mercredi 8 janvier 2014

1033 - Des tranchées jusqu'au "mariage pour tous"

Je n’aime ni glorifier les guerres ni déifier ceux qui les font, qu’ils soient perdants ou vainqueurs, coupables ou victimes, méprisables ou héroïques.

Je ne voue aucun culte martial et suis plus prompt à dénoncer les méfaits de la guerre qu'à glorifier leurs ignobles artifices.

Je trouve tristes et lamentables les monuments aux morts.

Cependant, voyez-vous, je prends le temps d’aller y lire les noms des soldats de la “14” sur les places de nos villages. Et je m’attarde plus volontiers sur les listes des morts gravées sur les plaques commémoratives se ternissant dans le silence des églises et l’indifférence du monde moderne.

Car même si je méprise les conflits et leurs complices humbles ou puissants qui de gré ou de force y participent, il y a des choses que je respecte et devant lesquelles je préfère me recueillir en laissant de côté mes combats intérieurs : des souffrances révolues, dans des batailles perdues ou gagnées peu importe, événements essentiels qui je crois méritent des prières au lieu d’outrages, que ce soit ici chez nous en France ou là-bas chez ceux qui furent nos ennemis, sur Terre où brille le soleil comme partout ailleurs s’il le fallait.

Je m’attarde sur chaque prénom. Emile... Auguste... Octave... Firmin... Des prénoms désuets d’un siècle révolu, d’un autre monde que le nôtre mais de la même humanité pourtant. Des hommes qui grandirent en pleine lumière, à vingt ans s’enflammèrent pour un premier amour, pour certains pleurèrent de l’avoir bientôt perdu, puis la guerre venant, tremblèrent sous la mitraille, espérèrent sous les étoiles, enfin tombèrent.

Avec pour pensée ultime le visage de l’aimée. Alors le mot final de ces pauvres soldats n’était qu’un cri d’amour. Parfois des jurons signaient leur dernier souffle, à l’image de la guerre : baroque, absurde, exaltante, hideuse. Beaucoup appelaient leur mère car ils étaient encore jeunes ces Eugène, ces Emile, ces Octave...

Ou bien s’éteignirent en silence avec d’autres secrets dans le coeur, nul ne saura lesquels.

Et moi en me figurant tout cela face à ces plaques commémoratives gisant dans la pénombre des églises dont j’égrène les noms, je songe à ces élus mariant des homosexuels dans leur mairie et je me demande si devant les noms de ces morts de la Grande Guerre, devant ces Octave, devant ces Emile, devant ces Eugène tués il y a certes un siècle de temps mais pourtant si proches dans nos mémoires, ils oseraient encore unir deux hommes, là, sans déshonneur, sans éprouver de culpabilité, sans ressentir de malaise, la tête haute, le regard franc, le front droit...

Et je pleure. Et je prononce en silence les noms de ces Auguste, de ces Octave de ces Louis, de ces Firmin, de ces Ernest, de tous ces soldats perforés par le fer des obus, ensevelis dans les tranchées, ces noms démodés qui trônent dans la poussière du fond des églises, sur les places des villages, dans les salles de mairies enfin, ces noms gravés que pas un maire ayant légalisé des mariages homosexuels n’a pu, secrètement rongé par la honte j’en suis persuadé, braver d’un seul regard.

VOIR LA VIDEO :

https://rutube.ru/video/fcc92db5f413382031a812d016fb8f98/

40 commentaires:

Anonyme a dit…

Parler des braves de la 1ère guerre mondiale et en profiter pour passer des messages haineux démontre un esprit ordurier de la plus pure espèce.
J'en ai que faire du mariage pour tous, c'est un faux débat. Mais c'est une honte. Vous salissez leur mémoire de ceux qui se sont battu.
Ordure! Démago de bas étage! Prête de la stupidité!

Unknown a dit…
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
Unknown a dit…

Anonyme,

Parce qu'avec votre anonymat et vos injures faciles qui en résultent vous pensez faire honneur à ces noms publics que j'évoque ?

Et puis, êtes-vous dans le secret de mon cœur pour savoir ce qu'il en retourne ?

Retournez donc à votre courageux anonymat et taisez-vous définitivement, vous n'avez aucune leçon de morale et de courage à me donner.

D'ailleurs le vrai courage ne consiste nullement à honorer de manière populiste et annuelle ce crime que fut la Première Guerre Mondiale mais de la dénoncer.

Je ne voue aucun culte à la guerre et surtout pas à cette particulière saloperie que fut celle de 14-18.

Retournez vous enterrer dans votre médiocrité dupontesque, vous n'avez pas droit à la parole dans ce monde des beaux esprits que l'incarne et qui refusent de braire avec le reste du troupeau d'abattoir.

Raphaël Zacharie de IZARRA

S a dit…

Bouffon au masque vertueux

Simone a dit…

Vous faites appel à la mémoire et au recueil pour faire passer des messages de haine.
La démarche intellectuelle est bien sournoise.
C'est très grave!
Si l'enfer existe, vous y brûlerez certainement, et longtemps.
Triste personnage...

J-C a dit…

As-tu un message homophobe ou raciste à passer pour commenter l'accident de M. SCHUMACHER?

Unknown a dit…

Simone,

Dans cette société d'eunuques et de moutons on ne peut plus rien dire. Moi j'ose l'ouvrir, c'est bien ce que les censeurs et frileux de votre espèce me reprochent. Mais vous ne me censurerez pas, ni vous ni les victimes des guerres que vous nommez "braves".

