraite, ce qui prouve que la justice divine existe, au moins en ce qui concerne les abrutis.

Du berceau à la tombe ces citoyens ordinaires rasent le sol de leurs pensées triviales, caressant des chimères aussi volatiles que des gains de LOTO, aussi clinquantes, plates, vulgaires, superficielles que des écrans de télévision à plasma.

Pour eux les vacances sous les cocotiers représentent le sommet de la félicité. Ils sont fiers de leurs automobiles. Ils vont aux enterrements avec des lunettes noires, fêtent leur anniversaire tous les ans de leur vie, se promènent aux Champs-Elysées en famille, sont farouchement opposés à la chasse mais pas contre leur "steak" du midi. Bien entendu leurs habitudes alimentaires sont infâmes, grossières, voire ignobles. Mais eux ne voient rien, c'est le principal.

Leur morale se borne au code civil. Leur bonté est basée sur les arguments commerciaux des publicistes. Leur vue humaniste est réglée sur les fluctuations économiques. Les pieds bien sur terre, jamais ils ne décollent.

Il faut toutefois reconnaître leurs mérites : assoiffés de confort aussi bien mobilier qu'intellectuel, ils font d'excellents patriotes, de bons ouvriers, des pions dociles pour le marketing, la politique, la télévision.

Ce sont les citoyens de base. Ils sont gentils, aimables, parfois même assez courtois. Il n'empêche que ce sont des minus, des infirmes de l'esprit, des atrophiés de l'âme, des pauvres types pour qui la mort se résume à des préoccupations strictement funéraires : le choix du "prestataire de services", voilà ce qui compte pour eux.

17 commentaires:

Anonyme a dit…

Il est certain que s'il n'existait pas de gens à genoux,il n'y aurait pas de puissants... et de minables comme vous dîtes.
Vous vous gorgez de noblesse d'esprit mais je ne vois aucune noblesse à écraser ceux qu'on écrase depuis des milllénaires. Il serait plus judicieux, plus courageux d'étudier les raisons de cette soumission volontaire. Mais vous devez être assez intelligent pour l'avoir fait, enfin je l'espère pour vous.
Il est dommage de gacher cette finesse d'esprit en propos d'aristocrate stérile, on ne fera pas évoluer la société en continuant dans ce mépris tellement connu, usité, depuis que l'homme existe. Quelle gloire à écraser celui qui n'a jamais appris à être debout ? Il faut inover, créer, s'élever au dessus de ces bassesses qu'engendrent les différences entre les classes sociales.
Lisez Chomsky, lisez Serge Tchakhotine... ils ont étudié eux le viol de la pensée.
Ana.

Raphaël Zacharie de IZARRA a dit…

Ana,

Mon "mépris" comme vous dites est salutaire : il permet de faire prendre conscience aux abrutis (que j'évoque en termes généraux, voire caricaturaux) qu'ils sont des abrutis. Les moins atteints par l'abrutissement -ou les plus sensibles à la lumière- réagiront avec fruit.

Moi je possède une chose qui me distingue glorieusement de mes semblables déchus : une vue perçante qui fait que je vise l'horizon et non mes orteils.

Je suis là pour apprendre aux hommes demeurés dans leur caca post-natal à grandir, non pour alimenter leur graisse, caresser leurs ventres repus. La lumière éblouit toujours les aveugles dès qu'ils commencent à ouvrir leurs yeux. Je n'y peux rien si mes mots semblent brutaux, je ne suis pas responsable du caractère tranchant de la vérité. D'ailleurs la vérité n'est douloureuse que pour ceux qui se sont enfoncés dans les ténèbres de l'hérésie. Plus l'abruti se sera englué dans son abrutisssement, plus cru sera pour lui l'éclair de la vérité.

Un abruti est avant tout un homme, il a par conséquent en lui quelque germe lumineux susceptible de croître sous la bave izarrienne.

Il suffit d'arroser avec quelques gouttes de vérité le français moyen pour qu'il sorte la tête du sable. Dès que la tête est à l'air libre, le reste vient avec, petit à petit. C'est le principe de la croissance par le verbe : l'essentiel est de donner l'impulsion originelle.

Un bon coup de pied au cul suffit en général à réveiller un abruti de base.

