dimanche 27 février 2022

1784 - L'Ukraine, je m'en fous complètement !

Après le COVID, l'Ukraine...
 
Et une fois le feu de l'Ukraine refroidi, d'autres flammes seront logées dans vos cervelles (de force ou avec subtilité), jusqu'à ce que de neuves étincelles les remplacent. Et ainsi de suite, sans répit.
 
Soumis à la puissance des médias, à leur capacité de persuasion, vos esprits sont matraqués 24 heures sur 24, littéralement violés. Impossible d'y échapper dès lors que vous êtes pris sous les ondes de cette presse omniprésente, comme sous des rafales de balles.
 
Submergés par ce raz de marée d'annonces, de communiqués, de "news", de flashs, vous croyez être libres et émettez vos opinions sur l'Ukraine, le COVID, le foot, la cérémonie des Césars, les tempêtes, les vagues de froid... En réalité vous êtes orientés, manipulés, embrigadés : vous vous sentez concernés, êtes habités du matin au soir par ces vomissures de vos récepteurs, vous les avalez, les régurgitez en choeur jusqu'à en oublier de cultiver vos jardins...
 
C'est BFMTV qui tient la baguette.

Les dindons que vous êtes s'agitent au premier signal des marionnettistes qui s'introduisent dans l'intimité de vos consciences, ce sont eux qui décident de quoi vous devez vous scandaliser ou vous réjouir. Ils appellent ça de "l'INFORMATION", en réalité ils vous lobotomisent.
 
Les faiseurs d'actualités vous abrutissent depuis des décennies. Arrêtez de suivre à la semelle tous ces "envoyés spéciaux" qui vous entraînent dans leur boue aux antipodes de ce que vous êtes réellement, déconnectez-vous, fermez vos radios !
 
Les rapporteurs de nouvelles choisissent vos centres d'intérêt, vous détournent des préoccupations naturelles de vos vies avec leurs priorités médiatiques artificielles !
 
Des guerres, il y en a plein d’autres sur Terre ailleurs qu’en Ukraine mais vous n‘y êtes guère sensibles étant donné que nul présentateur vedette de télévision, pas une vidéo d’INTERNET ne vous en parle.
 
Des drames, notre monde n’en manque pas. Mais à vos yeux ils n’existent pas car on ne vous les sert sur aucun plateau.

Pas de caméras pour faire battre vos coeurs sur tel enfant au ventre creux, tel agonisant ou tel désespéré. Pourtant ils souffrent et meurent mais vous les ignorez. Non éligibles à vos cerveaux formatés, ils n'ont droit qu'à votre coupable et générale froideur !
 
Loin des projeteurs, des martyrs anonymes, innombrables, s’ajoutent aux quelques tués "chanceux” qui ont été filmés... Seules les victimes élues par la Une des journaux vous touchent. Tandis que d’autres injustices fracassent des gens partout sur le globe sans la moindre émotion de votre part, sous prétexte qu’ils n’apparaissent pas sur vos écrans.
 
Mais il y a aussi des choses magnifiques qui se passent dans ce siècle, et pas le moindre reporter pour vous les montrer ! A commencer par vos propres existences riches de petits bonheurs et d’humbles trésors. Savez-vous au moins les apprécier, au lieu de vous laisser casser les oreilles par ce vacarme de la presse du malheur ?
 
Vous n'y prêtez pas attention mais en vérité LA VIE EST BELLE ! 

A force d’être bombardés de jets de fumiers en provenance de BFMTV, vous êtes devenus hermétiques à l'essentiel. Par-delà ces chaos localisés, copieusement relayés, gonflés, surévalués par les chaînes d’infos en continu, vous avez désappris que la joie régnait dans l'Univers.
 
Fondamentalement vous êtes comme moi : ce qui se passe en Ukraine est le dernier de vos soucis. Vous aspirez non pas à foutre votre nez dans la merde des autres, à vous occuper de ces affaires lointaines et malodorantes, si éloignées de vos pensées qu’elles en deviennent parfois virtuelles, mais à vivre dans la lumière.
 
Et si vous avez le sincère désir de changer les choses, d’améliorer l'Humanité, en toute bonne foi vous ne chercherez pas à agir à l’autre bout de la planète mais dans votre proche entourage, à votre portée, chez votre voisin de palier.
 
Le reste n’est que perte de temps, pollution intérieure, distraction stérile, détournement d’attention et pensées insensées.
 
Ne soyez plus les esclaves des journalistes, cessez d'être enchaînés à leurs morts, à leurs mots, à leur morgue. 

Et à leur rythme.

Pensez par-vous-mêmes et allez sagement arroser vos potagers. 

Eteignez vos appareils, allumez vos âmes.

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samedi 26 février 2022

1783 - Vive la guerre !

Ne paniquez pas parce que la guerre arrive, nous allons vous la servir sur des tapis de fleurs.

Pas de fausses promesses. Avec nous il n'y aura pas de tromperie sur la marchandise ! Séchez vos larmes car voici des armes.

Pour vous défendre, pour redresser les torts, pour dresser les forts, pour réparer l'outrage.

Le casse-pipe, l'épique, l'authentique, le typique qui pique, c'est tout ou rien.

Soit vous ouvrez les hostilités à fond, sans concession, sans tricher, sans état d'âme, avec des atrocités, des viols, des pillages, des massacres, des rires et des chants entraînants, soit vous n'osez rien et vous la fermez.

Il faut savoir ce qu'on veut sur Terre. Ou la vie, ou la mort. Ou le conflit, ou le pot de confiture.

Les demi-mesures, c'est pour les demi-hommes.

Quand on met le feu aux âmes, c'est pour qu'elles brûlent, non pour qu'elles gèlent. Faire rugir Mars, c'est faire rougir le siècle. Avec du vrai sang, non avec du ciel bleu. Nous allons nous en occuper, vous n'aurez qu'à nous suivre.

