mardi 31 août 2021

1718 - L'astre des morts

Les nuits de pleine lune je deviens un oiseau nocturne aux ailes dorées, au bec funèbre, au coeur doux et au chant austère.
 
Et tandis que luit au firmament la sphère cadavérique, je ferme les yeux et m’imagine voler au-dessus des cimetières tel un hibou fantastique se mêlant aux spectres.
 
Je suis alors l’allié des choses mortes, l’ami des tombes lustrées et des astres éteints, le compagnon du silence et des clartés moribondes...
 
Et je plane au-dessus des marbres, l’âme paisible, rêvant de crânes et de poésie. Puis je monte encore un peu plus dans l’éther ténébreux en direction de la sélénique figure, m’éloignant de la Terre et de ses défunts.
 
Et je voyage haut dans l’azur, loin dans l’espace, ailleurs vers l’inconnu.
 
Peut-être arrivé-je au pays des décédés...
 
Là où séjournent les étendus d’en bas, ces hôtes endormis des tombeaux que viennent réveiller un peu les froids rayons du satellite.
 
Et comme un chat-huant ivre de ciel, je tourne dans le zénith toutes plumes déployées, la tête pleine de pensées folles et lumineuses, le front couronné de reflets lunaires, les yeux toujours clos.

En réalité je me suis encore assoupi dans l’herbe en contemplant la sidérale apparition.

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lundi 30 août 2021

1717 - L'idéaliste

L'idéaliste de France est avant tout athée : son horizon céleste à lui ne décolle jamais du plancher des vaches. C'est un matérialiste pur et dur qui ne croit qu'en son idéal de plomb.
 
Autant dire qu'il penche lourdement à gauche.
 
Bref, le rêveur libertaire éprouve un amour immodéré pour l'Humanité entière.
 
Sauf à l'égard de son propre peuple, de sa patrie, de ses ancêtres qu'il déteste démesurément...
 
L'amoureux des belles idées admire inconditionnellement les peuplades se situant aux antipodes de ses repères, de ses traditions, de ses frontières.
 
Et méprise viscéralement ses frères humains qui l'entourent.
 
Pour lui le bien absolu se situe en terres australes, dans des contrées lointaines, par-delà les océans...
 
Et le mal intégral sous son ciel natal. Azur haï qui d'ailleurs pèse sur sa tête telle une malédiction originelle...
 
Epris d'écologie, il souffre pour le sort fatal d'un carré de friche piétiné par les hommes. Pleure sur la mort de quelques carottes. S'inquiète du bien-être des rats d'égout.
 
Mais demeure indifférent aux derniers jours en EHPAD de ses grands-parents oubliés du reste du monde. Exprime une froideur cynique face aux paysans français accablés de pluies de dettes. Reste de glace devant la destinée des vagabonds de nos belles cités car, quel bonheur pour tous ! nos centres-villes sont dûment piétonnisés... De quoi se plaignent donc ces SDF ?
 
Le romantique au rouge étendard vibre follement pour les couleurs révolutionnaires.
 
Le poing noir des BLACK-MATTER l'émeut au point le plus haut. L'arc-en-ciel des LGBT le fait pâlir d'émoi. Le vert des adeptes du gazon à tous les repas le fait rosir d'aise.
 
Il est cependant atteint d'une curieuse allergie envers une certaine coloration. En effet, n'allez surtout pas lui agiter du BLANC sous le nez.

Là, l'idéaliste vous montrera l'étendue insoupçonnée de son immonde racisme.

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dimanche 29 août 2021

1716 - Un ange noir pour les Blancs ?

Pour faire bonne mesure avec les grands principes et belles idées de ce siècle garni d’idéologues progressistes qui se targuent d’être si éclairés, ne faudrait-il pas les faire appliquer d'abord à eux-mêmes qui en sont les géniaux auteurs plutôt que prioritairement au reste de la planète ?

Ce qui, accessoirement, réorienterait tous ces coeurs sensibles de gauche ayant tendance à tourner en rond à force de battre dans leurs habitudes doctrinales : ils brûlent de sauver les autres alors que chez eux il y a le feu !
 
Personnellement je rêve d’un Johnny Clegg noir volant au secours de la France.
 
Un messie nègre de la cause blanche. Un défenseur africain du peuple des Francs. Un partisan et serviteur zélé de nos valeurs ancestrales.
 
Un éveillé nigérian, pour prendre un modèle réaliste, qui s’élèverait contre l’injustice commise par ses concitoyens à l’égard des Gaulois que nous sommes...
 
A l’image de Johnny Clegg qui dansait, chantait, défilait pour la grandeur des Zoulous et la préservation de leur patrimoine, j’aimerais voir intervenir, pour le bénéfice des habitants de l’hexagone, un authentique citoyen nigérian indépendant et courageux qui avec exaltation s’allumerait tel un flambeau d’intuition cosmique, de lucidité supra-humaine, pour glorifier notre civilisation et en appeler à la protection de nos villes, de nos campagnes, de nos traditions... Comme il me serait agréable d’entendre, pour une fois, un guerrier du bien, un chantre de la bonté universelle venu spécialement de son Nigéria natal pour plaider chez nous le salut de notre nation... Cet apôtre des lointaines affaires étrangères se sentirait, lui aussi, concerné par nos problèmes et dénoncerait avec abnégation l’invasion de nos régions par ses frères d’Afrique...
 
Et cela, contre les intérêts de son propre pays, de sa culture, de son sang.
 
Par amour de nous.
 
Telle serait la véritable justice de ce monde, au lieu de toujours vouloir faire gagner ces combats dans le même sens et dans le même camp.
 
Je remarque que les humanistes pétris d’idéal et débordant de sentiments altruistes se battent invariablement non essentiellement pour des raisons justes mais avant tout pour la couleur d’une peau.
 
Ils s’engagent pour les NOIRS parce qu’ils sont NOIRS.
 
Comme si cela suffisait en soi pour les toucher et éveiller leur conscience. En réalité ce n’est pas la vérité qui les intéresse mais la race.
 
Et uniquement la race.
 
Noirs et Blancs unis dans le même élan furieusement droit-de-l’hommiste n’ont alors qu’un but : faire triompher l’étendard des Noirs, et rien que des Noirs.
 
Et, bien entendu, jamais celui des Blancs.
 
D’ailleurs les Blancs n’ont officiellement aucun drapeau qui porte leur couleur, contrairement aux autres ethnies.
 
Militer en faveur des Blancs serait une aberration aux yeux de ces rêveurs  d’avenir meilleur... Et même un crime !
 
La lutte selon ces grandes âmes que l’on suppose pleines d’équité doit évidemment se faire pour l’Africain au détriment de l’Européen...
 
Pour eux voilà une évidence qui ne saurait se discuter ! Comme si l’homme blanc, d’Europe, de France, de Bretagne était, par simple naissance, dans l’erreur, du mauvais côté, et que quoi qu’il fasse avait fatalement tort.

Bref, lorsqu’un Johnny Clegg africain se dressera contre les gens de sa tribu, de son sol originel, de sa patrie pour soutenir la population française victime de leur déferlement migratoire, là je pourrais dire que la vraie lumière règne dans les esprits, à l’échelle mondiale.

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vendredi 27 août 2021

1715 - Trois heures du matin

Il est trois heures du matin et je ne trouve plus le sommeil.
 
Le baiser glacial de la nuit vient de me réveiller.
 
Pris de vertige entre les ténèbres et le bord de mon lit, des pensées irréelles me tiennent lieu de firmament.
 
Dans le noir, j'ai les yeux grands ouverts sur l'Univers entier. Et je vois des clartés nouvelles, des formes inconnues, des espaces indicibles.
 
