lundi 27 décembre 2010

899 - Considérations misanthropiques sur Noël

Certains n'aiment pas les rats, les araignées ou les asticots.

Moi je n'aime pas les chiens (leurs odeur et moeurs me dégoûtent, je ne supporte pas leurs aboiements et crains leurs crocs), les enfants (pas tous mais en général car peu d'entre eux sont des surdoués) et les vieilles gens séniles (les vieux retombant en enfance incarnent la déchéance de la fin de vie).

En bref je suis allergique à la vue des êtres faibles, sots, handicapés, diminués.

Je préfère voir les humains en pleine santé, intelligents, cultivés, habiles, talentueux, heureux, épanouis, radieux, glorieux.

Est-ce donc interdit d'avoir de telles préférences ?

J'aime voir les enfants heureux... de ne rien recevoir à Noël. Ces IZARRA en modèles réduits sont malheureusement assez rares.

Je préfère voir des enfants heureux à l'idée de faire ceinture à Noël, donc des enfants intelligents. Si les parents étaient assez pédagogues et courageux envers leur progéniture ils leur expliqueraient que les vrais cadeaux ne sont pas toutes ces sottises matérielles dont on les gave à Noël et même chaque jour de l'année mais l'intelligence, cette richesse de l'esprit. Un enfant assez intelligent pour comprendre qu'il doit être heureux de ne rien recevoir à Noël est infiniment plus plaisant à mes yeux qu'un de ces petits crétins ignares pourris de cadeaux qu'il ira revendre le lendemain sur EBAY ! (Parce qu'en plus ils ont l'ordinateur dans leur chambre avec l'accès à INTERNET, ce qui en soi est un cadeau quotidien qui vaut tous les Noël de leur vie !)

C'est Noël tous les jours dans notre société d'abondance mais combien s'en rendent vraiment compte ? Les enfants devraient s'émerveiller chaque jour de l'année non seulement de toutes les belles choses dont ils jouissent, mais aussi du ciel, de la nature et des étoiles au lieu d'attendre le jour de Noël pour commencer à écarquiller les yeux sur les inepties qu'on leur offre !

Les gamins de nos jours sont aussi abrutis que les parents : gavés de game-boy, de jeux en réseaux débiles, de téléphones portables et de programmes de décervelés débités par les bouquets de chaînes, ce sont des cancres analphabètes qui ne savent même plus apprécier les joies essentielles de l'existence. Surcouvés, "yaourtisés" à outrance, ce sont de futurs adultes souffreteux (ils n'ont plus d'anticorps à force de vivre sous des toits surchauffés) qui vont réclamer leur retraite dupontesque avant cinquante ans !

Nombreux parmi eux ne savent même pas ce qu'est une vache, une giboulée de mars ou une grenouille, emmitouflés qu'ils sont dans leurs cages à lapins anti-éducatives ! Ils s'imaginent que les poissons sont carrés et que les piercings sont des accessoires indispensables qui leurs son dus.

Génération "limacière" d'ignares blasés par les écrans, les fast-foods et les Noëls quotidiens car Noël avec eux c'est tous les jours de l'année mais tout comme leurs abrutis de parents ils ne s'en rendent même pas compte.

Aujourd'hui les enfants élevés à l'Iphone, rebelles et frondeurs, alcoolisés à 11 ans, dépucelés à 13 ans, ne savent plus s'émerveiller devant les choses simples de la nature et pourtant infiniment plus denses que leurs technologies de petits imbéciles incultes.

Cela dit je ne déteste pas vraiment les enfants : je n'apprécie que les enfants silencieux, intellectuellement surdoués, bien éduqués et socialement avantagés. S'ils ont hérité de la particule c'est encore mieux.

Quant à la progéniture des Dupont, elle m'incommode singulièrement.

Je suis réellement allergique à la bêtise infantile et parentale, ce n'est pas de la provocation de ma part de dire cela mais la simple et banale vérité.

Voir la beauté du monde permet d'avoir la volonté de lutter contre sa laideur.

C'est précisément ce que je fais ici, je ne me focalise pas sur la laideur du monde, bien au contraire : c'est sa beauté qui m'intéresse, d'où ma préférence pour les être aboutis, expérimentés, sages, intelligents. Le simple fait de savoir poser un regard émerveillé sur la beauté des choses et non de s'attarder sur leur laideur suffit à embellir le monde, même si par ailleurs on ne fait pas nécessairement la démarche active de redresser la laideur.