Quoi ? J'entends des contestations ? Des "victimes innocentes" dites-vous ? Les scrupuleux ne sont que des rabat-joie qui crachent dans la soupe de la liberté !

Des batailles sans martyrs civils, admettez que c'est moins saignant, moins drôle, moins éclatant sur les écrans plats de nos soirées fades... Allons, ne faites pas les offusqués ! Il y en aura pour tout le monde. Avec nous, nul ne sera privé de dessert.

Et puis les causes qui vous font exploser le caisson sont de toute façon toujours bonnes, nobles, justifiées, et même bénies de vos dieux. D'ailleurs c'est toujours votre adversaire qui est fautif, jamais votre propre camp. L'erreur c'est lui, ce n'est pas vous. Vous voyez bien que la morale est sauve...

Mais vos pires ennemis en vérité, ce sont les pacifistes et non les loups. Eux, les agneaux, eux les raconteurs de salades veulent vous faire manger de l'herbe. 

Nous, au contraire, nous vous proposons un gros plat de résistance : de la bonne viande de boucherie. Barbaque sauce barbare.

Un régal en plein air. En brochettes ou à la coupe, c'est au choix. Et à l'oeil encore puisque c'est sa majesté qui passe à a caisse !

Bref, on vous gâte.

Et vous allez trinquer à notre bonne santé, nous le méritons bien.

Nous avons du coeur et nous vous voulons vainqueurs parce que vous êtes les meilleurs !

Vous les gens du bonheur, nous les marchands de canons.

vendredi 25 février 2022

1782 - Réponses à un coatch

RÉPONSES FAITES Á UN "COATH EN HYPERSENSIBILITÉ" CHERCHANT Á VENDRE SON BARATIN AU PRIX FORT AUX GOGOS QUI L'ÉCOUTENT
 
Tout ce baratin pour combler le vide de ces inactifs oiseux, de ces oisifs narcissiques... L'hypersensibilité ou l'univers de la stérilité érigée en dogme sacré. Ceux qui se définissent comme des "hypersensibles" se masturbent le ciboulot par manque d'activités sociales et physiques. Ils se croient le centre du monde alors que ce ne sont que des brindilles nombrilistes.
 
Il faut être un gogo pour adhérer à ce discours oiseux qui n'a pour finalité que vendre de la camelote psychologisante... Vous faites partie de ces charlatans qui s'enrichissent sur la faiblesse et la sottise humaines. Du BLA-BLA vendu à prix exorbitant à des pigeons attentifs et crédules. Ceux qui vous écoutent sont si bêtes !
 
Je suis sincère, lucide : j'ai bien conscience que dire la vérité peut vous blesser, votre réaction est humaine. Vous me qualifiez de "lourdingue" alors que je dis tout simplement la vérité et vous le savez pertinemment. Vous êtes là pour défendre votre commerce, vous ne pouvez par conséquent pas être impartial. Mon intérêt à moi est de mettre en garde les FAIBLES, les CRÉDULES, non de protéger ceux qui profitent d'eux.
 
Vous êtes là pour votre votre camelote à des naïfs que vous manipulez, rien de ce que vous pourrez m'opposer à mes propos ne sera recevable. Moi je n'ai rien à vendre, si ce n'est dire ce que je pense et ressens, sans aucun enjeu financier, contrairement à vous.
 
Trop facile de tenter de tourner en dérision ceux qui, comme moi, n'ont que l'intérêt des crédules piégés par votre discours lénifiant à défendre, non les vôtres qui ne sont que financiers.
 
Réponse typique d'un coupable cherchant à minimiser ses méfaits. C'est comme le voleur qui cherche à amoindrir ses actes délictueux en disant que lui est certes un voleur mais pas un assassin... Comme si cela amoindrissait la gravité de ses vols. Bref, vous l'aurez remarqué, je ne suis pas un gogo gobant votre baratin hautement tarifé. Les "hypersensibles" ne sont que des narcissiques stériles en mal de reconnaissance et n'ayant rien d'autre à foutre de leur vie que de regarder leur nombril. Votre public est essentiellement composé de personnalités mièvres et inconstantes, de jeunes dévirilisés, de névrosés paumés et d'esprits faibles, tous incapables de vivre simplement et de s'adapter au réel. Vous avez trouvé le bon filon.
 
Moi je ne prends aucun argent pour dire la vérité à mes frères humains, aussi déplaisante soit-elle. Je ne les flatte pas pour leur plaire, puisque je n'ai rien à leur vendre... Je ne les embobine pas dans des discours oiseux qui embrouillent leurs esprits fragilisés et les emmènent sur des chemins creux où ils tournent en rond autour de leur nombril en quête de chimères égocentriques. Tous ces coatchs, experts en bla-bla, marchands de "bien-être" et d'autres quêtes fumeuses ne sont que des opportunistes qui font perdre temps et argent à leur public crédule. Moi je dis à ces pigeons qui vous écoutent de cesser de tourner autour de leur nombril et de prendre la vie avec plus de simplicité et d'authenticité au lieu de se croire des âmes d'exception qui ne produisent finalement rien d'autre en ce monde que des fumées vouées au néant...
 
Vous savez que j'ai raison mais étant donné que vous êtes tenu par votre commerce, vous allez continuer à entretenir l'illusion. Les gens vraiment intelligents sauront lequel d'entre nous deux est le plus crédible : celui qui a des intérêts financiers à défendre ou celui qui agit par amour du vrai, par amour véritable de l'humanité ?
 
Cette mode de la visibilité de l'hypersensibilité n'est qu'un créneau commercial dans lequel se sont engouffrés les requins de tous bords et vous le savez tout autant que moi. Ca m'attriste de voir tant de gogos tomber dans le panneau, enivrés, éblouis, égarés par leur propres délires égocentrés...
 
