samedi 30 août 2014

1072 - Ménagère de qualité

Réhabilitons la ménagère aimante et docile des années glorieuses du machisme triomphant !

L’épouse d’hier panthéonisée depuis des siècles par ses casseroles doit retrouver sa dignité perdue. Le féminisme ayant honteusement virilisé les filles de France, l’heure est venue de replacer Eve sur son trône naturel, la marmite, vêtue de son royal apparat, le tablier.

Les temps ont changé, le macho demeuré intègre veut voir réapparaître la femme authentique. Pour son confort, sa mâle plénitude, son honneur et la préservation de son identité, le cerf nostalgique cherche la biche originelle.

C'est au foyer que la reine de la poêle et de l'évier à vaisselle s'épanouira véritablement.

Après avoir utilement oeuvré et médité derrière ses fourneaux, l’élue du dominant troquera la blouse et la serpillère pour la dentelle fine et l’échancrure généreuse afin de séduire son époux (souvent las de ses bavardages) qu’elle entraînera avec amour dans l’alcôve bien époussetée et ainsi parfaire son rôle de femelle totale.

C’est à dire de cuisinière, blanchisseuse, championne du tricot et amante fatale.

La compagne du lion doit, pour la gloire de l’art culinaire, le maintien de la tradition couturière et la postérité de la phallocratie, abandonner sa cuirasse frelatée de suffragette, baisser sa petite culotte et laisser le porteur de crinière lui magistralement féconder les flancs.

Engrossée, la rebelle sera bien vite rattrapée par les lois naturelles : il s’éveillera en elle le goût de l’aiguille et du dé à coudre et elle s’initiera avec joie aux secrets de la confection des meilleures potages.

Telle est la conjointe de qualité que l’esprit sensé et honnête souhaite rétablir dans sa fierté congénitale dénaturée par les sirènes hystériques de l’émancipation féminine.


VOIR LES TROIS VIDEOS :


https://youtu.be/-_CvnsRkWo4

http://www.dailymotion.com/video/x41u98v

http://www.dailymotion.com/video/x41aoaz

http://www.dailymotion.com/video/x24w0sy_menagere-de-qualite-raphael-zacharie-de-izarra_webcam

vendredi 29 août 2014

1071 - Sade, le vide et la bêtise

Alors qu’ils se persuadent d’avoir des préférences élitistes, les apôtres de la fange Sadienne ont en fait peu d’esprit.

Il a toujours été de bon ton, afin de bien montrer qu’on se place très au-dessus du commun des lettrés, de trouver des séductions intellectuelles et philosophiques aux auteurs les plus infréquentables, des charmes aux esprits les plus noirs.

Au nom d’un impérieux -et incompréhensible- souci de protection, de sacralisation, de glorification de ce genre de pensée, l’idée de mépriser, critiquer, rejeter l’enfer des bibliothèques est insupportable à ces adeptes de l’ordure ! Surtout si cette “pensée” est en réalité du vent déguisé en souffle, c’est à dire une non-pensée parée des atours de la vérité.

Plus les oeuvres sont sombres, plus les sots admirateurs en sont éblouis.

Ces “fins lecteurs” se croient supérieurs, au-dessus de la mêlée, profonds et avisés sous prétexte qu’ils sont plus prompts à trouver du sens, de la réflexion, de l’ivresse dans le néant, les ténèbres, la laideur et le mal que du pain chaud et de l’eau fraiche dans le sillon sage et droit de la plume salubre.

L’honnêteté les fait rire et fuir. La corruption leur donne des ailes, de la flamme, de l’envergure. Incapables de respirer l’air pur, ces dragons nourris des écrits sadiens ne peuvent plus cracher que du soufre. Le feu du Diable, c’est leur lumière à eux.

Encenser la féconde beauté du jour, se réjouir de la clarté du Soleil, chanter la vie simple, saine, sainte des êtres sans malice sont autant d‘offenses à leur “finesse”, à leurs vues “sophistiquées”, à leur rapport à l’écriture hautement cérébral, conceptualisé, politisé, décomplexé, déstructuré-restructuré... Autrement dit, vicié. Une belle masturbation neuronale en tous cas !

Ils tournent en dérision la littérature des bons sentiments et lustrent les livres les plus infâmes, assimilant l’expression de la vertu à la bêtise et l’étalage du péché à l’intelligence suprême...

Sade a écrit des choses fort sensées. Et chié beaucoup de merde.

En quoi ces déversements d’excrément apporteraient-ils du poids à ses pages les plus claires ? Sade qui ne manquait pas de jugement aurait pu écrire des livres propres. La crasse qu’il y a introduite y est totalement superflue, gratuite, elle n’a pas d’autre justification que les graves dérèglements mentaux de l’écrivain.

Ce qui est déplorable -mais également risible-, c’est que des cerveaux faibles voient une oeuvre, voire un chef-d’oeuvre, dans ces anecdotes psychiatriques, je veux parler des innombrables digressions pathologiques de Sade, et théorisent à l’infini sur ce qui n’est finalement qu’un amas de scories psychiques, le vulgaire cancer mental d’un pauvre malade en proie à ses incontrôlables délires.

