dimanche 18 octobre 2009

856 - L'hystérie autour de la prétendue pollution de la planète

Je refuse de m'assimiler, moi citoyen français civilisé héritier des beaux esprits grecs, à un coureur des bois, à un primitif "emplumé" ignorant l'écriture et les arts académiques.

Ce qui ne signifie nullement que je défends les bassesses et aberrations de la civilisation pour autant. Bien au contraire. Simplement, nul ne me fera adhérer à des valeurs régressives... Un porteur de semelles ne peut être assimilé à un sauvage d'Amazonie, et le terme "sauvage" ne me dérange pas du tout.

Ce n'est nullement nier ou amoindrir la valeur humaine de mon semblable des bois que de le qualifier de sauvage. C'est juste faire le constat que la civilisation ainsi définie sous nos latitudes n'est pas une mauvaise chose lorsqu'elle est exempte d'erreurs, c'est encore prétendre que courir dans les bois à la recherche de gibier n'est pas digne d'un IZARRA épris d'esprit.

Le raffinement est l'apanage des gens éduqués, instruits, sensibles. L'on me reproche mon esprit critique et mon goût pour la chaussure fine. Cela ne fait pas de moi un criminel. La cause amazonienne est une mode vulgaire et même franchement commerciale lancée par des gourous de la cause écologique et reprise par des industriels à destination des esprits crédules et malléables qui s'en nourrissent avec sotte délectation.

Je ne crois pas que la planète soit en danger à cause de nos gesticulations et productions de fourmis. Le globe terrestre est une colossale structure astronomique, ses capacités d'absorption des déchets et d'auto-régulation sont proportionnelles à ses dimensions (vastes), et à sa masse
(énorme).
Le reste n'est que fadaises et frayeurs irrationnelles d'écologistes écervelés et superstitieux.

La planète est saine. Ce sont les esprits qui sont souillés par le matraquage médiatique intensif. Je ne crois pas que nos petites pollutions humaines mettent en danger l'équilibre de la planète. C'est un mythe, selon moi. Pour ébranler la nature, il faudrait une masse de rejets carboniques et de déchets toxiques beaucoup plus importante que nos minuscules transpirations d'usines... Je crois que la planète (comme tout système vivant, indépendant ou inter-dépendant, complexe et structuré) a des capacités de défense et de régénération insoupçonnées.

Il est déjà très difficile pour un individu de tuer une vache, un chat, et même d'exterminer les cafards de sa propre maison à l'aide de produits chimiques fort toxiques. Alors pour tuer tout un réseau de vie, de fleuves, de terres avec tous leurs occupants, c'est une mission impossible même en s'y mettant tous avec nos poubelles et rejets carboniques. Au contraire, certains de nos déchets contribueraient plutôt à favoriser la vie en engraissant terres, mers et animaux qui y vivent. Cela fait des décennies que nos paysans polluent les terres avec leurs fertilisants artificiels et produits de traitement toxiques. La terre de nos campagnes est devenue certes impure mais pas empoisonnée pour autant. Ce qui y pousse ne tue pas, au contraire.

Certes la déforestation de l'Amazonie est une réalité. Mais il suffit simplement de regarder autour de soi pour constater qu’elle n’est pas aussi funeste qu’on le prétend. A plus grande échelle, le constat est même réjouissant : la planète supporte les "dégradations écologiques" générées par sept milliards d’êtres humains, sans compter les animaux.

Ne vous fiez pas aux apparences : je suis un authentique défenseur de la nature, je respecte la vie, la terre et les hommes. Bien plus que beaucoup de prétendus écologistes qui consomment de la viande issue des abattoirs industriels sans nulle honte (j’en consomme également de temps à autre, mais je ne dis pas que cela est bien). Simplement on peut être le chantre de la nature sans pour autant être imbécile, borné, dénué de sens critique. Je reste très sceptique : je suis persuadé que la terre n’est nullement empoisonnée, que la déforestation est anecdotique au regard des immensités boisées de la planète. On a l'habitude de se focaliser sur les parcelles déboisées, mais on ne parle jamais des océans végétaux encore intacts.