Si vous vouliez vraiment aider ces gens qui vous écoutent vous leur tiendrez le discours courageux, viril et totalement désintéressé qui est le mien. Moi les "hypersensibles", je les endurcis, les aguerris au lieu de les ramollir stérilement comme vous le faites. Je ne leur raconte pas de salades, je les les saoule pas de mots creux pour alimenter leur malaise de gens immatures en mal de lustrage de nombril.
 
Vous faites partie de ces vendeurs de méthodes psychologisantes destinées à apporter un prétendu bien-être ou à améliorer telle ou telle performance : rien que du vent cédé au prix fort à un public désorienté, crédule, facile, faible et sans esprit critique. J'aimerais tant réveiller ces endormis que vous avez hypnotisés, leur ouvrir les yeux ! Vous exploitez la faiblesse de ces gens. Votre discours lénifiant ne marche pas avec moi.
 
Si je pouvais ouvrir les yeux à ne serait-ce qu'une seule de vos victimes, j'aurais une bonne raison de me réjouir de ma journée ! Vous faites croire à des idiots naïfs, à des paumés narcissiques qu'ils sont "hypersensibles" alors qu'ils sont simplement nés dans du coton, dans le but de leur vendre votre bla-bla. Ce procédé est vieux comme le monde, heureusement il y aura quand même toujours des gens comme moi, désintéressés, réellement humanistes, authentiquement animés par le bien commun, vraiment altruistes pour dénoncer ces choses, et je ne m'en prive pas ! Vertes, vous avez le droit de vendre vos méthodes, et au prix que vous voulez, à condition de mettre en garde votre public, de lui suggérer que vos boniments n'engagent que les crédules... Ce serait plus honnête.
 
En quoi votre commerce me dérange, me demandez-vous ? Et vous en quoi ça vous dérange que j'ose dire la vérité ? Moi je suis offusqué de voir que des manipulateurs sans scrupule de votre espèce exploitent la faiblesse et la crédulité de gens désorientés à longueur de vidéos sur YOUTUBE. Ca me dérange énormément de constater que depuis que le monde est monde, il y a des petits malins ayant compris les ressorts de l'esprit humain qui s'enrichissent éhontément sur la misère de leurs semblables sans défense intellectuelle, mentale ou sociale, exactement comme vous le faites, vous et tous ceux qui vous ressemblent, experts en bla-bla hautement tarifés à destination de gogos paumés. Je ne vous reproche nullement de vendre votre camelote psychologisante car chacun est libre de faire commerce de ce qu'il veut tant qu'il y a des gogos pour accepter d'acheter du vent à prix d'or, je vous reproche simplement de ne pas avertir votre public de vos vraies motivations et de la valeur quasi nulle de votre discours.
 
Vous me répondez que nous avons tous des intérêts en ce monde. En effet. Les miens, prioritaires, sont de répandre la vérité, de ne pas prendre les gens pour des couillons à plumer, de ne pas tenter de leur vendre des fumées, de ne pas leur mentir, de ne pas de les endormir avec des chimères dans un but purement mercantile (ou de pouvoir). Mes intérêts, c'est la satisfaction d'avoir bien agi, de faire le bien, de rendre les imbéciles intelligents et les gogos moins sots Et tout cela GRATUITEMENT..
 
La priorité de votre chaîne YOUTUBE consiste surtout à vous remplir les poches sur la sottise des esprits faibles.
 
Le terme "travailler" me semble inadéquat dans votre cas. Exploiter le filon de la bêtise et de la naïveté d'une certaine catégorie de la population dénuée de sens critique, seraient des termes plus justes. Ou exploiter les faiblesses humaines en vogue, si vous préférez. Travailler, selon moi, c'est agir dans le sens du bien, du vrai, du beau.
 
Vous avez au moins l'apparente honnêteté de ne pas effacer mes commentaires, peut-être est-ce un simple calcul de votre part pour faire semblant de démontrer votre bonne foi... Dans votre cas on ne pourra jamais vraiment estimer votre sincérité puisque, je le répète, vous avez des intérêts financiers en jeu. Ce que je souhaiterais, c'est que vous portiez mes commentaires à la connaissance de vos abonnés, afin de bien les prévenir, de leur proposer un autre son de cloche que le vôtre. Et là au moins, personne ne pourra vous accuser de mauvaise foi. Et je n'aurais aucun reproche à vous faire, ni moi ni personne d'autre. Moralement vous serez propre. Après, chacun sera libre d'adhérer à votre discours en toute connaissance de cause, libre d'acheter vos méthodes... Les gens sont vraiment libres d'agir selon leur désirs à partir du moment où ils sont prévenus. Il n'y a rien d'illégal ni d'immoral de croire au Père Noël et d'acheter ses artifices si cela peut faire plaisir à l'acheteur et au vendeur, dès lors que tout est clair au départ.
 
Vous avez des intérêts financiers certains dans cette affaire, en conséquence tout échange avec moi sera fatalement faussé, mais de votre côté uniquement... Ayez le minimum d'honnêteté de le reconnaître.
 
En effet je méprise ces gens sans dignité prêts à gober n'importe quel baratin creux pour se lustrer l'égo, et surtout hyper narcissiques, vaniteux, stériles, vains qui cherchent des chimères dans leur nombril. C'est méprisable, en effet. Vous, vous exploitez leurs faiblesses, vous les respectez encore moins que moi. Moi au moins je leur destine des coups de bâtons susceptibles de les réveiller, contrairement à vous qui cherchez à les endormir afin de leur vendre votre baratin. Moi je suis franc, honnête, animé par le bien, non par le mensonge, le profit, le cynisme, le faux humanisme. Moi je cherche à redonner leur dignité à ces "hypersensibles" que de votre côté vous manipulez sans scrupule. Parfois les ânes méritent des coups de bâtons pour les faire avancer, ce que je fais précisément dans ce cas. Moi je veux leur bien. Vous, vous voulez le bien de votre compte en banque, toute la différence est là.
 
