dimanche 19 mai 2013

992 - Quand les médias rient du ciel bleu

RÉPONSE Á UN JOURNALISTE SE MOQUANT DU "DÉVERSEMENT DE BONS SENTIMENTS ET D'ALTRUISME" DANS LES CHANSONS DE L'EUROVISION

Evidemment, depuis la hauteur du pigiste oeuvrant sur papier glacé, il faut évoquer avec un air de dérision convenue les “bons sentiments” et “l’altruisme” émanant des chansons de l’Eurovision.

Valeurs nécessairement sirupeuses et irréalistes pour des journalistes de “haute volée” qui se consacrent volontiers aux noirceurs autrement plus consistantes et crédibles de notre monde pataugeant dans la boue... Voilà un bel exemple du cynisme et de la corruption d’esprit des médias se disant “sérieux” !

Une presse trop grave, trop impliquée, trop professionnelle pour parler des “bons sentiments” et de “l’altruisme” avec cette même déférence accordée à la politique, à l’économie, à l’armement.

Le regard moqueur que portent ces médias cravatés, érudits, officiels sur les “bons sentiments” et “l’altruisme” est révélateur de l’état d’esprit institutionnel de la société.

A leurs yeux tout chanteur sacrifiant son image dans l’arène de l’Eurovision en brisant les codes de l’intelligentsia afin d’y délivrer un message “doucereux” de paix, de fraternité, de “bons sentiments” et “d’altruisme”  est un sot, un naïf, le bouc-émissaire autorisé des rieurs.

Tandis que celui qui au lieu de gratter sa guitare béatement sous les caméras de l’Eurovision dégoulinantes de “bons sentiments et d’altruisme”  tue pour défendre des mensonges étatiques et l'autre qui parle de déployer des troupes martiales pour telle ou telle raison sont tellement plus raisonnables...

Il est facile de railler les “bons sentiments” et “l’altruisme” benoîts colportés par les troubadours.

Beaucoup plus estimable est de rétablir l’éclat souillé de la BONTÉ, du BIEN, du BEAU, de la VÉRITÉ comme je tente de le faire à travers le présent article avec ce panache follement désespéré des âmes authentiquement idéalistes.

Panache que certains esprits bien-pensants qualifieront de “ridicule”.

VOIR LES DEUX VIDEOS :

https://rutube.ru/video/7232966b33715f8eefb6ac2af259ee43/

mardi 14 mai 2013

991 - Deux légumes

Assise depuis le matin près de la fenêtre, la vieille fixe le vide. Le regard placide, le front terne, la bouche bée, l’air bête.

Son retraité de mari se tient pareillement au fond de la pièce, sagement installé devant le saladier qui trône au centre de la table bien cirée, les bras sur ses genoux, à attendre tout comme elle. Ses mains viennent se poser entre les couverts et se figent, comme si l'instant devenait crucial. Mais, rien n'arrivant, le vieillard sénile les retire pour aller imbécilement réajuster la position de sa chaise. Essayant de se caler, il entreprend laborieusement l'exécution d'une série de petits bonds. Ses minuscules sautillements rendent le tableau encore plus pathétique. Sa tête se tourne tantôt vers les carreaux, tantôt vers la comtoise, puis revient se fixer sur le récipient de verre. L’extrême lenteur caractérise ses gestes ponctuant les heures qui coulent, car c’est bien en termes d’heures qu’il faut considérer ces non-évènements...

Ils attendent quoi ?

Que le temps passe, sans doute.

L’horloge est au coeur de la scène, remplissant la demeure de son âme morbide.

- Tic, Tac ! Tic, Tac !

C’est le néant qui leur parle.

Protégés par leurs frileuses habitudes, ils se sentent pleinement dans leur élément.

Parfois la femme s’exclame, les yeux levés vers le ciel qui se couvre : “Ha ben tiens regarde donc ça l’René, y’a le ciel qui s’couvre !” Sa voix morne fait l’effet d’une couche de poussière déposée sur une toile d’araignée.