Je sens autour de moi un souffle muet qui m'enveloppe : c'est l'obscurité qui me parle.
 
L'ombre profonde me caresse, m’étreint, me pénètre. Et mon âme s'illumine.
 
J’entends des voix lointaines, des mots bas, des pas proches... Des airs mélancoliques lourds et lents montent en moi, à la fois familiers et indistincts, clairs et souterrains, comme des vieux chants ressurgis d’un âge perdu, d’un passé immémorial...
 
Les ailes de l'insomnie m'emportent loin de ma chambre. Je voyage tout éveillé dans des immensités oniriques, sonde des océans de silence et de lumière, file vers des galaxies paisibles et impénétrables.

Et, dans un éclair d'idées insensées mêlé à un orage de conscience aux antipodes de la raison et de la folie, j'atteins le sommet de l'intangible, le centre de la vie, le coeur du mystère.
 
Après ce fulgurant exil dans les cimes de l’esprit (ou dans les abysses de je ne sais quel éther), je m’en échappe pour, progressivement, réintégrer le monde temporel.
 
De retour de l’infini, je me pose sur ma couche tel un oiseau fatigué et ma tête roule sur l’oreiller.
 
Je suis parti dans l’ailleurs avec des incertitudes d’incrédule et de vagues sentiments de dormeur.
 
Il est trois heures et quart du matin et je ne sais plus si je dors ou si je vole.

Peut-être que, enroulé dans mes draps, suis-je en train de rêver que tout cela est réel...

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mardi 24 août 2021

1714 - Dur et vivant

Moi IZARRA, je suis une vieille souche.
 
Intègre et très dure.
 
Mon coeur s'est affermi tandis que ma peau s'est desséchée.
 
Avec les années, presque cent pour ainsi dire car je ne les compte plus, mon sang est devenu un vin précieux et mes pensées un éther vif.
 
J'ai abandonné les artifices des apparences pour ne montrer que l'essentiel, le vrai, l'or de mon être.

Même si vous penserez que ce n'est que de l'ordure.
 
Vous qui êtes accoutumés aux vacuités et raisons de surface, les profondeurs de mon âme vous paraîtront effrayantes.
 
En réalité ce n'est pas ma nature qui est noire, c'est votre esprit qui est incolore.
 
J'ai vécu, tout vu, tout senti, tout compris. Ce que vous appelez "douceur" pour moi n'est que tiédeur, atténuation, abâtardissement des sens, du réel, de la vérité. Ce que vous croyez faux est vrai et ce qui vous brûle ne fait que me chatouiller.
 
Là où vous voyez un point briller dans votre siècle, impressionnés que vous êtes par le moindre feu de paille, je ne perçois que du toc, une simple mode qui s'éteindra avec vous et sera oubliée en même temps que vos cadavres !
 
Votre monde est plat, mon univers  est une rocaille vertigineuse, une prairie riche de friches, un orage de ténèbres et de lumières, un océan de fleurs puantes et de ronces parfumées, un ciel de désirs enflammés et de rêves palpables, un paradis féroce et un jardin d'épines, un verger de pur azur et un champ de roses vénéneuses.
 
Je suis affreux parce que vous êtes transparents. Je suis méchant car votre bonté de moutons n'est que néant.
 
Je suis une tempête, un rocher, une terre pleine de fumier !
 
Vous êtes une eau fade, des larves flasques, des émotifs stériles.
 
Moi j'ai haï avec l'éclat d'un soleil, aimé comme un rat, souffert autant qu'un loup au désespoir, me suis enivré d'un bonheur sans nom. 

Bref, je vis et vibre encore et toujours !

Et me voici face à vous tel un astre devant des visages éteints sous leur masque.

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1713 - Homme des bois

Seul au fond de la forêt, je vis entre un toit de branchages et un tapis de verdure.
 
Je suis un solitaire des bois, un ermite de la sylve, un sauvage des futaies.
 
Je parle aux fantômes, aux arbres, à moi-même : le vent me répond, les oiseaux le suivent, les nuages acquiescent.
 
Et à la fin le silence me donne raison.
 
Mes matins sont glorieux et mes journées éclatantes. Rien ne me contrarie : je prends le soleil et la pluie, la grêle et la brise comme autant de cadeaux du ciel.
 
Le soir au coin du feu je médite et je rêve.
 
Sans électricité, sans confort, sans attache ni mollesse, je suis heureux. Loin de tous les artifices du monde moderne, je suis libre, je suis léger...
 
Ma télévision à écran géant, c’est le vaste champ d’étoiles qui brille au-dessus de moi.
 
Là, je vole et voyage dans mes hauteurs.
 
Mes voisins sont les renards, les hiboux et les chevreuils.
 
Et lorsque parfois un promeneur égaré parvient jusqu’à mon foyer de paille et de pierre, je lui offre l’essentiel : la fraicheur de mon coeur en joie et rien de plus.
 
Je suis un habitant des herbes folles, un hôte des profondeurs végétales, un locataire des frondaisons.

Isolé en plein calme, enraciné dans la nature, enivré par les saisons, emporté par les éléments, ma prochaine destination sera le firmament.

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lundi 23 août 2021

1712 - De flamme et de sang

Les gens du pays me désignent d'un doigt tantôt tremblant, tantôt admiratif.
 
Je porte des bottes de brute et arbore des fleurs de valeur. Mon chapeau est noir, mon visage est une flamme.
 
J’ai la main rugueuse et le sang brûlant : malheur aux peaux fragiles et aux âmes pâles !
 
Je suis la hantise des prudes et le rêve secret des épouses en folie, l'ami des loups et la terreur des frileux, le dernier des hères et l'empereur des ogres !
 
Aux marquises évanescentes dûment pommadées et élégamment poudrées que j’invite le dimanche sous les dorures de mon salon, aussi belles que fortunées, vêtues de dentelles et baignant dans le luxe, je destine mes galanteries les plus caressantes.

Aux demoiselles de bonne famille de seize ans à la taille fine et aux yeux doux, curieuses et affables, je réserve la primeur de mes plus purs jaillissements séminaux.
 
Quant à mes bonniches, je les fouette jusqu’au sang.
 
A trois heures du matin il m’arrive d’aller pisser sur les fleurs de ma voisine en murmurant discrètement des vers de Homère, juste sous la fenêtre ouverte de sa chambre. Mais uniquement lorsque je l’entends ronfler comme une coche. C’est une jeune fille laide, peureuse, vierge, bigote, haïssable.
 
Je n’aime véritablement que les libellules au venin de vipère. Moi-même j’apparais à la gent femelle tel un esthète à gueule de rat. C’est ainsi que je séduis mes conquêtes. Elles me le rendent avec mille grâces et deux ou trois baisers mal placés.
 
Je déplais surtout aux pauvres, aux lâches, aux pouilleux.
 
Les chiens affamés viennent à moi et les enfants hilares m’adorent. Mais je les exècre. Aux premiers j’offre les épluchures toxiques de ma cuisine, aux seconds des rêves noirs.
 
Les insolents ne sont pas les bienvenus chez moi. Ces mauvaises bêtes de boudoirs me sont particulièrement insupportables ! Je ne souffre pas plus la présence sous mon toit des insatisfaits, des communs et des tièdes. Moi je ne veux que des âmes brillantes et des coeurs allègres ! Des têtes pleines de pensées hautes et des faces éclatantes de beauté !
 
Je suis tout ce que vous n’êtes pas et vous êtes ce que je ne serai jamais.
 
J’adresse à qui le veut mes souhaits de bonheur et de longue vie ! A condition d’aimer l’humanité vraie, non la veule vermine.

Je vous aime et vous déteste.

