samedi 15 décembre 2007

766 - Neige de minuit

CONTE DE NOËL

En cette fin de journée du 24 décembre je quittai mon refuge de province et fonçai sur les petites voies champêtres en direction de la prochaine entrée d'autoroute menant vers la capitale. Comme tous les ans je partais assister à la messe de minuit à la cathédrale Notre Dame rejoindre mes pairs, gens distingués et importants de la scène parisienne. Je me faisais un devoir mondain de me mêler à cette assemblée hautaine en perpétuelle représentation. Il fallait qu'en société choisie l'on me vît, que parmi les personnalités de mon espèce ma présence fût remarquée, applaudie.

Bref, imitant les notables de mon rang, le spectacle de ma vie ne devait jamais s'arrêter.

Tout à ces pensées futiles, je roulais dans la nuit. Une neige fine et abondante se mit à tomber. Très vite la campagne blanchit et je dus bientôt ralentir. La chute de la poudreuse redoubla d'intensité. Je ne reconnus pas ma route, fis demi tour, faillis choir avec mon véhicule dans le fossé avant de m'engager dans une fausse direction... Egaré entre champs et bois à trois-cents kilomètres de la Seine, seul dans ce paysage glacé, âpre et magnifique, loin des projecteurs et du tapage de la cité, imperceptiblement je sentis naître en moi une immense lassitude pour cette existence superficielle que depuis toujours je menais.

La roue de ma berline dérapa, puis s'enlisa dans l'écume. Bloqué au milieu de nulle part, je décidai de rejoindre à pied la première habitation venue pour y demander de l'aide. Une lampe attira mon regard. Elle émanait de l'église d'un hameau anonyme. J'entrai dans ce refuge, réconforté à l'idée d'y trouver secours et chaleur. Là, je fus saisi par un spectacle à la fois misérable et grandiose : à la lueur de quelques cierges cinq ou six fidèles aux crânes gris et aux épaules voûtées priaient avec ferveur avec le curé, et de cette rustique assistance s'élevait une cantate. Le choeur chantait faux tout en grasseyant avec force... Devant cette scène navrante et sublime d'un autre siècle, j'oubliais tout : la voiture embourbée, les amis qui m'attendaient dans la Babel illuminée, mes devoirs mondains... On ne fit guère attention à mon arrivée silencieuse. En me réchauffant les mains, je demeurai au fond du pieux édifice à observer discrètement ces chanteurs maladroits et touchants.

Puis l'air prit des allures plus solennelles : un gosse dont je n'avais même pas remarqué la silhouette -si bien enfouie parmi ces vestes sombres et ces fronts ridés- mêla sa voix juvénile au morne concert. Son timbre de cristal domina peu à peu les cordes usées des vieillards qui, les unes après les autres, finirent par se taire. Le chant solo du jeune garçon résonna dans la semi-clarté, pur. L'expérience de la Beauté me figea. De temps à autre on pouvait entendre dehors quelque rafale de vent faire trembler un vitrail. Certes le bambin à la gorge d'ange ne semblait pas maîtriser parfaitement les règles élémentaires de la prosodie, mais qu'importe, c'est son âme qui vibrait.

Submergé par des sentiments inédits et suprêmes, j'assistai jusqu'au bout à cette liturgie de pauvres.

Paris et ses séductions frelatées, Paris et ses feux mensongers, Paris et ses hôtes vaniteux n'existaient plus : j'étais aux anges sous ce clocher sans fard. Asile de la piété simple et sincère, aux antipodes des ors de Paname, on brayait près de cet autel. Mais on priait avec coeur.

Je passai dans la chapelle de cette localité perdue dont j'ai oublié le nom, la plus précieuse de toutes les fêtes de la Nativité, en compagnie de ces flammes vives aux faces humbles.

Après la cérémonie un veilleur m'aida à sortir mon automobile de son ornière, si bien que je rejoignis tardivement la si mal nommée "ville-lumière", définitivement désillusionné sur ses artifices vides de sens et d'éclat véritable.

C'était il y a plus de trente ans.

Certain de n'avoir pas rêvé, pendant longtemps j'ai essayé de retourner dans ce patelin, passant et repassant par tous les chemins possibles mais jamais, jamais je n'ai pu retrouver ce lieu qui depuis plus de trente ans me hante. Depuis, chaque soir du 24 décembre une mystérieuse nostalgie me gagne lorsque je me remémore ces vieilles personnes, cet enfant, cette célébration de Noël sous la nuée nivéenne, hors du monde, étrange et belle.

VOIR LA VIDEO :

15 commentaires:

Anonyme a dit…

Je suis fane :)

Anonyme a dit…

tres belle et touchante expérience, en effet ^^

Anonyme a dit…

Beaucoup d'incorrections dans l'écriture. Il va sans dire que cela ne asaute pas aux yeux de tout le monde. Tout cela tient à "qui vous lit". Mon avis est que vous pouvez faire mieux, mettre plus de relief, quelque chose de grinçant, mais pas chargé à votre manière habituelle. Faire un petit dosage particulier. Le style, qui est le vôtre, a ses habitudes dans la raillerie de la nature humaine ; il sait manier avec éloquence une plume pertinente. Mais, celui-ci dans ce contexte, se montre maladroit, à l'endroit de ce récit, en particulier dans le choix des termes, les articulations des phrases (ponctuation) et dans la construction. Vous devriez aussi revoir votre ponctuation, y compris dans les textes précédents. Pourtant quelque chose d'intéressant... à mieux structurer. Après un "retravail" du texte, un meilleur résultat sera au rendez-vous.
Persévérez Raphaël, vous ne pouvez que réussir. Je vous y encourage, croyez-moi. ;o)Autrefois j'aurais peut-être applaudi votre écriture sans contester certains points, mais autrefois est derrière. Persévérez puisque vous aimez l'écriture et voulez écrire. ;o)
Oh, j'aurais pu aussi bien me taire. C'est ce que j'allais faire d'ailleurs. Mais me taire serait dommage, car au fond peut-être que vous encourager et vous donner mon avis vous permettra d'aller plus loin, car c'est bien ce que vous voulez ? Peut-être que vous ne prendrez pas mon commentaire au sérieux, alors jetez-le et continuez avec des erreurs que vous pourriez pourtant éviter.