Je réponds avec pertinence, objectivité, courage et honnêteté à votre mauvaise défense, rien de plus. Cela serait tellement plus simple, plus honnête, plus noble de votre part de reconnaître la vérité, mais vous vous ingéniez à jouer les innocents. Ce serait tellement plus honnête de proposer ma version à vos abonnés plutôt que de les laisser s'illusionner avec votre discours doucereux. Rien n'est gratuit dans mes propos, bien au contraire, je m'appuie sur des faits, des constats flagrants de mauvaise foi, de manipulation, de discours frelatés.
 
Votre public est acquis à votre cause, raison de plus pour le mettre en garde, le protéger, lui donner les armes nécessaires pour mieux juger, mieux estimer, mieux peser la teneur et la portée de vos propos qui n'ont rien d'innocent dans ce contexte sensible. Vous ne faites ici qu'exploiter un filon, je le répète, celui de l'égocentrisme stérile d'une population faible, sans repère et en mal de reconnaissance. Oui les gens sont libres de vous acheter vos ouvrages, d'écouter vos propos, libres d'avaler le vent, libres de payer pour respirer, libres d'acheter des billets de loterie, libres de donner leur argent en échange de rêves, d'illusions, de bulles de savon, à condition ne pas les tromper sur la marchandise, de ne pas les empêcher de développer leur esprit critique. Une fois prévenus, les gens sont parfaitement libres de vous acheter ce que vous leur proposez. Que ce soient de l'effet placebo ou des mots vides, des paroles lénifiantes ou des pensées fausses... Moi je souhaite juste leur proposer ma version des choses, mon analyse sur la question, parce que j'ai la très nette impression qu'avec vous, ils n'ont pas accès à ce salutaire son de cloche, leurs intérêts et les vôtres n'étant pas les mêmes, visiblement. Moi j'agis uniquement par amour de la vérité, de l'humanité, des bonnes actions, non par amour de mon compte en banque. Il y a plein de choses qui sont légales et immorales en même temps, et inversement, la morale n'ayant souvent rien à voir avec la légalité... Certes ce que vous faites n'a rien d'illégal. L'homme de conscience qui se souci sincèrement du bien et du mal ne s'est jamais occupé de légalité ou d'illégalité... La morale véritable est au-dessus des lois temporelles. Vous êtes là pour vous remplir les poches en toute légalité, moi je suis là pour protéger les faibles, les crédules, ces pauvres gens sans défense, victimes des requins déguisés en bienfaiteurs.
 
Vous écrivez "Les personnes qui me suivent sont assez grandes pour avoir le discernement nécessaire et juger de la qualité de mon travail." Justement, vous êtes en contact avec des gens qui visiblement n'ont pas les moyens de pouvoir juger votre discours avec acuité, discernement, profondeur. Des gens influençables, immatures qui se cherchent et pleurnichent à longueur de temps en s'auto-persuadant de l'immense valeur de leur sacro-sainte "hypersensibilité" ne peuvent pas être qualifiés de lucides, responsables, adultes.

Alimenter leurs illusions puériles (les "hypersensibles" sont des êtres fragiles à part vraiment exceptionnels, tellement plus ceci ou plus cela que les autres, et ils souffrent tellement, et ils ressentent tellement les fleurs, les hommes, les oiseaux, et ils voient les choses tellement pas pareils que les autres, etc, etc) au lieu de les éduquer selon des critères plus matures, n'est pas, de votre part, une attitude noble et digne. Les personnes qui vous suivent sont des immatures, des victimes de l'exacerbation de l'individualité de notre société malade, bref ce sont des enfants nourris d'artifices, en quête de toujours plus d'illusions. Vous les maintenez dans leur bac à sable de fatuités.

dimanche 20 février 2022

1781 - Droite pure

J'incarne la droite inflexible, franche, rigide.
 
Je suis un butor au credo d'or et au coeur dur, un cador qui ne fait pas de cadeau aux gogos de la gauche tendre.
 
J'excelle dans la démonstration de la force raide, du verbe cru, de l'énergie brûlante.
 
Et de la lame vive.
 
Je blesse mes adversaires avec des éclats de vérités bien acerbes !
 
Jetés en pleine face.
 
Des valeurs aiguës, brillantes, extrêmes comme des diamants incisifs. Aussi éblouissantes qu'insupportables, tel le Soleil faisant disparaître l'obscurité d'un seul rayon. Radicales et fatales, à l'image du vrai effaçant le faux.

D'une justesse mordante, vexante, mortifiante.
 
Les transgresseurs, je les saigne de ma pensée saine, les tue de ma vertu cinglante, les guillotine de ma plume tranchante.
 
Enfin, les inhume sous mes idées assassines.
 
Je ne fais ni dans la dentelle ni dans le détail : j'ai la mentalité d'un taureau.
 
Invincible, railleur, féroce, je brise net tout ce qui est mou, faible, tordu. Je casse la vaisselle des romanichels libertaires et pulvérise leurs cervelles vides.
 
Sans état d'âme.
 
Je me glorifie de couper les mythes en deux, de sectionner les têtes pourries qui pensent de travers, de raccourcir la langue des menteurs. Bref, d'écraser les fleurs en plastique issues des esprits d'artifice, prétendument progressistes.
 
Luisant et terrible, j'étincelle et m'enflamme. Ma nature est de roc et de ciel, de marbre et de feu, d'acier et de lumière...

Je suis un authentique héritier des hauteurs et de la droiture.

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jeudi 17 février 2022

1780 - Vains hypersensibles

Je déteste les hypersensibles.
 
Leurs pensées flasques, leur coeur comme du coton, leurs molles aspirations, leurs pas feutrés, leurs hésitations et leurs manières appesanties en font des larves bavant des rêves tièdes et stériles à longueur de temps.
 
Ce sont des freins serrés en permanence, des poids morts, des producteurs de vide, des constructeurs de châteaux de fumée, les squatteurs d'un royaume de murs de papier et de mots creux, des faiseurs de rien, des débiteurs de vent.
 