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dimanche 22 août 2021

1711 - Mes bas potentiels

Avec un QI au-dessous de la moyenne et une bonne dose d’insensibilité, je ne me sens nullement désavantagé par rapport au reste de la population, étant donné que je suis loin d’être malheureux en dépit de mes bagages de misère.
 
Et même fort content de moi, pour le dire en toutes lettres !
 
Je sors largement des cadres prédéfinis par les psychologues, ces experts des profondeurs humaines et autres spécialistes des mesures du contenu des cerveaux, des coeurs, des âmes...
 
En échappant ainsi aux moyennes établies, je me retrouve loin des statistiques officielles, aux antipodes des positions les plus flatteuses dans le classement des esprits.
 
Pourtant, avec si peu de clarté en moi et autant de poids mort aux pieds, je vis ma vie en toute sérénité. J’avance dans mon existence exempte de heurts, d’entraves, de problèmes, le sourire aux lèvres et le pas leste, traînant joyeusement ma carapace de dinosaure et arborant sans complexe mon bonnet d’âne tout en ignorant les cases dans lesquelles on me classe.
 
J’ai une intelligence de patate et une réceptivité d’asperge. Un épiderme de reptile et une tête de cruche. Des entrailles de crocodile et une caboche de poulet.
 
Tout ce que nul ne devrait désirer. Du moins, d’après les maîtres de cette drôle de science entremêlant chair et chiffres, sentiments et numérotations, pensées et calibrages, poésie et éprouvettes de laboratoire...

Tout ça, pour tenter de doctement calculer la puissance, la gloire, l’infini de l’homme.

Autrement dit, sa démesure.

Mais aussi, son caractère définitivement indéfini, insaisissable, capricieux.

Ou inversement, pour évaluer ses prétendues petitesses. Comme dans mon cas avec mes piètres résultats à ces tests...
 
Ce qui reviendrait à essayer de cerner les mystères de l’invisible avec un double-décimètre, de peser la réalité des rêves avec une balance, de juger la valeur de l’amour à l’aide d’un compteur moléculaire.
 
Bref, je suis heureux d’être ce que je suis. Même avec un score si médiocre en termes de QI et d’émotivité.

Et, riche de ces bas potentiels, je me moque de ces spécialistes autoproclamés, techniciens du vent, me déterminant dernier de la classe avec leurs critères de robots stupides, de machines creuses, de laborantins idiots qui voudraient enfermer la splendeur de la lumière divine dans leurs sinistres bocaux.

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samedi 21 août 2021

1710 - Je suis anti-progressiste

Je ne vois guère les choses avec un esprit béatement “progressiste”.
 
Moi je suis un méchant réactionnaire acharné, un horrible rétrograde convaincu, un ignoble  obscurantiste assumé.
 
Du moins ce sont là les termes dont m’affublent ceux qui à force de dérèglements, d’impudeurs et de délires s’imaginent au-dessus des lois naturelles, de l’ordre cosmique, du bon sens commun.
 
Au point de se penser femmes quand ils sont hommes, de se prendre pour des dieux alors que ce sont des fous, de se considérer comme des penseurs de haute volée pour la raison qu’ils pataugent dans leur mare d’inepties, se noient dans leurs nuées d’absurdités.
 
Ce sont des trains chargés de bêtise qui souhaitent sortir de leurs gènes, de leur nature, de la réalité pour mieux dérailler. Et le plus sérieusement possible, rouler hors des lignes attribuées au nom de la liberté de marcher sur la tête !
 
Ces adeptes des ténèbres de la pensée ne font que violer l’autorité céleste, piétiner le sacré, lutter contre le Soleil en appelant cela “progressisme” sous prétexte qu’ils fuient les chemins balisés de la sagesse, de l’intelligence, de la lumière.
 
Je crois bien plus à l’inégalité des êtres dans les hauteurs qu’à leur nivèlement dans la bassesse. Il y a l’infériorité des tièdes, des mous, des mauvais et la supériorité des forts, des éveillés, des bons. Il y a la qualité des aigles et la médiocrité des ânes. Il y a l’insignifiance des ombres  et l’éclat des astres.

Nous ne sommes pas en ce bas-monde pour être tous égaux dans la petitesse, pour entrer dans le moule idéologique de l'égalitarisme tels des robots tous semblables, mais pour suivre notre voie personnelle, pour expérimenter la vie en joies et en douleurs. 

Bref, pour évoluer au gré de nos compétences, de nos imperfections, de nos vertus, de nos souffrances et de nos chances, toutes inégales, injustes, arbitraires. 
 
Il est équitable que certains pleurent et que d'autres rient, que tels soient fortunés et tels en manque de feu, que ceux-là brûlent de bonheur et ceux-ci gèlent de malheur. Tout a une cause, tout se mérite, tout se paie, tout se gagne. En allégresse ou en chagrin, en caresses ou en coups, d'après le sort, les dispositions et spécificités de chacun.

Non, nous ne sommes pas égaux : l’un de vaut pas l’autre, le noir n’est pas le blanc et le jour ne ressemble pas à la nuit.

A gauche, il y a de doctes dingues qui sans rire jouent aux clowns en se prenant pour des visionnaires, des génies, des flambeaux. Et puis à droite, il y a ceux que les premiers nomment des “fachos”, c’est à dire des humains normaux, des gens simples, honnêtes et dignes acceptant de vivre dans l’harmonie prescrite selon la volonté intemporelle de l’Univers.

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lundi 16 août 2021

1709 - Eléonore et les Noirs

Eléonore, en française de sol et de sang, d'âme et de souche, sensée comme elle est, pense avec une totale équité, un haut sentiment de justice et une parfaite justesse de vue, qu'un Africain à peau noire né en Afrique, devenu artificiellement français, n'a nulle légitimité à l'être, surtout s'il hait la France et le peuple natif qui l'habite.
 
On ne devient pas un enfant de la patrie des Gaulois par le simple truchement d'une signature sur un document officiel : on naît français quand on a des parents français qui ressemblent aux autochtones  traditionnels.
 
Eléonore n'est absolument pas raciste et ne le sera jamais : son fond est bon, sain, propre.
 
Elle fait seulement preuve de bon sens commun le plus élémentaire.

Ses adversaires ne cessent de lui prêter des idées "haineuses" à l'égard des migrants. Alors qu'elle ne fait que rappeler une évidence, à savoir : la différence radicale entre un français génétique et un français de papier.
 
Le premier est naturellement imprégné de la culture des Francs.

Le second n'est qu'un déraciné opportuniste ayant fait le choix de vivre chez les Blancs surtout par amour pour leur système d'aides sociales. Le reste lui est indifférent, voire insupportable.
 
Décidément, la belle Eléonore a l'art de déplaire à ces Africains et à leurs défenseurs, par vérités interposées !
 
Ce qu'elle affirme semble d'ailleurs si primaire, si simpliste que, systématiquement, des esprits épris de progrès humain, scandalisés par ses propos blessants, tentent de démontrer son raisonnement avec de savants, complexes, très subtils discours idéologiques, politiques, sociologiques, philosophiques...

Sauf que, et cela avait échappé à la pensée si pénétrante de ses accusateurs pétris de droit-de-l'hommisme, la réalité des faits qu'elle dénonce est effectivement primaire et simpliste : ces Noirs deviennent français pour la seule raison que l'argent n'a pas d'odeur.

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dimanche 15 août 2021

1708 - Eléonore et les Juifs

Eléonore, belle enfant de France au front clair, aux allures dignes et aux traits typiques, est la cible récurrente de communautés agissantes...
 
Des groupes de pression et de défenses d’intérêts de populations minoritaires d’origine extra-européenne et divers clans ethniques surreprésentés lui reprochent, en effet, de ne pas adhérer aux points de vues progressistes établis selon les critères imposés par le système en place.
 