Les victimes des guerres (et je ne dis pas les "braves" mais bien les victimes) sont faites pour être exploitées, utilisées, voire disséquées afin d'édifier les vivants ruminants tout comme les guerres sont faites pour massacrer les masses sans scrupule ni état d'âme.

Vous croyez peut-être que vos meneurs cyniques respectent leurs troupeaux qu'ils mènent à l'abattoir ?

Moi je suis né pour l'ouvrir, pas pour la fermer.

Honte aux censeurs et faiseurs de guerres !

Raphaël Zacharie de IZARRA

Unknown a dit…
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
Unknown a dit…

Oui j'ai un message homophobe et raciste pour M. SCHUMACHER :

NON AU MARIAGE POUR TOUS ET VIVE
LA LIBERTÉ D'EXPRESSION !

Salauds de censeurs, fumiers de DUPONTS, ordures de travailleurs !

Raphaël Zacharie de IZARRA

Unknown a dit…

Simone,

Vous appelez MESSAGES DE HAINE la saine critique, preuve de l'interprétation victimaire des lobbys féministes et homosexuels !

Dés qu'on critique l'homosexualité, sottement on qualifie cela de HAINE de manière à avorter tout échange, toute progression de la pensée. Vous réduisez les anti-mariage homosexuel à des homophobes, ce qui est malhonnête, déloyal.

Vous criminalisez artificiellement les honnêtes gens sains d'esprit et cela qui est vicieux et moralement condamnable.

Raphaël Zacharie de IZARRA

Raphaël Zacharie de IZARRA a dit…

On m'a reproché d'exploiter de manière bassement populiste les morts de la "14" pour servir ma cause anti mariage homosexuel, je précise donc ceci : d'une part je ne voue aucun culte patriotique ou martial à cette guerre ni à leurs victimes (je suis un vrai antimilitariste), d'autre part ma démarche est sincère et noble, elle n'est nullement inspirée par la haine des homosexuels ou par le désir de réveiller les morts pour leur faire porter un chapeau indécent.

Raphaël Zacharie de IZARRA

fred a dit…

Une petite pensée homophobe et raciste pour les victimes de l'ouragan aux Philipines, svp?
Au fait tu as effacé un "DU CON" qui t'étais adressé.
Vilain petit censeur populiste

fred a dit…

Et les Emile, Auguste, Octave, Eugène et Firmin t'auraient sûrement envoyé te faire voir ailleurs, alors ne parle pas en leur nom.

Petit Pierre a dit…

Les morts de 14-18 ont cela en commun avec les gays qu'ils sont tous les deux les pigeons utiles des dirigeants qui méprisent le peuple sournoisement, l'air de rien, à la 'Hollande'.

Petit Pierre a dit…

à la 'Hollande', à la 'Obama', à la 'dans votre cul bande de pédés'.

Raphaël Zacharie de IZARRA a dit…

Je m'appelle Eugène Bertrand, ancien de la "14".

Dans les tranchées, j'ai bouffé de la boue, avalé du jus de balle, bu des obus, dormi sur des matelas de morts, tous avariés, crevés, troués. J'ai embroché du Boche surtout. J'avais vingt ans. C'était pas des vacances. Fallait y aller quand même, c'était pour la France. La France... Un foutu pays qui rime avec souffrance. J'y suis allé dans les tranchées, vu qu'y avait une chose que je respectais plus que tout quand j'avais vingt ans : le canon qu'était sous ma tempe.

Je lui ai donné ma gueule de vingt piges à la France. Regardez-moi bien en face, regardez-moi droit devant parce qu'une tête de cochon pareille, j'ai plus de cent ans, une tête comme ça vous n'en reverrez plus. Pis c'est tant mieux. La France elle m'a bien cassé la gueule. La putain, la salope ! J'ai plus de cent ans, je peux bien le dire maintenant, hein ?

Vous les ordures décorées, vous les anonymes petits patriotes, vous les enfants de cette pourriture tricolore, vous les fils de cette crevure aux sillons abreuvés de fumure républicaine, regardez-la bien ma gueule de poilu, parce qu'elle vous dit bien MERDE.

Elle vous dit merde depuis plus de quatre-vingts ans, vingt-quatre heure sur vingt-quatre. Défigurée comme elle est, qu’est-ce que vous voulez qu'elle vous dise d'autre ma gueule de vieux poilu "radoteux" ? Ca fait plus de quatre-vingts ans que je fais la grimace, vous trouvez ça normal vous ?

En récompense elle m'a chié une médaille la France. Vous croyez que ça m'a rendu plus beau à voir ?

Regardez-moi en face vous les "empatrioteurs" de tranchées. Regardez-moi en face vous les statues verdies des squares, héros de bronze de la "14", regardez-moi bien en face vous les idoles de pierre qui portez armes avec élégance... Vous tous pour qui la plus belle de toutes les femmes se nomme "France" et qui n'est en vérité que la reine des putains, regardez-moi avant que je ne sois bientôt rendu dans la patrie des damnés de la République.

J'avais vingt ans, dans les tranchées vous avez brisé le ciel, brisé un visage, brisé une âme.