Ces névrosés qui s'introspectent sans cesse, incapables d'affronter le moindre moustique, la plus inoffensive des épines, la dernière des contrariétés, se croient les proies du sort, se prennent pour des victimes de la vie et des autres, se déclarent vaincus par une phrase qu'ils comprennent de travers, abdiquent pour un geste anodin qu'on leur adresse et qu'ils reçoivent comme un coup de poing, pleurnichent pour un reproche mérité qu'on oppose à leur émotivité de caniche.
 
Ces brindilles s'effraient pour une brise de printemps, se couchent avec les poules et se lèvent sans éclat, vivent dans la pénombre de peur de faire face au Soleil.
 
Lâches et faibles, frileux et tremblotants, ils refusent de sortir de leur trou de certitudes défaitistes, pessimistes, doloristes.
 
Enterrés comme de pâles endives, ils tournent en rond dans leur bulle, accusant l'Univers entier d'ignorer leurs états d'âmes de chiots.

Je crois que ces inadaptés à la lumière du jour, au réel, à la simplicité, ne voyant que les minuscules choses de leur existence auraient besoin, pour s'extraire de leur léthargie, non pas de l'attention des hommes mais de l'indifférence des mouches.

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mercredi 16 février 2022

1779 - Mes valeurs vives

Moi je refuse d'avaler les insipides salades humanistes en vogue. Les bouillies idéalistes de ce siècle aseptisé m'écoeurent.
 
Les frileux, les fragiles, les émotifs mettant en avant leur sensibilité de larves castrées ne méritent en réalité que de recevoir des flots d'eau glacée à la face, doublés de gifles de feu ! Et non des larmichettes de molle, sotte et stérile compassion...
 
Et ce, afin de les réveiller de leur torpeur de dévirilisés et de les aguerrir aux beautés tranchantes d'une vie pleine d'éclats.
 
J'ai une peau de granit et un coeur de loup.
 
Je suis une écorce de chêne et une terre gelée, un sillon sauvage et une arête de montagne, une crevasse en quête de lumière et un sommet plongé dans la brume.
 
Comme tous les êtres non dénaturés, non falsifiés, dignes et magistraux, nobles et supérieurs, je suis fait pour ressentir la douceur de la foudre, frémir sous la caresse des épines, savourer l'amertume des jours sans chaleur, regarder en face la flamme éblouissante de la mort... Et non pour recevoir l'onde tiède et flasque des mièvreries de caniches épilés !
 
Je préfère le piment rouge qui chauffe le sang au sucre blanc des âmes obèses.
 
Je ne veux que des baisers semblables à des brûlures et des étreintes qui ressemblent à des orages. Ce sont les hauteurs que je désire, non les fades platitudes des fats sentimentalistes, des romantiques émasculés et autres assoiffés de léthargie doctrinale... Et si depuis mon ciel de tourmentes je saute dans le vide, c'est pour y éprouver la folie des aigles, un délicieux vertige, un doute affreux mêlé d'une joie démesurée. Pas pour m'endormir dans des nuages de coton.
 
Je n'accepte d'offrir au Soleil que des larmes de fertile douleur au lieu de perles de pacotilles, de pleurnicheries futiles et de je ne sais quels ridicules et morveux sanglots de violons morts...
 
Ravalez vos roses décidément bien trop pâles pour mes crocs de carnassier, vous les cueilleurs de fleurettes, vous les sensibles, vous les larmoyeurs, vous les tendres à l'épiderme trop fin...
 
Je dévore le monde d'une seule bouchée.

Et si mes mots sont aussi fracassants, c'est parce que le tonnerre fécond s'est logé au fond de ma gueule.

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vendredi 11 février 2022

1778 - Le secret

(D'après un tableau du peintre Aldéhy)
 
Ces deux femmes partagent un inavouable secret.
 
Une même flamme les unit. Et les sépare du reste de l'Univers.
 
Elles brûlent pour un idéal incompatible avec l'humanité qui les entoure. Mais c'est aussi le feu de la honte.
 
Elles doivent cacher leur vrai visage aux profanes pour ne le dévoiler qu'aux initiés. Et ces derniers sont si rares qu'ils sont soit déjà morts soit non encore nés.
 
Hors du monde, incomprises, pestiférées, elles ont conscience du scandale qu'elles incarnent.
 
Soeurs issues des temps oubliés, cloîtrées dans un royaume inconnu et vivant sous un ciel inconcevable, elles regardent droit devant elles, bien au-delà des horizons communs de ce siècle. C'est-à-dire largement au-dessus des têtes ordinaires.
 
Parce que ce duo inattendu est, on le devine, vraiment extraordinaire.
 
Dans les yeux de ces impénétrables créatures, brille un astre lointain mais éclatant.
 
C'est la lumière originelle que nul ne reconnaît plus sur cette Terre, à part les quelques fantômes, ultimes incarnations d'une réalité révolue, qui ont su garder intacte leur innocence.
 
Ces deux points d'interrogation pleins de clarté qui nous fixent avec une telle intensité ne contiendrait-ils pas, paradoxalement, les réponses aux obscurités de notre société en perte de repères ?
 
Ces vierges ne rêvent que d'honnêtes hyménées, que de saintes choses, que de justes sorts.
 
Vivantes énigmes venues du fin fond de la mémoire sacrée de l'Homme, ces filles étranges que notre propre époque considère comme des folles, des arriérées, des égarées sont en réalité les dernières étincelles de notre civilisation mourante.
 
Les porteuses d'un trésor perdu.

Ce qui les éclaire, c'est tout simplement le soleil de la Vérité.

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mardi 8 février 2022

1777 - Force et lumière

Moi, je vénère la force.
 
Je glorifie la mâle puissance, la martiale vigueur, la virile lumière des guerriers, des conquérants, des vainqueurs !
 
Et méprise la frilosité des fiottes, la timidité des timorés, la sensibilité des efféminés.
 
