Vous voulez publier vos "guimauveux" poèmes scolaires d'éternel pubère boutonneux ? Armez-vous d'illusions et de quelques boisseaux de bons sentiments bien sirupeux et allez chanter au premier auditoire venu le fameux refrain du poète incompris.
On fera semblant d'apprécier vos bonbons au miel ou pire encore, par manque de goût, ou pure imbécillité, on s'émouvra vraiment de cette confiserie d'amateur.
Bon courage !
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