Cet article est de Xavier Louis de IZARRA (frère de Raphaël Zacharie de IZARRA, auteur de ce BLOG). Les lecteurs qui le souhaitent pourront s'adresser à lui à cette adresse : xavier_de_izarra@yahoo.fr
Je ne supporte pas les féministes.
Leur vision de l'homme est tellement partisane, caricaturale et simplette qu'elle en est hilarante.
Spirituellement parlant, une femme est un enfant, un humain inachevé, un être qui ne sait pas communiquer autrement que par ses larmes et ses émotions.
Une femme ne raisonne pas, elle ne sait pas raisonner, elle ne saura jamais raisonner. En revanche elle s'ébat, elle babille, elle s'émeut, elle pleure. Elle est une chose sans consistance, variable, qui fond telle une guimauve à la moindre larve écrasée. Dans toutes les civilisations et depuis l'origine de l'homme, on ne trouve aucune femme de la dimension de Moïse, Bouddha, Jésus, Mahomet.
Dieu est un mâle. Il ne s'est pas incarné en fifille en jupette mais en un homme. Le Père, le fils et le Saint Esprit ne sont pas des pisseuses évaporées, mais des hommes posés, puissants et dominateurs.
Plaignez-vous à Dieu de vous avoir fait femme. Avant d'être sous la coupe des mâles, vous dépendez avant tout de votre physiologie : c'est vous qui portez les enfants, qui allaitez, qui subissez vos règles et vos montées hormonales. L'hystérie (étym. utérus) est typiquement féminin.
C'est Dieu qui vous a créées ainsi parce que - au même titre que la création tout entière - vous êtes au service de l'homme. Vous êtes un jardin stérile que l'homme féconde. Vous êtes des calebasses creuses que l'homme remplit de Semence et d'Intelligence. Toutes les femmes du monde entier baissent leur petite culotte pour recevoir la paire de couilles qui leur manque. La femme, cette chose futile, passe sa vie à cacher ce qu'elle n'a pas. Seuls les imbéciles s'y laissent prendre.
Vous les femmes, vous êtes des animaux à domestiquer pour servir l'Homme. Bénissez l'homme votre maître qui daigne vous aimer. Vous êtes condamnées à récurer vos fonds de casseroles, à repriser nos vieilles chaussettes, à recevoir la domination du mâle sans broncher et à lui préparer de bonnes soupes. Comme toutes les femelles soumises, vous avez pondu des petits, vos hormones vous triturent la cervelle et votre utérus vous gouverne.
Et quand votre Homme reviendra de ses conquêtes galantes, vous lui baiserez les pieds avec amour.
Xavier Louis de Izarra
28 commentaires:
Quelle famille !
Très drôle en tout cas. J'ai beaucoup ri.
On ne pleurniche pas tout le temps, vous voyez !
filledemnemosyne,
Vous faites partie des rares femmes à avoir un sens de l'humour assez élevé pour savoir rire des plus âpres vérités.
Raphaël Zacharie de IZARRA
.... Vérité... en tout les cas, je ne vous croyais pas si... comment dire... mysogine ? Mais le terme me parait faible.
En tout les cas, ce qui est curieux, c'est que moi enfant, je me trouvais normal, mais je trouvais que ce qu'avais les garçon étaient comme un bout de '' tissue '' qui dépassait... comme une anomalie... j'ai jamais eu de complexe, face à ce truc pendouillant entre les deux jambes, que je trouvais .. au contraire... inutile. Alors Freud, avait une vision qui était totalement propre à sa religion.
je crois tout simplement que vous avez sans cesse besoin d'attention, et vous utilisez souvent pour cela, la provocation.
Cet article est de Soumise Louis de IZARRA (soeur de Raphaël Zacharie de IZARRA, auteur de ce BLOG). Les lecteurs qui le souhaitent pourront s'adresser à lui à cette adresse : Soumise_de_izarra@yahoo.fr
Je ne supporte pas les hommes.
Leur vision de la femme est tellement partisane, caricaturale et simplette qu'elle en est hilarante.
Spirituellement parlant, un homme est un enfant, un humain inachevé, un être qui ne sait pas communiquer autrement que par la violence.
Une homme ne raisonne pas, il ne sait pas raisonner, il ne saura jamais raisonner. En revanche il s'ébat, il frappe, il rote, il se croit intelligent. Il est une chose sans consistance, variable, qui fond telle une guimauve à la moindre femme passé. Dans toutes les civilisations et depuis l'origine de la femme, on ne trouve aucun homme de la dimension de Athéna, la vierge marie etc.
Dieu n'a pas de genre. Il ne s'est pas incarné en hohomme avec un boumboum. Certainement, Dieu se rapproche plus de la femme, par ses qualité de procréateur.
Plaignez-vous à Dieu de vous avoir fait homme. Avant d'être sous la coupe des femelles, vous dépendez avant tout de votre physiologie : c'est vous qui défendez la tribu, qui allaitez, qui subissez vos pulsions sexuelles et vos montées hormonales. la violence est typiquement masculin.