Et l’autre de répondre, comme pour se rassurer de pouvoir meubler lui aussi l’espace inerte : “Ah ! ben, c’est vrai ça dis, la Germaine ! L’ ciel y s’couvre dis-donc !”

La pendule acquiesce.

De ses balancements de mort, elle accompagne chaque parole creuse, chaque pensée insignifiante, chaque mouvement stérile de ce couple sans vie.

- Tic, Tac ! Tic, Tac !  “Y a l’chien du voisin qui aboie dis l’René, t’as t-y entendu ça ?”- Tic, Tac ! Tic, Tac ! “La Germaine, c’est d’main dimanche ! Ca passe-t-y bien vite la semaine ! ” - Tic, Tac ! Tic, Tac !

Dès le crépuscule, après un tour de cadran interminable passé à ne rien faire et des dizaines de milliers de “Tic-tac, tic-tac”  dans les oreilles, c’est le moment fatidique de la soupe. Le grand rendez-vous de la journée.

Il leur faut plus d’une plombe pour la réchauffer, avaler leur assiette cuillerée après cuillerée, patienter encore un peu, puis faire la vaisselle. Ce sont les centaines de minutes du jour achevé qu’ils re-dégustent ainsi tard le soir. Avec une mollesse de réflexion calculée, consciencieusement ils ressassent leurs mortels non-événements à travers chaque once du bouillon.

Une double peine. Ou double jouissance, eux-mêmes ne savent pas trop s’ils se complaisent ou se morfondent dans leur confort de prudence et de tranquillité mêlé de paresse intellectuelle...

Une chose est sûre : les aiguilles de l'imposant réveil auront toujours le dernier mot sur leurs échanges de navets. En effet, l'entité mécanique qui les observe depuis presque un siècle veille scrupuleusement sur leur existence végétative.

Tel un visage austère incrusté au mur, elle ne les quitte pas de ses douze chiffres inquisiteurs. Son allure funèbre plaît d'ailleurs beaucoup aux deux reclus. Pareille à une ombre spectrale, elle les écrase de son omniprésence. 

Jamais ils n’oublieront de la remonter avant d’aller se coucher.

Comme pour mieux préparer, à travers ce rituel de sclérosés, d’enterrés, de névrosés, les arguments imparables de ses tic-tac qui le lendemain donneront tort et raison à leurs propos de légumes roulant à petit feu vers un potager de marbre où tout finira dans un silence... définitif.

dimanche 12 mai 2013

990 - L'amour chez les homosexuels n'est que tromperie !

L’homosexualité devrait être décemment vécue dans la clandestinité.

Sauf que de nos jours il est de bon ton de revendiquer ses tares, travers et outrances sexuels et d’en tirer une fierté déplacée.

Le mariage des sodomites est une pure obscénité parée du vernis de la tolérance et du respect des différences. Ce n’est ni plus ni moins que la pornographie de la république dévoyée, prostituée à la cause des lobbys homosexuels et féministes.

L’homosexualité masculine (la moins avouable à mes yeux car la plus répugnante, mais c’est parfaitement subjectif je l’admets) devrait être vécue dans la décence, la discrétion, voire le total secret au nom du respect de l’ordre établi et de la tradition hétérosexuelle dominante.

Et nul n’a le droit de m’empêcher d’éprouver de la répugnance face à l’homosexualité masculine ainsi exhibée, revendiquée, socialement assumée à travers ses revendications décadentes.

L’argument de l’AMOUR avancé par les homosexuels pour justifier leur délire de mariage n’est qu’ILLUSION, voire MENSONGE.

L’amour véritable n’a rien à voir avec leur commerce charnel et affectif de bas étage.

Ils ne savent pas ce qu’est l’amour, ces gens qui pour défendre la cause homosexuelle en pervertissent le sens profond car le vrai amour c’est l’altruisme, c’est l’amour de son prochain, la fraternité, l’amour christique, c’est l’amour désintéressé de l’Humanité et non ces moeurs dégradées érigées en autel sacré !