Je n'ai pas le culte imbécile et politiquement correct de l'enfance si cher à notre société démagogue, même si j'estime être un authentique Peter Pan par ailleurs, ce qui n'a rien de paradoxal. L'enfance est un paradis quand on y est mais dès qu'on est un adulte l'enfance -du moins celle des autres- est considérée comme un handicap, un état de dépendance, de faiblesse et d'ignorance. J'ai fait un stage dans une maison de retraite pour grabataires en 1991 : je pense la même chose en ce qui concerne la vieillesse sénile. J'avais pitié de ces vieux finissant leur existence dans la misère mentale et physique et certains m'insupportaient dans leur gâtisme, souillant leur literie d'excréments.

Je ne vois rien de glorieux à torcher des vieillards. Je trouve dégradant et déplacé de s'enorgueillir de cet acte faussement charitable puisque la prétendue élévation d'âme de la personne soignante est au prix de la misère de ces vieux. La vraie charité ne serait-elle pas de faire le sacrifice de sa propre humilité afin de servir une cause heureuse ?

Voir mon texte biographique N°781 à ce sujet "L'étable des morts-vivants" :


Contrairement à la mère Térésa qui semblait se complaire dans les odeurs rances de la vieillesse miséreuse de Calcutta, je préfère les parfums nobles de la vieillesse radieuse. Certes elle soulageait la misère et c'est très louable, mais elle n'avait pas tellement de mérite puisque c'était précisément sa vocation. Elle ne pouvait chrétiennement rien faire d'autre dans sa vie.

Ce qui n'est pas mon rôle à moi : IZARRA n'est pas mère Térésa.

Chacun doit être à sa place et y faire son travail et la mienne n'est pas à Calcutta mais ici dans la démythification des cadeaux de Noël que je nomme "imbécillités pour petits crétins déjà gavés toute l'année".

Je déteste le Père Noël, scorie publicitaire typiquement yankee pour le Coca-Cola !

Rappelons que le Père Noël est une invention marketing des années 1940 pour vendre du Coca-Cola. C'est pour moi l'image de la décadence mise sur le trône mensonger d'une tradition qui n'est ni la nôtre ni même légitime pour ses créateurs (les publicistes américains) qui ont dévoyé le message de Noël pour en faire un coup marketing de longue durée.

Rien à voir avec le véritable Noël !

Les pères Noël qui traînent dans les zones commerciales où ils sont payés à l'heure ne me font pas rêver.

Ce sont même des tue-rêve par excellence.

Tout n'est que récupération commerciale, les enfants sont décidément bien trop bêtes pour ne pas le voir ! Pendant qu'ils rêvent, les adultes manipulateurs, cyniques, se frottent les mains et les parents, abrutis au dernier degré, ouvrent leur porte-monnaie sans compter.

Enfants rois = parents esclaves.

Quand j'étais petit naïvement je pensais que les forains étaient heureux de me faire monter sur leurs manèges. Adultes, j'ai compris qu'ils n'en ont rien à faire de la joie des enfants. Seul leur importe l'argent que leur rapportera leurs sourires hypocrites (quand ils l'affichent car la plupart du temps les forains ont une mine crapuleuse et montrent à longueur de temps leur mauvaise humeur).

Quel sens peut avoir Noël quand c'est Noël tous les jours ?

Pour moi un vrai Noël qui me fait réellement rêver c'est un Noël dépouillé dans le froid hivernal, un Noël pieux en contact avec les âpres éléments, un Noël monacal où seul l'essentiel comble les âmes lassées de l'abondance matérielle qui étouffe l'esprit.

Lisez mes contes de Noël, révélateurs de ma pensée: ils traitent tous du renoncement aux artifices pour un retour à l'essentiel.

Les imbécillités relatives au Noël païen, depuis la bûche aux édulcorants jusqu'aux cadeaux obscènes (jeux vidéos martiaux et Iphones) ou mièvres au bas du sapin clignotant (qui parfois, comble de l'horreur, est en plastique) m'ennuient mortellement, ne me font pas rêver du tout. Je trouve tout cela fort trivial, vulgaire, pesant, indigeste et finalement vide.