Raphaël Zacharie de IZARRA a dit…

L'envers de Verdun

Aujourd'hui on fête ses cent ans. C'est un rescapé de Verdun, un grand blessé de guerre. Après la "14", il s'est mis à baver dans sa soupe. Il venait d'avoir vingt ans, dont deux passés dans les tranchées.

La guerre finie, gagnée, réglée, il a bénéficié des plus grands égards de la part de la République. Ca n'a pas empêché qu'à vingt ans il faisait peur aux enfants, peur aux filles, peur à lui-même. Et même au Diable, dit-on.

Après sa "14", il a toujours inspiré pitié, dégoût, reconnaissance. Quelque chose du respect et de la terreur mêlés : depuis son retour des tranchées, on lui parle rarement en face. De fait, il est demeuré solitaire, vieux garçon, privé de tendresse humaine. Pas une caresse de femme, jamais. Seule la Patrie reconnaissante lui accorde ses faveurs austères, une fois par an. Il n'y a guère que la Sainte Vierge des églises qui n'a jamais détourné le regard de sa face de héros.

Aux réjouissances organisées à l'occasion de son centenaire, il a reçu les honneurs de la République qui, quatre-vingts ans après, à travers le jeune maire un peu émotif a préféré elle aussi ne pas regarder en face son cher enfant... Ca fait longtemps qu'il n'attend plus rien de ce monde. Depuis la fin de la "14" il est dans sa prison mnésique, radotant inlassablement sa guerre.

Poliment incompris.

Et lorsque parfois, l'oeil humide, la rage au coeur, le poing tremblant il crache sur le drapeau de la Patrie, insulte les Couleurs, reproche aux hommes leur folie meurtrière, on fait semblant de croire que les tranchées lui ont fêlé la raison. La vérité non plus, on n'aime guère la regarder en face.

Pour ses cent ans, il peut bien se permettre de gâcher la fête. Qu'a-t-il à perdre lui qui dès l'âge de vingt ans avait déjà tout perdu ? Las de la mascarade humaine, il préfère cracher sur le drapeau, foutre son pied au cul de la Patrie, maudire ses médailles. Officiellement cette fois : devant Monsieur le maire qui s'est marié, en face de ces rendeurs d'hommages sans dommages, sous les ors de la République au regard oblique.

Ces regards, toujours... Déviés, gênés, crispés. Quatre-vingts ans que ça dure. Être obligé à vingt ans de manger seul sa soupe parce qu'on dégoûte les autres, faut le vivre ! Et baver dedans parce qu'on ne peut pas faire autrement, n'est-ce pas une misère ?

Ont-ils enfin osé regarder en face l'ancien des tranchées, le blasphémateur de la "14" déshonorant le Monument aux Morts le jour de ses cents ans ? Moins que jamais.

Après les tranchées, après une existence misérable, solitaire, honteuse passée sur Terre à voir des regards de côté, il fallait bien leur dire à eux qui rendent si facilement hommage ce que c'était que d'être, durant quatre-vingts années, dans la peau d'une maudite, d'une foutue, d'une satanée "Gueule Cassée".

fred a dit…

Tu prends les Dupont pour des cons pour ne pas croire à tes imbécilités mais tu espères que les Lambert le soit assez pour avaler tes couleuvres.

On ne brandit pas une lettre d'un soldat gratuitement, comme ça, pour appuyer un propos qui n'a rien à voir; arrête de noyer le poisson dans l'eau.

Tu utilises clairement le prétexte de la mémoire de la guerre pour faire passer des messages de haine.

Tu es une couille bien molle.

Raphaël Zacharie de IZARRA a dit…

Fred,

Pour vous être contre le mariage pour tous c'est être homophobe, haineux ?

C'est bien court comme raisonnement.

A-t-on encore le droit de ne pas être d'accord avec les lobbys homosexuels en France aujourd'hui ou bien est-on obligé d'accepter tous leurs délires et perversités contre nature sans broncher sous peine de passer pour haineux, dites-moi ?

Au contraire je suis très courageux d'oser dénoncer seul contre tous cette ignominie que constitue le du mariage pour tous ainsi que la guerre que certains irresponsables de votre espèce aiment à sacraliser, chanter, glorifier, et cela pour le plus grand bien de l'Humanité, cela va sans dire...

Raphaël Zacharie de IZARRA

agathe a dit…

Ton blog est très comique, c'est presque guignolesque tant c'est un ramassis d'absurdités.
Il y a les bonnes ou tu parles de choses simples de façon burlesque et les mauvaises où comme ici tu profites d'un sujet grave pour glisser ta touche "personnel".
Bien sûr tu n'as pas le talent d'un Céline, c'est-à-dire bon mais une grosse ordure.

A force de répéter des conneries, on y croit dur comme fer.
Désolé d'utilisé des raccourcis aussi facile que les tiens mais pour Hitler, la haine des juifs était une "normalité" et de "non haineuse", tout comme ton homophobie. Tu es pire que l'homophobe primaire car tu penses que c'est normal. Tu es sournois.
Affirmer qu'il y a un lobby homo relève de la pur théorie du complot. C'est l'apanage de l'esprit faible.
Observe la nature avant de juger ce qui est de nature ou de contre-nature.

La réflexion intellectuelle est un peu faible; manque de connaissance sur son sujet.

Heureusement que tes pensées sont comme la plaie, le temps se chargera de les cicatriser et de les faire peu à peu disparaître; avec toi.