Ils confondent l’AMOUR avec la vulgaire, banale, confortable CONJUGALITÉ qui n’est qu’une attirance charnelle, animale, un besoin physiologique et psychologique à la portée de n’importe quel pervers en manque de nouvelles expériences sexuelles ou de célibataire en mal d’affection.

L’harmonie conjugale est la forme la plus primaire de l’amour, accessible au premier égoïste venu. Cet amour ne requiert pas d’effort ni aucune élévation, tandis que l’Amour véritable est l’apanage des grandes et chastes âmes.

Ces homosexuels qui parlent d’amour ne parlent en réalité que de conjugalité, preuve de leur manque de consistance et de la nullité de leur raisonnement.

http://www.youtube.com/watch?v=rcOLGu6nGhM

989 - Vive la discrimination !

La discrimination est naturelle, universelle, elle fait partie de l'ordre essentiel des choses.
 
Elle permet de se protéger, de sélectionner ses relations, de mettre de salutaires et parfois définitives barrières entre les pommes saines et les pommes pourries. Certaines personnes mal intentionnées ont voulu donner un sens péjoratif à ce terme afin de servir les intérêts abusifs des sodomites, des faux pauvres, des femmes, alors qu'en fait la ségrégation est une nécessité absolue, dans tous les domaines.
 
Aux entrées des restaurants, des théâtres, sur le terrain de l'embauche, etc., si une personne sent mauvais, se présente les fesses à l'air ou est mal habillée, on lui interdira immédiatement et fermement l'accès des lieux, c'est une mise à l'écart tranchée et je ne vois pas en quoi cela est choquant. Accepter de côtoyer sans discernement tous les infectés, les délirants, les égarés, les lépreux, les dangereux malfaisants, c'est cela qui est choquant, irresponsable, criminel.
 
On ne mélange pas les chiffons avec les serviettes, un inversé n'est pas un hétérosexuel, un sujet sain de corps n'est point un malade contagieux, un être honnête n'est nullement un escroc, je ne vois pas en quoi il est choquant de faire une séparation morale, hygiénique, sociale,  physique ou géographique entre certaines catégories d'humains.
 
Je ne me laisserai pas sodomiser par les lobbys aux valeurs frelatées. Je suis là non pour bêler béatement avec le troupeau de moutons que l'on tond mais pour combattre l'iniquité de ces dictatures de la pensée, violeuses de consciences et de sensibilités.
 
Je refuse, au nom de cette conception corrompue de la tolérance, qui en réalité est une malsaine licence, de faire le jeu de cette pieuvre LGBT, féministe, gauchiste gangrenant la société !
 
Je ne veux pas abdiquer face aux délires de ces pervers dénaturés qui prennent leur anomalie sexuelle pour une norme à faire accepter par tous.
 
L'égalité entre les unions homosexuelles et les couples procréateurs n'existe pas.
 
C'est une illusion, une farce, un mensonge, un mirage, une hérésie, une aberration, un faux débat politique.
 
Une grande partie de la communauté gay est manipulée par des chapelles impies qui leur font avaler des énormités. Elles les caricaturent et les humilient, pour dire la vérité. Et ces pantins prennent tout cela au sérieux.
 
Demain nos descendants riront de cette aberration du siècle comme nous rions aujourd'hui des croyances et moeurs absurdes du passé.
 
N'est-ce pas un immense dérèglement de l'esprit qu'un homme puisse en arriver à dire de la manière la plus normale qui soit : "Attendez je vais demander son avis à mon mari !" ?
 
Grotesque.
 
Ces groupes de pression sont en train de mettre des jupettes dans la tête des mâles et eux, le plus sérieusement du monde, revendiquent ce "droit" de pouvoir déambuler dans la rue habillés en tutu tout dignement juchés sur leur rose trottinette...
 
Au nom d'un idéal de nivellement général de la raison et de la folie, du beau et du laid, du bien et du mal.