Et, démarche odieuse, de soulever le problème de la pensée blanche, de l’identité française, d’un sol souverain peuplé de natifs de souche et non pas envahi par des étrangers issus de civilisations radicalement différentes de la sienne...
 
Mais par-dessus tout,  Eléonore a eu l’audace, l’infâme réactionnaire, l’ignoble fasciste, l’immonde bête ressurgie d’un passé sombre aux relents nauséabonds, de désigner les JUIFS dans sa critique sociale !
 
Elle a osé.
 
Comment peut-on, en 2021, émettre la moindre attaque, le plus petit jugement, la plus infime accusation sur les Israélites ? Il est unanimement entendu que les gens de cette caste supérieure sont innocents. C’est à dire que ce sont tous des enfants de choeurs fatalement victimes de méchants antisémites...
 
Cette fois c’en est trop, Eléonore a dépassé les bornes !
 
Les foudres de la loi lui sont tombées sur la tête sans attendre.
 
Coupable d’avoir prononcé le mot de trop, la LICRA a réagi avec promptitude et extrême sévérité afin de redresser les torts de l’abjecte Eléonore qui a l’esprit décidément bien mal orienté...

La descendance d'Israël, parce que non seulement elle a été élue mais fut en plus victime de l'holocauste, est nécessairement parfaite, sans péché, exempte de défaut, dénuée de toute noirceur. Bref, il est formellement interdit de lui trouver le plus insignifiant des travers sous peine de commettre ce délit suprême que l'on nomme "antisémitisme" !
 
Aux dernières nouvelles Eléonore, grâce à son courage exemplaire, à sa bonne foi et à son intelligence lumineuse, s’est sortie avec brio de ce guet apens judiciaire. Le tribunal, pour une fois, n’a pas donné raison à la LICRA. Eléonore a même réussi à obtenir des dommages et intérêts pour les abus exercés contre elle par la puissante et redoutable association antiraciste !
 
Mais chut ! Cette vérité-là ne doit surtout pas être ébruitée dans les médias...

Même si Eléonore garde la tête haute, l’idéologie dominante doit officiellement demeurer sans tache et continuer à faire illusion.

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samedi 14 août 2021

1707 - Une française

Eléonore, jeune femme pourtant belle, grande, blonde, très séduisante, est particulièrement détestée des gens de son époque.
 
Surtout des jeunes, des boomers et des féministes.
 
En effet, son grand tort est de n’avoir nulle attirance charnelle pour la gent mâle africaine, aucun goût pour l’exotisme sentimental arabo-musulman, pas le moindre  appétit pour le multiculturalisme amoureux... Ce qui est son droit le plus légitime.
 
Bien au contraire, fidèle, loyale, franche et saine d’esprit, elle s’affiche toujours avec le même amant : un beau gaillard aux traits aryens, musclé, non tatoué, sans aucun piercing, propre sur lui, chrétien et politiquement très à droite.
 
Ce qui scandalise, outrage, blesse maints esprits progressistes voués corps et âme à la cause extra-occidentale, comme si l’innocente Eléonore avait commis là le crime suprême...
 
Pour ces esprits avancés prônant le métissage quasi obligatoire ainsi que la débauche inter-raciale la plus éhontée, cela équivaut ni plus ni moins à cracher sur leur face d’adorateur de peuplades lointaines ! Et à souiller les couleurs noires et basanées de leur république aux portes grandes ouvertes sur tout ce qui n’est pas français, pas européen, pas blanc !
 
Attendu qu’à leurs yeux une ravissante gauloise comme elle à la peau si claire, à la face si emblématique préférant s’unir à un homme de sa propre race plutôt qu’à un clandestin négroïde, est d’emblée considérée comme la pire tare qui soit à notre époque !
 
Pour ne pas dire, la plus “nauséabonde” attitude de “facho”, selon leurs propres termes...
 
Certes ces adeptes de la mixité des sangs ont parfaitement le droit, de leur côté, d’éprouver des inclinations baroques, des désirs bizarres pour les unions extrêmes, d’expérimenter les plus incompatibles étreintes, là n’est pas la question. Ces natifs de France eux aussi sont libres d’aimer qui ils veulent.
 
Sauf que la suspecte blanche ayant une prédilection prononcée pour les hommes de son peuple, on la taxe de raciste.
 
On lui prête les intentions les plus abjectes, les pensées les plus blâmables. Bref, on lui reproche d’adhérer à la plus sombre des idéologies.
 
Eléonore ne fait rien de mal, ne hait personne, ne cause de tort ni à ses concitoyens ni aux migrants. Au contraire, c’est à elle que l’on s’en prend. Gratuitement, haineusement, injustement. Elle est harcelée, dénigrée, méprisée, tant de la part des autochtones que des étrangers.
 
C’est une fille honnête, droite, décente, équilibrée, sensée.

Elle souhaite juste mener une vie normale de française.

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jeudi 12 août 2021

1706 - Femme d'idées

Eléonore était une jeune femme défendant viscéralement les idées de la droite la plus radicale.
 
Aussi séduisante qu'exigeante, il ne lui serait jamais venue à l'idée de fréquenter un étranger. Encore moins s'il était Noir, Arabe ou même Asiatique.
 
Très dure envers les migrants, légaux ou clandestins, elle militait avec ardeur contre leur installation sur le sol français, attendu qu'elle était française, évidemment...
 
Bien entendu, elle avait contre elle de redoutables adversaires mais cela n'amoindrissait nullement sa flamme patriotique, au contraire.
 
On lui reprochait notamment d'être grande, blonde, belle et de dire à visage découvert des vérités inconvenantes. Et, accessoirement, de porter ses idées avec véhémence, sans fioriture, avec fièvre et rigueur.
 
Au lieu de choisir comme les autres adeptes de son camp un langage plus policé.
 
Sa cause, se justifiait-elle, pouvait se passer de ces espèces de "joliesses verbales" tant elle était impérieuse à ses yeux. Et, ajoutait-elle, les mots vrais, les mots forts, les mots qu'elle pensait vraiment devaient être employés dans le dessein de faire triompher ses valeurs.
 
Seul comptait pour elle le salut de la France et non l'enrobage politiquement correct de son discours.
 
Elle persista ainsi dans ses outrances, ses provocations, ses injures à l'adresse de la Gauche. Vaillante sans jamais faiblir, sûre de la légitimité idéologique de son combat et de l'éclat de ses traits féminins.
 
Si bien qu'à force de droiture, d'insolence et de foi, elle finit par être élue à la place suprême.
 
Et c'est une fois les problèmes de la France réglés, une fois les étrangers expulsés du pays que ses paroles s'adoucirent et devinrent lisses, indolores, inodores : c'est seulement à partir de ce jour qu'elle put se permettre de mentir.

On lui reprochait toujours d'être grande, blonde, belle, mais cela n'avait pas plus d'importance dans sa vie nouvelle qu'hier.

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mercredi 11 août 2021

1705 - Joie de vivre

Le Soleil se lève sur ma terre natale et l'horizon, peu à peu, s'éclaircit, s'élargit, tandis que l'azur emplit l'espace et que l'air du matin répand un parfum de paix.
 
C'est la gloire du jour et l'éveil des êtres sur le monde. Alors je m'assieds au bord du chemin et contemple la Création.
 
Une journée de grâces et de lumière m'attend.

Des heures et des flots de couleurs et de vent, de bruits clairs et de pensées diffuses... Je ferai des pas dans les herbes et entendrai l'eau qui ruisselle, verrai quelques nuages et beaucoup d'oiseaux, humerai une fleur ou deux et cueillerai deux ou trois feuilles de menthe.
 
Et puis, si le coeur m'en dit, j'irai chercher l'amour et la joie qui va avec, d'allées en venues entre sagesse et folie.
 