Raphaël Zacharie de IZARRA a dit…

Agathe,

Ce n’est pas lorsque je dis des énormités que mes vidéos choquent le plus certains esprits tordus mais quand je dis des banalités :

http://www.brain-magazine.fr/article/page-pute/14820-Femmes,-blotissez-vous-contre-vos-maitres-car-ils-sont-virils,-puissants-et-intelligents

Raphaël Zacharie de IZARRA

Raphaël Zacharie de IZARRA a dit…

Agathe,

J'ajoute que les morts de la "14", mais pas exclusivement ceux-là, également tous les autres, amis ou ennemis, sont précisément faits pour être pris à parti dans nos débats contemporains.

C'est exactement le rôle des morts que de donner tort ou raison aux vivants.

Nu n'a le monopole du silence de ces morts.

Un mort français n'est pas plus respectable qu'un mort allemand, un mort chinois ou un mort apatride.

Et la chose la moins respectable au monde c'est la guerre qui fait s'entretuer -pour des bagatelles politiques, des futilités ou des énormités de bêtise- les hommes de la Terre dont on m'a pourtant dit qu'ils étaient tous frères.

Aucune guerre n'est respectable et celle de la "14" encore moins que les autres.

Raphaël Zacharie de IZARRA

Unknown a dit…

C'est vrai, tout comme un mort n'est en rien plus respectable ou plus intéressant qu'un vivant....

Anonyme a dit…

Pensées consanguines

Anonyme a dit…

Ah c'est beau la démagogie!

Anonyme a dit…

Pour parler des disparus de la tempête à Biarritz, tu n'aurais pas une petite phrase homophobe à placer?

Anonyme a dit…

Pour parler des disparus de la tempête à Biarritz, tu n'aurais pas une petite phrase homophobe à placer?

Anonyme a dit…

XXIème siècle on gars!

jean a dit…

Dis donc, tu es un peu susceptible pour quelqu'un qui suce la bite à Antoine Daniel et "qui à le sens de l'humour très très développé, surtout s'il s'agit de se moquer" de toutes les saloperies que tu racontes.
http://www.youtube.com/watch?v=NBySmTisN4w

Raphaël Zacharie de IZARRA a dit…

La paix des burnes :

http://www.dailymotion.com/video/x19g0aj_la-paix-des-burnes-raphael-zacharie-de-izarra_news

Raphaël Zacharie de IZARRA

Jean-Yves a dit…

Ah…
Ceci explique donc cela…
SINCEREMENT DÉSOLÉ MON GARS.
Je fais mon mea culpa car ce n'est pas bien de se moquer des handicapés…

MAIS MON DIEU!! TOUT EST LIÉ!!!!

A défaut de pouvoir donner de l'amour, tu le prends! Sans couilles, tu ne bandes pas et ta femme (s'il y en a une) se désintéresse de toi car tu es incapable de subvenir à ton devoir conjugale. Mais bien sûr, tu n'es pas un animal et tu as quand même besoin de plaisirs sexuels. Et les seuls personnes capables de te donner du plaisir sont des hommes.
Je comprends mieux pourquoi tu fais tant de sujet sur l'homosexualité. C'est comme un brame du cerf; tu appelles le partenaire sexuel. Tu n'es pas homophobe mais complètement homophile.
C'est un habile stratagème: tu prouves à tes proches en criant à la France (ou la Sarthe, ou au Mans, ou juste à ta rue) que les hommes te dégoute; tout approchant l'homme tant convoité.
Affublé d'une personnalité machiste primaire ordurier; doublé d'un gros connard dégénéré; et triplé d'un pète sec sournois et démago, TU INTERPELES les homosexuels et ça crée un premier contact pour ensuite tomber le masque.
CAR SOUS TA CARAPACE DE GROS DUR, TU ES DOUX COMME UN AGNEAU.
Ta vidéo où tu baisses ton froc à Antoine DANIEL est une sorte de métaphore.

CHAPEAU BAS.
Tu es un gros coquin mais ton secret est découvert.
Vilain petit eunuque lubrique va!

Attention quand même car ton infection des testicules a dû se propager un peu dans le cerveau avant leur ablation.

Raphaël Zacharie de IZARRA a dit…

Jean-Yves,

C'est très bien vu ! Comme tous les anti mariage homosexuels, je suis un homosexuel refoulé; Et obsédé sexuel, cela va de pair avec mon homosexualité refoulée.

Bref, je ne rêve que de recevoir des bites dans le cul. Comment le cacher à présent ?

Et accessoirement me prostituer dans des bois mal-famés. La panacée.

En plein dans le mille en tout cas, et pour cela je vous dis bravo !

A présent que vous m'avez démasqué, je vais donc me reconvertir dans la promotion de l'homosexualité.

On se fait un petit rendez-vous dans une back-room ?

Raphaël Zacharie de IZARRA

Raphaël Zacharie de IZARRA a dit…

Jean-Yves,

J'ajoute que je n'ai effectivement pas de femme, j'ai toujours vécu seul en bavant d'envie devant des gros mâles.

Non mais franchement vous me voyez avec une femme ? Quelle plaisanterie !

Avec un gros moustachu, ha ça oui plutôt ! Le pied !

Raphaël Zacharie de IZARRA

Liliana Dumitru a dit…


JESUS MARIE JOSEPH!!!!
PAR TOUS LES SAINTS!!!!
IZARRA, MON AMOUR, JE SUIS SCANDALISÉE.