L'homme véritable refuse de se coucher devant les causes dérisoires n'atteignant pas la pointe de son glaive. Il ne se voile pas pour défendre la vérité. Il n'abdique pas face aux artifices du siècle. Seuls l'intemporel, l'universel, le tangible, le vrai font battre son coeur, mettent le feu à son âme. Ou lui font baisser les armes.
 
Il n'a de larmes que pour ce qui le dépasse, jamais pour lui-même. Il souffre toujours une fleur aux lèvres. Physiquement ou moralement car le lion plein de crinière doit rayonner comme un astre en toutes circonstances.
 
En amour il ne brûle que pour mieux dompter et la femme sous ses pieds et sa propre flamme au-dessus de sa tête.

L'authentique porteur d'épée au bras d'acier et au front d'azur se réjouit de la tempête qui le forge et de l'éclair fracassant qui illumine ses idées et apporte de la légèreté à ses oeuvres empreintes de douce folie.

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1776 - De l'herbe à l'aiguillon

Je la rencontrai sur la route de mes jours, au bord des rêves, loin des horizons de ce monde, hors sentiers battus.
 
C'était une simple fleur bleue, rien d'autre qu'une brindille d'espoir sous la brise, un fétu de fragilité en quête d'un peu d'amour.
 
Je lui plus, avec mes airs d'oiseau de proie et mes usages d'un autre siècle.
 
En m'ouvrant naïvement ses bras bien pâles, elle eut le choc de sa vie.
 
Je lui offris le tonnerre de mon ciel de grêle et de feu, anéantissant d'une gifle magistrale ses piètres rêveries de midinette attardée !
 
En écrasant ainsi ses désirs de flasques tendresses d'un fracassant coup de talon, je pulvérisai net ses  plus mièvres certitudes. Geste salutaire qui lui fit définitivement perdre toute illusion à mon sujet...
 
Elle attendait de moi une bluette à sa mesure, elle reçut une tempête de virilité en guise de romance.
 
Cependant, elle ne tarda pas à préférer le mets épicé de mes mots claquants à ses molles chimères d'écervelée, reniant d'un coup toutes ses niaiseries romantiques en échanges des faveurs et promesses bien plus consistantes de ma flamberge.
 
Je lui rompis l'hymen sur le champ.
 
Sa femelle hypocrisie n'y résista point.
 
Réveillée par ma mâle énergie, après avoir bien senti les effets salvateurs de mon glaive au plus profond de ses flancs, ses idées furent enfin remises bien à l'endroit. De délicieuses épines apparurent sur l'inoffensive et fade fleurette vertueusement secouée par mes vigoureux hommages...
 
Une fois mon oeuvre charitable achevée, ayant dûment abreuvé cette larve insipide de ma stimulante masculinité afin de lui redonner de la saveur et du piquant, je venais de donner naissance à une autre femme. A un papillon plein de sel et d'éclat.
 
C'est-à-dire, à une authentique rose.
 
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samedi 5 février 2022

1775 - Jusqu'à la mort

"Ölene kadar"
 
Moi je ne vise que l'extrême.
 
Le sommet, la folie, l'immensité.
 
L'effrayante ardeur, l'insupportable pointe, la brûlante flamme.
 
Le vertige ou rien.
 
L'amour dans le feu ou dans l'océan. La joie dans le sang et avec des armes. La vie jusqu'à la mort.
 
Mais pas de félicité sans larmes, pas de miel dans la mollesse, pas de roses dépourvues de griffes... Je veux la tempête de l'âme, non la paix des caniches.
 
Je palpite comme un diamant de chair : je suis un papillon de l'orage, un scorpion de l'azur, un oiseau aux ailes tranchantes. Je ne suis ni le printemps ni l'automne mais le crissement du gel et le crachat du volcan.
 
Et toi le visage de lumière, toi la face de ciel, toi l'image qui me hante, tu es la lame acérée qui brille sur mes rêves sauvages et purs. Tu es l'éclat blanc de ma douleur dorée. Avec tes yeux pleins de bonheur, tu fais mon malheur. Tes lèvres sont empoisonnées de douceur et tes mots durs sont un délice. Tes grâces venimeuses et tes airs caressants laissent en moi de vraies morsures. Tu es une fleur au parfum de ronce, tu as la beauté féroce des anges immaculés et le coeur léger des loups en liberté.
 
J'avance vers toi de mes pas de guerrier et triomphe avec mon seul glaive ! Je verse ma sève sur ta braise et m'envole vers les étoiles.
 
Ma plume est une onde aérienne et ton sourire est un nuage.
 
Je ne désire que l'infini, et rien de petit ! L'essence des montagnes, l'esprit des hauteurs, le roc des altitudes et non les miettes de la Terre.
 
Je ne cherche que l'eau vive, l'éther et la clarté suprême, à en mourir.

Moi la foudre, toi le Soleil.

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mercredi 2 février 2022

1774 - Zemmour et les journalistes de gauche

La stratégie gagnante, c'est d'oser dire la vérité.
 
Rien que la réalité, toujours le vrai.
 
Le porteur de lumière qu’est ZEMMOUR s'expose sans artifice, avec pour unique arme sa franchise. Lui a choisi de défendre la cause des français.
 
La flamme sacrée, et rien d'autre.
 
Certes, à un moment donné il lui en coûte de l'étaler toute crue sur la place publique. Après quarante ans d'impostures, de fourberies, de tromperies, cette gifle qu'on n'attendait plus fait nécessairement mal.
 
Pour les adeptes du faux, son discours vif résonnant comme un fouet est révoltant, inaudible, douloureux, inconfortable. Mais au moins cette claque en plein visage a pu réveiller net les endormis et a su faire sortir de leur trou les professionnels de la désinformation pris au dépourvu... La main dans le sac, en flagrant délit de traitrise !
 
En effet, plus personne n'y croyait à cette épée tranchante qui coupe le mensonge en deux, mais le vaillant sauveur du pays l'a enfin brandie ! Zemmour s'est dressé sans masque face aux hordes de journalistes menteurs, lustreurs des  bottes de la gauche obèse, grotesque, malade.
 