Je me hâte de vous laisser, l'on m'attend. A plus tard.

Amitiés.

Raphaël Zacharie de IZARRA a dit…

Porto William de Saint Nivel,

Ce texte n'a rien de grinçant, le genre "conte de Noël vécu et rapporté par un aristocrate" est censé faire pleurer sous les lambris parisiens. Ou alors je n'ai pas compris ce que vous vouliez dire.

Par ailleurs je prends précieusement note de vos justes conseils et pertinentes remarques. Je vous rassure, j'ai bien conscience que ce texte souffre de quelques maladresses quant au choix de certains termes (par exemple "nuée nivéenne" sont des mots mal appropriés car le sens de ces termes est en fait "nuages qui ont l'aspect de la neige" - ainsi que l'emploi de "écume" désignant de manière approximative la neige). La ponctuation également laisse parfois à désirer. Ce ne sont là que des imperfections dues à la paresse.

Pourquoi ne prendrais-je pas au sérieux votre commentaire ? Comme j'aimerais avoir des lecteurs aussi avisés, aussi bienveillants que vous ! Je sais bien que mes textes éblouissent certains imbéciles ou ignares -et même des femmes- et que sous les ors du quai Conti je ne ferais pas plus illusion que Tartuffe chez les bonnes soeurs d'Alençon. Aussi je me garde bien d'aller jeter mes paillettes aux yeux de ces verts-vêtus vieillards !

J'avoue : même dans le demi monde j'aime être roi. Que voulez-vous ? Je suis sensible aux éloges, même émanant des moindres hauteurs...

Mais finalement c'est toujours grâce à des lecteurs comme vous, moins sots que les autres, que je progresse.

Raphaël Zacharie de Izarra

Anonyme a dit…

"Pourquoi ne prendrais-je pas au sérieux votre commentaire ? Comme j'aimerais avoir des lecteurs aussi avisés, aussi bienveillants que vous ! Je sais bien que mes textes éblouissent certains imbéciles ou ignares -et même des femmes- et que sous les ors du quai Conti je ne ferais pas plus illusion que Tartuffe chez les bonnes soeurs d'Alençon. Aussi je me garde bien d'aller jeter mes paillettes aux yeux de ces verts-vêtus vieillards !"


décevant

Raphaël Zacharie de IZARRA a dit…

Naturellementvotre,

Comment cela décevant ? Développez donc votre pensée. J'aimerais comprendre.

Raphaël Zacharie de Izarra

Anonyme a dit…

"! Je sais bien que mes textes éblouissent certains imbéciles ou ignares -et même des femmes-"


Je suis peut-être pas éblouie mais je suis une femme et j'espère pas trop imbécile tout de même!!

Anonyme a dit…

ah bah moi, je n'ai retenu que le fond. Pour ce qui est de l'emballage, les formes littéraires, la hauteur, la longueur, la circonférence, je ne m'y connais pas grand chose, d'ailleurs je ne lis pratiquement jamais donc je laisse aux grands connaisseurs de ce monde dotés de leur particules pinailler sur la forme et le choix du papier cadeau. ^^

Anonyme a dit…

Bonjour cher ami,

Je comprends fort bien subtilités, ajoutées à celle de la langue française. Ce n'est pas ici ou là, comme vous pourriez le croire que j'irai chercher le point noir. Ce dernier est plus évident pour moi, mais parfois il se transforme en détail qui tue pour celui qui, avisé, vous lirait. Le lecteur « du public » ne verra pas forcément ce qu'un oeil plus scrutateur verra, en connaissance de règles. Bien trop long à vous expliquer ici. Il faudrait vous montrer des exemples concrets. J'y viens un peu plus loin.
C'est après vous avoir lu longuement et après quelques nombreuses hésitations, ne me sentant pas le droit d’intervenir, que j'ai décidé de vous écrire. Mais comment dire à quelqu’un quelque chose sans vouloir le toucher mal, au point qu’il croirait que c’est un jeu, ou une fantaisie, ou une attaque ?
Vous avez un potentiel certain (mais maladroitement exploité parfois) ; vous possédez une finesse de plume, de langue, de "gestuelle" dira-t-on, de discernement et vous écrivez sérieusement en y ajoutant foi et intelligence, y compris dans ce qui ne paraîtrait pas intelligent au cours de certaines remarques que vous auriez faite. Même à cet endroit où l’on vous reprocherait de peu d’intelligence, c’est au contraire un ouvrage d’intelligence bien pensé : vous avez pensé votre écriture et votre intention sur le sujet. Rien n'est laissé au hasard, mais mieux que d'applaudir vos textes, mieux que de les "critiquer" simplement en "c'est bien" ou en "c'est moche" et autres commentaires, je pense qu'il faut aller plus loin ici dans le rapport "lecteur"/"écrivain". Néanmoins vous avez des lecteurs que vous épatez et qui, tout à fait d’accord avec vous, vont ne faire qu’applaudir ce que vous écrivez et ne pas apercevoir le détail qui tue, tant ils sont pris et épris par votre plume. Combien vous lisent sans vous le dire et aiment vos textes ! Combien vous lisent et vous détestent ou ne vous approuvent pas ! Combien d’entre eux ne trouvent pas les mots pour vous exprimer leur joie, mais pourtant vous faites écho à leur pensée. Il y a tous ces combien… d’admirateurs sans voix, sans mots, et ces détracteurs qui ne savent que poser leurs critiques non « constructives » ou seulement révélatrices de mouvements d’humeur.