Sinon, je vagabonderai dans le lointain, un bâton à la main, une flamme dans l'âme, des rêves dans les semelles.
 
Je ferai de ce moment de vie simple une chose mémorable et sacrée.

Enfin, le soir si la Lune est là, je recevrai sur mon front son premier baiser de la nuit.

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1704 - Auteur de rêves

Je suis un auteur, un artiste, un barde.
 
C’est à dire un cracheur de rêves.
 
Un souffleur de lumière, un peintre du verbe, un créateur d’images.
 
Je joue avec le feu des idées, jongle avec des milliers de pensées, valse avec des mots enflammés.
 
La langue est mon verger fécond et l’écriture est mon ciel plein d’orages et d’azur, de nuages et d’oiseaux, de tempêtes et de trompettes !
 
Bref, la littérature est mon hochet céleste, mon joujou divin, mon amusette olympienne.
 
Dans mon jardin de lettres je cultive avec jubilation la rime discordante et la raison vague, les vérités tranchées et les phrases floues, les vues osées et les vers interdits, faisant pousser dans les riches terres de ma folie les meilleurs navets de l’Univers, les plus belles tomates du Parnasse et les plus grosses carottes du monde éditorial.
 
En effet, je ne fais pas dans le cliché. Pas dans l'air du temps. Pas dans le jus en vogue. Pas dans les ornières de la mode.
 
J’écris bien mieux qu’avec une plume, en réalité.
 
J’utilise une enclume, pensez-vous ? Pas du tout ! Mon secret est ailleurs.

Je noircis mes pages avec les rayons de la Lune.

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mardi 10 août 2021

1703 - Raison féminine

Elle était énorme, rude, vulgaire, violente, masculine et, pour le dire franchement, ogresque.
 
Un vrai mastodonte en jupon. Mais en fait de jupon, elle portait des bottes lourdes, épaisses, cloutées, ainsi que des pantalons de palefrenier.
 
Avec, en guise de maquillage, des traces brunes de fumier sur sa face porcine.
 
En termes d'élégance et de féminité on a vu mieux, reconnaissons-le...
 
Et si quelqu'imprudent avait le malheur de lui marcher sur les pieds, il recevait en retour un magistral coup de poing dans le ventre de la part de la musculeuse et susceptible demoiselle.
 
Bref, tous les mâles fuyaient ce monstre tout en force et laideur.
 
Mais un beau jour, on ne saura jamais par quelle étrange folie, un marquis raffiné s'éprit de la bête au point de n'en plus ni manger ni dormir. A chaque fois qu'il approchait de l'objet de sa passion de plus d’un quintal de dangerosité à l’état brut afin de tenter de lui déclarer ses feux, pris de panique amoureuse, il se mettait à balbutier des âneries, c'est-à-dire des banalités sans nom, ce qui mettait en furie l'obèse animal se sentant obligé de répondre à ces mots d'amour maladroits par des coups brutaux et précis, comme à son habitude...
 
Le pauvre marquis éconduit essaya alors la méthode directe, dénuée d'artifice et de sentiments.
 
Enrobées d'ordure, ses paroles sortaient plus facilement, aussi usa-t-il de cet avantage avec zèle :
 
- “Espèce de sacrée foutue putain de mes deux, tu veux que je t'enfile mon andouille puante de désir dans le trou à purin que t'as entre les fesses ?”
 
Insensible à ces arguments pourtant sans ambages, la belle lui adressa les mêmes froideurs qu'à l'accoutumée, accompagnées de quelques retentissantes torgnoles sur le nez.
 
C'est alors que, pris d'une subite intuition frisant le génie, il se mit en tête de changer radicalement son discours galant. Bien lui en prit car en quelques phrases bien calculées, il obtint et le coeur et les cent-vingt kilos restants de celle pour qui il brûlait.
 
Vous voulez connaître son secret ?

Il mit de la dentelle et un peu de musique dans sa salade verbale, ce qui suffit pour gagner l'hymen de la redoutable amante qui, en réalité, sous ses dehors âpres, était une grande romantique.

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lundi 9 août 2021

1702 - Vieillard

Je suis si âgé que plus aucune vérité ne m'effraie.
 
Aucun feu de ce siècle ne saurait me brûler et rien de ce qui vous enflamme ne me blesse ou me caresse.
 
J'ai plus de mille ans sous chaque sillon de mon front, c'est tout comme car j'ai atteint bien mieux que la sagesse : au bout de ce long voyage allant du berceau jusqu'au seuil du cimetière, lustres après lustres, pas après pas, rides après rides, je suis arrivé à la vraie liberté.
 
Mon regard sur les choses, après tant de vécu, tant d'amis morts et d'illusions perdues, tant d'étoiles aperçues et tant de temps voué à poursuivre des chimères, tant de jours à attendre la nuit en espérant toucher des rêves et tant de nuits à marcher vers l'aube pour mieux sortir de ces cauchemars, mon regard sur les choses, disais-je, s'est allégé de toute crainte, débarrassé des surfaces comme des vains éclats.

Et je n'ai plus que les yeux de l'enfant pour la fleur, la folie du papillon pour la lumière, l'ivresse de la mer entière pour l'océan d'azur qui est au-dessus d'elle.

J'ai plus de mille ans et j'ai quitté votre terre de ronces et de futilités depuis que, me croyant sénile, vous avec cessé de m'écouter.

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dimanche 8 août 2021

1701 - Face de France

Elle avait des rêves d'azur, des aspirations célestes et des visions hautes.
Sa nature d'exception était faite pour des événements extraordinaires, tandis que ses moeurs respiraient la plus parfaite tempérance.
Sa face claire aux airs si sages reflétaient la simplicité et l'honnêteté des grandes âmes aux goûts humbles.
Sous ses apparences trop humaines, presque d'enfant, elle incarnait la vaillance du lion et la douceur de l'agneau, l'invincibilité du feu et la fraîcheur de l'onde.
Elle qui, pourtant si frêle d'allure, brillait secrètement tel un astre majeur au firmament des héros...
Le Ciel l'accompagnait, les hommes étaient à ses pieds. Elle ordonnait, les étoiles lui obéissaient. Elle priait, Dieu l'inondait de lumière.
Bien-sûr vous avez tous reconnu ici celle que l'on appelle Jeanne d'Arc, cette impétueuse pucelle qui montra au peuple français l'exemple de la noblesse, de l'intégrité, de la piété et de l'honneur partie en guerre contre la mollesse, la traîtrise, l'égoïsme, la lâcheté, la tiédeur et la médiocrité !

Permettez que, pour sa gloire et votre rédemption, je la nomme "Vierge de France".

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samedi 7 août 2021

1700 - 1789

C'est à la Révolution que le Soleil de France a basculé, que les étoiles de son ciel se sont éteintes, que sa Terre royale a sombré dans les ténèbres...
 
Et que la vertu a été remplacée par la dérision.
 
Depuis cette date fatidique, le pays a changé de visage. Il a perdu son panache, ses grands airs et ses belles couleurs azurées.
 
Il a vertigineusement déchu de ses hauteurs sacrées, préférant la froideur républicaine à l'humanité de la couronne et la pensée profane au sentiment divin.
 
Oui, depuis 1789 il est redescendu de ses sommets millénaires afin de permettre au peuple de se vautrer dans la médiocrité égalitariste. C'est précisément cela que la Gueuse nomme "les lumières".
 
Le roi était un astre.
 
Le président de la République est un anonyme masqué, un employé en costume-cravate, un serviteur de l'État comme un autre : neutre, ordinaire, interchangeable.
 
Le monarque était grand.
 
L'hôte de l'Élysée est l'égal du citoyen le plus commun, c'est-à-dire aussi petit que possible, l'insignifiance à ses yeux étant synonyme de reconnaissance. Pour se plaire dans la glace, il doit ressembler à la populace.
 