Raphaël Zacharie de Izarra

Anonyme a dit…

Sourire, croyez vous que ce soit aussi facile que ça pour réveiller un abruti ? rire...
Non, la soumission, la médiocrité, l'emprisonnement de la pensée, l'endoctrinement, datent depuis des siècles. La religion, ou l'idéologie des puissants sont passées maîtres dans l'endormissement des esprits. Et puis si les abrutis de base pour vous citer se réveillaient ? vous rendez vous compte ? Ce serait si dangereux si tout un chacun réclamait sa part de dignité, sa part d'humanité... Non, les consciences seront encore étouffées pendant longtemps, il y a trop d'intérêt en jeu...Mais c'est vrai que c'est dommage, quel gachis d'humanité, quel gachis de beauté, quel gachis d'amour ! les valeurs de solidarité, de compassion, de partage étranglées dans un monde où les hommes sont devenus des robots décérébrés uniquement capables de consommer. Pourtant aujourd'hui je voudrais croire que ça changera, il fait si beau, la nature est si belle, si harmonieuse, comment perdre son temps en vaines représentations.
Mais vos "semblables déchus" ont la même part d'humanité en eux que vous Raphaël, mais ils ne sont pas conscients, c'est tout... Viser l'horizon comme vous d^tes ce n'est pas croire que vous êtes supérieur, non vous êtes à un niveau différent de conscience...mais je reconnais que c'est souvent dur à accepter. Car la médiocrité fait mal... si mal.
Mais le mépris n'est jamais salutaire... le mépris rabaisse toujours, celui qui méprise comme celui qui en est victime. Car on ne s'élève jamais et on ne peut regarder l'horizon que si on se place au dessus de cette vanité qui est la mère de tous les vices.
Le mépris c'est comme la vanité, c'est la peur...
Mais ce n'est pas un coup de pied aussi bien placé soit il... qui réveillera des millénaires d'inconscient collectif basé sur la peur, donc la violence, donc le mépris, la haine, etc...
Nous sommes à l'aube de l'humanité, l'homme n'est pas humain... il le deviendra... Malheureusement nous ne serons pas là pour le voir...
Bonne journée Raphaël.

Ana.

Raphaël Zacharie de IZARRA a dit…

Ana,

Je n'ai de mépris que pour certaines mentalités, pour les foules stupides, pour les pensées corrompues, ineptes, non pour les individus, non pour les êtres pris isolément. Je méprise l'esprit matérialiste, la sottise, la bassesse, je ne méprise pas les personnes.

Raphaël Zacharie de Izarra

Anonyme a dit…

Bonjour,

Savoir, c'est comprendre comment la moindre petite chose est liée au tout, aucune entité ne détient sa raison en elle même, aller vers l'autre c'est aller vers soi; et si en "visant l'horizon" vous ne faites que vous distinguer "glorieusement", vous êtes loin du compte.

En crachant et en vomissant vos "Vérités féroces" vous creusez encore un peu plus ce fossé qui existe entre les différentes classes sociales; vous nourrissez de "l'éclat de votre esprit" cette bêtise que justement vous dénoncez, vous combattez pour elle, à ses cotés vous la faites avancer, et ce presque aussi surement que par le silence...

Le mépris du peuple n'a jamais été subversif, c'est l'acte politique normatif absolu!

Enfin je m'abstiendrais d'analyser l'immensité de l'amour que vous portez à votre "moi", puisque évident et hors de propos; quoique...

Eric

Raphaël Zacharie de IZARRA a dit…

Eric,

Je répète que je ne méprise nullement les individus. Je m'étonne d'ailleurs que certains puissent penser une telle chose, certainement après une lecture superficielle de mes textes...

L'amour béat, mou et stérile que vous semblez prôner est une arme insidieuse de bêtifiement. Le véritable amour est viril, fort, salutaire, fécond. Caresser les sots dans le sens des doigts de pieds ne les fera jamais avancer. Une bonne gifle biblique sera toujours plus salvatrice qu'un "escargotique" AMEN...

Raphaël Zacharie de Izarra

Anonyme a dit…

A juger ainsi je te trouve décevant.
Tu n'est pas mieux que les gens que tu critique. Use de ton aisance littéraire pour écrire des articles constructif n'ayant pas unique but d'énerver les gens (même si tu dit que c'est salutaire).

Pourquoi ne pas plutôt construire des critiques des gens qui génèrent cet état de fait que tu décrit plutôt de que critiquer ceux qui subissent? Je doit reconnaitre que c'est plus facile de faire comme toi. Bien plus facile d'énerver les gens sur un site que personne ne connait plutôt de que faire VRAIMENT quelque chose.

