dimanche 20 décembre 2020

1627 - La banquise, ça fond aussi

Les écolos-hystériques s'étonnent de découvrir que la glace, ça fond !
 
Ils sont incrédules devant le constat de la vie qui est perpétuel mouvement, sempiternel changement, incessante évolution...
 
Pour eux un glacier qui s'effondre, se dissout, s'évapore, c'est une catastrophe planétaire. Bientôt ils vont pleurer de désespoir chaque année à la période du dégel en France...
 
Les environnementalistes de gauche sont en effet persuadés que les éléments sont figés pour toujours sur Terre, que rien ne bouge, que l'eau ne se transforme pas, ne se mélange jamais, reste constamment limpide, demeure éternellement de la neige, de la vapeur ou à l'état liquide.
 
Oui la banquise s'adapte, oui les déserts avancent ou reculent, oui la roche s’use... Même les montagnes bougent ! Mais les adeptes de la friche immuable sont tellement fanatisés par leur religion à la chlorophylle qu'ils en arrivent à se convaincre que l'érosion est une calamité en soi...
 
Pareillement, à leur yeux, un jardin est fatalement un outrage à la nature. Pour la seule raison qu'il est issu de la main de l'homme. Autant dire un crime contre la verdure... Selon leurs critères, tout fruit du génie humain est nécessairement une sorte de corps étranger à l’Univers qui ne devrait pas exister. Ils considèrent la civilisation comme une corruption du monde créé, un blasphème envers leurs dieux des jachères...
 
Pour ces arriérés amoureux des ronces, des cailloux et des baies sauvages, véritables défenseurs de l’existence primitive, tout ce que produisent les primates doués de raison sont des “pollutions”.
 
Surtout leur respiration de bipèdes qui, à travers leur analyse, seraient artificielles et incongrues dans le paysage terrestre... Selon leurs concepts tordus, un animal, une plante, un minéral seraient parfaitement légitimes mais absolument pas un représentant de notre espèce ! Effectivement, un être qui pense a le malheur d’agir sur son environnement... Et ça, pour les adorateurs des broussailles, c’est anti-naturel.

La simple idée de dominer leur espace vital les horrifie : ils préfèrent s'en faire les esclaves.
 
Les écolos-alarmistes sont des insensés sclérosés dans leurs certitudes d'une planète pétrifiée, incapables qu'ils sont de concevoir le chant de la glaise et la danse des étoiles.

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1 commentaire:

  1. Excellent. J'adhère complètement, l'homme est bien l'être qui parfait la nature. Ce n'est pas parce qu'il y a des spéculateurs sans scrupule qu'il faut penser à un écologisme absurde. R-V.

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