Seule la pensée droite est payante. Le reste est voué à la ruine.
 
Cet aigle qui affronte ses adversaires au grand jour se prend des coups dans l'arène médiatique. Mais au final, c'est le coeur populaire qui est touché par ses mots justes !
 
Les gens de la France du réel, eux, entendent, suivent, élisent l'orateur qui parle avec une langue de feu et non de bois !
 
Les informateurs prétendument objectifs, à la solde des libertaires délirants, sont dévoyés, corrompus, pervertis par le "politiquement correct"... Depuis des décennies ils débitent leur évangile frelaté à travers journaux et écrans, tentant de diffuser leurs poison gauchiste jusqu'au fond de nos campagnes encore intègres.
 
Aujourd'hui confrontés à à Zemmour ils peuvent bien s'agiter, faire semblant de se scandaliser, prendre des airs supérieurs, plus personne n'est dupe de leurs manipulations ! Tous ces détracteurs auto-proclamés (et même quasi institutionnalisés) de la parole authentique, qu'ils ont criminalisée, sont infectés par les dogmes hors-sol de l'antiracisme, du féminisme, de la tolérance, de l'immigrationnisme...
 
Pourris jusqu'à trahir leur propre sang.
 
Ce qui touche l'âme du peuple, ce n'est pas le verbe édulcoré des frileux et des tièdes qui veulent préserver leur image lisse, consensuelle, proprette en prônant leur droit-de-l'hommisme de pacotille.

Mais la lame acérée de celui qui se bat pour faire triompher la vérité !