Il a toujours été très aisé, à travers la transgression, de passer pour une âme rebelle, complexe et romantique, de jouer les vautours racés, les serpents ailés, les érudits ambigus.

mercredi 27 août 2014

1070 - Rééducation sexuelle pour tous

Simple rappel éclatant de bon sens commun, écrasant de vérité : l’organe reproductif mâle est fait pour s’unir avec le vase naturel de la femelle.

Autrement dit, chez les humains l’hétérosexualité est la norme sexuelle instaurée par la loi divine.

Non seulement le glaive de Mars est fait pour rencontrer la fleur de Vénus, mais son coeur est également conformé pour s’émouvoir de ses traits, de ses lignes, de ses courbes, de ses charmes. De la même façon, le caractère de l’oiselle a été conçu pour admirer le vol de l’aigle et son hymen pour recevoir le tonnerre de la virilité.

Chaque genre s’enflamme pour le sexe opposé, voilà un évangile universellement partagé à travers les artifices étonnants, les variétés extrêmes, les fantaisies extravagantes de la vie.

Hôtes de l’abysse, de l’onde, de l’air, de la flore, et même de l’inconnu sont faits pour engendrer, non pour blasphémer. Tous les êtres cherchent la voie royale de l’amour, toute sève monte vers la lumière,  partout le Soleil chante la Lune !

Il n’y a rien de plus beau, de plus glorieux, de plus miraculeux que la valse nuptiale des papillons dans l’azur de la Création.

Les contraires se complètent : la douceur est attirée par la force, le panache séduit le duvet, l’eau reflète le feu.

Et la braise qui embrasse l’écume, doucement, tendrement, enfante de nouvelles étoiles dans le firmament.

C’est pour l’immortalité des astres, et que brille à tout jamais le ciel, que les garçons aiment les filles et les filles aiment les garçons.

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mercredi 13 août 2014

1069 - L'homosexualité est une bénédiction

Non l’homosexualité n’est pas une maladie.

C’est même un signe d’excellente santé mentale.

L’homosexualité est rassurante : elle est la preuve que l’hétérosexualité n’est pas une sinistre fatalité, pas une affreuse singerie générationnelle, pas un horrible conditionnement machiste. Mais une option libératrice capable de faire salutairement détourner de leur cible prédestinée les flammes contestatrices du rebelle.

L’homme éduqué peut désormais échapper à l’emprisonnement de son genre, aux stéréotypes affligeants de ses ancêtres, à l’oppression de son sexe physique, bref au despotisme de l’hétérosexualité !

L’inversion sexuelle est une bénédiction tombée du Ciel des Droits de l’Homme pour l’heureux élu né sous la bonne étoile républicaine. C’est une grande joie pour les parents équilibrés qui découvrent l’orientation privilégiée de leur enfant.

C’est également une vraie richesse pour toute société soucieuse d’encourager les aberrations des minorités et de les élever au rang de modèle dominant, par esprit d’égalité de faire de l’exception la norme, heureuse d’inventer de nouveaux horizons génétiques et moraux afin de faire triompher les merveilles déviantes, les artifices sensuels, les modes intellectuelles, les avant-gardes sociales et autres “fantaisies” comportementales en vogue.


Bref, concurrencer l’infâme atavisme de la nature, détrôner Dieu -ce dictateur-, contester et violer ses lois immondes pour les remplacer par la tolérante, humaniste et tellement plus sympathique culture gauchiste...

N’oublions pas que la nature est fondamentalement fasciste et que l’hétérosexualité, la procréation, le modèle familial traditionnel sont les expressions les plus révoltantes, les plus grotesques et totalement anti-démocratiques du déterminisme hétérosexuel et qu’il faut combattre cet insupportable état de fait.

L’homosexualité est tellement souhaitable qu’elle génère bien des jalousies parmi les hétérosexuels.

L’homosexualité, il faut quand même le reconnaître, que l’on soit pour ou contre, c’est tellement plus original que la rigide, fade, traditionnelle hétérosexualité !

L'homosexualité, justement parce qu’elle est la panacée, le sommet des aspirations conjugales de tout être sexué, le modèle de la perfection matrimoniale par excellence, est intolérable pour certains hétérosexuels aigris qui, pleins d’envie mêlée de frustrations de ne pas être nés homosexuels, ressentent une grande injustice du sort !

Chose compréhensible : l’hétérosexualité est en effet devenue beaucoup trop banale, tristounette, décevante, ennuyeuse...

L'hétérosexualité fait naître des citoyens prétendument évolués pitoyablement conformes à une Création tyrannique aux conceptions tranchées. L'hétérosexualité décrète une ridicule séparation des sexes, ce qui est évidemment  indigne de nos raffinements, de nos nuances aménagées et vérités sur-mesure...  L'hétérosexualité rend ses adeptes esclaves de clichés millénaires.

Pour toutes ces raisons, l’hétérosexualité est la pire des injustices de ce monde.