Anonyme a dit…

Bonjour,je voudrais vous Félicité
Pour votre talent,(et vos vidéos).
J’étais passé sur votre blog
il y a quelque mois
disant que j'étais
un jeune homme (20ène)
issu de l'immigration(afrique)
et née en france ect.

Vos vidéos font du bien
elles sont uniques.
Pour moi vous êtes comme Molière,Shakespeare,Mozart;
se genre de gens.

Bonne après-midi

Dimitri LULU-ANNA a dit…

Bonjour Raphaël,
J'ai 60 ans et je trouve que vous êtes
un gros bouffon rétrograde du niveau intellectuelle de la blague carambar.

Dimitri LULU-ANNA a dit…

Oué tu m'as bien entendu IZARRA de merde,
MESIRABLE GROS CONNARD MEPRISABLE ET RETROGRADE

Raphaël Zacharie de IZARRA a dit…

A mes humbles admirateurs,

Vous pourriez constater que IZARRA le superbe, est également atteint d'une melonoïde aigue.
Il s'agit, à l'instar des hemoroïdes, d'un vaisseau sanguin infecté dans le cerveau qui prend la forme d'un melon énorme ne laissant que très peu de place à des fonctions basique de l'intellect. Le melon izarrien bouffe littéralement les zones du langage, de l'égo, du jugement et notamment de la tolérance. Comme Elephant Man, IZARRA est une resplendissante et fascinante bizarrerie de Mère Nature.

Mais que les fidèles minions mongoloïdes d'Izarranus ne s'inquiète pas, ce n'est pas mortel et ses fonctions psychomotrices fonctionnent parfaitement. Le grand IZARRA vous invite à venir le voir ce weekend en la Cathédrale Saint Julien. Il y chantera et y jouera des cloches ficelées à ces couilles tombantes une interprétation très personnelle de «Jingle Bells ». S'il-vous-plait, ne jalousez pas ses formidables talents. Profitez en plutôt pour venir lui jeter quelques menues monnaies.

Oui ! Il eut craché son venin pour un peu de reconnaissance et faire parler de lui ; espérant être écouté ; que sa voix fut devenu Une voix. Après son âme et sa dignité, le sublime et fabuleux IZARRA est maintenant prêt à tout ! Même vendre son corps, tel la pute, pour que son éclatant génie ne puisse rester dans l'ombre.
Vous, jaloux Anonymes ; accepter que vos analyses sont justes lui donnent des diarrhées explosives.
L'exceptionnel IZARRA n'entend que les mots qui sortent de sa bouche !
RECONNAISSANCE !!!

Raphaël Zacharie de IZARRA, le VRAI, l'UNIQUE, le SEUL ; seul, tout seul, tellement seul...

Raphaël Zacharie de IZARRA a dit…

Au faux IZARRA,

Au lieu de dire des sottises, allez plutôt vous rafraîchir le le coeur et le cerveau sur mon nouveau blog consacré à mes souvenirs de WARLOY-BAILLON !

Et faites-moi une généreuse publicité, bonne ou mauvaise peu importe pourvu que vous en parliez sur le NET et autour de vous.

Mes souvenirs de Warloy-Baillon :

http://80300.blogspot.fr/

Ombres et lumières de mon enfance passée à Warloy-Baillon

http://80300.blogspot.fr/

Raphaël Zacharie de IZARRA

Anonyme a dit…

"Votre Super-U vous propose de participer à la journée de la solidarité : une omelette de l'amour achetée = un enfant africain handicapé maltraité sauvé ! Et pour l'achat d'un t-shirt de 10 euros l'unité : 3 enfants handicapés, estropiés, violés brûlés, consanguins, unijambistes, maltraités,déformés, trisomiques, roux et obèses sauvés !"

Tu veux de la merde espèce de Pd, enculé, connard, charogne ! Tiens, je t'adresse ce bras d'honneur !

Chez moi j'ai des ânes qui font meuh et des chats qui font bêêêh, mon chien crache à la gueule des taureaux qui bandent comme des éléphants.

Bonne journée Raphaël Zacharie de IZARRA (30 vues : le record !)