Je préfère me promener seul la nuit sous la neige loin des écrans, du bruit parasite et de tous les artifices de la vie moderne, chose que je fais d'ailleurs à chaque fois qu'il neige.

Pour être honnête je dois préciser que j'apprécie les veilles et nuits de Noël pour la raison que l'espace public se dépeuple agréablement de toute roture, trop occupée qu'elle est à festoyer devant la télévision. Il est délicieux de me promener en campagne dans le froid de la nuit pendant que le reste du monde me laisse en paix. Cela dit je trouve quand même dommage que ces gens se privent de cette joie pure et virile consistant à renoncer à leurs imbécillités de Noël. Pour aucun Noël profane au monde je n'échangerais mes belles promenades nocturnes contre une soirée de télévision dans une pièce surchauffée dégoulinante de guirlandes et de cadeaux clinquants.

Enfin, remuer un chiffon rouge devant un taureau ou bien le flatter avec des gerbes de foin sont les meilleurs moyens de canaliser son énergie à notre profit. On applique la même méthode aux humains sauf que les mots agissent tantôt comme des aiguillons, tantôt comme des caresses. Les hommes politiques savent user à la perfection de cette ruse vieille comme le monde.

Les buts sont assez divers mais ici il consiste à éprouver les caractères, mesurer les intelligences.

Le surenchérissement izarrien est un excellent test pour mes interlocuteurs.

Il y en a qui répondent par l'humour à mes chiffons rouges, d'autres par la rhétorique, d'autres encore par l'injure.

10 commentaires:

Unknown a dit…

Très bien vu et dit.
Être-Ange

Anonyme a dit…

Sa va mieux ?

Unknown a dit…

Anonyme,
Ça va pas la différence entre l'adjectif possessif féminin "sa" et le démonstratif "ça"....La logique de la question non plus....
Être-Ange

Anonyme a dit…

Noel:

Bluff commerciale à la sauce païenne, qui apprend aux enfants débauchés que leurs parents ne sont que des menteurs lorsqu'ils s'apercevront que le seul père Noel qui existe est une ordure.

filledemnemosyne a dit…

a) Les araignées
b) La belle écriture
c) internet cadeau au quotidien (enfin presque...)
d) aucun culte particulier voué à l'âge quel qu'il soit
e) gloire dans la défense de la liberté de pensée
f) ha, ha, ha! Touché!
g) crois à la magie de Noël...
h) cherche où il y a "virilité" à renoncer aux imbécilités mercantiles de Noël ?
i) totalement désintéressée par les imbécilités mercantiles de Noël.
j) signe du taureau...entrainée au daltonisme pour rester glorieuse.
k) ha, ha, ha ! re touché !
l) verdict du test?

Raphaël Zacharie de IZARRA a dit…

filledemnemosyne,

Le test c'est en plus car le contenu de ce texte est authentiquement izarrien : je déteste réellement les fausses valeurs relatives au matérialisme outrancier ainsi que la pensée molle consistant à faire de nos enfants des petits crétins blasés de tout.

Raphaël Zacharie de IZARRA

Lauralovesclothes a dit…

Quel est le but du commentaire laissé sur mon blog?

filledemnemosyne a dit…

Je ne vais pas dire ce que n'est pas Noël, vous avez tout dit. Je vais plutôt dire l'image que j'en ai.

Noël, c'est le soleil, paille d'hiver. Des eaux miroirs qui reflètent les troncs blancs des bouleaux. Des cornouillers nus dévoilant leurs branchages vermillons, des buissons de baies de houx et de fragons.
Des vitres givrées sur fond de ciel bleu derrière lesquelles chantent des rouges-gorges.

Les images de Noël ce sont les enluminures d'un psaume aux pigments de la terre, des livres oubliés dans lesquels Gerda et Kay rencontrent la Reine des neiges, se cachent des patins d'argent; c'est une toile flamande de Bruegel.

C'est un film polonais en noir et blanc, diffusé pendant des vacances d'un décembre lointain et qui, sous le titre français de "La pantoufle dorée" racontait les aventures d'un sculpteur au temps des cathédrales.
Ce sont encore les larmes d'émotion de mon pére à l'écoute de l'Avé Maria. C'est Sœur Marie-Cécile, infirmière dans les années 70.

