La féministe est l’incarnation de l’angoisse.
Pour qui l’écoute, une source de problèmes insolubles et de stress
intense.
C’est précisément la femelle faite homme. Ou plutôt anti-homme. Et même
anti-femme.
Bref, un noeud inextricable de confusions, de réflexions, de questions...
Sans autre réponse que la querelle, les pleurs, les cris.
Née terre fertile, elle exige de pouvoir enfin accéder au statut de la
triomphale stérilité ! Ce qui est bien le signe de son abyssale bêtise...
Elle ne vit que pour la rébellion, le duel, la subversion, l’opposition. Le
parfait passeport pour la névrose, l’aigreur, la solitude, le naufrage et le
malheur.
Elle voue son existence à se dénaturer : son flambeau est le néant.
Cette contestataire délirante a vraiment tout pour déplaire au mâle
normalement constitué. Et ça marche d’ailleurs très bien puisque la suffragette
hystérique est un authentique repoussoir. La chose la moins aimable au monde aux
yeux du galant.
Un blasphème sur pattes.
Elle crache, hurle, menace, revendique, se plaint, se fâche.. Pour se
sentir exister en tant que révoltée contre ses propres gènes, elle souhaite
jouir du droit de mort sur les fruits de sa matrice.
Et se pose en éternelle victime...
Pour “l’émancipée”, la grossesse est une dégradation de son être. Devenir
une épouse, le malheur de toute une vie. Faire des enfants, un outrage ! Les
élever, la plus grande misère de sa condition ! Etre cataloguée “mère de famille”,
la honte suprême ! La fidélité au foyer, l’esclavage ! Faire la cuisine, une
offense ! Repasser la chemise du conjoint, le summum de la déchéance !
Quant à ses règles, ça la rend totalement folle à lier !
En somme être une femme est pour elle une vraie calamité.
C’est la raison pour laquelle elle finit toujours divorcée, avortée,
aliénée, botoxée, usée, jetée, gâtée, oubliée, raillée.
En un mot, déréglée.
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