Liste des textes

2150 - Voyage vers Mars
2149 - Galaxies
2148 - Je suis de la droite honteuse
2147 - Les écrivains sont des poids morts
2146 - L’héritage de Clinchamp
2145 - Clinchamp, une histoire sans fin
2144 - Vent de mystère à Clinchamp
2143 - Ma cachette à Clinchamp
2142 - Randonnée à Clinchamp
2141 - Eclipse de Lune à Clinchamp
2140 - Un arc-en-Ciel à Clinchamp
2139 - Clinchamp sous l’orage
2138 - J’ai rêvé de Clinchamp
2137 - Jour de l’An à Clinchamp
2136 - Vacances d’été à Clinchamp
2135 - Attente à Clinchamp
2134 - Un jour ordinaire à Clinchamp
2133 - Or de France
2132 - La compagne des esseulés
2131 - Loup de lumière
2130 - Spleen
2129 - Le pitre
2128 - Les corbeaux de Clinchamp
2127 - Un homme heureux à Clinchamp
2126 - Le mouton
2125 - Des lutins à Clinchamp ?
2124 - Je suis fort !
2123 - Paroles prophétiques
2122 - L’égalité entre les hommes est injuste !
2121 - L’idéaliste de gauche
2120 - La femme est la monture de l’homme
2119 - Clinchamp sous la neige
2118 - Le Nord et le Sud
2117 - Pourquoi j’aime Clinchamp ?
2116 - Convaincre Blandine
2115 - Un couple de vieillards à Clinchamp
2114 - Le facteur de Clinchamp
2113 - Tristesse et beauté à Clinchamp
2112 - L’Art
2111 - Botte à l’oeuf
2110 - Les bûcherons de Clinchamp
2109 - Le coucou de Clinchamp
2108 - BFMTV : l’écran de la vérité
2107 - Lettre anonyme
2106 - Je ne suis pas amoureux de Paris !
2105 - Un jour d’hiver à Warloy-Baillon
2104 - La femme soumise brille comme une casserole
2103 - Les chouettes de Clinchamp
2102 - Quand la tempête s’abat sur Clinchamp...
2101 - L’aile et la pierre
2100 - Mes amis les maudits
2099 - Le brouillard de Clinchamp
2098 - Artiste de gauche
2097 - L’éternité dans la tête
2096 - Toussaint à Clinchamp
2095 - Chagrin échappé
2094 - Clinchamp-sur-Mystère
2093 - Les cafards
2092 - Loup des airs
2091 - Le loup de Clinchamp
2090 - En latin, c’est plus beau !
2089 - Les patates de Clinchamp
2088 - L’enfant des airs
2087 - Ciel de France
2086 - Thaïs d’Escufon
2085 - Les tomates de Clinchamp
2084 - Jérôme Bourbon
2083 - Les chats de Clinchamp
2082 - Poupée d’ailleurs
2081 - Pierre de feu
2080 - Les champs de Clinchamp
2079 - L’éclosion
2078 - Vacuité des bouquinistes
2077 - Les toits
2076 - Freud
2075 - Sport
2074 - Le simplet de Clinchamp
2073 - Les oiseaux de Clinchamp
2072 - Je ne suis pas cartésien
2071 - Au cimetière de Clinchamp
2070 - Le Panthéon pour Hugo, l’évasion pour Izarra
2069 - Les rats de la France
2068 - Le curé de Clinchamp
2067 - Mon trou à Clinchamp
2066 - Saint-Léonard-des-Bois
2065 - Les cloches de Clinchamp
2064 - Un épouvantail à Clinchamp
2063 - Les rêves de Clinchamp
2062 - Je suis raciste
2061 - L’injustice sociale ne me choque pas
2060 - Les femmes de Clinchamp
2059 - Les jours vides de Clinchamp
2058 - Une grand-mère
2057 - Clinchamp vers 1970
2056 - La femme de soixante ans
2055 - Sale temps à Clinchamp
2054 - Un grand voyage en forêt
2053 - L’ailé et l’aliéné
2052 - Souvenirs lointains
2051 - Domestication d’une greluche
2050 - Déprime à Clinchamp
2049 - L’amour à Clinchamp
2048 - Les Droits de l'Homme, c'est la négation de l'homme !
2047 - Les hivers de Clinchamp
2046 - Les chemins de Clinchamp
2045 - Seul au monde
2044 - Ne me parlez pas d’amour
2043 - Tristesse de l’été
2042 - Jour de fête à Clinchamp
2041 - Monsieur Lecon
2040 - Châtelain
2039 - Les ailes de Clinchamp
2038 - Tremblement de terre
2037 - Nuit d’amour
2036 - Pluie de joie à Clinchamp
2035 - Les gauchistes
2034 - Clinchamp sous les clartés lunaires
2033 - Henri d’Anselme, héros hétéro rétro
2032 - Les hirondelles
2031 - Retraite dans la forêt
2030 - Mon bosquet
2029 - L’or de Clinchamp
2028 - Sur le chemin
2027 - La souche
2026 - Clinchamp, ce voyage sans fin
2025 - Sardines à l’huile
2024 - Les fantômes
2023 - Le silence de la forêt
2022 - Les arbres
2021 - Les joies de Clinchamp
2020 - La merde républicaine
2019 - Les ailés
2018 - Les soirées de Clinchamp
2017 - Parasite
2016 - Clinchamp, les routes de l’ennui
2015 - Moi français, je déteste les migrants !
2014 - Répugnante
2013 - Les complotistes
2012 - Je déteste les livres de philosophie !
2011 - Le bossu de Clinchamp
2010 - La lumière de Clinchamp
2009 - Les crépuscules de Clinchamp
2008 - Les nuits à Clinchamp
2007 - Les aubes de Clinchamp