La magie de Noël, ce sont les odeurs de l'enfance. De café et de brioche tressée dorant dans le four. Une crèche de plâtre abritée sous une roche de papier étoilé.

Noël, ce sont mes cours d'Histoire de classe de cinquième et ce professeur qui savait les rendre tellement intéressant.
Noël c'est aussi la géographie des livres. Toute la Laponie, les pays scandinaves, la Russie, les étendues couvertes de sapins enneigés.
Ce sont Bethléem, Jérusalem, et les palmiers dattiers.
Des oranges plantées de clous de girofles. Des anges découpés dans du papier doré.

C'est un bon ouvrage de chevet que l'on retrouve comme on retrouverait un amant.
Ce sont mes amis(es) à moi, petits trésors secrets.
Ce sont des poèmes écrits d' or et de sang, les griffes de la plume sur le vélin de l'âme.
C'est l'étoile du berger. C'est un rêve de liberté. Des albums de souvenirs privés.
Noël, c'est être heureuse de connaitre tout cela. C'est être heureuse de vivre. Et ne plus avoir peur de mourir.

Anonyme a dit…

ca va pas mieux AMA

Anonyme a dit…

Remettons une fois de plus les choses à la place qui est la leur !
Comme à votre habitude, les choses son tronqués, faussés et orienté selon votre pensé propre. Coca-cola n'est que arrivé que bien tardivement dans cette histoire.

Les origine du père Noël

C'est Saint Nicolas qui a inspiré le Père Noël.

Saint Nicolas a été importé aux Etats-Unis au XVIIe siècle par les immigrés allemands ou hollandais.

On retrouve dans la représentation du Père Noël tout ce qui faisait la symbolique du personnage de Saint Nicolas :
la longue barbe blanche, la mitre qui est devenu un bonnet de fourrure, le grand manteau rouge.

Chaque région de France lui donna un nom différent :
le Père Noël est appelé " Chalande " en Savoie,
" Père janvier " en Bourgogne et dans le Nivernais,
" Olentzaro " dans le pays basque ou encore
" Barbassionné " en Normandie.


Pour les américains, Saint Nicolas est Sinter Klaas qui devint Santa Claus.

En 1821 : un pasteur américain, Clément Clarke Moore écrivit un conte de NOËL pour ses enfants dans lequel un personnage sympathique apparaît, le Père Noël, dans son traîneau tiré par huit rennes.
Il le fit dodu, jovial et souriant. Il remplaça la mitre du Saint Nicolas par un bonnet, sa crosse par un sucre d'orge et le débarrassa du Père Fouettard. L'âne fut remplacé par 8 rennes fringuants.


1823 : L'événement qui contribua certainement le plus à l'unification de ces personnages fut sans aucun doute la publication du fameux poème de Clement Clarke Moore. Intitulé "A Visit From St. Nicholas", ce poème fut publié pour la première fois dans le journal Sentinel, de New York, le 23 décembre 1823.

En 1860, Thomas Nast, illustrateur et caricaturiste au journal new-yorkais Harper's Illustrated Weekly, revêt Santa-Claus d'un costume rouge, garni de fourrure blanche et rehaussé d'un large ceinturon de cuir.

En 1885, Nast établissait la résidence officielle du père Noël au pôle Nord au moyen d'un dessin illustrant deux enfants regardant, sur une carte de monde, le tracé de son parcours depuis le pôle Nord jusqu'aux États-Unis.

C'est en 1931, que le père Noël prit finalement une toute nouvelle allure dans une image publicitaire, diffusée par la compagnie Coca-Cola.

