La fameuse crise dont les médias et les politiques nous rebattent les oreilles n’a jamais existé, je ne cesse de le répéter. Surtout auprès de ceux qui se persuadent d’en être les victimes.
Une des plus éloquentes illustrations de cette chimère : les “vacances de la crise”. (Je n’invente rien, je viens d’entendre à la radio cette énième énormité relative à la crise.)
Les “vacances de la crise”, autrement dit le luxe des gagne-petit et même des chômeurs censés ne pas avoir accès au superflu... Un luxe dont bien des gens fortunés se refusent soit par manque de temps, excès de travail ou simplement par désintérêt pour les futilités.
De cette société de geignards repus sont donc nées ce qu’on appelle les “vacances de la crise”...
En quoi consiste cette aberration ?
Voilà, c’est simple : les "victimes de la crise" vont chercher les meilleurs prix sur INTERNET.
Les pauvres tapent sur leurs claviers les mots magiques qui leur ouvriront les portes des avions les moins chers, des destinations les plus économiques, des formules de voyage calculées au rabais... Ils confirment les opérations informatiques et bancaires sur leurs téléphones portables. Ils se fournissent dans des “magasins de crise“ pour s’équiper à prix abordables en bagages, skis, lunettes de soleil, etc. avant leur départ...
Les abus sont d’une indécence inouïe. Mais qui est encore capable de les voir ? Abus de langage, abus de lamentations, abus de désirs inutiles, abus de luxe que l’on fait passer pour une priorité.
J’ajoute que certains de ces “pauvres” sont des fumeurs. A raison de 6 euros le paquet de tabac, un fumeur ordinaire qui consomme quotidiennement 20 cigarettes paye son vice 180 euros par mois, 2190 euros pour une année.
Comment peut-on se faire passer pour des victimes de la crise quand on a le privilège d’être abonné à INTERNET, au téléphone portable et qu’en plus on part en vacances ?
(Rien qu’avoir la cigarette aux lèvres est un luxe en soi. Fumer un paquet de cigarettes par jour, cela équivaut à se payer cinq abonnements INTERNET à la fois. Mais ceci est une simple digression.)
La crise est décidément beaucoup plus morale que matérielle dans cette société d’assistés éternellement insatisfaits... Tous ces jouisseurs mécontents de leur sort, ingrats envers le système bienfaiteur qui les engraisse et qui se prétendent victimes de la crise m’écoeurent singulièrement.
La crise n’existe pas et que celui qui soutiendra le contraire ne vienne pas défendre sa cause avec une cigarette entre les doigts et un téléphone portable dans la poche !
VOIR LA VIDEO :
http://www.dailymotion.com/video/xmaogj_la-crise-est-un-luxe-indecent-raphael-zacharie-de-izarra_news
VOIR LA VIDEO :
http://www.dailymotion.com/video/xmaogj_la-crise-est-un-luxe-indecent-raphael-zacharie-de-izarra_news
4 commentaires:
Liliana, tu abuses pas du pinard de l'aude toi ? et allezzzzz ne mens pas on le sait que tu t'ébahis devant les feux de l'amour avec un chti verre à la main :)
"la dance classique" sic!!!!!
Anonyme,
Oui,la DANCE classique : Liliana est roumaine.
Elle commet parfois des fautes, c'est compréhensible.
D'ailleurs un jour elle a involontairement inventé un très joli mot, je ne sais plus malheureusement, je crois qu'il était basé sur BALADIN.
Raphaël Zacharie de IZARRA
J'aime votre plume et la pertinence de vos réflexions. Vous me faites penser à un ami qui s'appelait Pierre et a eu la bien mauvaise idée de mourir d'un cancer...des poumons.
Ne me remerciez surtout pas pour ce modeste encouragement, cela me décevrait et me laisserait penser que tout cela est feint.
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