De toute façon il faut faire un choix : ou l’humanité se suicide par amour de la nature, pour la "protéger" et faire de la planète une immense friche laissée aux fauves et aux nuisibles de toutes sortes, ou l’homme accepte de marcher sur les fourmis et les pâquerettes pour vivre et faire triompher la cité, symbole et summum de la Civilisation.

Un minimum de bon sens permet de se libérer des chaînes de la pensée étatique, écologique ou médiatique. Chacun devrait pouvoir se forger une opinion par soi-même, n’est-ce pas ce qui fait la dignité de l’homme ? Au lieu de cela une poignée d’irresponsables affole la terre entière pour des chimères reprises par des citoyens-moutons séduits par un discours infantile, benoît, lénifiant et stéréotypé, parfaitement dans l’air du temps ! Jusqu’à preuve du contraire la planète se porte admirablement. Certes il y a une certaine pollution et des déboisements... Et alors ? Cela n’empêche pas le globe de tourner. Les paroles et les bilans alarmistes des écologistes ne la feront pas dévier d’un cil.

Certes la pollution existe. Mais comment voulez-vous faire une omelette sans briser de coques ? Et puis les animaux se mangent bien entre eux, non ? L’humanité a bien le droit de vivre elle aussi. Les forêts ne sont-elles pas là pour nous aider à construire nos maisons et à les chauffer ? Les castors font bien des barrages en abattant des arbres, pourquoi l’homme n’aurait-il pas le droit d’exploiter la nature à son tour ?

Quant aux indigènes, je ne nie pas leur droit légitime de vivre dans leur milieu naturel ancestral. Je dis simplement que l'on ne peut raisonnablement pas sacrifier l'extension de la Civilisation s'accompagnant du bien-être de millions d'occidentaux pour préserver le mode de vie d'une poignée d'individus qui voudraient s'approprier l'Amazonie !

Il faut juste trouver des accords, faire accepter des concessions aux différentes parties, indigènes et entrepreneurs forestiers compris. Il serait trop facile de mépriser l'avenir économique de milliers de gens pour qui l'exploitation forestière (même illégale) est le seul moyen de survie. Allez donc persuader un chef de famille travaillant dans l'exploitation de la forêt amazonienne d'abandonner la seule source de salut économique qu'il connaisse pour aller grossir les bidonvilles sous prétexte de protéger le mode de vie de quelques familles d'indigène...

Pourquoi est-ce la Civilisation qui devrait mettre à terre des millions d'individus, juste pour faire triompher les caprices d'une pensée sottement orientée vers la défense folle, irrationnelle, stérile, régressive de certaines minorités ?

Je ne vois pas en quoi il est mal de vouloir non pas "détruire" comme le prétendent les écologistes, mais exploiter les forêts à des fins économiques. Abattre des forêts entières ce n’est pas "détruire", au contraire c’est créer de la matière première au service de l’homme, c’est encore capter de l’énergie thermique renouvelable, c’est contribuer à l’économie, bref c’est amorcer une dynamique d’activités industrielles, agricoles, citadines, humaines...

On ne "détruit" pas la nature, il serait bien idiot de croire que l’homme s’amuse à détruire la nature
(les écologistes à ce propos usent de termes pernicieux, trompeurs, et par le choix de ces mots artificieux ils polluent, manipulent sournoisement l’inconscient des masses)...
Au contraire, en abattant des forêts l’homme pratique l’entretien, la préservation et le renouvellement non seulement de la nature mais aussi de l’économie. Pourquoi d'ailleurs l'économie serait-elle une chose mauvaise dans la mythologie écologiste ? La pollution date de l’époque des cavernes, dès que nos ancêtres ont allumé leur premier feu de joie. Le terme "pollution" ne signifie d’ailleurs pas grand-chose. Je préfère dire
"effet de l’activité humaine".
Ces termes neutres ont l’avantage de ne pas orienter les esprits et de laisser chacun se faire une opinion.

Je crois que tout se passe dans la tête des écologistes, à l’image du fameux "éther" de l’espace ou de la "génération spontanée" que les savants du XIXème siècle évoquaient avec le même aplomb que nos écologistes annonçant la fin prochaine de notre monde entièrement déboisé et même bientôt entièrement recouvert par nos ordures...