Un petit tour par ici ferait le plus grand bien a votre culture !

http://fr.wikipedia.org/wiki/Pere_Noel

Iah-hel

Liste des textes

2150 - Voyage vers Mars
2149 - Galaxies
2148 - Je suis de la droite honteuse
2147 - Les écrivains sont des poids morts
2146 - L’héritage de Clinchamp
2145 - Clinchamp, une histoire sans fin
2144 - Vent de mystère à Clinchamp
2143 - Ma cachette à Clinchamp
2142 - Randonnée à Clinchamp
2141 - Eclipse de Lune à Clinchamp
2140 - Un arc-en-Ciel à Clinchamp
2139 - Clinchamp sous l’orage
2138 - J’ai rêvé de Clinchamp
2137 - Jour de l’An à Clinchamp
2136 - Vacances d’été à Clinchamp
2135 - Attente à Clinchamp
2134 - Un jour ordinaire à Clinchamp
2133 - Or de France
2132 - La compagne des esseulés
2131 - Loup de lumière
2130 - Spleen
2129 - Le pitre
2128 - Les corbeaux de Clinchamp
2127 - Un homme heureux à Clinchamp
2126 - Le mouton
2125 - Des lutins à Clinchamp ?
2124 - Je suis fort !
2123 - Paroles prophétiques
2122 - L’égalité entre les hommes est injuste !
2121 - L’idéaliste de gauche
2120 - La femme est la monture de l’homme
2119 - Clinchamp sous la neige
2118 - Le Nord et le Sud
2117 - Pourquoi j’aime Clinchamp ?
2116 - Convaincre Blandine
2115 - Un couple de vieillards à Clinchamp
2114 - Le facteur de Clinchamp
2113 - Tristesse et beauté à Clinchamp
2112 - L’Art
2111 - Botte à l’oeuf
2110 - Les bûcherons de Clinchamp
2109 - Le coucou de Clinchamp
2108 - BFMTV : l’écran de la vérité
2107 - Lettre anonyme
2106 - Je ne suis pas amoureux de Paris !
2105 - Un jour d’hiver à Warloy-Baillon
2104 - La femme soumise brille comme une casserole
2103 - Les chouettes de Clinchamp
2102 - Quand la tempête s’abat sur Clinchamp...
2101 - L’aile et la pierre
2100 - Mes amis les maudits
2099 - Le brouillard de Clinchamp
2098 - Artiste de gauche
2097 - L’éternité dans la tête
2096 - Toussaint à Clinchamp
2095 - Chagrin échappé
2094 - Clinchamp-sur-Mystère
2093 - Les cafards
2092 - Loup des airs
2091 - Le loup de Clinchamp
2090 - En latin, c’est plus beau !
2089 - Les patates de Clinchamp
2088 - L’enfant des airs
2087 - Ciel de France
2086 - Thaïs d’Escufon
2085 - Les tomates de Clinchamp
2084 - Jérôme Bourbon
2083 - Les chats de Clinchamp
2082 - Poupée d’ailleurs
2081 - Pierre de feu
2080 - Les champs de Clinchamp
2079 - L’éclosion
2078 - Vacuité des bouquinistes
2077 - Les toits
2076 - Freud
2075 - Sport
2074 - Le simplet de Clinchamp
2073 - Les oiseaux de Clinchamp
2072 - Je ne suis pas cartésien
2071 - Au cimetière de Clinchamp
2070 - Le Panthéon pour Hugo, l’évasion pour Izarra
2069 - Les rats de la France
2068 - Le curé de Clinchamp
2067 - Mon trou à Clinchamp
2066 - Saint-Léonard-des-Bois
2065 - Les cloches de Clinchamp
2064 - Un épouvantail à Clinchamp
2063 - Les rêves de Clinchamp
2062 - Je suis raciste
2061 - L’injustice sociale ne me choque pas
2060 - Les femmes de Clinchamp
2059 - Les jours vides de Clinchamp
2058 - Une grand-mère
2057 - Clinchamp vers 1970
2056 - La femme de soixante ans
2055 - Sale temps à Clinchamp
2054 - Un grand voyage en forêt
2053 - L’ailé et l’aliéné
2052 - Souvenirs lointains
2051 - Domestication d’une greluche
2050 - Déprime à Clinchamp
2049 - L’amour à Clinchamp
2048 - Les Droits de l'Homme, c'est la négation de l'homme !