VOIR LA VIDEO :

https://rutube.ru/video/35b3204d56684a8f68dc8e270547f0a5/

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jeudi 7 août 2014

1068 - Mon mea culpa

Soucieux d’entretenir des rapports sains et sereins avec mes détracteurs, autrement dit désireux de me réconcilier avec la Terre des hommes, avec la planète des vivants, avec notre monde moderne enfin -et surtout avec moi-même-, j’ai décidé de revoir de fond en comble mes idées, mon coeur, ma sensibilité politique et humaine.

Et de virer de bord au nom de la concorde générale et de mon évolution vers le progrès républicain démocratique..

Ce qui de ma part est une révolution intérieure, une révélation intime, un éblouissement douloureux mais salutaire. Et c’est dans un déchirement rédempteur que je me débarrasse des haillons gris et poussiéreux de la morale ancienne, me mettant brièvement à nu, pour revêtir les habits neufs, pimpants et fraternellement tricolores de la nouvelle éthique : le règne de l’absolue égalité, de l’ouverture de tous les droits pour tous, de l’abolition des moindres petites différences, de la chasse aux discriminations.

Et du respect d’autrui à travers l’auto-censure dans l’emploi de certains vocables du dictionnaire considérés comme trop choquants car c’est par l’usage et l’abus de certains termes politiquement incorrects que commence la discrimination.

Le constat est mortifiant. Il faut bien que je me rende à l’évidence : mon âme est pourrie par mes tendances fascistes.

Avec mes positions anti-avortement, anti mariage homosexuel, anti féministe primaire, je ne suis qu’un pauvre rétrograde, un arriéré ridicule, un horrible dictateur de la morale la plus étriquée et terriblement obsolète, un défenseur de valeurs périmées datant du Moyen-Âge...
Mea culpa.

Parce que je veux interdire aux homosexuels l’accès au mariage, un droit pourtant essentiel pour toute personne libre de ses choix vivant dans une société humaniste où l’égalité est un principe fondamental, je me montre égoïste et injuste.

Mais je veux changer. Je vais changer; Je change. Je suis changé.

Mea culpa.

Oui les hommes ont le droit de se passer la bague au doigt entre eux devant le maire, oui il est non seulement normal qu’il en soit ainsi dans un pays ouvert, un pays dont les habitants jeunes et vieux, pardon jeunes et “expérimentés”, adoptent les moeurs de leur temps, mais il est également beau de les voir s’embrasser tendrement sous les ors républicains...

Je m’imagine non sans émotion monsieur Soral embrasser amoureusement Dieudonné devant monsieur le maire... Ces deux grands homosexuels refoulés devraient oser se déclarer leur flamme je trouve, au lieu de convertir négativement leur inhibition homosexuelle à travers des propos de haine et d’intolérance... Je me figure encore Alain Delon se bécotant avec Jean-Paul Belmondo, deux affreux machos qui seraient unis par les liens doux et sacrés -mais réellement sacrés- de l’homosexualité décomplexée... Ce serait tellement beau ! Cela les rendrait plus authentiques, plus féminins je veux dire. Plus humains, plus tolérants, plus dans l’air du temps.

Surtout Delon, ce facho de la pire espèce ayant déclaré à la télévision sans la moindre hésitation que “l’homosexualité était contre-nature” !  Quelle horreur ce type ! Il devrait commencer par s’épiler, se mettre des piercings et fréquenter des boites gays. Enfin faire comme tout le monde quoi ! Il n’y a rien de si extraordinaire que cela de se faire sodomiser par ses copains. Il faut être de son temps quoi ! Ce n’est quand même pas compliqué de se fondre dans la masse. Malheureusement Delon préfère faire le malin, rouler des mécaniques en répandant son homophobie et ses idées réactionnaires... Dieu merci je ne veux plus être assimilé à cet esprit rétrograde. Moi je veux progresser.

Mea culpa.

Oui les femmes ont le droit de se débarrasser (pour un oui ou pour un non, peu importe car cela les regarde et c’est ça la vraie démocratie) de ce morceau de chair inutile que des inquisiteurs atrophiés de l’intelligence, souvent des religieux à la cervelle de moineau et au coeur sec parfaitement insensibles aux souffrances morales inouïes de la femme non désireuse d’enfanter, disent dotée d’une âme... Ils appellent même ce détritus “un homme en devenir” ! Non mais quelle blague ! Quels débiles ces intégristes ! Et dire que j’ai partagé leurs convictions d’un autre âge...

Mea culpa.

Le féminisme, ce droit inaliénable des femmes de devenir des hommes, cela va tellement de soi... Comment ai-je pu me dresser contre une telle évidence, une chose si naturelle, si saine, si juste ! Et inversement, à présent que j’ai changé de cap, je veux que les hommes aient le droit de porter des jupes dans la rue. Ca j’y tiens particulièrement ! Moi même cela faisait si longtemps qu’en secret je poursuivais ce rêve qui me semblait inaccessible... Car évidemment comme tous les garçons normalement constitués, non seulement je brûle d’être homosexuel, mais en plus je souhaite enfin pouvoir porter jupettes, petits souliers, soutien-gorge et bas en public. C’est tellement dans l’ordre naturel des choses que la question ne se pose même pas. Oui, j’ai le droit, LE DEVOIR (afin de montrer l’exemple aux autres mâles encore sous l’emprise des vieilles idées bourgeoises hétérosexuelles), de me vêtir des plus féminins atours dans les lieux privés et publics.

