Le gauchiste est un trouillard.
Il a peur de la lumière. Peur de l'harmonie. Peur du réel.
Peur des différences aussi, au point de vouloir tout égaliser, tout
niveler, tout aseptiser.
Il refuse que les autres puissent être plus grands ou plus petits que
lui.
Aussi, pour rendre anonymes ses semblables qui brillent, les ternir, les
abaisser au niveau de ses vues pitoyables, c'est-à-dire de ses pieds, il a
inventé l'antiracisme, le féminisme, les toilettes mixtes, la bisexualité, la
transsexualité, les femmes pompiers et les drag-queens...
Il a décrété le caractère interchangeable des sexes mâles et
femelles.
Mais il a aussi imaginé la "non race", c'est-à-dire la transparence des peaux
humaines, devenues incolores, inodores, invisibles, inexistantes.
Taboues même.
Avec le peureux de gauche, l'obésité, la vieillesse, la laideur n'existent
plus. A la place il n'y a plus que des "ronds" et des "rondes", des "seniors" et
des "physiques atypiques".
Les Noirs sont, pour le fuyard libertaire, des "Blacks". Autrement dit des
Noirs qui ne sont pas noirs pour ne pas les offusquer mais des Noirs quand même
qu'il ne faut surtout pas appeler "Noirs" mais "Blacks" parce que "Noirs" est
trop connoté "couleur noire". Ce qui serait "raciste", selon lui.
Alors il dit "Black".
C'est certes compliqué cette affaire mais il faut savoir que le délirant
anti-droite est un esprit particulièrement tordu.
C'est un pervers qui cherche les transgressions les moins évidentes, les
plus improbables. Il ne veut pas simplement violer les lois naturelles, cela ne
lui suffit pas. Non, lui ce qu'il souhaite, c'est la légalisation du viol de ces
lois naturelles. Afin que l'aberration soit reconnue, généralisée et ainsi
devienne universelle. Le progressiste voit en grand : il cherche à convaincre
l'humanité entière que la norme n'est pas la chose à l'endroit mais la chose à
l'envers.
Le chaos réjouit l'idéaliste aux idées retournées. L'ordre le rebute
viscéralement. Il est inadapté à la réalité, à la clarté du jour, à la vie
saine. La raison divine lui donne la chiasse. Il préfère la folie furieuse de
ses concepts inversés, contre-nature, comme une fuite sans limite et absurde de
la simple et intangible vérité.
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