2006 - Je suis un oiseau à Clinchamp
2005 - Les rats de Clinchamp
2004 - Les papillons de Clinchamp
2003 - Les richesses de la normalité
2002 - Le Rimbaud des bobos
2001 - Les vaches de Clinchamp
2000 - La folle de Clinchamp
1999 - Mon ego solaire
1998 - Vague Lune
1997 - Ma cabane à Clinchamp
1996 - Moi, IZARRA
1995 - Mais qui donc est Dardinel ?
1994 - La Dame Blanche de Clinchamp
1993 - Le Dalaï-Lama
1992 - Pluie à Clinchamp
1991 - Je suis sexiste
1990 - Les flammes du printemps
1989 - Le rustaud de Clinchamp
1988 - Les larmes d’Amsterdam
1987 - Clinchamp, terre d’envol
1986 - La Joconde de Clinchamp
1985 - Face cachée de Clinchamp
1984 - La clocharde de Clinchamp
1983 - Je suis un extraterrestre
1982 - Clinchamp sous les éclats de novembre
1981 - Clinchamp au bord des larmes
1980 - Les fantômes de Clinchamp
1979 - Les pissenlits de Clinchamp
1978 - Clinchamp : fin et commencement de tout
1977 - Amsterdam
1976 - J’habite sur la Lune
1975 - Secret de Lune
1974 - Les ailes de la Lune
1973 - Voir Clinchamp et sourire
1972 - La pierre et l’éther
1971 - Clinchamp, au bonheur des larmes
1970 - Clinchamp, mon dernier refuge
1969 - Croissant de Lune
1968 - Mais d’où vient donc la Lune ?
1967 - Lune lointaine
1966 - Lune éternelle
1965 - Sandrine, notre voisine
1964 - Rêve de Lune
1963 - Lune des rêves
1962 - La Lune dans le bleu
1961 - Lune ultime
1960 - Les tourmentés
1959 - Clinchamp, paradis des ombres
1958 - Lune absente
1957 - Je raffole des commérages !
1956 - Clinchamp : royaume des humbles
1955 - La Dame dans le ciel
1954 - Palmade : de la gloire au gouffre
1953 - Evasion
1952 - Tatouages, ces marques de faiblesse
1951 - L’égalité est un enfer !
1950 - Repas sur l’herbe à Clinchamp
1949 - Escale à Clinchamp
1948 - Beauté morbide de la Lune
1947 - J’ai dormi dehors à Clinchamp
1946 - Les humanitaires sont des parasites !
1945 - Sur les routes de Clinchamp
1944 - Une année à Clinchamp
1943 - Tristesse du printemps
1942 - Bulle de Terre
1941 - Jour de joie à Clinchamp
1940 - L’inconnu de Clinchamp
1939 - Le ciel de Clinchamp
1938 - Les éclats de Clinchamp
1937 - Le voyageur
1936 - Fête triste
1935 - Les antiracistes
1934 - Jean Messiha
1933 - Coeur gelé
1932 - Romantisme de pierre
1931 - La femme est sous mes pieds
1930 - Burcu Güneş, un air léger
1929 - Je déteste les pauvres !
1928 - Quand mon coeur s’allume
1927 - Intègre, entier, râpeux
1926 - Le cheval
1925 - Homme mauvais
1924 - Un trou sous le ciel
1923 - Hauteur de la Lune
1922 - Nulle part, là-bas, ailleurs
1921 - Belle Lune
1920 - Salades lunaires
1919 - Lettre à Reynouard
1918 - MARGUERITE OU L’HISTOIRE D’UNE VIEILLE FILLE
1917 - Récoltes lunaires
1916 - Je suis français de souche
1915 - Lune mortuaire
1914 - Clinchamp, cité des oubliés
1913 - Clinchamp, l’air de rien
1912 - Clinchamp, sommet du monde
1911 - La pollution, c’est la vie !
1910 - Seule au monde ?
1909 - Le Ciel et la Terre
1908 - Lune de haut vol
1907 - La Lune s’allume
1906 - Nuit sombre
1905 - Soupe de Lune
1904 - Puretés raciales
1903 - Lune-pizza
1902 - La grande question
1901 - Amiens
1900 - Pleur de Lune
1899 - Rêve d’amour
1898 - Vive le patriarcat !
1897 - La libellule
1896 - L’eau qui m’éclaire
1895 - Une question de clarté
1894 - La Lune dort
1893 - Les artifices du spirituel
1892 - Lune normale
1891 - Ni chauffage ni travail
1890 - Lune de fer
1889 - Molle Lune
1888 - Insensible aux malheurs des autres
1887 - Mon visage de vérité
1886 - Amante russe
1885 - J’écris
1884 - Lune martiale
1883 - Je suis un incapable
1882 - Lune creuse
1881 - 1975
1880 - L’éclat d’un fard
1879 - Amour impossible
1878 - Femme au foyer
1877 - L’esprit de la Lune
1876 - Ingérence féministe
1875 - Cratères lunaires
1874 - Lune d’effroi
1873 - Lune des chats
1872 - Les athées
1871 - Lune d’or
1870 - Lune carrée
1869 - Lune de miel
1868 - Folle lune
1867 - Jour de joie
1866 - SMARPHONES : abrutissement des masses
1865 - Sombre lune
1864 - Les mouches
1863 - Ma vie simple
1862 - Clinchamp, terre lointaine
1861 - Je suis un conservateur
1860 - Lune de glace
1859 - Le lac
1858 - Qu’est-ce que la beauté ?
1857 - Lune blanche
1856 - Lune de mer
1855 - Lune de feu
1854 - Présence immortelle
1853 - Surprenante Lune !
1852 - L’éclat de la Lune
1851 - Epis lunaires
1850 - L’autre Lune
1849 - L’amie des cheminées