J'apprécie votre réponse, car seuls ceux qui savent accepter de se remettre en question progressent à pas de géant, et vous serez un géant à votre tour, forcément, ayant déjà une bonne graine, une bonne plume et une foi inaltérable. Ce que j'apprécie. Votre particule est peut-être là, mais je vous assure, n’est plus nécessaire pour vous faire prendre place. Ceci, je souhaiterais que vous le compreniez. La revendication de votre plume vous a fait mettre en évidence et en avant un être qui n’avait pas besoin d’elle pour être, car votre finesse donnera bien plus à votre particule que votre particule ne donnera à votre plume. C’est de cela que je voulais m’entretenir avec vous l’autre fois.

Entrer en contact avec vous n'est pas difficile, établir un dialogue avec vous est intéressant, mais correspondre avec vous par des échanges où la noble écriture est prise en compte... demande que l'on s'élève un peu plus haut, là où se trouve votre pensée attachée à l’écriture. Les pauvres remarques vous blasent parce qu'elles ne vous apportent pas de corps à la matière. Mais tous n’ont pas votre plume pour s’exprimer, ou bien souvent l’on ne sait exprimer tant de retentissement en soi à la lecture de vos textes. Voici le problème lourd qui pèse entre le lecteur et l’écrivain. Tout ces jets de plume que vous mettez ici sont un corps de pensées et si vous ne recevez point d'échos en la matière, vous avez l'impression de ne pas être vu, lu tel que vous êtes. Vous n'êtes qu'aperçu et "entre-aperçu"... C’est un sentiment terrible à longue échéance, mais c’est là votre lot d’œuvrer à la plume. Vous vous devez d’être excellent. Assurément, vous avez de la finesse et cultivez vos maladresses, elles disparaîtront, je n'en ai aucun doute. Cela en vaut bien la peine, votre arbre portera ses fruits.
Je ne peux pas vous expliquer davantage ici, je ne veux pas détériorer votre beauté. Je pourrais jouer avec vous, vous piquer, vous faire sortir de vos gonds : que sais-je ? Là, n'est pas mon intérêt pour vous. Je n'ai pas envie de vous faire perdre votre temps, ni d'en perdre non plus. Vous avez mieux à faire que de vous étaler sur de futiles réflexions ou un dialogue qui vous ferez tourner en rond. Vous avez une voie à suivre, réfléchissez... C'est pour cela que je suis « revenu » vous « revoir ». Lorsque l'on vous rencontre une fois, Monsieur de Izarra, on ne vous oublie jamais. En principe, l’on ne m’oublie pas non plus. J'entends par ceci : lorsque l'on vous rencontre à travers l'ensemble de vos textes (une vraie rencontre) et lorsque l'on rencontre Raphaël, la personne, l'être sensible, l'observateur et l'écrivain qui pense ses textes, l’on ne l'oublie jamais. L'on peut décider de le laisser poursuivre son chemin sans émettre un signe de la main, mais l'on ne peut pas dire « je ne regarde plus son ouvrage », car Monsieur de Izarra fait un travail avec son coeur et sa pensée, conjugués ensemble.

Monsieur de Izarra, vous ne m'avez pas reconnu. Réfléchissez... Souvenez-vous… C'est avec un grand plaisir que je me souviens de nos entretiens à l'état d'ébauche, où j’avais trop à faire en occupations pour entrer dans les détails de conversations amorcées. Peut-être le temps nous permettra-t-il de reprendre ces conversations sur la belle littérature, sur l'écriture et la finesse de plume ou de pensée. Réfléchissez, nous avions fait une belle rencontre, noble dans ses intentions et, faites-moi un signe, si vous vous souvenez de moi. Vous saurez alors comment me trouver. Ce sera avec plaisir de vous montrer où se décèlent vos maladresses, où se révèlerait votre force encore inexploitée en beauté et où votre talent pourrait mieux exploser. Mais laissez votre particule sur le seuil de ma porte, je n’ai jamais voulu vous imposer ma personne, voulant n’être qu’avec vous un simple amoureux de la belle plume, désirant être une… amicale relation. Votre constance pour l'écriture a séduit Porto William de Saint Nivel, l’a séduit définitivement, car cette constance dans l'effort et cette fidélité à l'ouvrage cousu d'or essaie toujours d’aller plus loin. Vous n'avez pas besoin de briller par votre particule, la finesse de votre plume saurait d'emblée vous donner une particule. Les deux feront une plume d'or d'une justesse subtile.

Mes amitiés définitives.

Raphaël Zacharie de IZARRA a dit…

Porto William de Saint Nivel,

J'ai été surpris par votre long et altruiste commentaire.