Il faut en finir avec mes idées oppressives d’hier ! Désormais je suis homosexuel, pro-avortement et définitivement féministe. Et je peux l’avouer, cela me fait un bien fou de me lâcher ENFIN ! L’expérience de la tolérance, vraiment quel pied !

Mea culpa, mea culpa, mea culpa.

VOIR LA VIDEO :

https://youtu.be/MjeZhKzXGCU

lundi 4 août 2014

1067 - Autre réponse à Pierre mon voisin

Pierre,

Ce n’est pas du tout une pirouette la réponse que je vais te faire, aussi contestable qu’elle te semblera, cette réponse est sincère, vraie, aussi concrète que le roc : ma poésie je l’écris de manière anecdotique sur mes blogs et autres farces fracassantes du NET, mais essentiellement sur le papier vif de mes jours qui passent. 

Je VIS la poésie avant que de l’écrire, je la vis de l’intérieur comme de l’extérieur. Ma vie terrestre est un interminable poème Pierre. Et ma mort sera le prolongement fulgurant et éternel de cette lyre que je suis. Je vis la poésie... 

Jusqu’au fond des poubelles que je sonde, parfois. Cette poésie est indicible et proche à la fois, formelle aussi mais souvent à mots couverts. 

Cette poésie mienne que tu dis molle, en réalité elle est glaciale, sereine et belle comme le givre. C’est ma conception de la poésie Pierre.

La poésie authentique m’éloigne de ces feux que tu crois sacrés et autres agitations temporelles vulgaires. Ma flamme à moi, elle est gelée, elle n’est pas rouge mais bleue, et si elle brûle c’est parce qu’elle est de glace, non de feu. 

Je me fiche de Rimbaud et de ses dérèglements “miasmeux”, ce n’est pas l’or que je veux mais l’azur. La Poésie ne prend pas aux tripes justement, elle s’adresse à l’âme. 

Et lorsqu’elle prend racine dans les tripes, comme dans la soupe aux légumes, elle s’en éloigne à l’infini. 

La poésie c’est, pour moi, s’extraire de la chair, des lois du temporel, sortir du temps pour planer bien au-dessus du plancher des vaches, à deux doigts de Dieu. 

C’est se doter d’ailes mystiques et s’élever jusqu’à l’absolue immatérialité, côtoyer l’essence des choses et ne faire plus qu’un avec le Verbe. Vois-tu, la poésie pour moi c’est l’accès à la virtualité, à l’impalpable, c’est ne plus toucher les atomes mais les traverser. 

1066 - Réponse à mon voisin Pierre

Pierre,

Rêver d’ailleurs, précisément c’est de cela dont il est question. 

Et on ne rêve bien de voyages verticaux que lorsqu’on est sous la Lune, hors des choses désirées, loin des étoiles, que l’on croupit dans un bon vieux trou de péquenauds, comme moi. Mais cette tombe depuis laquelle fusent mes rêves, moi je l’assimile glorieusement à une tour d’ivoire du haut de laquelle je morgue le monde, isolé comme le roi des cons -assumé- au milieu de l’escalier.

Oui il faut de tout pour faire un monde, même un IZARRA (car il n’y en a qu’un seul dans tout l’Univers) aux conceptions poétiques étriquées, fouilleur de poubelles, rouleur à vélo, railleur de Duponts et marchant à côté de ses vieilles pompes déglinguées qui font honte à son Isabelle. Et même obsédé par la vie secrète de son voisin, seul vrai centre d’intérêt immédiat de son existence de rat radieux depuis le départ de Coralie, ex-sujet d’études izarriennes.

Tu es né sur la terre plutôt que sous la lune. Soit. Alors va, la Terre entière est à toi, je te la laisse, tu as toute ta vie pour la parcourir, et même dépasser ses horizons de pluies et de vents, de soleil et de plomb. 

Moi j’ai l’éternité pour courir après les astres. 

Et cela, depuis mon simple escalier. A partir du trou du cul du monde, cela peut sembler paradoxal mais l’infini s’ouvre réellement à moi. 

Et ce ciel à explorer, il commence sous mes pieds. Tu es le point de départ de mon regard sur le Cosmos sans limite. C’est pourquoi tu es si essentiel, et en même temps si dérisoire, dans ma cosmogonie poétique.

Ma poésie Pierre, est une miette de lumière qui part de mon refuge de rongeur (je te rappelle que ton plafond est mon plancher et que symboliquement ton ciel est mon point de départ) pour s’élever vers l’Empyrée. Je me sers des soupes de la mère Chapogne, authentique carne de la vieille province pétrifiée pour, à partir des fulgurants contrastes qu’elles provoque en moi, faire surgir le feu olympien. La soupe aux légumes est le carburant de ma fusée lyrique.