C'est Dieu qui vous a créées ainsi parce que - au même titre que la création tout entière - vous êtes au service de la femme. Vous êtes un jardin stérile que la femme acceuil en ses terres fructueuses. Vous êtes des canons à merde que la femme recoit et transforme dans son entre pure et riche de d'Intelligence. Toutes les hommes du monde entier baissent leur petite culotte pour touché l'inestimable. L'homme, cette chose futile, passe sa vie à devenir fou et à faire une obsession de cette endroit unique . Seuls les imbéciles s'y laissent prendre.
Vous les hommes , vous êtes des animaux à domestiquer pour servir la femme. Bénissez la feme votre maître qui daigne vous aimer. Vous êtes condamnés à récurer vos fonds de pistolets, à repriser vos cadavres, à recevoir la domination de la femme sans broncher et à lui aller chercher l'argent. Comme toutes les hommes soumis, vous avez été lacérés par les autres males, vos hormones vous triturent la cervelle lorsqu'une femme passe et votre penis vous gouverne.
Et quand votre femme reviendra de ses conquêtes galantes, vous lui baiserez les pieds avec amour.
Drôle aussi.
Moi, j'ai un penchant pour le gorille charmant, je l'ai déjà dit.
La vérité c'est que le sexe n'est pas le déterminant de l'être.
Et compartimenter en fonction des attributs une erreur.
Personne n'est supérieure à une autre.
Ni les hommes aux femmes, ni les femmes aux hommes.
Les mouvements dits de libération en ce sens sont ridicules.
Au regard de l'humanité, chaque sexe a un rôle à remplir.
L'inclination vers l'un ou l'autre naturelle.
La sexualité est nécessaire et salutaire. Nos origines animales sans doute. Et la reproduction bien entendu.
Mais le sexe, l'activité sexuelle qui gouverne les individus, qu'ils le veuillent ou non, n'est rien au regard de l'Amour.
Un instant de félicité certes, mais tellement bref par rapport à la plénitude, au fait de respirer avec les poumons de l'autre pour l'Éternité.
"Mais le sexe, l'activité sexuelle qui gouverne les individus, qu'ils le veuillent ou non, n'est rien au regard de l'Amour. Un instant de félicité certes, mais tellement bref par rapport à la plénitude,"
Vous ne devriez parler que de ce que vous connaissez.
Trouvez-vous donc un talentueux amant en chair et en verge. Ainsi, intellectuellement, vous rédigerez moins d'idiotie à connotation frigide.
Vénus
Pauvre anonyme,
Pensez vous que la frigidité soit source d'émotion et de poésie?
Que la démarche artistique, qu'elle soit ou non une réussite, soit compatible avec la glace.
C'est un volcan plutôt!
Qui dort chez certain, qui bouillonne chez d'autres
Chez moi en tout cas.
Désolée de vous décevoir.
Un amant de chair ne m'intéresse point. Je ne dors pas seule et en ce domaine j'ai déjà ce qu'il faut. Et cela me suffit.
La quête spirituelle de l'Amour dépasse ces considérations terrestre qui ne nourrissent que quelques minutes (ou plus selon les jours et mon état de fatigue!)
L'Amour lui rassasie éternellement, il comble.
Comme la sincère amitié d'ailleurs.
Et en ces domaines aussi, j'ai ce qu'il faut.
Et là est mon essentiel.
Je ne veux pas être vulgaire, j'ai horreur de cela, mais je dirai que c'est là que je prends mon pied.
Parce que l'Amour est la victoire sur l' adversité comme il l'est sur la fuite du temps.
Sentimentale.
filledemnemosyne, ou devrais-je dire miséreuse Cosette...
Vous vous trouvez belle à mouiller sur le virtuel au lu du premier badaud qui passe et que votre commentaire non dénué d'ignorance a amusé...
Sous couvert de savoir à peu près écrire (ne soyons pas exigeant) comme tout un chacun, chacune surtout...sur Internet... vous déversez vos chers phantasmes, espérant sans doute qu'ils arrêteront le premier prince qui passe. Erreur petite Cosette, erreur... Seul un benêt de la braguette et un pauvret de l'intellect se laissera prendre à votre piège de petite rate sentimentale.
Il est amusant à lire ce blog. J'y reviendrais sûrement.
Eros
Seule l'encre coule...
Merci de trouver que je sache à peu près écrire...
Je me moque bien du reste.
Et merci pour " le premier Badaud" qui passe.
Si Raphaël était un badaud, je ne déserterai pas le lit conjugal et je ne passerai pas mes nuits à le lire.
Et je ne suis pas la seule à le faire, croyez moi.
Quand à mon prince virtuel, c' est un vagabond et il vous emm....!
En colère.
Raphaël,
Je vous demande de m'excuser de m' être emportée de la sorte.
Ce n'est pas là pas un langage qui m'est coutumier.
Sauf quand je suis en colère.
filledemnemosyne,
Prenez garde ! Si vous avouez publiquement quitter la douceur de la légitime alcôve pour aller savourer les âpres caresses de ma plume, vous allez alimenter l'ire stérile -et comique, il est vrai- de Sélim !