Une bonne fois pour toutes sachez une chose : je ne suis nullement blessé que l'on me reprenne sur ma plume, AU CONTRAIRE. Alors allez-y s'il le faut. Mon seul souhait est de progresser afin d'exceller dans mon domaine et non de répéter des erreurs et maladresses que j'ignorerais. Il est vrai que mes lacunes sont réelles : je n'ai pas dépassé le stade de la troisième et n'ai quasiment rien lu. Je suis nu devant mes muses. Sans bagage, juste de l'imagination, de la hauteur de vue et une flamme pour toute plume. Une espèce de virginité handicapante certes, mais qui me préserve également de toute influence... Ce qui me permet aussi d'être ce que je suis en toute légitimité et par conséquent de me citer moi-même, de m'applaudir moi-même.

Comment me souvenir de vous ? Sur le NET j'ai croisé tellement d'admiratrices, de détracteurs, de railleurs et de vierges affolées !

J'attends avec fébrilité et vos très précieux conseils qui me feront approcher plus près encore les très chères et très éclatantes étoiles de mon propre olympe.

(J'ai imprimé votre commentaire afin de l'immortaliser en lettres d'encre tant ils est vrai que je suis sensible à tout ce qui me fait briller.)

Raphaël Zacharie de Izarra

Anonyme a dit…

Souvenez-vous d'un air à la Barbara Cartland, d'une langue chargée de paroles verbeuses, trop de trop, pas assez de mieux. Souvenez-vous d'une histoire de plume, de nos quelques conversations sincères et en toute simplicité, fructueuses et intéressantes... et puis le silence inexpliqué dont je pourrais vous conter les raisons mais sur lesquelles je ne pouvais m'exprimer alors pour ne pas vous distraire de votre voie ; puis vous, quelques années plus tard... "Que devenez-vous ?" m'écrivant, où ma réponse fut courte, car j'étais en plein labeur et les forces épuisées. Vous tombiez comme un cheveu sur la soupe, mais ma joie fut réelle de recevoir de vos nouvelles. Seulement, je ne pouvais pas m'attarder, je courais après le temps et mes forces étaient limitées. Ma tentative ensuite, bien après, quand je fus plus disponible de vous joindre a, alors, échouée. Le téléphone ne l'a pas permis. Mon message est resté sans réponse. J'ai craint ne plus vous retrouver, vous aviez changé d'adresse pour vos textes, et j'ai pensé "C'est dommage s'il s'est arrêté d'écrire ! Vraiment dommage !", j'avais la crainte que vous ayez cesser de croire en votre plume. J'étais encore en plein ouvrage, mais je commençais à vous rechercher, je vous ai retrouvé ! Je voulais vous faire profiter de mes nouveaux acquis (des acquis de 4 ans de travail difficile. Rien n'est donné à celui qui veut travailler dans le respect des règles de l'art) et les partager avec vous pour vous donner peut-être quelque chose de mieux... et là, c'est voous qui choisirez.
Je vous dois un merci : votre remarque m'a permis de trouver ma finesse et "mon art" à la plume avec la force d'être unique. Vous n'avez fait qu'émettre un commentaire, un commentaire d'une justesse telle qu'il correspondait avec ce que je pensais devoir "faire évoluer". Pourtant vous n'avez que ce niveau d'études et une pertinente critique sans avoir eu besoin d'aller loin sur les bancs de l'école.
Je vais vous faire un compliment : vous avez acquis bien plus que vous n'auriez acquis sur des bancs d'amphithéâtre, un talent et une sagesse par l'observation de la nature humaine.
A moi, maintenant, de provoquer chez vous le déclic de vous surpasser pour aller toujours plus haut. C'est une histoire d'amitié : l'on oublie jamais les personnes qui ont permis d'avancer et ce, peu importe qui ils sont ou leur niveau d'études : il a suffi qu'ils aient une réflexion pertinente, honnête et vraie pour faire que l'on s'interroge sur la valeur du bien et du moins bien, juste au bon moment, quand il manquait si peu pour que ce soit un meilleur résultat.
Je ne peux pas vous joindre par téléphone, chaque fois le répondeur se déclenche. Vous écrire non plus, car sans réponse. Il ne me restait que cette voie, lisible par tous, mais peu importe. Après tout, c'est beau une amitié telle que celle-là, n'est-ce pas ? Vous allez vous souvenir de moi, même si vous avez rencontré tellement de monde... Je vous ai donné les indices que seuls, nous deux, nous connaissons et partageons.

Ai-je tant changé d'air de plume au point de ne plus me reconnaître ?

Briller chez vous n'a pas le sens commun d'un orgueil mal placé.

Lorsque l'on apporte des conseils, il faut savoir donner sans mettre sa marque personnelle d'influence comme un spectre, ceci afin de préserver le naturel de chacun. Il faut faire abnégation de soi pour que celui qui se trouve en face ne reçoive que ce qu'il a besoin de prendre sans qu'on lui mette une empreinte au passage qui perturberait sa personnalité, car chacun doit construire sa personnalité depuis ses récoltes et au grès de celles-ci.

Cherchez, vous allez trouver...
Vous souvenez-vous des Caractères de Jean de La Bruyère outre l'air à la Barbara Cartland ?

Mes amitiés sincères.

Raphaël Zacharie de IZARRA a dit…

Porto William de Saint Nivel,

Une chose d'abord : mon téléphone n'est pas débranché mais il est vrai que j'avais remarqué ses quelques disfonctionnement de temps à autre.

En ce qui concerne votre identité, j'avoue ne pas être insensible à ce mystère qui me fait une exquise piqûre au ventre. J'ai d'abord déduis que vous étiez un homme, à moins que pour brouiller les pistes vous m'ayez laissez croire la chose en accordant au masculin les adjectifs vous concernant... Lorsque je fais une recherche dans mes archives avec les mots " QUE DEVENEZ-VOUS", je tombe sur une femme dans mes mails...

