jeudi 26 novembre 2020

1619 - Le gauchisme, c'est l'obscurantisme

Ce siècle est tombé dans le chaos de la pensée gauchiste, c’est-à-dire de l’obscurantisme le plus épais, de la crétinerie la plus outrancière.

La plus révoltante aussi, tant les conséquences de leurs divagations idéologiques sont désastreuses pour l’élévation de l’Homme car les tempéraments faibles, les êtres influençables, les âmes très tôt formatées sont sans défense face à ces singes déguisés en savants avant-gardistes.
 
Jamais une époque n’aura été aussi sombre pour l’intelligence. Nous vivons le naufrage de l’esprit. L’extinction des lumières.
 
Ces arriérés qui se croient progressistes sont en effet persuadés que l’homme peut se changer en femme, qu’une femelle peut se transformer en mâle, qu’un enfant né avec les attributs masculins pourra choisir de demeurer garçon ou bien devenir une petite fille !
 
Profonde est leur imbécillité.
 
Les plus élémentaires vérités biologiques sont remises en cause, tournées en dérision et même pourchassées avec acharnement par ces fous furieux !
 
Désormais, oser affirmer qu’un homme est un homme et une femme une femme, à leurs yeux cela tombe sous le coup de “l'incitation à la haine en raison du sexe”... Leur chasse aux sorcières consiste à combattre les lois universelles, intemporelles, inaliénables de la génétique et à diaboliser leurs défenseurs.
 
Inédit dans l’Histoire humaine de la bêtise !
 
Les adeptes de la secte du mensonge, de la folie, du faux, de l’erreur érigés en doxa souffrent d’un aveuglement ahurissant ! Un enfant de quatre ans pourrait sans peine pulvériser leurs croyances abracadabrantes.
 
Ils sont mentalement si diminués qu’ils prônent la parentalité homosexuelle à tout prix... Le sommet de la civilisation, pour eux, c’est que deux bougres ou deux tribades élèvent leur “progéniture”. Leur rejeton, autrement dit une entité puérile sortie non d’un ventre maternel mais un monstre ni mâle ni femelle issu de leurs concepts tordus...
 
L’égarement de ces barbares est total.
 
De même, leur attardement psychique est tel que sans rire le moins du monde, ils désignent un congoïde typique pour incarner un habitant traditionnel de la Bretagne ou élisent une Zaïroise de pure souche aux traits négroïdes marqués pour représenter Miss Suède...
 
Leur délire se situe, comme on le voit, à un très haut niveau.
 
Le pire, c’est qu’ils prétendent être “modernes” alors qu’ils chutent vertigineusement dans les abîmes de la rétrogradation pour se noyer dans les fumées de l’absurdité !
 
Même chez les tribus primitives, de mémoire d’éveillé, on n’a constaté de telles ténèbres.

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samedi 21 novembre 2020

1618 - Rien à vendre

Je ne veux rien vous vendre.

Seulement vous offrir mes pensées les plus vraies, vous montrer l’éclat du ciel et la beauté des étoiles, vous faire aimer les nuages filant dans les airs et les brumes mystérieuses flottant dans l’horizon, vous rappeler l’immensité du Soleil et la gratuité de la vie.

Je n’ai rien à vous proposer en échange de votre argent.

Je ne veux que la clarté de vos fronts, le prix de vos mots et la richesse de vos silences, le contenu de vos coeurs et l’or de vos sourires.

Ne m’achetez rien car pour vous je n’ai que du vent.

Celui de l’esprit et de la liberté : c’est la tempête de la plaine et le souffle de la folie, des flots de rêves et des flux d’ivresses pour tous les oiseaux du monde.

Gardez vos numéraires, pièces et billets, je n’en veux point.

Contre tout ce que je vous donne, je ne veux que vos regards tournés vers l’infini et vos mains ouvertes sur le bonheur.

Le seul paiement que je puis accepter de votre part, c’est votre lumière.

Je n’ai rien à monnayer et tout à partager.

Ne vous étonnez pas de ces trésors qui tombent sur vos têtes, que vous n’attendiez pas, dont vous ignoriez même l’existence sur cette Terre, si loin de vos comptes en banques et de vos salaires, de vos possessions matérielles et de vos belles assises sociales...

