lundi 14 juin 2021

1665 - La féministe

La féministe est l’incarnation de l’angoisse.
 
Pour qui l’écoute, une source de problèmes insolubles et de stress intense.
 
C’est précisément la femelle faite homme. Ou plutôt anti-homme. Et même anti-femme.
 
Bref, un noeud inextricable de confusions, de réflexions, de questions... Sans autre réponse que la querelle, les pleurs, les cris.
 
Née terre fertile, elle exige de pouvoir enfin accéder au statut de la triomphale stérilité ! Ce qui est bien le signe de son abyssale bêtise...
 
Elle ne vit que pour la rébellion, le duel, la subversion, l’opposition. Le parfait passeport pour la névrose, l’aigreur, la solitude, le naufrage et le malheur.
 
Elle voue son existence à se dénaturer : son flambeau est le néant.
 
Cette contestataire délirante a vraiment tout pour déplaire au mâle normalement constitué. Et ça marche d’ailleurs très bien puisque la suffragette hystérique est un authentique repoussoir. La chose la moins aimable au monde aux yeux du galant.
 
Un blasphème sur pattes.
 
Elle crache, hurle, menace, revendique, se plaint, se fâche.. Pour se sentir exister en tant que révoltée contre ses propres gènes, elle souhaite jouir du droit de mort sur les fruits de sa matrice.
 
Et se pose en éternelle victime...
 
Pour “l’émancipée”, la grossesse est une dégradation de son être. Devenir une épouse, le malheur de toute une vie. Faire des enfants, un outrage ! Les élever, la plus grande misère de sa condition ! Etre cataloguée “mère de famille”, la honte suprême ! La fidélité au foyer, l’esclavage ! Faire la cuisine, une offense ! Repasser la chemise du conjoint, le summum de la déchéance !
 
Quant à ses règles, ça la rend totalement folle à lier !
 
En somme être une femme est pour elle une vraie calamité.
 
C’est la raison pour laquelle elle finit toujours divorcée, avortée, aliénée, botoxée, usée, jetée, gâtée, oubliée, raillée.

En un mot, déréglée.

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