Mon avis sur ton poste :
Lez vociférations masturbatoires d'un pré pubère qui se prend pour un grand. (référence au faite que sur daily motion tu dit avoir plus de quarante ans. J'ai du mal a y croire toi qui confond un harmonium et un orgue. Toi qui ose dire que JS Bach c'est de la merde. Si tu avait vraiment ton age tu aurait dit que tu n'aimais, pas que ce serait de la merde. Si tu a vraiment ton age alors oublis ce que j'ai dit car c'est trop tard pour toi.

Anonyme a dit…

je rajouterai une chose apres avoir tout lut (commentaire compris)

Syndrome de mégalomanie doublé d'un égoïsme presque paranoïaque. Va voir un psy l'ami !

Anonyme a dit…

"Pourquoi ne pas plutôt construire des critiques des gens qui génèrent cet état de fait que tu décrit plutôt de que critiquer ceux qui subissent?"

Parce que ceux qui le génèrent n'ont que foutre d'un mécontentement et parce qu'adresser à eux les diatribes ne donnera lieu à aucun changement conséquent ?

Parce que critiquer "ceux qui subissent" les pousse à se réveiller, piqués au vif, et à réfléchir sur leur sort et leur condition d'esclaves complaisamment abêtis, donnant alors du retord à "ceux qui génèrent" ?

Il ne me semble pas qu'Izarra ait sorti des absurdités grotesques du genre "les SDF sont des bons à rien, ils passent leur journée dans la rue à ne rien foutre". Non ici on parle bien des gros beaufs dont se nourrit l'état parce qu'esprits dociles et endormis.

C'est mon avis.

Et puis s'il-te-plait, la prochaine fois soigne ton orthographe avant de donner des leçons de morale sur des écrits, c'est vraiment désagréable à lire et comme on dit : c'est le comble.

Anonyme a dit…

Ah ben voilà !

Merci Raph, maintenant je sais pourquoi je ne me sentais pas très "normale" depuis tant d'années...

Qu'est-ce que c'est bon de trouver des amis !

Anonyme a dit…

Alpha me semble oublier qu'on est toujours le Con (la Conne) de quelqu'un.
"Et puis s'il-te-plaît, la prochaine fois soigne ton orthographe avant de donner des leçons de morale sur des écrits, c'est vraiment désagréable à lire et comme on dit : c'est le comble".
Une telle suffisance ne peut venir que d'une snob (sans noblesse) Une vile roturière quoi ! Une citoyenne de base minable comme les décrit Izarra. Son intervention hargneuse du reste le prouve. Elle a détesté se reconnaître dans les écrits d' Izarra et de fait, pour dissimuler sa condition honteuse, approuve ses écrits. Ah ! miroir, mon beau miroir...

Il me plairait de vous mépriser petite Alpha, je n'en ai hélas, pas le temps. J'espère que vous ne m'en voudrez pas.

Anna-Belle

BEBOPER a dit…

Ha! Ha! Quelle rigolade! Je découvre à peine ce blog et je trouve qu'on s'y marre pas mal. Le ton ultra poli qu'on tente d'y maintenir ne me plait pas beaucoup: je pense qu'il ne faut jamais dire "je n'aime pas ceci, ou cela", mais plutôt "c'est d'la merde"! Ceci dit, un ton très policé, conjugué avec des propos tranchants, voire dégueulasses, le contraste est efficace...
Tu mens. Quand tu dis que tu t'adresses aux abrutis (pour les faire réagir ou changer, qu'importe), tu mens, ou tu TE mens. Un abruti comme ceux que tu décris-là ne viendra jamais sur ton blog. Il n'aura donc jamais l'occasion de réagir à ce que tu dis à son sujet. C'est mon avis.
En revanche, quelle joie de lire les propos offensés de ceux qui ne sont pas totalement abrutis, mais qui n'ont pas la souplesse intellectuelle pour accepter qu'on débine les "petits". Après tout, décrire la connerie populaire est une proposition comme une autre, pas plus fausse que celle qui permet, à juste titre, de moquer la connerie aristocratique.
J'ai noté ça, dans un commentaire:"Le mépris du peuple n'a jamais été subversif, c'est l'acte politique normatif absolu!" Je pense que c'est inexact, surtout depuis que la France est démocratique, et surtout depuis l'après-guerre. Inexact parce que nous avons ici une DECLARATION de mépris, une PAROLE qui se donne pour méprisante (+ ou -), alors que le mépris du peuple est TOUJOURS soigneusement caché. En clair, sil est vrai que le mépris du peuple est un des moteurs politiques de tous les pays, les démocraties, tirant leur légitimité du peuple, le masquent absolument. En revanche, proclamer qu'on méprise le peuple, ou simplement en critiquer les tares les plus visibles, à haute voix, est un acte inhabituel et, partant, certainement subversif. D'ailleurs, peut-on citer un seul courant politique qui dise agir CONTRE le peuple? Non. Jamais.
Ceci, évidemment, ne signifie pas que je sois, ou non, d'accord avec le contenu de cet article.
Pour aller plus loin philosophiquement, je poserai cette question: les constatations que tu fais au sujet du peuple t'amènent-elles à ne plus le considérer comme l'alpha et l'omega de la politique? Autrement dit, quand on voit le peuple de cette façon-là, peut-on encore lui reconnaître de la légitimité, et continue-t-on de le placer au centre de la politique? Démocrate, RZI?