Le porteur de sceptre brillait.
 
Le PDG de la démocratie est terne, uniforme, plat. Et pour le dire en vérité, triste. Même les ors de la République ne sont que de vils feux d’artifice coupés des clartés célestes : de simples éclats dénués de flamme.
 
Le trône incarnait l'ordre d'origine transcendante. Pour ses sujets, le souverain s'allumait d'amour ou vomissait d'aversion : les bons recevaient ses grâces, les mauvais ses blâmes.
 
Depuis la décapitation de Jupiter, le régime démocratique n'a plus d'état d'âme.
 
Il n'aime plus : il gère, compte, calcule, mesure.
 
Le chef de cette nation où tous les enfants sont pareils aux autres est un comptable au coeur de pierre, un faux dieu plat et sombre, le gardien impassible de ce parking idéologique qu'est l'hexagone.
 
Bref, un père indifférent.

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vendredi 6 août 2021

1699 - Adieu, France

Adieu, France.
 
Adieu, France lumineuse, France de la franche liberté d'expression, adieu France d'hier et d'idéal, pays des hautes idées.
 
Adieu, terre corrompue par la laideur d'un ciel noir, la méchanceté d'un étendard rouge et la promesse de jours sombres. Tes sillons pourris me font horreur.
 
France pleine d'esprit aux chemins semés d'étoiles, aux horizons fleuris de clochers, aux sommets imprégnés de sacré, ta flamme aujourd'hui est morte.
 
Ton sol suinte le mensonge, ton air pue la pensée unique et même ton Soleil jette des ombres folles sur les faces qui se masquent et les têtes qui se vident !
 
France, avec tes fumées progressistes, tu es devenue irrespirable, étouffante, oppressante.
 
A force de fureur universaliste, de folie humaniste, d'obsession égalitariste, d'hystérie anti-raciste, tes frontières sont devenues des portes ouvertes pour l'invasion, tes villes des enfers multiculturels, tes institutions des temples républicains serviles au service de ces faux français multicolores, exotiques, peu catholiques...
 
Ton beau rêve d'accueillir le monde entier dans ton hexagone est un vrai cauchemar pour les français de sang.
 
Adieu, France droite, France propre, France éternelle.

Ta perte est engagée, ton sort scellé, ta mort annoncée au tournant depuis que tu as dévié de la route de l'ordre et du bon sens et que tu roules désormais à gauche.

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mercredi 4 août 2021

1698 - Célibataire

Je suis un vieux célibataire solitaire, aigri et désociabilisé.
 
Ma face est taciturne, mon coeur gris, mon regard lourd. Accessoirement, mes vêtements sont démodés, troués, rapiécés. Ce qui me donne des allures de vieux garçon rabougri, malheureux, déphasé, inquiétant...
 
Ce que je suis, d’ailleurs.
 
Et si je tire une très grande fierté de mon apparence jaunie de pauvre chnoque miteux, c’est parce que je suis incapable de mettre mon amour-propre ailleurs que dans mes tares et misères : elles me servent de faire-valoir, faute de mieux .
 
Misogyne, colérique, frustré, haineux, je passe mes journées à maudire la réussite des autres tandis que je bave la nuit en dormant, étant donné que ma joue est devenue flasque à force d’avachissement physique.
 
Dans ma sédentarité forcée, je voyage de mauvais rêves en silences mortels et d’errances amères en chutes implacables. Je ne bouge pas de chez moi, me protégeant maladivement du monde extérieur.
 
Bien claustré dans l’ombre de mon foyer (sinistre mais rassurant), entouré de mes murs lépreux, je coule des jours certes sans joie mais également sans heurt. Là, je peux en toute quiétude fantasmer à n’en plus finir sur ce que j’aurais aimé être : l’exact contraire de ce que je suis devenu.
 
Si je n’ai pas d’épouse, j’ai encore moins de chiens car je les déteste. Quant aux chats, s’il faut que je les nourrisse à mes frais, ils ne sont pas les bienvenus chez moi . Mais s’ils se contentent de dévorer les rats de ma demeure en guise de gamelle et en échange de mes caresses, alors je veux bien de leur chaleur. Essentiellement en hiver. Tant que c’est gratuit...
 
Mais pour en revenir aux femmes... Le sujet central de mon existence, à la vérité. Même que je pourrais vous en parler de l’aube morose au crépuscule de désespoir... Et par-dessus tout, du creux des dimanches de mélancolie sans fond jusqu’aux brumes de l’accablement les plus denses du reste de la semaine, autant que j’y pense, que ça me ronge, que ça me tourmente le corps et que ça me déchire l’âme !
 
Nul contact avec aucune d’entre elles, après plus de cinquante années à m’isoler sur cette Terre ! Pas même sur le plan verbal. Je sais pas y faire. Une trouille affreuse...
 
Les femelles, c’est ma hantise, ma vie entière, mon drame et mon obsession.
 
Mon horizon raté. Mon destin effondré. Mon ciel lointain et mes ténèbres certaines.
 
J’en ai jamais touché une seule. Ni embrassé ni frôlé. Juste épié de loin, espéré en vain... Allez pas croire que j’ai frotté ma virilité à la chair tant convoitée. Non, surtout pas ! Faudrait être fou pour imaginer ça ! Et puis d’abord ça se voit tout de suite que je suis vierge, misérable, assoiffé de pluie fraîche et de ciel bleu, affamé de lumière, en train de crever dans ma nuit : ça dégouline de ma mine oblique, ça suinte de mes traits d’aliéné, ça transpire de ma face de ragondin radin, ça sourd de mes gestes de balourd...
 
Je suis une sombre souche desséchée sans amour, sans plaisir, sans sourire, pleine de terre noire.
 
Bref, je n’ai plus rien à attendre du sort. Il ne me reste que la pitoyable faveur de mes tristes repas.

Alors, après la fuite de mes journées à broyer des idées glaciales, j’attends chaque soir que sonne l’heure fatidique de ma soupe brûlante.