1848 - Lune morte
1847 - Lune Parmentier
1846 - Lune fatale
1845 - Amour céleste
1844 - Grâces et disgrâces
1843 - Ma maison, c'est la Lune
1842 - Poids de la Lune
1841 - La morte visiteuse
1840 - Ma cabane sous la Lune
1839 - Bleu ciel
1838 - Histoire de lune
1837 - Suc de Turque
1836 - Stéphane Blet
1835 - Ciel bleu
1834 - Bonheur de rat
1833 - Redneck
1832 - Sur le rivage
1831 - Attraction lunaire
1830 - Je suis anti-féministe radical
1829 - Mais qui est-il ?
1828 - Je veux des frontières !
1827 - Les francs-maçons
1826 - Folies lunaires
1825 - Alunir, en un mot
1824 - “Comme ils disent”, chanson d’Aznavour
1823 - Lune tiède
1822 - Globe de rêve
1821 - Effroi
1820 - Vangelis
1819 - L’air de la Lune
1818 - La campagne
1817 - Lune tombale
1816 - Les cailloux
1815 - Je déteste Paris !
1814 - Boules de neige
1813 - Je n’ai pas peur
1812 - Parler vrai
1811 - Les hommes simples
1810 - Quand la Lune panse
1809 - Régine : extinction d’un feu
1808 - Morte veilleuse
1807 - Coeur de pierre
1806 - Noir
1805 - Mystère de la Lune
1804 - Jackson Pollock
1803 - En pleine lumière
1802 - Harmonie des sexes
1801 - Dix ans dans l’azur
1800 - Pluie d’avril
1799 - Le gueux
1798 - Les pommes de pin
1797 - Voyage vers la Lune
1796 - Mystère d’une nuit
1795 - Une lumière turque
1794 - Sans coeur et avec écorce
1793 - Envolé !
1792 - Galante ou l’abcès crevé
1791 - La lumière du Bosphore
1790 - Claude Monet
1789 - Rat aristocrate
1788 - Ukraine : sortez de vos ornières mentales !
1787 - Tranche de ciel et plumes de la Terre
1786 - Les sots écolos
1785 - L’astre turc
1784 - L’Ukraine, je m’en fous totalement !
1783 - Vive la guerre !
1782 - Réponses à un coatch
1781 - Droite pure
1780 - Vains hypersensibles
1779 - Mes valeurs vives
1778 - Le secret
1777 - Force et lumière
1776 - De l’herbe à l’aiguillon
1775 - Jusqu’à la mort
1774 - Zemmour et les journalistes de gauche
1773 - Dur et juste
1772 - La flamme et le marbre
1771 - Mon chat est mort
1770 - Les frères Bogdanoff
1769 - J’ai rêvé de Natacha
1768 - Technologie
1767 - Vers la Lune
1766 - C’était la guerre
1765 - La “tondue de Chartres”
1764 - Dans le métro
1763 - Naissance d’un virus
1762 - Zemmour est-il un de Gaulle ?
1761 - Je suis grand
1760 - Jour de gloire
1758 - Une muse du Bosphore
1758 - Je suis un extrémiste
1757 - Les éoliennes
1756 - Femme terminale
1755 - Autoportrait
1754 - Je suis un sanglier
1753 - Faux fou
1752 - Les affaires
1751 - Octobre
1750 - Le fantôme
1749 - Les écrivains
1748 - Sauvez la France !
1747 - Mes sentiments de pierre
1746 - Une araignée raconte
1745 - Un coeur clair
1744 - Phallocrate
1743 - Les vaches
1742 - Les faibles sont mauvais
1741 - Les sans-visage
1740 - Le trouillard de gauche
1739 - Léonard de Vinci enfant
1738 - Mes froideurs sublimes
1737 - Le romantisme, c’est la décadence
1736 - La Joconde
1735 - La tour Eiffel
1734 - Le Soleil
1733 - Une boule de mystère
1732 - Les masqués
1731 - Burcu Günes, l’or turc
1730 - Léa Désandre
1729 - Le père Dédé
1728 - “Blanc lumière” de Pollock
1727 - Les kikis et les cocos
1726 - Les funérailles de Belmondo
1725 - Pôle Sud
1724 - Vierge au mariage
1723 - La forêt
1722 - Le réveil des clochers
1721 - En septembre
1720 - Extraterrestre
1719 - Ni cagoule ni sérum
1718 - L’astre des morts
1717 - L’idéaliste
1716 - Un ange noir pour les Blancs ?
1715 - Trois heures du matin
1714 - Dur et vivant
1713 - Homme des bois
1712 - De flamme et de sang
1711 - Mes bas potentiels
1710 - Je suis un anti-progressiste
1709 - Eléonore et les Noirs
1708 - Eléonore et les Juifs
1707 - Une française
1706 - Femme d’idées
1705 - Joie de vivre
1704 - Auteur de rêves
1703 - Raison féminine
1702 - Vieillard
1701 - Face de France
1700 - 1789
1699 - Adieu, France
1698 - Célibataire
1697 - L’envers vert
1696 - Avant la chute
1695 - L’aube d’Ève
1694 - Amour raté
1693 - À vue d’homme
1692 - Le loup et l’agnelle
1691 - Têtes à corps
1690 - Trêve de la nuit
1689 - L’été
1688 - L’hiver
1687 - Les âmes de la forêt
1686 - Enfin libre !
1685 - Je vis sans masque
1684 - Enfants du monde
1328 - Je suis apolitique
115 - Le cygne
114 - Le spleen de Warloy-Baillon
113 - Les visiteurs
112 - La Lune
111 - L’amant des laides
110 - Mémoires d’un libertin
109 - Une existence de pompiste
108 - Lettre à mes amis des listes sur Internet