Raphaël Zacharie de IZARRA a dit…

REPONSE A BEBOPER,

L'exercice démocratique est une attitude politique à haut risque. Mais cette prise de risque, c'est aussi le prix de la liberté.

J'accepte de laisser prendre ce risque à des irresponsables qui pensent que l'avortement c'est la liberté, que le code pénal c'est la religion, que la majorité c'est la vérité...

Que chacun fasse selon sa conscience, Dieu aura pitié des infirmes de la pensée. Je ne suis pas contre la démocratie, bien au contraire.

Je suis juste contre le fait de donner le droit de vote à Bébert le garde-champêtre qui s'y connaît en art de gouverner comme je m'y connais en physique quantique ou à Dédé le "pinardier" du village aux idées politiques aussi pesées et réfléchies que le contenu de sa bouteille... Bref, deux incarnations ordinaires de l'abruti notoire qui ne devrait pas avoir sa place dans le débat public.

Raphaël Zacharie de Izarra

Jordi a dit…

Vos commentaires m'ont laissé bouche bée et perplexe. J'en déduis que vous êtes en dehors de cette ornière, que vos yeux et votre esprit se sont ouverts et que vous avez atteint un certain Nirvana existentiel et philosophique et ainsi échappé à un minable devenir. Expliquez-moi donc comment l'atteindre en n'étant pas un minus à l'âme atrophiée (sic) et comment avez-vous fait pour sortir de ce système que vous brûlez sur le bûcher, cela m'intéresse

Esprit a dit…

Le "mépris"-ou semblant de mépris- peut être salutaire dans le sens ou il met le doigt sur la petitesse et la faiblesse humaine.

Dans le sens ou:

Il n'y a nul maître et aucune oppression sans esclaves ou opprimés consentant.


La chose qui fait que que l'esclave ou l'opprimé
perdure dans ce statut est l'abandon : c'est la faiblesse le laisser le refus de faire l'effort de s'élever pour se libérer en préférant l'abandon justement car cela est en tout point plus facile que le combat acharné de l'esprit.

Dénoncer les puissants et les oppresseurs il le faut certes, mais ce qu'il faut encore plus c'est montrer du doigt le rapport entre l'esclave et le maître, en soulignant fortement le caractère servile de la petitesse des esprits, caractère servile servant l'oppresseur qui connaît l'art d'exploiter ces vils caractères présent et dominant les esprits faibles.

Les "maîtres" savent tirer profits des caractères que l'on peut qualifier de: poisons dominant nombres d'esprits.

Il faut absolument souligné cela pour que ces potentiels esprits dominés par leur bêtise sachent justement ce qui les enchaînes et puissent combattre les bonnes choses pour finalement pouvoir se libérer.


L'écriture comme la lecture peuvent être toute deux maladroite, mais je pense que l'effort de compréhension doit être fait de la part du lecteur comme de la part de l'auteur.



Tirpse ed EHCUONAM

Esprit a dit…

Taper sur les "puissants" ne résout pas les prolbèmes


Dire: BOuhhhhhhhhh les méchants dictateurs c'est bien !


Mais pas suffisant !

Car en attendant ils sont toujours au pouvoir.


Et s'ils le sont c'est que la faiblesse présent chez l'être leur rend bien service et leur permet de conserver leur statut.

Esprit a dit…

Il faut combattre la médiocrité et la faiblesse en tout point.

Izarra à donc raison de donner des gifles bibliques !

