Les enfants, éternels parasites de l'humanité, sont les pires ennemis des causes admirables, des esthètes et de la poésie en général. Un morveux ne saurait apprécier le génie de Kant, ni celui de Pascal, encore moins la lumière d'Einstein. Allez donc faire comprendre à une de ces créatures débiles, puériles et infiniment vaines que E = MC2...
Ces chiots n'entendent rien à la raison, ni à la technique ni à la pensée des énarques, des politiques, des savants ou des théologiens. La philosophie les laisse absolument froids, stupides, et leurs regards imbéciles à l'évocation de Spinoza en dit long sur l'état de leur minuscule cervelle... Parfaitement insouciants, stériles, superficiels : ce sont des arriérés par nature.
Ces nabots immatures ne savent pas écrire. Ni lire ni compter. Ils ne savent pas courir aussi vite ni sauter aussi haut qu'un adulte. Ils ne savent en fait rien faire comme les gens sérieux... Ce sont des sortes d'infirmes, des handicapés moteurs et mentaux, des êtres irresponsables, bref une engeance pitoyable.
Les chiards sont le fléau de l'espèce bipède, le frein des civilisations, les boulets de nos sociétés modernes où ils pullulent.
Incapables de survivre par leurs propres moyens, ils réclament moult soins, maintes attentions... Et nous gaspillons un argent fou, un temps précieux à les nourrir, à les éduquer et même à les ébaudir. C'est que ces monstres ne se contentent pas d'absorber les énergies vitales des sociétés qu'ils parasitent, et cela juste pour se maintenir en vie, engraisser et croître... En plus ils exigent de la gent mûre des soins inhérents à leur nature infantile !
Figurez-vous qu'il leur faut encore des activités ludiques... Un comble. Que d'énergie, de temps, d'argent consacrés à nourrir leurs désirs futiles, leurs fantasmes ineptes, leur imaginaire insane ! Rien que des choses vouées au néant. Au service de ces bruyants oisifs, les personnes matures aliènent leur chère liberté, se laissant sucer le sang par ces vampires en culotte courte. Que d'énergies investies à perte qui pourraient être dépensées avec fruit !
Hommes et femmes encore libres de ce pays mes frères, faisons front contre ces cafards, mettons-les hors d'état de nuire, extirpons-les de nos villes, boutons-les hors de nos terres, chassons-les de nos coeurs !
Libérons les grands de l'oppression des petits.
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