2047 - Les hivers de Clinchamp
2046 - Les chemins de Clinchamp
2045 - Seul au monde
2044 - Ne me parlez pas d’amour
2043 - Tristesse de l’été
2042 - Jour de fête à Clinchamp
2041 - Monsieur Lecon
2040 - Châtelain
2039 - Les ailes de Clinchamp
2038 - Tremblement de terre
2037 - Nuit d’amour
2036 - Pluie de joie à Clinchamp
2035 - Les gauchistes
2034 - Clinchamp sous les clartés lunaires
2033 - Henri d’Anselme, héros hétéro rétro
2032 - Les hirondelles
2031 - Retraite dans la forêt
2030 - Mon bosquet
2029 - L’or de Clinchamp
2028 - Sur le chemin
2027 - La souche
2026 - Clinchamp, ce voyage sans fin
2025 - Sardines à l’huile
2024 - Les fantômes
2023 - Le silence de la forêt
2022 - Les arbres
2021 - Les joies de Clinchamp
2020 - La merde républicaine
2019 - Les ailés
2018 - Les soirées de Clinchamp
2017 - Parasite
2016 - Clinchamp, les routes de l’ennui
2015 - Moi français, je déteste les migrants !
2014 - Répugnante
2013 - Les complotistes
2012 - Je déteste les livres de philosophie !
2011 - Le bossu de Clinchamp
2010 - La lumière de Clinchamp
2009 - Les crépuscules de Clinchamp
2008 - Les nuits à Clinchamp
2007 - Les aubes de Clinchamp
2006 - Je suis un oiseau à Clinchamp
2005 - Les rats de Clinchamp
2004 - Les papillons de Clinchamp
2003 - Les richesses de la normalité
2002 - Le Rimbaud des bobos
2001 - Les vaches de Clinchamp
2000 - La folle de Clinchamp
1999 - Mon ego solaire
1998 - Vague Lune
1997 - Ma cabane à Clinchamp
1996 - Moi, IZARRA
1995 - Mais qui donc est Dardinel ?
1994 - La Dame Blanche de Clinchamp
1993 - Le Dalaï-Lama
1992 - Pluie à Clinchamp
1991 - Je suis sexiste
1990 - Les flammes du printemps
1989 - Le rustaud de Clinchamp
1988 - Les larmes d’Amsterdam
1987 - Clinchamp, terre d’envol
1986 - La Joconde de Clinchamp
1985 - Face cachée de Clinchamp
1984 - La clocharde de Clinchamp
1983 - Je suis un extraterrestre
1982 - Clinchamp sous les éclats de novembre
1981 - Clinchamp au bord des larmes
1980 - Les fantômes de Clinchamp
1979 - Les pissenlits de Clinchamp
1978 - Clinchamp : fin et commencement de tout
1977 - Amsterdam
1976 - J’habite sur la Lune
1975 - Secret de Lune
1974 - Les ailes de la Lune
1973 - Voir Clinchamp et sourire
1972 - La pierre et l’éther
1971 - Clinchamp, au bonheur des larmes
1970 - Clinchamp, mon dernier refuge
1969 - Croissant de Lune
1968 - Mais d’où vient donc la Lune ?
1967 - Lune lointaine
1966 - Lune éternelle
1965 - Sandrine, notre voisine
1964 - Rêve de Lune
1963 - Lune des rêves
1962 - La Lune dans le bleu
1961 - Lune ultime
1960 - Les tourmentés
1959 - Clinchamp, paradis des ombres
1958 - Lune absente
1957 - Je raffole des commérages !
1956 - Clinchamp : royaume des humbles
1955 - La Dame dans le ciel
1954 - Palmade : de la gloire au gouffre
1953 - Evasion
1952 - Tatouages, ces marques de faiblesse
1951 - L’égalité est un enfer !
1950 - Repas sur l’herbe à Clinchamp
1949 - Escale à Clinchamp
1948 - Beauté morbide de la Lune
1947 - J’ai dormi dehors à Clinchamp
1946 - Les humanitaires sont des parasites !
1945 - Sur les routes de Clinchamp
1944 - Une année à Clinchamp
1943 - Tristesse du printemps
1942 - Bulle de Terre
1941 - Jour de joie à Clinchamp
1940 - L’inconnu de Clinchamp
1939 - Le ciel de Clinchamp
1938 - Les éclats de Clinchamp