Au lieu de donner caresses et fausse compassion !

On ne peut pas obtenir sa liberté en la réclamant à un méchant oppresseur, celui ci ne vous la donnera jamais puisque il a que trop besoin d'esclaves.

La liberté se prend en prenant conscience de sa captivité et en se libérant soi même en faisant tout les efforts nécessaires à ce dessein !

Liste des textes

2150 - Voyage vers Mars
2149 - Galaxies
2148 - Je suis de la droite honteuse
2147 - Les écrivains sont des poids morts
2146 - L’héritage de Clinchamp
2145 - Clinchamp, une histoire sans fin
2144 - Vent de mystère à Clinchamp
2143 - Ma cachette à Clinchamp
2142 - Randonnée à Clinchamp
2141 - Eclipse de Lune à Clinchamp
2140 - Un arc-en-Ciel à Clinchamp
2139 - Clinchamp sous l’orage
2138 - J’ai rêvé de Clinchamp
2137 - Jour de l’An à Clinchamp
2136 - Vacances d’été à Clinchamp
2135 - Attente à Clinchamp
2134 - Un jour ordinaire à Clinchamp
2133 - Or de France
2132 - La compagne des esseulés
2131 - Loup de lumière
2130 - Spleen
2129 - Le pitre
2128 - Les corbeaux de Clinchamp
2127 - Un homme heureux à Clinchamp
2126 - Le mouton
2125 - Des lutins à Clinchamp ?
2124 - Je suis fort !
2123 - Paroles prophétiques
2122 - L’égalité entre les hommes est injuste !
2121 - L’idéaliste de gauche
2120 - La femme est la monture de l’homme
2119 - Clinchamp sous la neige
2118 - Le Nord et le Sud
2117 - Pourquoi j’aime Clinchamp ?
2116 - Convaincre Blandine
2115 - Un couple de vieillards à Clinchamp
2114 - Le facteur de Clinchamp
2113 - Tristesse et beauté à Clinchamp
2112 - L’Art
2111 - Botte à l’oeuf
2110 - Les bûcherons de Clinchamp
2109 - Le coucou de Clinchamp
2108 - BFMTV : l’écran de la vérité
2107 - Lettre anonyme
2106 - Je ne suis pas amoureux de Paris !
2105 - Un jour d’hiver à Warloy-Baillon
2104 - La femme soumise brille comme une casserole
2103 - Les chouettes de Clinchamp
2102 - Quand la tempête s’abat sur Clinchamp...
2101 - L’aile et la pierre
2100 - Mes amis les maudits
2099 - Le brouillard de Clinchamp
2098 - Artiste de gauche
2097 - L’éternité dans la tête
2096 - Toussaint à Clinchamp
2095 - Chagrin échappé
2094 - Clinchamp-sur-Mystère
2093 - Les cafards
2092 - Loup des airs
2091 - Le loup de Clinchamp
2090 - En latin, c’est plus beau !
2089 - Les patates de Clinchamp
2088 - L’enfant des airs
2087 - Ciel de France
2086 - Thaïs d’Escufon
2085 - Les tomates de Clinchamp
2084 - Jérôme Bourbon
2083 - Les chats de Clinchamp
2082 - Poupée d’ailleurs
2081 - Pierre de feu
2080 - Les champs de Clinchamp
2079 - L’éclosion
2078 - Vacuité des bouquinistes
2077 - Les toits
2076 - Freud
2075 - Sport
2074 - Le simplet de Clinchamp
2073 - Les oiseaux de Clinchamp
2072 - Je ne suis pas cartésien
2071 - Au cimetière de Clinchamp
2070 - Le Panthéon pour Hugo, l’évasion pour Izarra
2069 - Les rats de la France
2068 - Le curé de Clinchamp
2067 - Mon trou à Clinchamp
2066 - Saint-Léonard-des-Bois
2065 - Les cloches de Clinchamp
2064 - Un épouvantail à Clinchamp
2063 - Les rêves de Clinchamp
2062 - Je suis raciste
2061 - L’injustice sociale ne me choque pas
2060 - Les femmes de Clinchamp
2059 - Les jours vides de Clinchamp
2058 - Une grand-mère
2057 - Clinchamp vers 1970
2056 - La femme de soixante ans
2055 - Sale temps à Clinchamp
2054 - Un grand voyage en forêt
2053 - L’ailé et l’aliéné
2052 - Souvenirs lointains