A force de vouloir mettre l'arbre au centre du monde l'écologiste fraternisant avec les singes a fini par croire qu'il y était perché lui aussi.

Ce serait oublier que l'être humain dépasse d'une tête toute la Création. C'est à la nature de se plier au caprice humain et non l'inverse...

C'est l'être pensant qui doit faire de l'ombre aux cimes, lui qui doit faire la loi au-dessus de sa tête, lui qui doit civiliser la friche !

L'Homme est un seigneur, pas un esclave : les sommets verts ne domineront jamais sa matière grise.


VOIR LA VIDEO :

https://rutube.ru/video/2f8414a43f45627321536ae073b7a8fd/

https://rutube.ru/video/2d0d3fc6229d73035ebce287defb3eab/

http://www.dailymotion.com/video/x3kjl9r

lundi 12 octobre 2009

855 - Editions à comptes de gogos

Il m'arrive de lire avec malice les témoignages pitoyables -mais si drôles- des victimes d'arnaques des éditions à comptes d'auteurs.

Un grand classique du genre où tout observateur de l'humanité peut se repaître à loisir du spectacle de ses semblables s'enlisant dans cette mélasse appelée fatuité.

Le théâtre des guignols agités par la Vanité m'amuse follement, même si d'un autre côté il m'attriste également.

La comédie est toujours la même, elle dure depuis que le monde est monde. Seules les marionnettes changent au fil des siècles, ainsi que le décor au gré des circonstances. Dans cette pièce immortelle, plus grand succès de tous les temps, le premier rôle est incarné par la Bêtise.

Je suis effaré devant la crédulité, la naïveté, mais aussi l'égotisme, l'infatuation des auteurs du dimanche prêts à accepter de payer des "éditeurs" pour être publiés...

Etre aveugle à ce point tient du phénomène.

Des gens instruits, responsables, compétents dans leurs domaines, parfaitement sensés par ailleurs, adoptent dans certaines circonstances des comportements puérils, absurdes, ineptes, comme si une subite cécité mentale leur ôtait tout discernement, éblouis par des mirages tellement grotesques que même un adolescent moyennement éveillé les piétinerait avec dédain.

Les écrivains de foire sont décidément d'obèses pigeons qui, écrivant avec leurs propres et molles plumes, croient dur comme fer au Père Noël.

Accepter de se faire publier à compte d'auteur... N'importe quel quidam se rendrait compte sur le champ qu'il s'agit d'une escroquerie pure et simple.

Eux, non.

La fausseté de l'affaire est tellement évidente qu'on se demande comment les intéressés eux-mêmes ne s'en aperçoivent pas...

Les auteurs du dimanche sont une race à part. Nourris d'illusions, abreuvés d'espoirs de poires, enivrés de fumées, ils ne doutent pas un instant de la sincérité des éloges que les éditeurs à comptes d'auteurs leur adressent, accompagnés de promesses en or.

Pour résultats en toc.

Bref, ils payent et se retrouvent bien évidemment floués. Avec sur les bras des caisses remplies de leurs chefs-d'oeuvre incompris encombrant le grenier. Payés au prix fort, voire très fort...

Comiquement prévisible. Plus c'est gros, mieux ça fonctionne.

Ces fats qui font preuve d'un tel degré de sottise méritent bien l'amère leçon du sort ! Le véritable responsable n'est pas l'éditeur mais bel et bien le volatile qui se fait volontairement plumer, victime de sa propre vanité.

En définitive la mésaventure financière de ces plumitifs est très morale car édifiante : c'est toujours à ce moment là qu'ils se réveillent.

Le rideau tombe, la pièce est terminée, personne n'applaudit.

Mais l'homme a grandi : l'oiseau ayant perdu ses kilos de vanité, le piètre auteur peut enfin prendre de la hauteur.