Si vous êtes une femme et non un homme comme vous tentez peut-être de me le faire croire, j'ai bien sûr une idée très précise de votre personne. Mais êtes-vous cette femme ?

Si vous êtes cette femme à qui je pense, alors en effet vous avez fait d'énormes progrès dans l'écriture, il faut le reconnaître car enfin si vous êtes cette femme, je me souviens parfaitement de vous.

Raphaël Zacharie de Izarra

Anonyme a dit…

Cher ami,

Sachez que je n'ai jamais tenté de faire croire au masculin ou au féminin de ma personne, une plume étant a elle seule ce qu'elle a de volonté à être en elle-même. Porto William n'est qu'un pseudonyme et je fais abstraction, dans mes commentaires, sur le fait que je puisse être l'un ou l'autre. Je suis l'auteur de ce que je vous écris et seul cela compte. Le bien-pensant a surtout besoin de son universalité, sa prise de partie de la pensée, non pas en faisant une ségrégation de genre (féminin ou masculin). Pour comprendre la nature humaine, il faut tenter au mieux d'être neutre à ce moment-là, être objectif surtout. C'est avec détachement que l'on peut comprendre une situation ou un état d'être, une personne, un personnage, ou un événement.

L'homme qui écrit doit être capable d'être une femme qui interprètera un rôle au coeur d'un sujet traité. L'homme qui écrit doit être capable d'entrer dans la peau d'une femme et d'y "vivre". Cela demande à l'un comme à l'autre d'apprendre à connaître les deux représentants de la nature humaine.

Vous saurez donc comment me trouver et me joindre si vous souhaitez que nous reprenions nos fructueuses conversation sur l'écriture et la littérature, aussi de pouvoir vous encourager à aller plus en avant.

Mes amitiés sincères.

filledemnemosyne a dit…

Comme je l'ai déjà dit, ( et pour ceux que cela intéresse...tant pis pour ceux qui s'en moquent...) c'est dans la vallée des roses que j'ai pris cette forme incarnée. Et comme je l'ai déjà expliqué aussi, cette vallée a été rattachée à la voisine dont elle abritait le faubourg.
L'autre, village de pêcheur du VIIème siècle a pour nom “l'église dans la dune”. Une église qui, détruite lors des catastrophe de l'Histoire, a laissé place à de nombreux autres édifices.
St Eloi, St Martin, Notre Dame du Sacré Cœur, St Antoine de Padoue, St Jean Baptiste... et moderne au nom d'ange, St Zéphirin qui fut celle de mon enfance.
Mais celle que je préfère, c'est la chapelle Notre Dame des Dunes. Elle est entourée d'une légende. Et j'aime les légendes. (ce n'est pas un grand secret de dire que si le nom de naissance de Monsieur Izarra est “Etoile”, le mien est “Leconte”)
Cette chapelle, au ciel constellé... d'étoiles justement, a été érigée suite à la découverte, il y a bien longtemps, dans le sable de la dune, d' une petite statuette représentant une Vierge à l'enfant près d'une source d'eau pure inattendue. Double miracle ?
La statue avait du être figure de proue d'un navire perdu, renvoyée par les flots.
Toujours est-il que la chapelle fut lieu de prières et de demandes de protection pour les marins. Et qu'elle abrite de nombreux Ex-Voto poignants.
J'ai toujours aimé y entrer, pour son ciel, pour son âme, pour le fait de pouvoir y être seule.
Je ne crois pas que la chapelle initiale qui donna son nom à la cité était placée à cet endroit.

Mais, dans la dune, lorsque les enfants cherchent l'âne de St Martin, ils cherchent sans doute l'église originelle, une source perdue... à moins que, dans la petite lumière qui brûle au cœur des betteraves sculptées, ils ne ramènent l'âme des marins.

Aujourd'hui, je suis loin de ma chapelle mais, je vais y faire un saut par l'esprit. J'ai besoin de son bon secours.

filledemnemosyne a dit…

Notre Dame des dunes!

Jamais elle ne m'a déçue. Depuis toutes ces années. Même de loin, à 800 km je peux lui faire confiance.
Il a suffit de l'invoquer et tout est devenu lumineux. En quelques clics.
J'ai la réponse à mes questions. Toutes! Une année de questions et peut être même deux. Formatage! Stratégie!

Leconte est mon nom mais ce n'est pas celui d'un conte à dormir debout!

Je préfère en garder l'image de la poésie ...et de la liberté.
Et cette maxime...
N''oublions jamais l'essentiel. Qui dépasse l'essence.
Qui dépasse l'entendement humain.

l'authentique! les "valeurs humaines" et l'authenticité.

La Vierge Marie et le Vrai Prince aux pieds nus.

Mon Dieu,je vous en supplie, faites qu'il s'agisse de vraies valeurs...! Les miennes.

