Ce texte n'est pas de moi mais de mon frère XAVIER-LOUIS DE IZARRA
J'aurais aimé qu'il fût de moi.
Raphaël Zacharie de IZARRA
Le travail est réclamé par les esclaves à tel point qu'ils séquestrent leur patron pour travailler et souffrir toujours plus.
Voyez les syndicalistes de la CGT, prêts à tout pour se prostituer.
Le travailleur veut du travail et des chaînes ? Qu'on lui en distribue autant qu'il le souhaite !
Autrefois le travail était considéré comme une déchéance, aujourd'hui c'est devenu un honneur.
Comment appelle-t-on une personne qui donne son temps, son corps et sa vie pour de l'argent ? Une prostituée tout simplement.
Les travailleurs sont donc des putes, des esclaves consentants et heureux de l'être...
C'est à peine croyable : les patrons (les pensants) ont réussi à modeler le cerveau des moutons (les exécutants) !
Nombreux sont ceux qui tombent dans le piège.
Contrairement à ce que vous pensez, le travailleur ne travaille pas pour les autres mais d'abord pour lui-même. C'est avant tout un égoïste.
Il me semble donc tout à fait moral et honnête que les esclaves nourrissent les esprits supérieurs en leur versant une pension.
On ne peut pas se prétendre élite et se salir les mains comme le peuple.
Au lieu de chercher du travail vous les chômeurs, profitez plutôt de votre vie en contemplant avec amour les sous-hommes qui travaillent pour votre confort.
Et n'ayez aucun scrupule puisqu'ils sont tellement conditionnés qu'ils vous méprisent.
Je ne suis pas ironique, juste humaniste parce que je veux purifier la Terre de ses esclaves.
C'est plus fort que moi, mais j'aime les humains.
Je ne suis pas ironique, juste humaniste parce que je veux purifier la Terre de ses esclaves.
C'est plus fort que moi, mais j'aime les humains.
Je ne veux plus que les hommes cherchent à trimer comme des machines.
Or le seul moyen de les réveiller est de les mépriser, de les fouetter, de leur botter le cul comme on le fait envers celles et ceux qui rabaissent l'humanité à travailler. Je pense notamment aux prostituées, aux pauvres, aux nazis, aux gauchistes, aux pédophiles, aux syndicalistes, bref aux criminels en tout genre.
Les ouvriers sacrifient leur vie pour de l'argent qui leur permettra d'accéder au paradis illusoire du confort matériel. Pauvres types ! Minables ! Cocus !
Rendre grâce à ces imbéciles d'ouvriers, c'est les encourager dans leur vice, c'est les inciter à marcher sur l'enfer, c'est les aider à mourir sans dignité.
Participer à la richesse de l'humanité n'est pas de savoir tourner des boulons, mais de cultiver l'art de vivre.
Révoltez-vous Travailleurs de tous pays, ne courez plus à l'usine, cassez vos chaînes, et accédez enfin à une vie plus simple, minimaliste sans télévision, sans gadgets, sans vos tocs qui pourrissent vos âmes.
6 commentaires:
Une pute, un salarié, c'est du pareil au même, ils sont dénués de morale, ils sont capables de proposer leurs services en suppliant un exploiteur, un pédophile, un zoophile, un nazi, un psychopathe, tant que ces clients peuvent payer car pour eux le client est roi. Effectivement, la dénomination de sous-hommes, de masochistes, leur convient tout à fait.
Pour cela, il eut fallu que les fruits soient accessibles à tous. Que les enclos soient détruits et que le partage soit l'unique règne.
Comme le disait Jean Jacques!
Cela arrivera peut être un jour. Avec le retour des hirondelles.Amors, encore un peu de patience.
Triste merde, tu bouffes quoi? tu vis à poil? Tu squattes chez tes voisins?
Je vis du travail des autres.
En toute légitimité et légalité puisque le système me le permet. Et heureusement d'ailleurs que ce système existe sinon comment ferais-je pour vivre ?
Cela devrait-il me rendre moutonnier ? Devrais-je censurer ma pensée pour autant ? Dieu merci, non !
C'est ce qu'on appelle la LIBERTÉ.
Raphaël Zacharie de IZARRA
Votre réponse, comme la pensée qui s'y inscrit en filigrane peut se traduire de deux manières différentes.
petit un, vous êtes un opportuniste et vivez de votre art sans qu'il ne vous rapporte aucun sou puisque votre rente suffit à votre quotidien (donnez quand même la recette car 400 et quelques euros par mois, même moi qui ne suis pas dépensière, une fois payé les frais obligatoires, ça parait difficile de faire bouillir la marmite)
Petit deux...c'est du bluff!
Vous voulez vous montrer abject (d'ailleurs vous êtes très doué pour cela) et en agissant ainsi, vous montrez le négatif du système. Les uns travaillent, souvent dur et les autres profitent.
Par la bande, vous dépeignez les parasites, en les noircissant bien comme il faut. Vous faites ainsi le jeu de la droite.En faisant croire que vous avez déjà voté à gauche.
c'est vrai qu'il y a de l'assistanat. Que ce sont souvent les mêmes qui en profitent. Mais c'est aussi une assurance pour les accidentés de la vie de n'avoir pas à fouiller les poubelles le jour ou ils sont jetés comme des kleenex par les patrons du cac 40 qui ont envie de changer de yacht.
Plus je vous connais Monsieur Izarra, plus je pense que vous tentez de manipuler l'opinion. Sans avoir l'air d'y toucher.
ça doit être ça votre cause. Moi, je vous préfère en défenseur de la Poésie.
Claire Voyante,
Je ne suis pas abject mais tout simplement sincère, d'une franchise désarmante et pleine de courage.
En un mot, je suis lucide, objectif, réaliste.
Ce n'est pas de ma faute si les choses sont ce qu'elles sont, si la réalité telle qu'elle est vous déplaît.
Je ne cherche pas à défendre mes petits intérêts individuels mais la seule, souveraine, unique vérité.
Enfin je vous rappelle que ce texte n'est pas de moi mais de mon frère Xavier-Louis de IZARRA.
Raphaël Zacharie de IZARRA
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