Liste des textes

2148 - Je suis de la droite honteuse
2147 - Les écrivains sont des poids morts
2146 - L’héritage de Clinchamp
2145 - Clinchamp, une histoire sans fin
2144 - Vent de mystère à Clinchamp
2143 - Ma cachette à Clinchamp
2142 - Randonnée à Clinchamp
2141 - Eclipse de Lune à Clinchamp
2140 - Un arc-en-Ciel à Clinchamp
2139 - Clinchamp sous l’orage
2138 - J’ai rêvé de Clinchamp
2137 - Jour de l’An à Clinchamp
2136 - Vacances d’été à Clinchamp
2135 - Attente à Clinchamp
2134 - Un jour ordinaire à Clinchamp
2133 - Or de France
2132 - La compagne des esseulés
2131 - Loup de lumière
2130 - Spleen
2129 - Le pitre
2128 - Les corbeaux de Clinchamp
2127 - Un homme heureux à Clinchamp
2126 - Le mouton
2125 - Des lutins à Clinchamp ?
2124 - Je suis fort !
2123 - Paroles prophétiques
2122 - L’égalité entre les hommes est injuste !
2121 - L’idéaliste de gauche
2120 - La femme est la monture de l’homme
2119 - Clinchamp sous la neige
2118 - Le Nord et le Sud
2117 - Pourquoi j’aime Clinchamp ?
2116 - Convaincre Blandine
2115 - Un couple de vieillards à Clinchamp
2114 - Le facteur de Clinchamp
2113 - Tristesse et beauté à Clinchamp
2112 - L’Art
2111 - Botte à l’oeuf
2110 - Les bûcherons de Clinchamp
2109 - Le coucou de Clinchamp
2108 - BFMTV : l’écran de la vérité
2107 - Lettre anonyme
2106 - Je ne suis pas amoureux de Paris !
2105 - Un jour d’hiver à Warloy-Baillon
2104 - La femme soumise brille comme une casserole
2103 - Les chouettes de Clinchamp
2102 - Quand la tempête s’abat sur Clinchamp...
2101 - L’aile et la pierre
2100 - Mes amis les maudits
2099 - Le brouillard de Clinchamp
2098 - Artiste de gauche
2097 - L’éternité dans la tête
2096 - Toussaint à Clinchamp
2095 - Chagrin échappé
2094 - Clinchamp-sur-Mystère
2093 - Les cafards
2092 - Loup des airs
2091 - Le loup de Clinchamp
2090 - En latin, c’est plus beau !
2089 - Les patates de Clinchamp
2088 - L’enfant des airs
2087 - Ciel de France
2086 - Thaïs d’Escufon
2085 - Les tomates de Clinchamp
2084 - Jérôme Bourbon
2083 - Les chats de Clinchamp
2082 - Poupée d’ailleurs
2081 - Pierre de feu
2080 - Les champs de Clinchamp
2079 - L’éclosion
2078 - Vacuité des bouquinistes
2077 - Les toits
2076 - Freud
2075 - Sport
2074 - Le simplet de Clinchamp
2073 - Les oiseaux de Clinchamp
2072 - Je ne suis pas cartésien
2071 - Au cimetière de Clinchamp
2070 - Le Panthéon pour Hugo, l’évasion pour Izarra
2069 - Les rats de la France
2068 - Le curé de Clinchamp
2067 - Mon trou à Clinchamp
2066 - Saint-Léonard-des-Bois
2065 - Les cloches de Clinchamp
2064 - Un épouvantail à Clinchamp
2063 - Les rêves de Clinchamp
2062 - Je suis raciste
2061 - L’injustice sociale ne me choque pas
2060 - Les femmes de Clinchamp
2059 - Les jours vides de Clinchamp
2058 - Une grand-mère
2057 - Clinchamp vers 1970
2056 - La femme de soixante ans
2055 - Sale temps à Clinchamp
2054 - Un grand voyage en forêt
2053 - L’ailé et l’aliéné
2052 - Souvenirs lointains
2051 - Domestication d’une greluche
2050 - Déprime à Clinchamp
2049 - L’amour à Clinchamp
2048 - Les Droits de l'Homme, c'est la négation de l'homme !
2047 - Les hivers de Clinchamp
2046 - Les chemins de Clinchamp
2045 - Seul au monde
2044 - Ne me parlez pas d’amour