Raphaël Zacharie de IZARRA
filledemnemosyne
"Je me moque bien du reste".
On dit ça, on dit ça.
Tous vos commentaires disent différemment...
"Si Raphaël était un badaud,"
je n'ai à aucun moment évoqué le possesseur de ce domaine virtuel. Décidemment mignonnette, le seigneur de ce lieu vous a envoutée...Sa plume de paon sans doute ??? Quel Dom Juan !
Il faudra que je pense à le féliciter...
"Quand à mon prince virtuel, c' est un vagabond et il vous emm....!"
Allons allons ! ne prenez pas la parole pour les autres petite. C'est d'un commun insoutenable. Quant à la grossièreté, je ne suis pas preneur de poulette virtuelle en manque d'affection et d'écriture raffinée.
La littérature est réellement en péril sur le Net et vous y contribuez chère petite écrivaillonne. Reprenez donc vos cours de littérature jeunette plutôt que de vous amusez à flirter sur le Net. Vous aurez bien le temps de le faire lorsque vous serez une grande et jeune belle femme cultivée.
Eros
A/ On dit ça, on dit ça.
Ces répétitions me rappellent quelqu'un.
B/ je n'ai à aucun moment évoqué le possesseur de ce domaine virtuel.
Exact. J'ai lu trop vite avec les yeux de la colère. Je m'en suis rendue compte après coup mais j'ai répondu l'essentiel, en tout cas ce que j'avais envie de dire. C'est le principal.
C/Allons allons ! ne prenez pas la parole pour les autres petite.
Cela confirme ce que je pense.
On ne peut parler que d'une situation que l'on connait n'est ce pas?
D/ Enfin, j'ajouterai qu'il n'est pas qu'une seule personne capable de faire tomber les masques.
Izarra sait forcer le trait mais moi aussi.
Je n'ajouterai qu'un seul et dernier mot.
Dommage.
Je n'ai strictement rien compris à votre commentaire.
Pour s'octroyer un tel pseudo "filledemnemosyne" faut-il encore s'en montrer digne sur le plan littéraire.
Eros
filledemnemosyne,
A travers cet Anonyme vous avez visiblement affaire à un acerbe mais éminent contradicteur !
Il a raison pour l'essentiel : la littérature est réellement en péril sur le NET. Mais Dieu merci ! IZARRA est là pour relever le niveau général.
Raphaël Zacharie de IZARRA
Je pense que si je n'en étais pas digne, vous ne vous acharneriez pas ainsi sur moi et sans raison d'ailleurs.
Vous êtes jalouse ?
Pas de quoi!
Vous ne comprenez pas mon commentaire?
L'intelligence n'est pas donnée à tout le monde.
Izarra vous désigne comme Selim ?
Je ne crois pas.
Pas que vous ne soyez pas Selim, ou Marie, ou Véronique ou je ne sais qui encore.
Ce que je ne crois pas, c'est en l'infidélité de Selim.
Quand on a suivi les commentaires concernant la Palestine d'il y a quelques semaines, il est incompréhensible que Selim soit toujours là. Même en détracteur actif.
On reste quand on aime. Non ?
Et pourquoi Selim s'en prendrait il à filledemnemosyne comme ça, Subitement?
Alors que leurs échanges étaient cordiaux.
Qu'ai je pu dire pour déclencher un tel courroux ?
Je déteste ce genre de situation.
Sachez-le.
Je clos ici la discussion. Qui que vous soyez, vous n'en valez pas la peine.
Fleur.
Raphaël,
D'accord pour l'essentiel, le péril et tout ce que vous voulez concernant votre art mais il est hors de question que je me laisse insulter de la sorte.
Et sans raison en plus.
Raphaël,
Vous appelez "contradicteur" une personne abjecte qui profère des insultes gratuites...? Pas moi.
Je ne veux pas être vulgaire donc je ne dirai pas comment je nomme ce genre d'individu.
Liliana,
Vous avez raison mon amie, vous êtes toujours d'excellent conseil et êtes sage.
La colère est mauvaise conseillère et ce triste individu masqué de haine ne mérite que de la pitié.
Même le dédain serait encore lui accorder trop d'importance.
Je clos définitivement le sujet.
C'est vrai que le texte de M Izarra bis valait le détour et m'a beaucoup amusé.
C'est le principal.
izarra et sa cours de femmes qui croient que la nature dictent leurs ''place '' dans la société.
C'est quand même hallucinant a quel point les femmes sont en premier leurs propres ennemies...
De toute manière, je ne vois pas comment vous pouvez voir une qualité littéraire dans ce texte, ou ces textes... il n'y aucun travail, et surtout celui-ci... Vous avez un potentiel, mais chez les fainéants, sa ne sert à rien. c'est 1 % de talent.. 99 % d'efforts.
Et il ne suffit pas que d'avoir un vocabulaire élaboré...
Hermano... Hermano Izarra. Voyons donc,Diesperta ! Tu dis NADA, . Te aimes les mujeres.
uomo delle caverne
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