1937 - Le voyageur
1936 - Fête triste
1935 - Les antiracistes
1934 - Jean Messiha
1933 - Coeur gelé
1932 - Romantisme de pierre
1931 - La femme est sous mes pieds
1930 - Burcu Güneş, un air léger
1929 - Je déteste les pauvres !
1928 - Quand mon coeur s’allume
1927 - Intègre, entier, râpeux
1926 - Le cheval
1925 - Homme mauvais
1924 - Un trou sous le ciel
1923 - Hauteur de la Lune
1922 - Nulle part, là-bas, ailleurs
1921 - Belle Lune
1920 - Salades lunaires
1919 - Lettre à Reynouard
1918 - MARGUERITE OU L’HISTOIRE D’UNE VIEILLE FILLE
1917 - Récoltes lunaires
1916 - Je suis français de souche
1915 - Lune mortuaire
1914 - Clinchamp, cité des oubliés
1913 - Clinchamp, l’air de rien
1912 - Clinchamp, sommet du monde
1911 - La pollution, c’est la vie !
1910 - Seule au monde ?
1909 - Le Ciel et la Terre
1908 - Lune de haut vol
1907 - La Lune s’allume
1906 - Nuit sombre
1905 - Soupe de Lune
1904 - Puretés raciales
1903 - Lune-pizza
1902 - La grande question
1901 - Amiens
1900 - Pleur de Lune
1899 - Rêve d’amour
1898 - Vive le patriarcat !
1897 - La libellule
1896 - L’eau qui m’éclaire
1895 - Une question de clarté
1894 - La Lune dort
1893 - Les artifices du spirituel
1892 - Lune normale
1891 - Ni chauffage ni travail
1890 - Lune de fer
1889 - Molle Lune
1888 - Insensible aux malheurs des autres
1887 - Mon visage de vérité
1886 - Amante russe
1885 - J’écris
1884 - Lune martiale
1883 - Je suis un incapable
1882 - Lune creuse
1881 - 1975
1880 - L’éclat d’un fard
1879 - Amour impossible
1878 - Femme au foyer
1877 - L’esprit de la Lune
1876 - Ingérence féministe
1875 - Cratères lunaires
1874 - Lune d’effroi
1873 - Lune des chats
1872 - Les athées
1871 - Lune d’or
1870 - Lune carrée
1869 - Lune de miel
1868 - Folle lune
1867 - Jour de joie
1866 - SMARPHONES : abrutissement des masses
1865 - Sombre lune
1864 - Les mouches
1863 - Ma vie simple
1862 - Clinchamp, terre lointaine
1861 - Je suis un conservateur
1860 - Lune de glace
1859 - Le lac
1858 - Qu’est-ce que la beauté ?
1857 - Lune blanche
1856 - Lune de mer
1855 - Lune de feu
1854 - Présence immortelle
1853 - Surprenante Lune !
1852 - L’éclat de la Lune
1851 - Epis lunaires
1850 - L’autre Lune
1849 - L’amie des cheminées
1848 - Lune morte
1847 - Lune Parmentier
1846 - Lune fatale
1845 - Amour céleste
1844 - Grâces et disgrâces
1843 - Ma maison, c'est la Lune
1842 - Poids de la Lune
1841 - La morte visiteuse
1840 - Ma cabane sous la Lune
1839 - Bleu ciel
1838 - Histoire de lune
1837 - Suc de Turque
1836 - Stéphane Blet
1835 - Ciel bleu
1834 - Bonheur de rat
1833 - Redneck
1832 - Sur le rivage
1831 - Attraction lunaire
1830 - Je suis anti-féministe radical
1829 - Mais qui est-il ?
1828 - Je veux des frontières !
1827 - Les francs-maçons
1826 - Folies lunaires
1825 - Alunir, en un mot
1824 - “Comme ils disent”, chanson d’Aznavour
1823 - Lune tiède
1822 - Globe de rêve
1821 - Effroi
1820 - Vangelis
1819 - L’air de la Lune
1818 - La campagne
1817 - Lune tombale
1816 - Les cailloux
1815 - Je déteste Paris !
1814 - Boules de neige
1813 - Je n’ai pas peur
1812 - Parler vrai
1811 - Les hommes simples
1810 - Quand la Lune panse
1809 - Régine : extinction d’un feu
1808 - Morte veilleuse
1807 - Coeur de pierre
1806 - Noir
1805 - Mystère de la Lune