2051 - Domestication d’une greluche
2050 - Déprime à Clinchamp
2049 - L’amour à Clinchamp
2048 - Les Droits de l'Homme, c'est la négation de l'homme !
2047 - Les hivers de Clinchamp
2046 - Les chemins de Clinchamp
2045 - Seul au monde
2044 - Ne me parlez pas d’amour
2043 - Tristesse de l’été
2042 - Jour de fête à Clinchamp
2041 - Monsieur Lecon
2040 - Châtelain
2039 - Les ailes de Clinchamp
2038 - Tremblement de terre
2037 - Nuit d’amour
2036 - Pluie de joie à Clinchamp
2035 - Les gauchistes
2034 - Clinchamp sous les clartés lunaires
2033 - Henri d’Anselme, héros hétéro rétro
2032 - Les hirondelles
2031 - Retraite dans la forêt
2030 - Mon bosquet
2029 - L’or de Clinchamp
2028 - Sur le chemin
2027 - La souche
2026 - Clinchamp, ce voyage sans fin
2025 - Sardines à l’huile
2024 - Les fantômes
2023 - Le silence de la forêt
2022 - Les arbres
2021 - Les joies de Clinchamp
2020 - La merde républicaine
2019 - Les ailés
2018 - Les soirées de Clinchamp
2017 - Parasite
2016 - Clinchamp, les routes de l’ennui
2015 - Moi français, je déteste les migrants !
2014 - Répugnante
2013 - Les complotistes
2012 - Je déteste les livres de philosophie !
2011 - Le bossu de Clinchamp
2010 - La lumière de Clinchamp
2009 - Les crépuscules de Clinchamp
2008 - Les nuits à Clinchamp
2007 - Les aubes de Clinchamp
2006 - Je suis un oiseau à Clinchamp
2005 - Les rats de Clinchamp
2004 - Les papillons de Clinchamp
2003 - Les richesses de la normalité
2002 - Le Rimbaud des bobos
2001 - Les vaches de Clinchamp
2000 - La folle de Clinchamp
1999 - Mon ego solaire
1998 - Vague Lune
1997 - Ma cabane à Clinchamp
1996 - Moi, IZARRA
1995 - Mais qui donc est Dardinel ?
1994 - La Dame Blanche de Clinchamp
1993 - Le Dalaï-Lama
1992 - Pluie à Clinchamp
1991 - Je suis sexiste
1990 - Les flammes du printemps
1989 - Le rustaud de Clinchamp
1988 - Les larmes d’Amsterdam
1987 - Clinchamp, terre d’envol
1986 - La Joconde de Clinchamp
1985 - Face cachée de Clinchamp
1984 - La clocharde de Clinchamp
1983 - Je suis un extraterrestre
1982 - Clinchamp sous les éclats de novembre
1981 - Clinchamp au bord des larmes
1980 - Les fantômes de Clinchamp
1979 - Les pissenlits de Clinchamp
1978 - Clinchamp : fin et commencement de tout
1977 - Amsterdam
1976 - J’habite sur la Lune
1975 - Secret de Lune
1974 - Les ailes de la Lune
1973 - Voir Clinchamp et sourire
1972 - La pierre et l’éther
1971 - Clinchamp, au bonheur des larmes
1970 - Clinchamp, mon dernier refuge
1969 - Croissant de Lune
1968 - Mais d’où vient donc la Lune ?
1967 - Lune lointaine
1966 - Lune éternelle
1965 - Sandrine, notre voisine
1964 - Rêve de Lune
1963 - Lune des rêves
1962 - La Lune dans le bleu
1961 - Lune ultime
1960 - Les tourmentés
1959 - Clinchamp, paradis des ombres
1958 - Lune absente
1957 - Je raffole des commérages !
1956 - Clinchamp : royaume des humbles
1955 - La Dame dans le ciel
1954 - Palmade : de la gloire au gouffre
1953 - Evasion
1952 - Tatouages, ces marques de faiblesse
1951 - L’égalité est un enfer !
1950 - Repas sur l’herbe à Clinchamp
1949 - Escale à Clinchamp
1948 - Beauté morbide de la Lune
1947 - J’ai dormi dehors à Clinchamp
1946 - Les humanitaires sont des parasites !
1945 - Sur les routes de Clinchamp
1944 - Une année à Clinchamp
1943 - Tristesse du printemps
1942 - Bulle de Terre