Ma poésie, et tu le sais, prend racine dans ce XIXème siècle visqueux, rance, morbide, poussiéreux, étriqué, périmé, si souvent dénigré par mes détracteurs... En effet, c’est un petit pays, un patelin de bouseux, un repaire de ploucs qui pue la bouse de vache et les habitudes jaunies des pensionnaires d’hospices misérables, un patelin plombé par la torpeur, l’immobilisme, suintant la crétinerie ambiante et la gnôle locale, mais justement c’est de là que tout démarre, que tout naît, que tout commence, que tout germe, que tout s’élève, que tout évolue.

Bref, que tout s’allume et ne s’éteint JAMAIS.

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samedi 2 août 2014

1065 - Á Pierre mon voisin du dessous

Pierre, au nom de la Lyre, pour l'amour des muses, pour le salut et la gloire du Verbe, Pierre je te le demande, je t'en supplie, sers leur soupe poétique aux pauvres cons comme moi...

Pense à moi et aux autres, à moi et à ceux de mon ciel, à nous tous qui sommes nés sous la Lune plus que sur la Terre.

J'attends que du fin fond des potagers sidéraux l'on nous verse, à nous les réprouvés que le siècle condamne et affame, non pas un breuvage louche, acidulé, fluorescent aux saveurs métalliques, prétendument révolutionnaires, irréelles mais une bonne vieille soupe chaude et épaisse au goût de choux du père Anselme, de carottes de ton jardin et de patates de cette vieille carne avaricieuse d'Alphonsine !

Parce qu’elle vient de loin, qu’elle a la consistance des vraies légendes, la profondeur des temps vécus, la clarté des rêves éternels, le mystère des fumées oniriques, la marmite de petits légumes frais cuisinés au sel de Guérande, crois-moi, est plus incendiaire et agitatrice que les cris aigus de tes cordes sèches qui elles n’atteindront jamais les oreilles bouchées du père Grégoire, ce grigou puant qui sait mieux que personne dénicher ces coins miraculeux où éclosent les plus gros cèpes !

Pierre, j’aime particulièrement ton nom qui me rappelle tant de choses anciennes, belles et essentielles...

L’authentique poésie, Pierre, survit aux millénaires. Ne sème pas pour flatter les modes humaines. Ensemence plutôt pour plaire aux étoiles. Moi je brille. Je ne comprends pas ta plume mais je brille : c’est moi et le peuple du zénith que tu dois séduire -car depuis nos sommets immémoriaux nous sommes inextinguibles- et non pas ces buveurs de mensonges faits de toc et de paille qui se disent enfants du siècle !

VOIR LA VIDEO :

