vendredi 23 janvier 2015

1095 - France : effondrement d'une civilisation ou d'une génération ?

Nous constatons tous la chute historique du niveau scolaire de la jeunesse française depuis plus d’une quinzaine d’années.

Se confronter à la lecture de phrases produites par des lycéens, et même par des bacheliers, devient une tâche de plus en plus pénible. Il n’est plus rare, en 2015, de devoir déchiffrer leur écriture désastreuse pour tenter de comprendre leur pensée maladroite, confuse, pleine de lacunes. Et parfois sans queue ni tête, tant leur indigence est abyssale. Cette génération souffre d’une misère atypique, inimaginable depuis l’instauration de l’école obligatoire : la déculturation.

Le gros des troupes juvéniles se compose aujourd’hui de semi-analphabètes.

L’orthographe consternante -devenue norme officieuse- de cette dernière sève du pays est particulièrement révélatrice d’un échec pédagogique à l’échelle nationale, pour ne pas dire civilisationnelle.

A qui la faute ? Comment la France en est-elle arrivée là ? Certains verront une corrélation entre cette catastrophe orthographique et la multiplication des écrans... Je n’en sais rien, mais le fait est là : l’Education Nationale est devenue une usine à cancres.

Face à ce bilan navrant, tout esprit normalement structuré se demande, incrédule, déconcerté, comment l’école peut accorder ses palmes à des élèves ne maîtrisant que difficilement -ou absolument pas- les bases élémentaires de l’écrit, de l’oral, de la réflexion, et les faire ainsi monter en grade du CP jusqu’au BAC, désarmés, ignorants, lourdement handicapés avec leur orthographe du niveau de sous-CE1...

C’est bien connu, la réalité est souvent pire que l’imaginaire : qui aurait osé imaginer il y a quarante, trente ans que le lycéen lambda français serait incapable de rédiger trois lignes sans commettre quatre, cinq, six fautes en moyenne ? Non pas des erreurs anodines mais des incongruités énormes, des carences structurelles, des âneries aux racines profondes !

Nous en sommes là et ce n’est pas un rêve mais la réalité. Comme pour le mariage entre homosexuels : risible chimère il y a a quarante ans, banalité pour ce siècle !

Je pense que nous n‘avons pas encore touché le fond. Le pire est à venir, et je me réjouis déjà de cette descente de notre société dans les abîmes de la bêtise et de l’avilissement qui, fatalement, au dernier moment, d’un coup de pied désespéré et salvateur contre ses propres ordures, nous fera tous remonter vertigineusement.

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vendredi 9 janvier 2015

1094 - Les intégristes de la laïcité

Les adeptes de l’athéisme laïque pourfendeurs des religions, censeurs acharnés des signes manifestes d’appartenance religieuse ont leur système dogmatique à eux mais n’en ont point conscience.

Ces progressistes christianophobes qu’irrite la vue d’un crucifix dans les lieux publics se permettent, eux, d’arborer sans complexe leurs chapelets et cierges ostentatoires lors de manifestations de masses sur la voie publique : drapeaux rouges, badges aux couleurs du “FRONT DE GAUCHE”, écharpes oranges et depuis tout récemment, étendards noirs aux lettres criardes “JE SUIS CHARLIE”... 

Leur Dieu s’appelle "la pensée unique". Leur évangile est le mariage pour tous, l'avortement, le féminisme...

Ils jurent s’être libérés de la mentalité “arriérée” des catholiques et pourtant ils ont leurs chapelles, leurs rites, leurs vins et leurs hosties.

Ils ont remplacé la traditionnelle piété des églises par leur flamme idéologique à eux. 

Ils allument des bougies à leurs fenêtres sur invitation de leurs grands-prêtres jouissant d'immenses privilèges médiatiques, brandissent leurs icônes saintes aux effigies des dessinateurs de CHARLIE HEBDO, communient avec les agences de presse aux idées unilatérales savamment orientées en direction de leur bref cervelet, sanctifient le sang menstruel de leurs femmes émancipées, boivent avec avidité les humeurs fétides de leurs innombrables déviances...

Ils ont leur système de quête surtout : un million d’exemplaires de CHARLIE HEBDO, en tirage spécial, s’écoulent en quelques heures dans leur vaste secte dédiée à la divinité ovine... 

Quiconque se montre hermétique, réticent à leur “grande ouverture d’esprit” est à leur yeux un “facho”, un dangereux réactionnaire, un rescapé du Moyen-Âge. 

Avec leurs certitudes d’athées et leurs vues passionnément matérialistes, ce sont des fanatiques doctrinaires, même s’ils ne le savent pas. 

Leur bible se nomme, pour la résumer, GAUCHISME.

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1093 - Pourquoi je suis censuré ?

Si comme le prétendent mes détracteurs je ne cesse de dire des âneries, des insanités, des mensonges au sujet de la société et que c’est bien à cause de cela que je suis partout censuré, je leur réponds que si tel était réellement le cas, jamais je n’aurais été muselé de la sorte. En effet, qui dit des idioties se discrédite de lui-même. Nul ne s’est jamais senti obligé de censurer le fou, l’ignare, le délirant, l’ivrogne, le clown : ce que chante l’âne tombe fatalement à l’eau et on en rit.

Non, c’est bel et bien parce que je dis la VÉRITÉ que j’ai été banni du débat public.

Vérité qui sonne de façon discordante par rapport aux bêlements unilatéraux et quasi obligatoires d’un peuple aux cerveaux violés par le matraquage gauchiste, pris en otage par la pensée médiatique dominante. C’est cette disharmonie que me reprochent mes accusateurs.

On ne censure que la vérité.

Ce n’est pas le faux qui fait trembler mais le vrai. Si ma pensée était vraiment absurde, inepte, insignifiante, on ne m’empêcherait pas de l’exprimer, elle passerait tout simplement inaperçue, nul n’y prêterait attention.

Mes adversaires de la pensée unique ne combattent que ce qui est dangereux pour eux, pas ce qui est inoffensif.

Toutes ces précautions prises à mon endroit en hauts lieux, ces barrières dressées contre ma parole, ces barbelés autour de ma plume sont autant de preuves que brille sur mon front une couronne et non que je porte un nez rouge.

Aucun contradicteur ne rit de mes prétendues sornettes, au contraire tous s’en indignent.

La vérité est une flamme qui brûle l’ivraie. Une flèche qui perce la mollesse. Une lame qui tranche sans fard. Un fer qui redresse les bois tordus. Une lumière qui élimine l’artifice. Une épée séparant le jour de la nuit. Une tempête dispersant les fumées.

Bref, la vérité est une arme qui ne blesse que les tricheurs.

Soral dans une plus grande mesure que moi incarne cet évangile que les corrompus veulent diaboliser.

Si Soral est si totalement censuré, c’est bien parce que les rayons de cet astre magistral représentent le plus grand péril pour ces théoriciens de l’ombre gauchiste qui aliènent les esprits faibles dans leur secte laïque.

Si Soral est lui aussi si dangereux pour notre société, si indécent, si subversif, si révoltant et si insupportable à voir, à entendre, si difficile à chasser de nos esprits, c’est parce que sa seule alliée, c’est la vérité.

Toute nue.

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