1941 - Jour de joie à Clinchamp
1940 - L’inconnu de Clinchamp
1939 - Le ciel de Clinchamp
1938 - Les éclats de Clinchamp
1937 - Le voyageur
1936 - Fête triste
1935 - Les antiracistes
1934 - Jean Messiha
1933 - Coeur gelé
1932 - Romantisme de pierre
1931 - La femme est sous mes pieds
1930 - Burcu Güneş, un air léger
1929 - Je déteste les pauvres !
1928 - Quand mon coeur s’allume
1927 - Intègre, entier, râpeux
1926 - Le cheval
1925 - Homme mauvais
1924 - Un trou sous le ciel
1923 - Hauteur de la Lune
1922 - Nulle part, là-bas, ailleurs
1921 - Belle Lune
1920 - Salades lunaires
1919 - Lettre à Reynouard
1918 - MARGUERITE OU L’HISTOIRE D’UNE VIEILLE FILLE
1917 - Récoltes lunaires
1916 - Je suis français de souche
1915 - Lune mortuaire
1914 - Clinchamp, cité des oubliés
1913 - Clinchamp, l’air de rien
1912 - Clinchamp, sommet du monde
1911 - La pollution, c’est la vie !
1910 - Seule au monde ?
1909 - Le Ciel et la Terre
1908 - Lune de haut vol
1907 - La Lune s’allume
1906 - Nuit sombre
1905 - Soupe de Lune
1904 - Puretés raciales
1903 - Lune-pizza
1902 - La grande question
1901 - Amiens
1900 - Pleur de Lune
1899 - Rêve d’amour
1898 - Vive le patriarcat !
1897 - La libellule
1896 - L’eau qui m’éclaire
1895 - Une question de clarté
1894 - La Lune dort
1893 - Les artifices du spirituel
1892 - Lune normale
1891 - Ni chauffage ni travail
1890 - Lune de fer
1889 - Molle Lune
1888 - Insensible aux malheurs des autres
1887 - Mon visage de vérité
1886 - Amante russe
1885 - J’écris
1884 - Lune martiale
1883 - Je suis un incapable
1882 - Lune creuse
1881 - 1975
1880 - L’éclat d’un fard
1879 - Amour impossible
1878 - Femme au foyer
1877 - L’esprit de la Lune
1876 - Ingérence féministe
1875 - Cratères lunaires
1874 - Lune d’effroi
1873 - Lune des chats
1872 - Les athées
1871 - Lune d’or
1870 - Lune carrée
1869 - Lune de miel
1868 - Folle lune
1867 - Jour de joie
1866 - SMARPHONES : abrutissement des masses
1865 - Sombre lune
1864 - Les mouches
1863 - Ma vie simple
1862 - Clinchamp, terre lointaine
1861 - Je suis un conservateur
1860 - Lune de glace
1859 - Le lac
1858 - Qu’est-ce que la beauté ?
1857 - Lune blanche
1856 - Lune de mer
1855 - Lune de feu
1854 - Présence immortelle
1853 - Surprenante Lune !
1852 - L’éclat de la Lune
1851 - Epis lunaires
1850 - L’autre Lune
1849 - L’amie des cheminées
1848 - Lune morte
1847 - Lune Parmentier
1846 - Lune fatale
1845 - Amour céleste
1844 - Grâces et disgrâces
1843 - Ma maison, c'est la Lune
1842 - Poids de la Lune
1841 - La morte visiteuse
1840 - Ma cabane sous la Lune
1839 - Bleu ciel
1838 - Histoire de lune
1837 - Suc de Turque
1836 - Stéphane Blet
1835 - Ciel bleu
1834 - Bonheur de rat
1833 - Redneck
1832 - Sur le rivage
1831 - Attraction lunaire
1830 - Je suis anti-féministe radical
1829 - Mais qui est-il ?
1828 - Je veux des frontières !
1827 - Les francs-maçons
1826 - Folies lunaires
1825 - Alunir, en un mot
1824 - “Comme ils disent”, chanson d’Aznavour
1823 - Lune tiède
1822 - Globe de rêve
1821 - Effroi
1820 - Vangelis
1819 - L’air de la Lune
1818 - La campagne
1817 - Lune tombale
1816 - Les cailloux
1815 - Je déteste Paris !
1814 - Boules de neige
1813 - Je n’ai pas peur
1812 - Parler vrai
1811 - Les hommes simples
1810 - Quand la Lune panse
1809 - Régine : extinction d’un feu
1808 - Morte veilleuse
