lundi 23 mai 2022

1824 - "Comme ils disent", chanson d'Aznavour

Une belle chanson, certes.
 
Mais pernicieuse quand on y réfléchit, car elle inverse les valeurs et fait croire aux âmes faibles que l'erreur est loi.
 
Des paroles pleines de perversité mais bien emballées dans la musique pour mieux enfoncer le clou dans le crâne des apôtres du vice homosexuel.
 
"COMME ILS DISENT" ou l'histoire sordide d'un homme qui se prostitue dans des cabarets lors de soirées glauques à travers des numéros dégradants de transformisme ou de travestissement... Et qui appelle cela mener une vie "d'artiste". (Alors qu'en réalité l'art n'a rien à voir avec ce genre d'exhibitions avilissantes issues des bas-fonds de la culture...) Et qui, sans aucune honte, ose revendiquer la respectabilité de son métier tout en "lapidant" les gens sains d'esprit (qu'il a d'ailleurs "dans le nez")... C'est-à-dire, les hétérosexuels qui ont la mauvaise idée de se moquer de sa fiole, lui le sodomite dépravé. Ces gens normaux donc, qu'il a dans le nez et qu'il taxe par conséquent de "pauvres fous" et d'incarnations de la "bêtise", juste parce qu'ils s'amusent de ses manières efféminées !
 
L'inversion des vérités est ici amenée de manière subtile et efficace grâce à la maîtrise implacable du théâtre émotionnel (dramatisation sentimentale soutenue par une gestuelle qui fait mouche), lequel est parfaitement rodé (le music-hall excelle dans ce domaine). Le chanteur embobine bien vite son auditoire et la complicité s'opère. L'interprète sait habilement faire tirer les larmes de son public, lequel est évidemment acquis.
 
Relisez donc le texte de cette oeuvre avec attention et surtout sans vous laisser aveugler par le romantisme artificiel que l'auteur (AZNAVOUR) essaie d'y introduire...
 
Qui accepterait le sort prétendument louable de cet inverti se donnant en spectacle sous les néons crus de la débauche en tentant de se faire passer pour un "artiste" ? Et qui, comble du dérèglement, est fier de son existence minable, la glorifie et veut même faire passer ses détracteurs pour des arriérés...

Bref, moi je ne marche pas dans la combine et je dis haut et fort : vive la saine hétérosexualité ! Certes ma défense de la norme naturelle est moins joliment empaquetée que les roucoulements scéniques d'Aznavour.

Elle est également moins bien reçue par les masses embrigadées par les lobbys adeptes des pratiques contre-nature.

Mais elle est plus respectable que cette valorisation déplacée et éhontée de l'homosexualité. Même si je n'utilise aucun violon pour clamer mes idées, j'ai le mérite de défendre la cause hétérosexuelle avec courage et droiture.

Je laisse les faux diamants et autres séductions du mensonge aux lâches, aux tordus, aux timorés qui préfèrent être bien vus avec leurs doctrines dans l'air du temps plutôt qu'être blâmés avec des pensées élevées, justes, vraies.

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