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Liste des textes

2150 - Voyage vers Mars
2149 - Galaxies
2148 - Je suis de la droite honteuse
2147 - Les écrivains sont des poids morts
2146 - L’héritage de Clinchamp
2145 - Clinchamp, une histoire sans fin
2144 - Vent de mystère à Clinchamp
2143 - Ma cachette à Clinchamp
2142 - Randonnée à Clinchamp
2141 - Eclipse de Lune à Clinchamp
2140 - Un arc-en-Ciel à Clinchamp
2139 - Clinchamp sous l’orage
2138 - J’ai rêvé de Clinchamp
2137 - Jour de l’An à Clinchamp
2136 - Vacances d’été à Clinchamp
2135 - Attente à Clinchamp
2134 - Un jour ordinaire à Clinchamp
2133 - Or de France
2132 - La compagne des esseulés
2131 - Loup de lumière
2130 - Spleen
2129 - Le pitre
2128 - Les corbeaux de Clinchamp
2127 - Un homme heureux à Clinchamp
2126 - Le mouton
2125 - Des lutins à Clinchamp ?
2124 - Je suis fort !
2123 - Paroles prophétiques
2122 - L’égalité entre les hommes est injuste !
2121 - L’idéaliste de gauche
2120 - La femme est la monture de l’homme
2119 - Clinchamp sous la neige
2118 - Le Nord et le Sud
2117 - Pourquoi j’aime Clinchamp ?
2116 - Convaincre Blandine
2115 - Un couple de vieillards à Clinchamp
2114 - Le facteur de Clinchamp
2113 - Tristesse et beauté à Clinchamp
2112 - L’Art
2111 - Botte à l’oeuf
2110 - Les bûcherons de Clinchamp
2109 - Le coucou de Clinchamp
2108 - BFMTV : l’écran de la vérité
2107 - Lettre anonyme
2106 - Je ne suis pas amoureux de Paris !
2105 - Un jour d’hiver à Warloy-Baillon
2104 - La femme soumise brille comme une casserole
2103 - Les chouettes de Clinchamp
2102 - Quand la tempête s’abat sur Clinchamp...
2101 - L’aile et la pierre
2100 - Mes amis les maudits
2099 - Le brouillard de Clinchamp
2098 - Artiste de gauche
2097 - L’éternité dans la tête
2096 - Toussaint à Clinchamp
2095 - Chagrin échappé
2094 - Clinchamp-sur-Mystère
2093 - Les cafards
2092 - Loup des airs
2091 - Le loup de Clinchamp
2090 - En latin, c’est plus beau !
2089 - Les patates de Clinchamp
2088 - L’enfant des airs
2087 - Ciel de France
2086 - Thaïs d’Escufon
2085 - Les tomates de Clinchamp
2084 - Jérôme Bourbon
2083 - Les chats de Clinchamp
2082 - Poupée d’ailleurs
2081 - Pierre de feu
2080 - Les champs de Clinchamp
2079 - L’éclosion
2078 - Vacuité des bouquinistes
2077 - Les toits
2076 - Freud
2075 - Sport
2074 - Le simplet de Clinchamp
2073 - Les oiseaux de Clinchamp
2072 - Je ne suis pas cartésien
2071 - Au cimetière de Clinchamp
2070 - Le Panthéon pour Hugo, l’évasion pour Izarra
2069 - Les rats de la France
2068 - Le curé de Clinchamp
2067 - Mon trou à Clinchamp
2066 - Saint-Léonard-des-Bois
2065 - Les cloches de Clinchamp
2064 - Un épouvantail à Clinchamp
2063 - Les rêves de Clinchamp
2062 - Je suis raciste
2061 - L’injustice sociale ne me choque pas
2060 - Les femmes de Clinchamp
2059 - Les jours vides de Clinchamp
2058 - Une grand-mère
2057 - Clinchamp vers 1970
2056 - La femme de soixante ans
2055 - Sale temps à Clinchamp
2054 - Un grand voyage en forêt
2053 - L’ailé et l’aliéné
2052 - Souvenirs lointains
2051 - Domestication d’une greluche
2050 - Déprime à Clinchamp
2049 - L’amour à Clinchamp
2048 - Les Droits de l'Homme, c'est la négation de l'homme !
2047 - Les hivers de Clinchamp
2046 - Les chemins de Clinchamp
2045 - Seul au monde
2044 - Ne me parlez pas d’amour
2043 - Tristesse de l’été
2042 - Jour de fête à Clinchamp
2041 - Monsieur Lecon
2040 - Châtelain
2039 - Les ailes de Clinchamp
2038 - Tremblement de terre
2037 - Nuit d’amour
2036 - Pluie de joie à Clinchamp
2035 - Les gauchistes
2034 - Clinchamp sous les clartés lunaires
2033 - Henri d’Anselme, héros hétéro rétro
2032 - Les hirondelles
2031 - Retraite dans la forêt
2030 - Mon bosquet
2029 - L’or de Clinchamp
2028 - Sur le chemin
2027 - La souche
2026 - Clinchamp, ce voyage sans fin
2025 - Sardines à l’huile
2024 - Les fantômes
2023 - Le silence de la forêt
2022 - Les arbres
2021 - Les joies de Clinchamp
2020 - La merde républicaine
2019 - Les ailés
2018 - Les soirées de Clinchamp
2017 - Parasite
2016 - Clinchamp, les routes de l’ennui
2015 - Moi français, je déteste les migrants !
2014 - Répugnante
2013 - Les complotistes
2012 - Je déteste les livres de philosophie !
2011 - Le bossu de Clinchamp
2010 - La lumière de Clinchamp
2009 - Les crépuscules de Clinchamp
2008 - Les nuits à Clinchamp
2007 - Les aubes de Clinchamp
2006 - Je suis un oiseau à Clinchamp
2005 - Les rats de Clinchamp
2004 - Les papillons de Clinchamp
2003 - Les richesses de la normalité
2002 - Le Rimbaud des bobos
2001 - Les vaches de Clinchamp
2000 - La folle de Clinchamp
1999 - Mon ego solaire
1998 - Vague Lune
1997 - Ma cabane à Clinchamp
1996 - Moi, IZARRA
1995 - Mais qui donc est Dardinel ?
1994 - La Dame Blanche de Clinchamp
1993 - Le Dalaï-Lama
1992 - Pluie à Clinchamp
1991 - Je suis sexiste
1990 - Les flammes du printemps
1989 - Le rustaud de Clinchamp
1988 - Les larmes d’Amsterdam
1987 - Clinchamp, terre d’envol
1986 - La Joconde de Clinchamp
1985 - Face cachée de Clinchamp
1984 - La clocharde de Clinchamp
1983 - Je suis un extraterrestre
1982 - Clinchamp sous les éclats de novembre
1981 - Clinchamp au bord des larmes
1980 - Les fantômes de Clinchamp
1979 - Les pissenlits de Clinchamp
1978 - Clinchamp : fin et commencement de tout
1977 - Amsterdam
1976 - J’habite sur la Lune
1975 - Secret de Lune
1974 - Les ailes de la Lune
1973 - Voir Clinchamp et sourire
1972 - La pierre et l’éther
1971 - Clinchamp, au bonheur des larmes
1970 - Clinchamp, mon dernier refuge
1969 - Croissant de Lune
1968 - Mais d’où vient donc la Lune ?
1967 - Lune lointaine
1966 - Lune éternelle
1965 - Sandrine, notre voisine
1964 - Rêve de Lune
1963 - Lune des rêves
1962 - La Lune dans le bleu
1961 - Lune ultime
1960 - Les tourmentés
1959 - Clinchamp, paradis des ombres
1958 - Lune absente
1957 - Je raffole des commérages !
1956 - Clinchamp : royaume des humbles
1955 - La Dame dans le ciel
1954 - Palmade : de la gloire au gouffre
1953 - Evasion
1952 - Tatouages, ces marques de faiblesse
1951 - L’égalité est un enfer !
1950 - Repas sur l’herbe à Clinchamp
1949 - Escale à Clinchamp
1948 - Beauté morbide de la Lune
1947 - J’ai dormi dehors à Clinchamp
1946 - Les humanitaires sont des parasites !
1945 - Sur les routes de Clinchamp
1944 - Une année à Clinchamp
1943 - Tristesse du printemps
1942 - Bulle de Terre
1941 - Jour de joie à Clinchamp
1940 - L’inconnu de Clinchamp
1939 - Le ciel de Clinchamp
1938 - Les éclats de Clinchamp
1937 - Le voyageur
1936 - Fête triste