Liste des textes

2148 - Je suis de la droite honteuse
2147 - Les écrivains sont des poids morts
2146 - L’héritage de Clinchamp
2145 - Clinchamp, une histoire sans fin
2144 - Vent de mystère à Clinchamp
2143 - Ma cachette à Clinchamp
2142 - Randonnée à Clinchamp
2141 - Eclipse de Lune à Clinchamp
2140 - Un arc-en-Ciel à Clinchamp
2139 - Clinchamp sous l’orage
2138 - J’ai rêvé de Clinchamp
2137 - Jour de l’An à Clinchamp
2136 - Vacances d’été à Clinchamp
2135 - Attente à Clinchamp
2134 - Un jour ordinaire à Clinchamp
2133 - Or de France
2132 - La compagne des esseulés
2131 - Loup de lumière
2130 - Spleen
2129 - Le pitre
2128 - Les corbeaux de Clinchamp
2127 - Un homme heureux à Clinchamp
2126 - Le mouton
2125 - Des lutins à Clinchamp ?
2124 - Je suis fort !
2123 - Paroles prophétiques
2122 - L’égalité entre les hommes est injuste !
2121 - L’idéaliste de gauche
2120 - La femme est la monture de l’homme
2119 - Clinchamp sous la neige
2118 - Le Nord et le Sud
2117 - Pourquoi j’aime Clinchamp ?
2116 - Convaincre Blandine
2115 - Un couple de vieillards à Clinchamp
2114 - Le facteur de Clinchamp
2113 - Tristesse et beauté à Clinchamp
2112 - L’Art
2111 - Botte à l’oeuf
2110 - Les bûcherons de Clinchamp
2109 - Le coucou de Clinchamp
2108 - BFMTV : l’écran de la vérité
2107 - Lettre anonyme
2106 - Je ne suis pas amoureux de Paris !
2105 - Un jour d’hiver à Warloy-Baillon
2104 - La femme soumise brille comme une casserole
2103 - Les chouettes de Clinchamp
2102 - Quand la tempête s’abat sur Clinchamp...
2101 - L’aile et la pierre
2100 - Mes amis les maudits
2099 - Le brouillard de Clinchamp
2098 - Artiste de gauche
2097 - L’éternité dans la tête
2096 - Toussaint à Clinchamp
2095 - Chagrin échappé
2094 - Clinchamp-sur-Mystère
2093 - Les cafards
2092 - Loup des airs
2091 - Le loup de Clinchamp
2090 - En latin, c’est plus beau !
2089 - Les patates de Clinchamp
2088 - L’enfant des airs
2087 - Ciel de France
2086 - Thaïs d’Escufon
2085 - Les tomates de Clinchamp
2084 - Jérôme Bourbon
2083 - Les chats de Clinchamp
2082 - Poupée d’ailleurs
2081 - Pierre de feu
2080 - Les champs de Clinchamp
2079 - L’éclosion
2078 - Vacuité des bouquinistes
2077 - Les toits
2076 - Freud
2075 - Sport
2074 - Le simplet de Clinchamp
2073 - Les oiseaux de Clinchamp
2072 - Je ne suis pas cartésien
2071 - Au cimetière de Clinchamp
2070 - Le Panthéon pour Hugo, l’évasion pour Izarra
2069 - Les rats de la France
2068 - Le curé de Clinchamp
2067 - Mon trou à Clinchamp
2066 - Saint-Léonard-des-Bois
2065 - Les cloches de Clinchamp
2064 - Un épouvantail à Clinchamp
2063 - Les rêves de Clinchamp
2062 - Je suis raciste
2061 - L’injustice sociale ne me choque pas
2060 - Les femmes de Clinchamp
2059 - Les jours vides de Clinchamp
2058 - Une grand-mère
2057 - Clinchamp vers 1970
2056 - La femme de soixante ans
2055 - Sale temps à Clinchamp
2054 - Un grand voyage en forêt
2053 - L’ailé et l’aliéné
2052 - Souvenirs lointains
2051 - Domestication d’une greluche
2050 - Déprime à Clinchamp
2049 - L’amour à Clinchamp
2048 - Les Droits de l'Homme, c'est la négation de l'homme !
2047 - Les hivers de Clinchamp
2046 - Les chemins de Clinchamp
2045 - Seul au monde
2044 - Ne me parlez pas d’amour
2043 - Tristesse de l’été
2042 - Jour de fête à Clinchamp
2041 - Monsieur Lecon
2040 - Châtelain
2039 - Les ailes de Clinchamp
2038 - Tremblement de terre
2037 - Nuit d’amour
2036 - Pluie de joie à Clinchamp
2035 - Les gauchistes
2034 - Clinchamp sous les clartés lunaires
2033 - Henri d’Anselme, héros hétéro rétro
2032 - Les hirondelles
2031 - Retraite dans la forêt
2030 - Mon bosquet
2029 - L’or de Clinchamp
2028 - Sur le chemin
2027 - La souche
2026 - Clinchamp, ce voyage sans fin
2025 - Sardines à l’huile
2024 - Les fantômes
2023 - Le silence de la forêt
2022 - Les arbres
2021 - Les joies de Clinchamp
2020 - La merde républicaine
2019 - Les ailés
2018 - Les soirées de Clinchamp
2017 - Parasite
2016 - Clinchamp, les routes de l’ennui
2015 - Moi français, je déteste les migrants !
2014 - Répugnante
2013 - Les complotistes
2012 - Je déteste les livres de philosophie !
2011 - Le bossu de Clinchamp
2010 - La lumière de Clinchamp
2009 - Les crépuscules de Clinchamp
2008 - Les nuits à Clinchamp
2007 - Les aubes de Clinchamp
2006 - Je suis un oiseau à Clinchamp