1807 - Coeur de pierre
1806 - Noir
1805 - Mystère de la Lune
1804 - Jackson Pollock
1803 - En pleine lumière
1802 - Harmonie des sexes
1801 - Dix ans dans l’azur
1800 - Pluie d’avril
1799 - Le gueux
1798 - Les pommes de pin
1797 - Voyage vers la Lune
1796 - Mystère d’une nuit
1795 - Une lumière turque
1794 - Sans coeur et avec écorce
1793 - Envolé !
1792 - Galante ou l’abcès crevé
1791 - La lumière du Bosphore
1790 - Claude Monet
1789 - Rat aristocrate
1788 - Ukraine : sortez de vos ornières mentales !
1787 - Tranche de ciel et plumes de la Terre
1786 - Les sots écolos
1785 - L’astre turc
1784 - L’Ukraine, je m’en fous totalement !
1783 - Vive la guerre !
1782 - Réponses à un coatch
1781 - Droite pure
1780 - Vains hypersensibles
1779 - Mes valeurs vives
1778 - Le secret
1777 - Force et lumière
1776 - De l’herbe à l’aiguillon
1775 - Jusqu’à la mort
1774 - Zemmour et les journalistes de gauche
1773 - Dur et juste
1772 - La flamme et le marbre
1771 - Mon chat est mort
1770 - Les frères Bogdanoff
1769 - J’ai rêvé de Natacha
1768 - Technologie
1767 - Vers la Lune
1766 - C’était la guerre
1765 - La “tondue de Chartres”
1764 - Dans le métro
1763 - Naissance d’un virus
1762 - Zemmour est-il un de Gaulle ?
1761 - Je suis grand
1760 - Jour de gloire
1758 - Une muse du Bosphore
1758 - Je suis un extrémiste
1757 - Les éoliennes
1756 - Femme terminale
1755 - Autoportrait
1754 - Je suis un sanglier
1753 - Faux fou
1752 - Les affaires
1751 - Octobre
1750 - Le fantôme
1749 - Les écrivains
1748 - Sauvez la France !
1747 - Mes sentiments de pierre
1746 - Une araignée raconte
1745 - Un coeur clair
1744 - Phallocrate
1743 - Les vaches
1742 - Les faibles sont mauvais
1741 - Les sans-visage
1740 - Le trouillard de gauche
1739 - Léonard de Vinci enfant
1738 - Mes froideurs sublimes
1737 - Le romantisme, c’est la décadence
1736 - La Joconde
1735 - La tour Eiffel
1734 - Le Soleil
1733 - Une boule de mystère
1732 - Les masqués
1731 - Burcu Günes, l’or turc
1730 - Léa Désandre
1729 - Le père Dédé
1728 - “Blanc lumière” de Pollock
1727 - Les kikis et les cocos
1726 - Les funérailles de Belmondo
1725 - Pôle Sud
1724 - Vierge au mariage
1723 - La forêt
1722 - Le réveil des clochers
1721 - En septembre
1720 - Extraterrestre
1719 - Ni cagoule ni sérum
1718 - L’astre des morts
1717 - L’idéaliste
1716 - Un ange noir pour les Blancs ?
1715 - Trois heures du matin
1714 - Dur et vivant
1713 - Homme des bois
1712 - De flamme et de sang
1711 - Mes bas potentiels
1710 - Je suis un anti-progressiste
1709 - Eléonore et les Noirs
1708 - Eléonore et les Juifs
1707 - Une française
1706 - Femme d’idées
1705 - Joie de vivre
1704 - Auteur de rêves
1703 - Raison féminine
1702 - Vieillard
1701 - Face de France
1700 - 1789
1699 - Adieu, France
1698 - Célibataire
1697 - L’envers vert
1696 - Avant la chute
1695 - L’aube d’Ève
1694 - Amour raté
1693 - À vue d’homme
1692 - Le loup et l’agnelle
1691 - Têtes à corps
1690 - Trêve de la nuit
1689 - L’été
1688 - L’hiver
1687 - Les âmes de la forêt
1686 - Enfin libre !
1685 - Je vis sans masque
1684 - Enfants du monde
1328 - Je suis apolitique
115 - Le cygne
114 - Le spleen de Warloy-Baillon
113 - Les visiteurs
112 - La Lune
111 - L’amant des laides
110 - Mémoires d’un libertin
109 - Une existence de pompiste
108 - Lettre à mes amis des listes sur Internet