Liste des textes

2148 - Je suis de la droite honteuse
2147 - Les écrivains sont des poids morts
2146 - L’héritage de Clinchamp
2145 - Clinchamp, une histoire sans fin
2144 - Vent de mystère à Clinchamp
2143 - Ma cachette à Clinchamp
2142 - Randonnée à Clinchamp
2141 - Eclipse de Lune à Clinchamp
2140 - Un arc-en-Ciel à Clinchamp
2139 - Clinchamp sous l’orage
2138 - J’ai rêvé de Clinchamp
2137 - Jour de l’An à Clinchamp
2136 - Vacances d’été à Clinchamp
2135 - Attente à Clinchamp
2134 - Un jour ordinaire à Clinchamp
2133 - Or de France
2132 - La compagne des esseulés
2131 - Loup de lumière
2130 - Spleen
2129 - Le pitre
2128 - Les corbeaux de Clinchamp
2127 - Un homme heureux à Clinchamp
2126 - Le mouton
2125 - Des lutins à Clinchamp ?
2124 - Je suis fort !
2123 - Paroles prophétiques
2122 - L’égalité entre les hommes est injuste !
2121 - L’idéaliste de gauche
2120 - La femme est la monture de l’homme
2119 - Clinchamp sous la neige
2118 - Le Nord et le Sud
2117 - Pourquoi j’aime Clinchamp ?
2116 - Convaincre Blandine
2115 - Un couple de vieillards à Clinchamp
2114 - Le facteur de Clinchamp
2113 - Tristesse et beauté à Clinchamp
2112 - L’Art
2111 - Botte à l’oeuf
2110 - Les bûcherons de Clinchamp
2109 - Le coucou de Clinchamp
2108 - BFMTV : l’écran de la vérité
2107 - Lettre anonyme
2106 - Je ne suis pas amoureux de Paris !
2105 - Un jour d’hiver à Warloy-Baillon
2104 - La femme soumise brille comme une casserole
2103 - Les chouettes de Clinchamp
2102 - Quand la tempête s’abat sur Clinchamp...
2101 - L’aile et la pierre
2100 - Mes amis les maudits
2099 - Le brouillard de Clinchamp
2098 - Artiste de gauche
2097 - L’éternité dans la tête
2096 - Toussaint à Clinchamp
2095 - Chagrin échappé
2094 - Clinchamp-sur-Mystère
2093 - Les cafards
2092 - Loup des airs
2091 - Le loup de Clinchamp
2090 - En latin, c’est plus beau !
2089 - Les patates de Clinchamp
2088 - L’enfant des airs
2087 - Ciel de France
2086 - Thaïs d’Escufon
2085 - Les tomates de Clinchamp
2084 - Jérôme Bourbon
2083 - Les chats de Clinchamp
2082 - Poupée d’ailleurs
2081 - Pierre de feu
2080 - Les champs de Clinchamp
2079 - L’éclosion
2078 - Vacuité des bouquinistes
2077 - Les toits
2076 - Freud
2075 - Sport
2074 - Le simplet de Clinchamp
2073 - Les oiseaux de Clinchamp
2072 - Je ne suis pas cartésien
2071 - Au cimetière de Clinchamp
2070 - Le Panthéon pour Hugo, l’évasion pour Izarra
2069 - Les rats de la France
2068 - Le curé de Clinchamp
2067 - Mon trou à Clinchamp
2066 - Saint-Léonard-des-Bois
2065 - Les cloches de Clinchamp
2064 - Un épouvantail à Clinchamp
2063 - Les rêves de Clinchamp
2062 - Je suis raciste
2061 - L’injustice sociale ne me choque pas
2060 - Les femmes de Clinchamp
2059 - Les jours vides de Clinchamp
2058 - Une grand-mère
2057 - Clinchamp vers 1970
2056 - La femme de soixante ans
2055 - Sale temps à Clinchamp
2054 - Un grand voyage en forêt
2053 - L’ailé et l’aliéné
2052 - Souvenirs lointains
2051 - Domestication d’une greluche
2050 - Déprime à Clinchamp
2049 - L’amour à Clinchamp
2048 - Les Droits de l'Homme, c'est la négation de l'homme !
2047 - Les hivers de Clinchamp
2046 - Les chemins de Clinchamp
2045 - Seul au monde
2044 - Ne me parlez pas d’amour
2043 - Tristesse de l’été
2042 - Jour de fête à Clinchamp
2041 - Monsieur Lecon
2040 - Châtelain
2039 - Les ailes de Clinchamp
2038 - Tremblement de terre
2037 - Nuit d’amour
2036 - Pluie de joie à Clinchamp
2035 - Les gauchistes
2034 - Clinchamp sous les clartés lunaires
2033 - Henri d’Anselme, héros hétéro rétro
2032 - Les hirondelles
2031 - Retraite dans la forêt
2030 - Mon bosquet
2029 - L’or de Clinchamp
2028 - Sur le chemin
2027 - La souche
2026 - Clinchamp, ce voyage sans fin
2025 - Sardines à l’huile
2024 - Les fantômes
2023 - Le silence de la forêt
2022 - Les arbres
2021 - Les joies de Clinchamp
2020 - La merde républicaine
2019 - Les ailés
2018 - Les soirées de Clinchamp
2017 - Parasite
2016 - Clinchamp, les routes de l’ennui
2015 - Moi français, je déteste les migrants !
2014 - Répugnante
2013 - Les complotistes
2012 - Je déteste les livres de philosophie !
2011 - Le bossu de Clinchamp
2010 - La lumière de Clinchamp
2009 - Les crépuscules de Clinchamp
2008 - Les nuits à Clinchamp
2007 - Les aubes de Clinchamp
2006 - Je suis un oiseau à Clinchamp