2005 - Les rats de Clinchamp
2004 - Les papillons de Clinchamp
2003 - Les richesses de la normalité
2002 - Le Rimbaud des bobos
2001 - Les vaches de Clinchamp
2000 - La folle de Clinchamp
1999 - Mon ego solaire
1998 - Vague Lune
1997 - Ma cabane à Clinchamp
1996 - Moi, IZARRA
1995 - Mais qui donc est Dardinel ?
1994 - La Dame Blanche de Clinchamp
1993 - Le Dalaï-Lama
1992 - Pluie à Clinchamp
1991 - Je suis sexiste
1990 - Les flammes du printemps
1989 - Le rustaud de Clinchamp
1988 - Les larmes d’Amsterdam
1987 - Clinchamp, terre d’envol
1986 - La Joconde de Clinchamp
1985 - Face cachée de Clinchamp
1984 - La clocharde de Clinchamp
1983 - Je suis un extraterrestre
1982 - Clinchamp sous les éclats de novembre
1981 - Clinchamp au bord des larmes
1980 - Les fantômes de Clinchamp
1979 - Les pissenlits de Clinchamp
1978 - Clinchamp : fin et commencement de tout
1977 - Amsterdam
1976 - J’habite sur la Lune
1975 - Secret de Lune
1974 - Les ailes de la Lune
1973 - Voir Clinchamp et sourire
1972 - La pierre et l’éther
1971 - Clinchamp, au bonheur des larmes
1970 - Clinchamp, mon dernier refuge
1969 - Croissant de Lune
1968 - Mais d’où vient donc la Lune ?
1967 - Lune lointaine
1966 - Lune éternelle
1965 - Sandrine, notre voisine
1964 - Rêve de Lune
1963 - Lune des rêves
1962 - La Lune dans le bleu
1961 - Lune ultime
1960 - Les tourmentés
1959 - Clinchamp, paradis des ombres
1958 - Lune absente
1957 - Je raffole des commérages !
1956 - Clinchamp : royaume des humbles
1955 - La Dame dans le ciel
1954 - Palmade : de la gloire au gouffre
1953 - Evasion
1952 - Tatouages, ces marques de faiblesse
1951 - L’égalité est un enfer !
1950 - Repas sur l’herbe à Clinchamp
1949 - Escale à Clinchamp
1948 - Beauté morbide de la Lune
1947 - J’ai dormi dehors à Clinchamp
1946 - Les humanitaires sont des parasites !
1945 - Sur les routes de Clinchamp
1944 - Une année à Clinchamp
1943 - Tristesse du printemps
1942 - Bulle de Terre
1941 - Jour de joie à Clinchamp
1940 - L’inconnu de Clinchamp
1939 - Le ciel de Clinchamp
1938 - Les éclats de Clinchamp
1937 - Le voyageur
1936 - Fête triste
1935 - Les antiracistes
1934 - Jean Messiha
1933 - Coeur gelé
1932 - Romantisme de pierre
1931 - La femme est sous mes pieds
1930 - Burcu Güneş, un air léger
1929 - Je déteste les pauvres !
1928 - Quand mon coeur s’allume
1927 - Intègre, entier, râpeux
1926 - Le cheval
1925 - Homme mauvais
1924 - Un trou sous le ciel
1923 - Hauteur de la Lune
1922 - Nulle part, là-bas, ailleurs
1921 - Belle Lune
1920 - Salades lunaires
1919 - Lettre à Reynouard
1918 - MARGUERITE OU L’HISTOIRE D’UNE VIEILLE FILLE
1917 - Récoltes lunaires
1916 - Je suis français de souche
1915 - Lune mortuaire
1914 - Clinchamp, cité des oubliés
1913 - Clinchamp, l’air de rien
1912 - Clinchamp, sommet du monde
1911 - La pollution, c’est la vie !
1910 - Seule au monde ?
1909 - Le Ciel et la Terre
1908 - Lune de haut vol
1907 - La Lune s’allume
1906 - Nuit sombre
1905 - Soupe de Lune
1904 - Puretés raciales
1903 - Lune-pizza
1902 - La grande question
1901 - Amiens
1900 - Pleur de Lune
1899 - Rêve d’amour
1898 - Vive le patriarcat !
1897 - La libellule
1896 - L’eau qui m’éclaire
1895 - Une question de clarté
1894 - La Lune dort
1893 - Les artifices du spirituel
1892 - Lune normale
1891 - Ni chauffage ni travail
1890 - Lune de fer
1889 - Molle Lune
1888 - Insensible aux malheurs des autres
1887 - Mon visage de vérité
1886 - Amante russe
1885 - J’écris
1884 - Lune martiale
1883 - Je suis un incapable
1882 - Lune creuse
1881 - 1975
1880 - L’éclat d’un fard
1879 - Amour impossible
1878 - Femme au foyer
1877 - L’esprit de la Lune
1876 - Ingérence féministe
1875 - Cratères lunaires
1874 - Lune d’effroi
1873 - Lune des chats
1872 - Les athées
1871 - Lune d’or
1870 - Lune carrée
1869 - Lune de miel
1868 - Folle lune
1867 - Jour de joie
1866 - SMARPHONES : abrutissement des masses
1865 - Sombre lune
1864 - Les mouches
1863 - Ma vie simple
1862 - Clinchamp, terre lointaine
1861 - Je suis un conservateur
1860 - Lune de glace
1859 - Le lac
1858 - Qu’est-ce que la beauté ?
1857 - Lune blanche
1856 - Lune de mer
1855 - Lune de feu
1854 - Présence immortelle
1853 - Surprenante Lune !
1852 - L’éclat de la Lune
1851 - Epis lunaires
1850 - L’autre Lune
1849 - L’amie des cheminées
1848 - Lune morte