2043 - Tristesse de l’été
2042 - Jour de fête à Clinchamp
2041 - Monsieur Lecon
2040 - Châtelain
2039 - Les ailes de Clinchamp
2038 - Tremblement de terre
2037 - Nuit d’amour
2036 - Pluie de joie à Clinchamp
2035 - Les gauchistes
2034 - Clinchamp sous les clartés lunaires
2033 - Henri d’Anselme, héros hétéro rétro
2032 - Les hirondelles
2031 - Retraite dans la forêt
2030 - Mon bosquet
2029 - L’or de Clinchamp
2028 - Sur le chemin
2027 - La souche
2026 - Clinchamp, ce voyage sans fin
2025 - Sardines à l’huile
2024 - Les fantômes
2023 - Le silence de la forêt
2022 - Les arbres
2021 - Les joies de Clinchamp
2020 - La merde républicaine
2019 - Les ailés
2018 - Les soirées de Clinchamp
2017 - Parasite
2016 - Clinchamp, les routes de l’ennui
2015 - Moi français, je déteste les migrants !
2014 - Répugnante
2013 - Les complotistes
2012 - Je déteste les livres de philosophie !
2011 - Le bossu de Clinchamp
2010 - La lumière de Clinchamp
2009 - Les crépuscules de Clinchamp
2008 - Les nuits à Clinchamp
2007 - Les aubes de Clinchamp
2006 - Je suis un oiseau à Clinchamp
2005 - Les rats de Clinchamp
2004 - Les papillons de Clinchamp
2003 - Les richesses de la normalité
2002 - Le Rimbaud des bobos
2001 - Les vaches de Clinchamp
2000 - La folle de Clinchamp
1999 - Mon ego solaire
1998 - Vague Lune
1997 - Ma cabane à Clinchamp
1996 - Moi, IZARRA
1995 - Mais qui donc est Dardinel ?
1994 - La Dame Blanche de Clinchamp
1993 - Le Dalaï-Lama
1992 - Pluie à Clinchamp
1991 - Je suis sexiste
1990 - Les flammes du printemps
1989 - Le rustaud de Clinchamp
1988 - Les larmes d’Amsterdam
1987 - Clinchamp, terre d’envol
1986 - La Joconde de Clinchamp
1985 - Face cachée de Clinchamp
1984 - La clocharde de Clinchamp
1983 - Je suis un extraterrestre
1982 - Clinchamp sous les éclats de novembre
1981 - Clinchamp au bord des larmes
1980 - Les fantômes de Clinchamp
1979 - Les pissenlits de Clinchamp
1978 - Clinchamp : fin et commencement de tout
1977 - Amsterdam
1976 - J’habite sur la Lune
1975 - Secret de Lune
1974 - Les ailes de la Lune
1973 - Voir Clinchamp et sourire
1972 - La pierre et l’éther
1971 - Clinchamp, au bonheur des larmes
1970 - Clinchamp, mon dernier refuge
1969 - Croissant de Lune
1968 - Mais d’où vient donc la Lune ?
1967 - Lune lointaine
1966 - Lune éternelle
1965 - Sandrine, notre voisine
1964 - Rêve de Lune
1963 - Lune des rêves
1962 - La Lune dans le bleu
1961 - Lune ultime
1960 - Les tourmentés
1959 - Clinchamp, paradis des ombres
1958 - Lune absente
1957 - Je raffole des commérages !
1956 - Clinchamp : royaume des humbles
1955 - La Dame dans le ciel
1954 - Palmade : de la gloire au gouffre
1953 - Evasion
1952 - Tatouages, ces marques de faiblesse
1951 - L’égalité est un enfer !
1950 - Repas sur l’herbe à Clinchamp
1949 - Escale à Clinchamp
1948 - Beauté morbide de la Lune
1947 - J’ai dormi dehors à Clinchamp
1946 - Les humanitaires sont des parasites !
1945 - Sur les routes de Clinchamp
1944 - Une année à Clinchamp
1943 - Tristesse du printemps
1942 - Bulle de Terre
1941 - Jour de joie à Clinchamp
1940 - L’inconnu de Clinchamp
1939 - Le ciel de Clinchamp
1938 - Les éclats de Clinchamp
1937 - Le voyageur
1936 - Fête triste
1935 - Les antiracistes
1934 - Jean Messiha