2005 - Les rats de Clinchamp
2004 - Les papillons de Clinchamp
2003 - Les richesses de la normalité
2002 - Le Rimbaud des bobos
2001 - Les vaches de Clinchamp
2000 - La folle de Clinchamp
1999 - Mon ego solaire
1998 - Vague Lune
1997 - Ma cabane à Clinchamp
1996 - Moi, IZARRA
1995 - Mais qui donc est Dardinel ?
1994 - La Dame Blanche de Clinchamp
1993 - Le Dalaï-Lama
1992 - Pluie à Clinchamp
1991 - Je suis sexiste
1990 - Les flammes du printemps
1989 - Le rustaud de Clinchamp
1988 - Les larmes d’Amsterdam
1987 - Clinchamp, terre d’envol
1986 - La Joconde de Clinchamp
1985 - Face cachée de Clinchamp
1984 - La clocharde de Clinchamp
1983 - Je suis un extraterrestre
1982 - Clinchamp sous les éclats de novembre
1981 - Clinchamp au bord des larmes
1980 - Les fantômes de Clinchamp
1979 - Les pissenlits de Clinchamp
1978 - Clinchamp : fin et commencement de tout
1977 - Amsterdam
1976 - J’habite sur la Lune
1975 - Secret de Lune
1974 - Les ailes de la Lune
1973 - Voir Clinchamp et sourire
1972 - La pierre et l’éther
1971 - Clinchamp, au bonheur des larmes
1970 - Clinchamp, mon dernier refuge
1969 - Croissant de Lune
1968 - Mais d’où vient donc la Lune ?
1967 - Lune lointaine
1966 - Lune éternelle
1965 - Sandrine, notre voisine
1964 - Rêve de Lune
1963 - Lune des rêves
1962 - La Lune dans le bleu
1961 - Lune ultime
1960 - Les tourmentés
1959 - Clinchamp, paradis des ombres
1958 - Lune absente
1957 - Je raffole des commérages !
1956 - Clinchamp : royaume des humbles
1955 - La Dame dans le ciel
1954 - Palmade : de la gloire au gouffre
1953 - Evasion
1952 - Tatouages, ces marques de faiblesse
1951 - L’égalité est un enfer !
1950 - Repas sur l’herbe à Clinchamp
1949 - Escale à Clinchamp
1948 - Beauté morbide de la Lune
1947 - J’ai dormi dehors à Clinchamp
1946 - Les humanitaires sont des parasites !
1945 - Sur les routes de Clinchamp
1944 - Une année à Clinchamp
1943 - Tristesse du printemps
1942 - Bulle de Terre
1941 - Jour de joie à Clinchamp
1940 - L’inconnu de Clinchamp
1939 - Le ciel de Clinchamp
1938 - Les éclats de Clinchamp
1937 - Le voyageur
1936 - Fête triste
1935 - Les antiracistes
1934 - Jean Messiha
1933 - Coeur gelé
1932 - Romantisme de pierre
1931 - La femme est sous mes pieds
1930 - Burcu Güneş, un air léger
1929 - Je déteste les pauvres !
1928 - Quand mon coeur s’allume
1927 - Intègre, entier, râpeux
1926 - Le cheval
1925 - Homme mauvais
1924 - Un trou sous le ciel
1923 - Hauteur de la Lune
1922 - Nulle part, là-bas, ailleurs
1921 - Belle Lune
1920 - Salades lunaires
1919 - Lettre à Reynouard
1918 - MARGUERITE OU L’HISTOIRE D’UNE VIEILLE FILLE
1917 - Récoltes lunaires
1916 - Je suis français de souche
1915 - Lune mortuaire
1914 - Clinchamp, cité des oubliés
1913 - Clinchamp, l’air de rien
1912 - Clinchamp, sommet du monde
1911 - La pollution, c’est la vie !
1910 - Seule au monde ?
1909 - Le Ciel et la Terre
1908 - Lune de haut vol
1907 - La Lune s’allume
1906 - Nuit sombre
1905 - Soupe de Lune
1904 - Puretés raciales
1903 - Lune-pizza
1902 - La grande question
1901 - Amiens
1900 - Pleur de Lune
1899 - Rêve d’amour
1898 - Vive le patriarcat !
1897 - La libellule
1896 - L’eau qui m’éclaire
1895 - Une question de clarté
1894 - La Lune dort
1893 - Les artifices du spirituel
1892 - Lune normale
1891 - Ni chauffage ni travail
1890 - Lune de fer
1889 - Molle Lune
1888 - Insensible aux malheurs des autres
1887 - Mon visage de vérité
1886 - Amante russe
1885 - J’écris
1884 - Lune martiale
1883 - Je suis un incapable
1882 - Lune creuse
1881 - 1975
1880 - L’éclat d’un fard
1879 - Amour impossible
1878 - Femme au foyer
1877 - L’esprit de la Lune
1876 - Ingérence féministe
1875 - Cratères lunaires
1874 - Lune d’effroi
1873 - Lune des chats
1872 - Les athées
1871 - Lune d’or
1870 - Lune carrée
1869 - Lune de miel
1868 - Folle lune
1867 - Jour de joie
1866 - SMARPHONES : abrutissement des masses
1865 - Sombre lune
1864 - Les mouches
1863 - Ma vie simple
1862 - Clinchamp, terre lointaine
1861 - Je suis un conservateur
1860 - Lune de glace
1859 - Le lac
1858 - Qu’est-ce que la beauté ?
1857 - Lune blanche
1856 - Lune de mer
1855 - Lune de feu
1854 - Présence immortelle
1853 - Surprenante Lune !
1852 - L’éclat de la Lune
1851 - Epis lunaires
1850 - L’autre Lune
1849 - L’amie des cheminées
1848 - Lune morte