1847 - Lune Parmentier
1846 - Lune fatale
1845 - Amour céleste
1844 - Grâces et disgrâces
1843 - Ma maison, c'est la Lune
1842 - Poids de la Lune
1841 - La morte visiteuse
1840 - Ma cabane sous la Lune
1839 - Bleu ciel
1838 - Histoire de lune
1837 - Suc de Turque
1836 - Stéphane Blet
1835 - Ciel bleu
1834 - Bonheur de rat
1833 - Redneck
1832 - Sur le rivage
1831 - Attraction lunaire
1830 - Je suis anti-féministe radical
1829 - Mais qui est-il ?
1828 - Je veux des frontières !
1827 - Les francs-maçons
1826 - Folies lunaires
1825 - Alunir, en un mot
1824 - “Comme ils disent”, chanson d’Aznavour
1823 - Lune tiède
1822 - Globe de rêve
1821 - Effroi
1820 - Vangelis
1819 - L’air de la Lune
1818 - La campagne
1817 - Lune tombale
1816 - Les cailloux
1815 - Je déteste Paris !
1814 - Boules de neige
1813 - Je n’ai pas peur
1812 - Parler vrai
1811 - Les hommes simples
1810 - Quand la Lune panse
1809 - Régine : extinction d’un feu
1808 - Morte veilleuse
1807 - Coeur de pierre
1806 - Noir
1805 - Mystère de la Lune
1804 - Jackson Pollock
1803 - En pleine lumière
1802 - Harmonie des sexes
1801 - Dix ans dans l’azur
1800 - Pluie d’avril
1799 - Le gueux
1798 - Les pommes de pin
1797 - Voyage vers la Lune
1796 - Mystère d’une nuit
1795 - Une lumière turque
1794 - Sans coeur et avec écorce
1793 - Envolé !
1792 - Galante ou l’abcès crevé
1791 - La lumière du Bosphore
1790 - Claude Monet
1789 - Rat aristocrate
1788 - Ukraine : sortez de vos ornières mentales !
1787 - Tranche de ciel et plumes de la Terre
1786 - Les sots écolos
1785 - L’astre turc
1784 - L’Ukraine, je m’en fous totalement !
1783 - Vive la guerre !
1782 - Réponses à un coatch
1781 - Droite pure
1780 - Vains hypersensibles
1779 - Mes valeurs vives
1778 - Le secret
1777 - Force et lumière
1776 - De l’herbe à l’aiguillon
1775 - Jusqu’à la mort
1774 - Zemmour et les journalistes de gauche
1773 - Dur et juste
1772 - La flamme et le marbre
1771 - Mon chat est mort
1770 - Les frères Bogdanoff
1769 - J’ai rêvé de Natacha
1768 - Technologie
1767 - Vers la Lune
1766 - C’était la guerre
1765 - La “tondue de Chartres”
1764 - Dans le métro
1763 - Naissance d’un virus
1762 - Zemmour est-il un de Gaulle ?
1761 - Je suis grand
1760 - Jour de gloire
1758 - Une muse du Bosphore
1758 - Je suis un extrémiste
1757 - Les éoliennes
1756 - Femme terminale
1755 - Autoportrait
1754 - Je suis un sanglier
1753 - Faux fou
1752 - Les affaires
1751 - Octobre
1750 - Le fantôme
1749 - Les écrivains
1748 - Sauvez la France !
1747 - Mes sentiments de pierre
1746 - Une araignée raconte
1745 - Un coeur clair
1744 - Phallocrate
1743 - Les vaches
1742 - Les faibles sont mauvais
1741 - Les sans-visage
1740 - Le trouillard de gauche
1739 - Léonard de Vinci enfant
1738 - Mes froideurs sublimes
1737 - Le romantisme, c’est la décadence
1736 - La Joconde
1735 - La tour Eiffel
1734 - Le Soleil
1733 - Une boule de mystère
1732 - Les masqués
1731 - Burcu Günes, l’or turc
1730 - Léa Désandre
1729 - Le père Dédé
1728 - “Blanc lumière” de Pollock
1727 - Les kikis et les cocos
1726 - Les funérailles de Belmondo
1725 - Pôle Sud
1724 - Vierge au mariage
1723 - La forêt
1722 - Le réveil des clochers
1721 - En septembre
1720 - Extraterrestre
1719 - Ni cagoule ni sérum
1718 - L’astre des morts
1717 - L’idéaliste
1716 - Un ange noir pour les Blancs ?
1715 - Trois heures du matin
1714 - Dur et vivant
1713 - Homme des bois
1712 - De flamme et de sang
1711 - Mes bas potentiels
1710 - Je suis un anti-progressiste
1709 - Eléonore et les Noirs
1708 - Eléonore et les Juifs
1707 - Une française
1706 - Femme d’idées
1705 - Joie de vivre
1704 - Auteur de rêves
1703 - Raison féminine
1702 - Vieillard
1701 - Face de France
1700 - 1789
1699 - Adieu, France
1698 - Célibataire
1697 - L’envers vert
1696 - Avant la chute
1695 - L’aube d’Ève
1694 - Amour raté
1693 - À vue d’homme
1692 - Le loup et l’agnelle
1691 - Têtes à corps
1690 - Trêve de la nuit
1689 - L’été
1688 - L’hiver
1687 - Les âmes de la forêt
1686 - Enfin libre !
1685 - Je vis sans masque
1684 - Enfants du monde
1328 - Je suis apolitique
115 - Le cygne
114 - Le spleen de Warloy-Baillon
113 - Les visiteurs
112 - La Lune
111 - L’amant des laides
110 - Mémoires d’un libertin
109 - Une existence de pompiste
108 - Lettre à mes amis des listes sur Internet