1935 - Les antiracistes
1934 - Jean Messiha
1933 - Coeur gelé
1932 - Romantisme de pierre
1931 - La femme est sous mes pieds
1930 - Burcu Güneş, un air léger
1929 - Je déteste les pauvres !
1928 - Quand mon coeur s’allume
1927 - Intègre, entier, râpeux
1926 - Le cheval
1925 - Homme mauvais
1924 - Un trou sous le ciel
1923 - Hauteur de la Lune
1922 - Nulle part, là-bas, ailleurs
1921 - Belle Lune
1920 - Salades lunaires
1919 - Lettre à Reynouard
1918 - MARGUERITE OU L’HISTOIRE D’UNE VIEILLE FILLE
1917 - Récoltes lunaires
1916 - Je suis français de souche
1915 - Lune mortuaire
1914 - Clinchamp, cité des oubliés
1913 - Clinchamp, l’air de rien
1912 - Clinchamp, sommet du monde
1911 - La pollution, c’est la vie !
1910 - Seule au monde ?
1909 - Le Ciel et la Terre
1908 - Lune de haut vol
1907 - La Lune s’allume
1906 - Nuit sombre
1905 - Soupe de Lune
1904 - Puretés raciales
1903 - Lune-pizza
1902 - La grande question
1901 - Amiens
1900 - Pleur de Lune
1899 - Rêve d’amour
1898 - Vive le patriarcat !
1897 - La libellule
1896 - L’eau qui m’éclaire
1895 - Une question de clarté
1894 - La Lune dort
1893 - Les artifices du spirituel
1892 - Lune normale
1891 - Ni chauffage ni travail
1890 - Lune de fer
1889 - Molle Lune
1888 - Insensible aux malheurs des autres
1887 - Mon visage de vérité
1886 - Amante russe
1885 - J’écris
1884 - Lune martiale
1883 - Je suis un incapable
1882 - Lune creuse
1881 - 1975
1880 - L’éclat d’un fard
1879 - Amour impossible
1878 - Femme au foyer
1877 - L’esprit de la Lune
1876 - Ingérence féministe
1875 - Cratères lunaires
1874 - Lune d’effroi
1873 - Lune des chats
1872 - Les athées
1871 - Lune d’or
1870 - Lune carrée
1869 - Lune de miel
1868 - Folle lune
1867 - Jour de joie
1866 - SMARPHONES : abrutissement des masses
1865 - Sombre lune
1864 - Les mouches
1863 - Ma vie simple
1862 - Clinchamp, terre lointaine
1861 - Je suis un conservateur
1860 - Lune de glace
1859 - Le lac
1858 - Qu’est-ce que la beauté ?
1857 - Lune blanche
1856 - Lune de mer
1855 - Lune de feu
1854 - Présence immortelle
1853 - Surprenante Lune !
1852 - L’éclat de la Lune
1851 - Epis lunaires
1850 - L’autre Lune
1849 - L’amie des cheminées
1848 - Lune morte
1847 - Lune Parmentier
1846 - Lune fatale
1845 - Amour céleste
1844 - Grâces et disgrâces
1843 - Ma maison, c'est la Lune
1842 - Poids de la Lune
1841 - La morte visiteuse
1840 - Ma cabane sous la Lune
1839 - Bleu ciel
1838 - Histoire de lune
1837 - Suc de Turque
1836 - Stéphane Blet
1835 - Ciel bleu
1834 - Bonheur de rat
1833 - Redneck
1832 - Sur le rivage
1831 - Attraction lunaire
1830 - Je suis anti-féministe radical
1829 - Mais qui est-il ?
1828 - Je veux des frontières !
1827 - Les francs-maçons
1826 - Folies lunaires
1825 - Alunir, en un mot
1824 - “Comme ils disent”, chanson d’Aznavour
1823 - Lune tiède
1822 - Globe de rêve
1821 - Effroi
1820 - Vangelis
1819 - L’air de la Lune
1818 - La campagne
1817 - Lune tombale
1816 - Les cailloux
1815 - Je déteste Paris !
1814 - Boules de neige
1813 - Je n’ai pas peur
1812 - Parler vrai
1811 - Les hommes simples
1810 - Quand la Lune panse
1809 - Régine : extinction d’un feu
1808 - Morte veilleuse
1807 - Coeur de pierre
1806 - Noir
1805 - Mystère de la Lune
1804 - Jackson Pollock
1803 - En pleine lumière
1802 - Harmonie des sexes
1801 - Dix ans dans l’azur
1800 - Pluie d’avril
1799 - Le gueux
1798 - Les pommes de pin
1797 - Voyage vers la Lune
1796 - Mystère d’une nuit
1795 - Une lumière turque
1794 - Sans coeur et avec écorce
1793 - Envolé !
1792 - Galante ou l’abcès crevé
1791 - La lumière du Bosphore
1790 - Claude Monet
1789 - Rat aristocrate
1788 - Ukraine : sortez de vos ornières mentales !
1787 - Tranche de ciel et plumes de la Terre
1786 - Les sots écolos
1785 - L’astre turc
1784 - L’Ukraine, je m’en fous totalement !
1783 - Vive la guerre !
1782 - Réponses à un coatch
1781 - Droite pure
1780 - Vains hypersensibles
1779 - Mes valeurs vives
1778 - Le secret
1777 - Force et lumière
1776 - De l’herbe à l’aiguillon
1775 - Jusqu’à la mort
1774 - Zemmour et les journalistes de gauche
1773 - Dur et juste
1772 - La flamme et le marbre
1771 - Mon chat est mort
1770 - Les frères Bogdanoff
1769 - J’ai rêvé de Natacha
1768 - Technologie
1767 - Vers la Lune
1766 - C’était la guerre
1765 - La “tondue de Chartres”
1764 - Dans le métro
1763 - Naissance d’un virus
1762 - Zemmour est-il un de Gaulle ?
1761 - Je suis grand
1760 - Jour de gloire
1758 - Une muse du Bosphore
1758 - Je suis un extrémiste
1757 - Les éoliennes
1756 - Femme terminale
1755 - Autoportrait
1754 - Je suis un sanglier
1753 - Faux fou
1752 - Les affaires
1751 - Octobre
1750 - Le fantôme
1749 - Les écrivains
1748 - Sauvez la France !
1747 - Mes sentiments de pierre
1746 - Une araignée raconte
1745 - Un coeur clair
1744 - Phallocrate
1743 - Les vaches
1742 - Les faibles sont mauvais
1741 - Les sans-visage
1740 - Le trouillard de gauche
1739 - Léonard de Vinci enfant
1738 - Mes froideurs sublimes
1737 - Le romantisme, c’est la décadence
1736 - La Joconde
1735 - La tour Eiffel
1734 - Le Soleil
1733 - Une boule de mystère
1732 - Les masqués
1731 - Burcu Günes, l’or turc
1730 - Léa Désandre
1729 - Le père Dédé
1728 - “Blanc lumière” de Pollock
1727 - Les kikis et les cocos
1726 - Les funérailles de Belmondo
1725 - Pôle Sud
1724 - Vierge au mariage
1723 - La forêt
1722 - Le réveil des clochers
1721 - En septembre
1720 - Extraterrestre
1719 - Ni cagoule ni sérum
1718 - L’astre des morts
1717 - L’idéaliste
1716 - Un ange noir pour les Blancs ?
1715 - Trois heures du matin
1714 - Dur et vivant
1713 - Homme des bois
1712 - De flamme et de sang
1711 - Mes bas potentiels
1710 - Je suis un anti-progressiste
1709 - Eléonore et les Noirs
1708 - Eléonore et les Juifs
1707 - Une française
1706 - Femme d’idées
1705 - Joie de vivre
1704 - Auteur de rêves
1703 - Raison féminine
1702 - Vieillard
1701 - Face de France
1700 - 1789
1699 - Adieu, France
1698 - Célibataire
1697 - L’envers vert
1696 - Avant la chute
1695 - L’aube d’Ève
1694 - Amour raté
1693 - À vue d’homme
1692 - Le loup et l’agnelle
1691 - Têtes à corps
1690 - Trêve de la nuit
1689 - L’été
1688 - L’hiver
1687 - Les âmes de la forêt
1686 - Enfin libre !
1685 - Je vis sans masque
1684 - Enfants du monde
1328 - Je suis apolitique
115 - Le cygne
114 - Le spleen de Warloy-Baillon
113 - Les visiteurs
112 - La Lune
111 - L’amant des laides
110 - Mémoires d’un libertin
109 - Une existence de pompiste
108 - Lettre à mes amis des listes sur Internet