1847 - Lune Parmentier
1846 - Lune fatale
1845 - Amour céleste
1844 - Grâces et disgrâces
1843 - Ma maison, c'est la Lune
1842 - Poids de la Lune
1841 - La morte visiteuse
1840 - Ma cabane sous la Lune
1839 - Bleu ciel
1838 - Histoire de lune
1837 - Suc de Turque
1836 - Stéphane Blet
1835 - Ciel bleu
1834 - Bonheur de rat
1833 - Redneck
1832 - Sur le rivage
1831 - Attraction lunaire
1830 - Je suis anti-féministe radical
1829 - Mais qui est-il ?
1828 - Je veux des frontières !
1827 - Les francs-maçons
1826 - Folies lunaires
1825 - Alunir, en un mot
1824 - “Comme ils disent”, chanson d’Aznavour
1823 - Lune tiède
1822 - Globe de rêve
1821 - Effroi
1820 - Vangelis
1819 - L’air de la Lune
1818 - La campagne
1817 - Lune tombale
1816 - Les cailloux
1815 - Je déteste Paris !
1814 - Boules de neige
1813 - Je n’ai pas peur
1812 - Parler vrai
1811 - Les hommes simples
1810 - Quand la Lune panse
1809 - Régine : extinction d’un feu
1808 - Morte veilleuse
1807 - Coeur de pierre
1806 - Noir
1805 - Mystère de la Lune
1804 - Jackson Pollock
1803 - En pleine lumière
1802 - Harmonie des sexes
1801 - Dix ans dans l’azur
1800 - Pluie d’avril
1799 - Le gueux
1798 - Les pommes de pin
1797 - Voyage vers la Lune
1796 - Mystère d’une nuit
1795 - Une lumière turque
1794 - Sans coeur et avec écorce
1793 - Envolé !
1792 - Galante ou l’abcès crevé
1791 - La lumière du Bosphore
1790 - Claude Monet
1789 - Rat aristocrate
1788 - Ukraine : sortez de vos ornières mentales !
1787 - Tranche de ciel et plumes de la Terre
1786 - Les sots écolos
1785 - L’astre turc
1784 - L’Ukraine, je m’en fous totalement !
1783 - Vive la guerre !
1782 - Réponses à un coatch
1781 - Droite pure
1780 - Vains hypersensibles
1779 - Mes valeurs vives
1778 - Le secret
1777 - Force et lumière
1776 - De l’herbe à l’aiguillon
1775 - Jusqu’à la mort
1774 - Zemmour et les journalistes de gauche
1773 - Dur et juste
1772 - La flamme et le marbre
1771 - Mon chat est mort
1770 - Les frères Bogdanoff
1769 - J’ai rêvé de Natacha
1768 - Technologie
1767 - Vers la Lune
1766 - C’était la guerre
1765 - La “tondue de Chartres”
1764 - Dans le métro
1763 - Naissance d’un virus
1762 - Zemmour est-il un de Gaulle ?
1761 - Je suis grand
1760 - Jour de gloire
1758 - Une muse du Bosphore
1758 - Je suis un extrémiste
1757 - Les éoliennes
1756 - Femme terminale
1755 - Autoportrait
1754 - Je suis un sanglier
1753 - Faux fou
1752 - Les affaires
1751 - Octobre
1750 - Le fantôme
1749 - Les écrivains
1748 - Sauvez la France !
1747 - Mes sentiments de pierre
1746 - Une araignée raconte
1745 - Un coeur clair
1744 - Phallocrate
1743 - Les vaches
1742 - Les faibles sont mauvais
1741 - Les sans-visage
1740 - Le trouillard de gauche
1739 - Léonard de Vinci enfant
1738 - Mes froideurs sublimes
1737 - Le romantisme, c’est la décadence
1736 - La Joconde
1735 - La tour Eiffel
1734 - Le Soleil
1733 - Une boule de mystère
1732 - Les masqués
1731 - Burcu Günes, l’or turc
1730 - Léa Désandre
1729 - Le père Dédé
1728 - “Blanc lumière” de Pollock
1727 - Les kikis et les cocos
1726 - Les funérailles de Belmondo
1725 - Pôle Sud
1724 - Vierge au mariage
1723 - La forêt
1722 - Le réveil des clochers
1721 - En septembre
1720 - Extraterrestre
1719 - Ni cagoule ni sérum
1718 - L’astre des morts
1717 - L’idéaliste
1716 - Un ange noir pour les Blancs ?
1715 - Trois heures du matin
1714 - Dur et vivant
1713 - Homme des bois
1712 - De flamme et de sang
1711 - Mes bas potentiels
1710 - Je suis un anti-progressiste
1709 - Eléonore et les Noirs
1708 - Eléonore et les Juifs
1707 - Une française
1706 - Femme d’idées
1705 - Joie de vivre
1704 - Auteur de rêves
1703 - Raison féminine
1702 - Vieillard
1701 - Face de France
1700 - 1789
1699 - Adieu, France
1698 - Célibataire
1697 - L’envers vert
1696 - Avant la chute
1695 - L’aube d’Ève
1694 - Amour raté
1693 - À vue d’homme
1692 - Le loup et l’agnelle
1691 - Têtes à corps
1690 - Trêve de la nuit
1689 - L’été
1688 - L’hiver
1687 - Les âmes de la forêt
1686 - Enfin libre !
1685 - Je vis sans masque
1684 - Enfants du monde
1328 - Je suis apolitique
115 - Le cygne
114 - Le spleen de Warloy-Baillon
113 - Les visiteurs
112 - La Lune
111 - L’amant des laides
110 - Mémoires d’un libertin
109 - Une existence de pompiste
108 - Lettre à mes amis des listes sur Internet