Si je vous les destine de manière si désintéressée, si généreuse, si spontanée, c’est parce que je vous aime d’un amour vrai, vous mes frères humains.

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mardi 10 novembre 2020

1617 - Chanson d'amour

Parce que je suis un tonnerre d’âpre virilité, je vous destine mes flèches de fer, de feu, de fou.
 
Sans fleur, sans mélodie... Mais sans tiédeur non plus.
 
N’espérez de moi nuls mots tendres. Ni caresse ni baiser mais silence de pierre et geste magistral.
 
Mon coeur de loup ne connaît que l’étreinte de l’affamé. Une faim de vous, une soif de ciel.
 
Une envie d’infini, une fièvre de lumière.
 
Vous n’aurez de moi que des mots de rage, des rêves d’orage, des braises d’or et des rats morts.
 
Un bouquet d’étoiles mêlées de crachats. Devant vous, femme, je bave de la flamme.
 
Je ne fais pas dans la dentelle mais dans la tempête.
 
N’est-ce pas cela que vous appelez “l’amour”, Madame ?

Ce doit être cela oui car, loin de pouvoir vous dire en face que je vous aime, je vous adresse cette lettre écrite avec ma poudre, ma poutre et ma foudre.

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samedi 7 novembre 2020

1616 - France d'hier

Qu’il faisait bon vivre en France !
 
Je parle de ce pays perdu, de cette terre devenue rêve, de ce ciel évanoui, de cet empire révolu où régnaient la liberté, la beauté, l’intelligence...
 
Je la revois cette France passée que j’ai connue, enfant...
 
C’était avant tout un azur, un olympe, un élysée... Un jardin peuplé de gens heureux. Semé de promesses palpables et fleuri de miracles sous le soleil de la prospérité.

Avec la sève des beaux esprits issue de ses sillons.
 
Dans ce royaume des clochers, l’on pouvait chanter des paillardises en toute innocence, sourire dans la rue, parler de tout et de rien sans offenser ni la loi ni les voisins. Et d’un simple bonjour transmettre aux autres la lumière de son coeur au lieu de porter un masque hideux sur le visage.
 
Les mots interdits n’existaient pas. Les idées volaient sans entraves. Les pensées brillaient comme des étoiles.
 
Nul ne pouvait voiler le firmament sacré du droit d’expression. Les français d’alors ne muselaient point leurs paroles face à des ombres malveillantes...
 
Le chant des coqs de Gaule, léger, joyeux, spirituel, résonnait dans un air sain : la contradiction se réglait autour d’un petit blanc, non dans des tribunaux rouges.
 
Pas de lobbys accusateurs, pas de minorités influentes, pas de pervers patentés, pas de menteurs assermentés pour châtier les Francs et bafouer leur honneur !
 
Les villages ressemblaient à des paradis. Vivants, vrais, frais.

Le boulanger ensoleillait les matins des villageois avec son pain chaud. La journée, le bruit des petites industries se mêlait aux rires des écoliers. Le soir, on allait chercher le lait à la ferme, munis de laitières en zinc... Sous les platanes de la place, centre de l’Univers, se croisaient les hommes, s’enflammaient les âmes, cancanaient les femmes.
 
Et les villes avec leur noyau intact et leurs quartiers encore authentiques s’apparentaient à des villages.

La France en réalité était tout simplement la culture du bon sens, le siège du bonheur, le foyer des français.

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dimanche 1 novembre 2020

1615 - Les caricaturistes de Mahomet

CE TEXTE N'EST PAS UNE ALLÉGEANCE Á L'ISLAM MAIS PLUTÔT UNE CONDAMNATION DE NOTRE RÉPUBLIQUE IRRESPECTUEUSE DES CROYANCES DE CHACUN

Pour notre république si fière de ses couleurs laïques et si prompte à défendre ses valeurs prétendument humanistes et universalistes, le sommet de la vertu civique consiste à... INJURIER LES MUSULMANS.

Mais pas que les mahométans. Tous les adeptes des autres croyances également... 