1804 - Jackson Pollock
1803 - En pleine lumière
1802 - Harmonie des sexes
1801 - Dix ans dans l’azur
1800 - Pluie d’avril
1799 - Le gueux
1798 - Les pommes de pin
1797 - Voyage vers la Lune
1796 - Mystère d’une nuit
1795 - Une lumière turque
1794 - Sans coeur et avec écorce
1793 - Envolé !
1792 - Galante ou l’abcès crevé
1791 - La lumière du Bosphore
1790 - Claude Monet
1789 - Rat aristocrate
1788 - Ukraine : sortez de vos ornières mentales !
1787 - Tranche de ciel et plumes de la Terre
1786 - Les sots écolos
1785 - L’astre turc
1784 - L’Ukraine, je m’en fous totalement !
1783 - Vive la guerre !
1782 - Réponses à un coatch
1781 - Droite pure
1780 - Vains hypersensibles
1779 - Mes valeurs vives
1778 - Le secret
1777 - Force et lumière
1776 - De l’herbe à l’aiguillon
1775 - Jusqu’à la mort
1774 - Zemmour et les journalistes de gauche
1773 - Dur et juste
1772 - La flamme et le marbre
1771 - Mon chat est mort
1770 - Les frères Bogdanoff
1769 - J’ai rêvé de Natacha
1768 - Technologie
1767 - Vers la Lune
1766 - C’était la guerre
1765 - La “tondue de Chartres”
1764 - Dans le métro
1763 - Naissance d’un virus
1762 - Zemmour est-il un de Gaulle ?
1761 - Je suis grand
1760 - Jour de gloire
1758 - Une muse du Bosphore
1758 - Je suis un extrémiste
1757 - Les éoliennes
1756 - Femme terminale
1755 - Autoportrait
1754 - Je suis un sanglier
1753 - Faux fou
1752 - Les affaires
1751 - Octobre
1750 - Le fantôme
1749 - Les écrivains
1748 - Sauvez la France !
1747 - Mes sentiments de pierre
1746 - Une araignée raconte
1745 - Un coeur clair
1744 - Phallocrate
1743 - Les vaches
1742 - Les faibles sont mauvais
1741 - Les sans-visage
1740 - Le trouillard de gauche
1739 - Léonard de Vinci enfant
1738 - Mes froideurs sublimes
1737 - Le romantisme, c’est la décadence
1736 - La Joconde
1735 - La tour Eiffel
1734 - Le Soleil
1733 - Une boule de mystère
1732 - Les masqués
1731 - Burcu Günes, l’or turc
1730 - Léa Désandre
1729 - Le père Dédé
1728 - “Blanc lumière” de Pollock
1727 - Les kikis et les cocos
1726 - Les funérailles de Belmondo
1725 - Pôle Sud
1724 - Vierge au mariage
1723 - La forêt
1722 - Le réveil des clochers
1721 - En septembre
1720 - Extraterrestre
1719 - Ni cagoule ni sérum
1718 - L’astre des morts
1717 - L’idéaliste
1716 - Un ange noir pour les Blancs ?
1715 - Trois heures du matin
1714 - Dur et vivant
1713 - Homme des bois
1712 - De flamme et de sang
1711 - Mes bas potentiels
1710 - Je suis un anti-progressiste
1709 - Eléonore et les Noirs
1708 - Eléonore et les Juifs
1707 - Une française
1706 - Femme d’idées
1705 - Joie de vivre
1704 - Auteur de rêves
1703 - Raison féminine
1702 - Vieillard
1701 - Face de France
1700 - 1789
1699 - Adieu, France
1698 - Célibataire
1697 - L’envers vert
1696 - Avant la chute
1695 - L’aube d’Ève
1694 - Amour raté
1693 - À vue d’homme
1692 - Le loup et l’agnelle
1691 - Têtes à corps
1690 - Trêve de la nuit
1689 - L’été
1688 - L’hiver
1687 - Les âmes de la forêt
1686 - Enfin libre !
1685 - Je vis sans masque
1684 - Enfants du monde
1328 - Je suis apolitique
115 - Le cygne
114 - Le spleen de Warloy-Baillon
113 - Les visiteurs
112 - La Lune
111 - L’amant des laides
110 - Mémoires d’un libertin
109 - Une existence de pompiste
108 - Lettre à mes amis des listes sur Internet