1933 - Coeur gelé
1932 - Romantisme de pierre
1931 - La femme est sous mes pieds
1930 - Burcu Güneş, un air léger
1929 - Je déteste les pauvres !
1928 - Quand mon coeur s’allume
1927 - Intègre, entier, râpeux
1926 - Le cheval
1925 - Homme mauvais
1924 - Un trou sous le ciel
1923 - Hauteur de la Lune
1922 - Nulle part, là-bas, ailleurs
1921 - Belle Lune
1920 - Salades lunaires
1919 - Lettre à Reynouard
1918 - MARGUERITE OU L’HISTOIRE D’UNE VIEILLE FILLE
1917 - Récoltes lunaires
1916 - Je suis français de souche
1915 - Lune mortuaire
1914 - Clinchamp, cité des oubliés
1913 - Clinchamp, l’air de rien
1912 - Clinchamp, sommet du monde
1911 - La pollution, c’est la vie !
1910 - Seule au monde ?
1909 - Le Ciel et la Terre
1908 - Lune de haut vol
1907 - La Lune s’allume
1906 - Nuit sombre
1905 - Soupe de Lune
1904 - Puretés raciales
1903 - Lune-pizza
1902 - La grande question
1901 - Amiens
1900 - Pleur de Lune
1899 - Rêve d’amour
1898 - Vive le patriarcat !
1897 - La libellule
1896 - L’eau qui m’éclaire
1895 - Une question de clarté
1894 - La Lune dort
1893 - Les artifices du spirituel
1892 - Lune normale
1891 - Ni chauffage ni travail
1890 - Lune de fer
1889 - Molle Lune
1888 - Insensible aux malheurs des autres
1887 - Mon visage de vérité
1886 - Amante russe
1885 - J’écris
1884 - Lune martiale
1883 - Je suis un incapable
1882 - Lune creuse
1881 - 1975
1880 - L’éclat d’un fard
1879 - Amour impossible
1878 - Femme au foyer
1877 - L’esprit de la Lune
1876 - Ingérence féministe
1875 - Cratères lunaires
1874 - Lune d’effroi
1873 - Lune des chats
1872 - Les athées
1871 - Lune d’or
1870 - Lune carrée
1869 - Lune de miel
1868 - Folle lune
1867 - Jour de joie
1866 - SMARPHONES : abrutissement des masses
1865 - Sombre lune
1864 - Les mouches
1863 - Ma vie simple
1862 - Clinchamp, terre lointaine
1861 - Je suis un conservateur
1860 - Lune de glace
1859 - Le lac
1858 - Qu’est-ce que la beauté ?
1857 - Lune blanche
1856 - Lune de mer
1855 - Lune de feu
1854 - Présence immortelle
1853 - Surprenante Lune !
1852 - L’éclat de la Lune
1851 - Epis lunaires
1850 - L’autre Lune
1849 - L’amie des cheminées
1848 - Lune morte
1847 - Lune Parmentier
1846 - Lune fatale
1845 - Amour céleste
1844 - Grâces et disgrâces
1843 - Ma maison, c'est la Lune
1842 - Poids de la Lune
1841 - La morte visiteuse
1840 - Ma cabane sous la Lune
1839 - Bleu ciel
1838 - Histoire de lune
1837 - Suc de Turque
1836 - Stéphane Blet
1835 - Ciel bleu
1834 - Bonheur de rat
1833 - Redneck
1832 - Sur le rivage
1831 - Attraction lunaire
1830 - Je suis anti-féministe radical
1829 - Mais qui est-il ?
1828 - Je veux des frontières !
1827 - Les francs-maçons
1826 - Folies lunaires
1825 - Alunir, en un mot
1824 - “Comme ils disent”, chanson d’Aznavour
1823 - Lune tiède
1822 - Globe de rêve
1821 - Effroi
1820 - Vangelis
1819 - L’air de la Lune
1818 - La campagne
1817 - Lune tombale
1816 - Les cailloux
1815 - Je déteste Paris !
1814 - Boules de neige
1813 - Je n’ai pas peur
1812 - Parler vrai
1811 - Les hommes simples
1810 - Quand la Lune panse
1809 - Régine : extinction d’un feu
1808 - Morte veilleuse
1807 - Coeur de pierre
1806 - Noir
1805 - Mystère de la Lune
1804 - Jackson Pollock
1803 - En pleine lumière