Gratuitement. Par pure provocation. Pour le plaisir de jouer avec le coeur des hommes comme on joue avec des allumettes.
 
Bref, aux yeux de cette démocratie qui prétend incarner le modèle politique le moins imparfait et éclairer le monde de ses pseudo lumières du progrès, la priorité n’est pas de considérer les religions avec égard mais avec mépris.
 
Et de le faire bien savoir. Et d’insister. Et d’appeler "LIBERTÉ" le souhait délibéré de faire mal à autrui, de porter préjudice aux fidèles, de transgresser ce qui est sacré pour les autres.
 
Avec cette ignoble désinvolture érigée en éthique suprême.
 
Autrement dit ses sentiments les plus choisis envers les cultes ne sont pas la courtoisie mais le sarcasme, la raillerie, l’offense.
 
Cette république, qui se croit meilleure que tous les autres systèmes, place donc l’outrage au-dessus du respect !
 
Et ainsi au nom de sa dignité, de son drapeau, de sa morale, la république française estime avoir le droit et même le devoir (puisque rien ni personne ne l’oblige à le faire) de blesser deux milliards d’humains...
 
Belle mentalité !
 
Il me semble que la première des corrections d’un Etat est, au contraire, le respect des convictions intimes de chaque individu, de chaque peuple, de chaque culture.
 
Personnellement je mesure la grandeur d’une société non pas à sa volonté acharnée de heurter la sensibilité des dévots mais, tout à l’opposé de cette vilenie, à sa bienveillance à leur égard.
 
On n’exige pas des incroyants de lustrer le Coran, on leur demande juste de ne pas sciemment le couvrir de boue.
 
Pour leur défense, ces êtres malfaisants qui caricaturent le Prophète mettent en avant le “droit républicain de blasphémer”.
 
Leur désir de meurtrir les âmes des islamistes est révélateur de la nature profonde de ces provocateurs et incitateurs à la haine : sombre, malveillante, indécente.
 
J’estime pour ma part qu’il y a plus urgent que le “droit au blasphème”, c’est le droit de laisser en paix les hommes pieux. Le droit ne ne pas nuire aux autres. Le droit de faire preuve de noblesse, de politesse, de compréhension, d’amabilité à l’adresse de nos frères humains.
 
Certes la critique du dogme musulman n’est pas interdite.
 
Il nous est permis, nous français, que l‘on soit chrétiens ou athées, laïques ou non, de contredire les disciples des principes coraniques. Je défends cette attitude légitime faisant partie du débat public, selon les choix spirituels de chacun.
 
Oui il est autorisé de s’opposer aux islamistes. Sans pour autant se sentir obligé de les humilier dans ce qu’ils ont de plus cher.
 
Ca s’appelle avoir l’esprit chevaleresque.
 
La liberté d’expression ne doit pas se doubler de la nécessité d’insulter, de déshonorer, de profaner.
 
Notons que ces mêmes ardents défenseurs du “droit au blasphème” sont les premiers à crier à l’intolérance et au “fascisme” dès lors que l’on se rend “coupable”  de la moindre petite “indélicatesse” envers les abus, aberrations, viols de consciences, dégueulasseries contre-nature et multiples indignités commis par les LGBT !
 
Pour les caricaturistes de Mahomet, le bien et le mal existent.
 
Le bien, c’est de glorifier leurs vices. Le mal, c’est d’honorer la piété des autres.
 
Sous prétexte que leurs cibles sont des musulmans, et sous cette seule excuse, ils jugent que ces gens doivent recevoir leurs flèches en plein visage, comme s’ils les méritaient, comme ça, pour rien... Comme si leurs souffrances à eux ne comptaient pas !
 
Et ces dessinateurs, parce qu’ils s’adonnent au sacrilège avec l’assentiment de la république, se prennent pour de beaux esprits, se croient à la pointe de la pensée, s’imaginent être parvenus à l’apogée de la Civilisation...
 
Ils disent n’être qu’humour et amour, en réalité ce sont des bombes de méchanceté. Acclamés par nos dirigeants.
 
Fauteurs de troubles à l’ordre mondial.

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