1802 - Harmonie des sexes
1801 - Dix ans dans l’azur
1800 - Pluie d’avril
1799 - Le gueux
1798 - Les pommes de pin
1797 - Voyage vers la Lune
1796 - Mystère d’une nuit
1795 - Une lumière turque
1794 - Sans coeur et avec écorce
1793 - Envolé !
1792 - Galante ou l’abcès crevé
1791 - La lumière du Bosphore
1790 - Claude Monet
1789 - Rat aristocrate
1788 - Ukraine : sortez de vos ornières mentales !
1787 - Tranche de ciel et plumes de la Terre
1786 - Les sots écolos
1785 - L’astre turc
1784 - L’Ukraine, je m’en fous totalement !
1783 - Vive la guerre !
1782 - Réponses à un coatch
1781 - Droite pure
1780 - Vains hypersensibles
1779 - Mes valeurs vives
1778 - Le secret
1777 - Force et lumière
1776 - De l’herbe à l’aiguillon
1775 - Jusqu’à la mort
1774 - Zemmour et les journalistes de gauche
1773 - Dur et juste
1772 - La flamme et le marbre
1771 - Mon chat est mort
1770 - Les frères Bogdanoff
1769 - J’ai rêvé de Natacha
1768 - Technologie
1767 - Vers la Lune
1766 - C’était la guerre
1765 - La “tondue de Chartres”
1764 - Dans le métro
1763 - Naissance d’un virus
1762 - Zemmour est-il un de Gaulle ?
1761 - Je suis grand
1760 - Jour de gloire
1758 - Une muse du Bosphore
1758 - Je suis un extrémiste
1757 - Les éoliennes
1756 - Femme terminale
1755 - Autoportrait
1754 - Je suis un sanglier
1753 - Faux fou
1752 - Les affaires
1751 - Octobre
1750 - Le fantôme
1749 - Les écrivains
1748 - Sauvez la France !
1747 - Mes sentiments de pierre
1746 - Une araignée raconte
1745 - Un coeur clair
1744 - Phallocrate
1743 - Les vaches
1742 - Les faibles sont mauvais
1741 - Les sans-visage
1740 - Le trouillard de gauche
1739 - Léonard de Vinci enfant
1738 - Mes froideurs sublimes
1737 - Le romantisme, c’est la décadence
1736 - La Joconde
1735 - La tour Eiffel
1734 - Le Soleil
1733 - Une boule de mystère
1732 - Les masqués
1731 - Burcu Günes, l’or turc
1730 - Léa Désandre
1729 - Le père Dédé
1728 - “Blanc lumière” de Pollock
1727 - Les kikis et les cocos
1726 - Les funérailles de Belmondo
1725 - Pôle Sud
1724 - Vierge au mariage
1723 - La forêt
1722 - Le réveil des clochers
1721 - En septembre
1720 - Extraterrestre
1719 - Ni cagoule ni sérum
1718 - L’astre des morts
1717 - L’idéaliste
1716 - Un ange noir pour les Blancs ?
1715 - Trois heures du matin
1714 - Dur et vivant
1713 - Homme des bois
1712 - De flamme et de sang
1711 - Mes bas potentiels
1710 - Je suis un anti-progressiste
1709 - Eléonore et les Noirs
1708 - Eléonore et les Juifs
1707 - Une française
1706 - Femme d’idées
1705 - Joie de vivre
1704 - Auteur de rêves
1703 - Raison féminine
1702 - Vieillard
1701 - Face de France
1700 - 1789
1699 - Adieu, France
1698 - Célibataire
1697 - L’envers vert
1696 - Avant la chute
1695 - L’aube d’Ève
1694 - Amour raté
1693 - À vue d’homme
1692 - Le loup et l’agnelle
1691 - Têtes à corps
1690 - Trêve de la nuit
1689 - L’été
1688 - L’hiver
1687 - Les âmes de la forêt
1686 - Enfin libre !
1685 - Je vis sans masque
1684 - Enfants du monde
1328 - Je suis apolitique
115 - Le cygne
114 - Le spleen de Warloy-Baillon
113 - Les visiteurs
112 - La Lune
111 - L’amant des laides
110 - Mémoires d’un libertin
109 - Une existence de pompiste
108 - Lettre à mes amis des listes sur Internet