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Liste des textes

2156 - Elle me fait peur
2155 - L’horloge
2154 - A la boulangerie de Mont-Saint-Jean
2153 - L’écologiste, ce primitif
2152 - Madame Junon
2151 - Chemins de pluie à Clinchamp
2150 - Voyage vers Mars
2149 - Galaxies
2148 - Je suis de la droite honteuse
2147 - Les écrivains sont des poids morts
2146 - L’héritage de Clinchamp
2145 - Clinchamp, une histoire sans fin
2144 - Vent de mystère à Clinchamp
2143 - Ma cachette à Clinchamp
2142 - Randonnée à Clinchamp
2141 - Eclipse de Lune à Clinchamp
2140 - Un arc-en-Ciel à Clinchamp
2139 - Clinchamp sous l’orage
2138 - J’ai rêvé de Clinchamp
2137 - Jour de l’An à Clinchamp
2136 - Vacances d’été à Clinchamp
2135 - Attente à Clinchamp
2134 - Un jour ordinaire à Clinchamp
2133 - Or de France
2132 - La compagne des esseulés
2131 - Loup de lumière
2130 - Spleen
2129 - Le pitre
2128 - Les corbeaux de Clinchamp
2127 - Un homme heureux à Clinchamp
2126 - Le mouton
2125 - Des lutins à Clinchamp ?
2124 - Je suis fort !
2123 - Paroles prophétiques
2122 - L’égalité entre les hommes est injuste !
2121 - L’idéaliste de gauche
2120 - La femme est la monture de l’homme
2119 - Clinchamp sous la neige
2118 - Le Nord et le Sud
2117 - Pourquoi j’aime Clinchamp ?
2116 - Convaincre Blandine
2115 - Un couple de vieillards à Clinchamp
2114 - Le facteur de Clinchamp
2113 - Tristesse et beauté à Clinchamp
2112 - L’Art
2111 - Botte à l’oeuf
2110 - Les bûcherons de Clinchamp
2109 - Le coucou de Clinchamp
2108 - BFMTV : l’écran de la vérité
2107 - Lettre anonyme
2106 - Je ne suis pas amoureux de Paris !
2105 - Un jour d’hiver à Warloy-Baillon
2104 - La femme soumise brille comme une casserole
2103 - Les chouettes de Clinchamp
2102 - Quand la tempête s’abat sur Clinchamp...
2101 - L’aile et la pierre
2100 - Mes amis les maudits
2099 - Le brouillard de Clinchamp
2098 - Artiste de gauche
2097 - L’éternité dans la tête
2096 - Toussaint à Clinchamp
2095 - Chagrin échappé
2094 - Clinchamp-sur-Mystère
2093 - Les cafards
2092 - Loup des airs
2091 - Le loup de Clinchamp
2090 - En latin, c’est plus beau !
2089 - Les patates de Clinchamp
2088 - L’enfant des airs
2087 - Ciel de France
2086 - Thaïs d’Escufon
2085 - Les tomates de Clinchamp
2084 - Jérôme Bourbon
2083 - Les chats de Clinchamp
2082 - Poupée d’ailleurs
2081 - Pierre de feu
2080 - Les champs de Clinchamp
2079 - L’éclosion
2078 - Vacuité des bouquinistes
2077 - Les toits
2076 - Freud
2075 - Sport
2074 - Le simplet de Clinchamp
2073 - Les oiseaux de Clinchamp
2072 - Je ne suis pas cartésien
2071 - Au cimetière de Clinchamp
2070 - Le Panthéon pour Hugo, l’évasion pour Izarra
2069 - Les rats de la France
2068 - Le curé de Clinchamp
2067 - Mon trou à Clinchamp
2066 - Saint-Léonard-des-Bois
2065 - Les cloches de Clinchamp
2064 - Un épouvantail à Clinchamp
2063 - Les rêves de Clinchamp
2062 - Je suis raciste
2061 - L’injustice sociale ne me choque pas
2060 - Les femmes de Clinchamp
2059 - Les jours vides de Clinchamp
2058 - Une grand-mère
2057 - Clinchamp vers 1970
2056 - La femme de soixante ans
2055 - Sale temps à Clinchamp
2054 - Un grand voyage en forêt
2053 - L’ailé et l’aliéné
2052 - Souvenirs lointains
2051 - Domestication d’une greluche
2050 - Déprime à Clinchamp
2049 - L’amour à Clinchamp
2048 - Les Droits de l'Homme, c'est la négation de l'homme !
2047 - Les hivers de Clinchamp
2046 - Les chemins de Clinchamp
2045 - Seul au monde
2044 - Ne me parlez pas d’amour
2043 - Tristesse de l’été
2042 - Jour de fête à Clinchamp
2041 - Monsieur Lecon
2040 - Châtelain
2039 - Les ailes de Clinchamp
2038 - Tremblement de terre
2037 - Nuit d’amour
2036 - Pluie de joie à Clinchamp
2035 - Les gauchistes
2034 - Clinchamp sous les clartés lunaires
2033 - Henri d’Anselme, héros hétéro rétro
2032 - Les hirondelles
2031 - Retraite dans la forêt
2030 - Mon bosquet
2029 - L’or de Clinchamp
2028 - Sur le chemin
2027 - La souche
2026 - Clinchamp, ce voyage sans fin
2025 - Sardines à l’huile
2024 - Les fantômes
2023 - Le silence de la forêt
2022 - Les arbres
2021 - Les joies de Clinchamp
2020 - La merde républicaine
2019 - Les ailés
2018 - Les soirées de Clinchamp
2017 - Parasite
2016 - Clinchamp, les routes de l’ennui
2015 - Moi français, je déteste les migrants !
2014 - Répugnante
2013 - Les complotistes
2012 - Je déteste les livres de philosophie !
2011 - Le bossu de Clinchamp
2010 - La lumière de Clinchamp
2009 - Les crépuscules de Clinchamp
2008 - Les nuits à Clinchamp
2007 - Les aubes de Clinchamp
2006 - Je suis un oiseau à Clinchamp
2005 - Les rats de Clinchamp
2004 - Les papillons de Clinchamp
2003 - Les richesses de la normalité
2002 - Le Rimbaud des bobos
2001 - Les vaches de Clinchamp
2000 - La folle de Clinchamp
1999 - Mon ego solaire
1998 - Vague Lune
1997 - Ma cabane à Clinchamp
1996 - Moi, IZARRA
1995 - Mais qui donc est Dardinel ?
1994 - La Dame Blanche de Clinchamp
1993 - Le Dalaï-Lama
1992 - Pluie à Clinchamp
1991 - Je suis sexiste
1990 - Les flammes du printemps
1989 - Le rustaud de Clinchamp
1988 - Les larmes d’Amsterdam
1987 - Clinchamp, terre d’envol
1986 - La Joconde de Clinchamp
1985 - Face cachée de Clinchamp
1984 - La clocharde de Clinchamp
1983 - Je suis un extraterrestre
1982 - Clinchamp sous les éclats de novembre
1981 - Clinchamp au bord des larmes
1980 - Les fantômes de Clinchamp
1979 - Les pissenlits de Clinchamp
1978 - Clinchamp : fin et commencement de tout
1977 - Amsterdam
1976 - J’habite sur la Lune
1975 - Secret de Lune
1974 - Les ailes de la Lune
1973 - Voir Clinchamp et sourire
1972 - La pierre et l’éther
1971 - Clinchamp, au bonheur des larmes
1970 - Clinchamp, mon dernier refuge
1969 - Croissant de Lune
1968 - Mais d’où vient donc la Lune ?
1967 - Lune lointaine
1966 - Lune éternelle
1965 - Sandrine, notre voisine
1964 - Rêve de Lune
1963 - Lune des rêves
1962 - La Lune dans le bleu
1961 - Lune ultime
1960 - Les tourmentés
1959 - Clinchamp, paradis des ombres
1958 - Lune absente
1957 - Je raffole des commérages !
1956 - Clinchamp : royaume des humbles
1955 - La Dame dans le ciel
1954 - Palmade : de la gloire au gouffre
1953 - Evasion
1952 - Tatouages, ces marques de faiblesse
1951 - L’égalité est un enfer !
1950 - Repas sur l’herbe à Clinchamp
1949 - Escale à Clinchamp
1948 - Beauté morbide de la Lune
1947 - J’ai dormi dehors à Clinchamp
1946 - Les humanitaires sont des parasites !
1945 - Sur les routes de Clinchamp
1944 - Une année à Clinchamp
1943 - Tristesse du printemps
1942 - Bulle de Terre
1941 - Jour de joie à Clinchamp
1940 - L’inconnu de Clinchamp
1939 - Le ciel de Clinchamp
1938 - Les éclats de Clinchamp
1937 - Le voyageur
1936 - Fête triste
1935 - Les antiracistes
1934 - Jean Messiha
1933 - Coeur gelé
1932 - Romantisme de pierre
1931 - La femme est sous mes pieds
1930 - Burcu Güneş, un air léger
1929 - Je déteste les pauvres !
1928 - Quand mon coeur s’allume
1927 - Intègre, entier, râpeux
1926 - Le cheval
1925 - Homme mauvais
1924 - Un trou sous le ciel
1923 - Hauteur de la Lune
1922 - Nulle part, là-bas, ailleurs
1921 - Belle Lune
1920 - Salades lunaires
1919 - Lettre à Reynouard
1918 - MARGUERITE OU L’HISTOIRE D’UNE VIEILLE FILLE
1917 - Récoltes lunaires
1916 - Je suis français de souche
1915 - Lune mortuaire
1914 - Clinchamp, cité des oubliés
1913 - Clinchamp, l’air de rien
1912 - Clinchamp, sommet du monde
1911 - La pollution, c’est la vie !
1910 - Seule au monde ?
1909 - Le Ciel et la Terre
1908 - Lune de haut vol
1907 - La Lune s’allume
1906 - Nuit sombre
1905 - Soupe de Lune
1904 - Puretés raciales
1903 - Lune-pizza
1902 - La grande question
1901 - Amiens
1900 - Pleur de Lune
1899 - Rêve d’amour
1898 - Vive le patriarcat !
1897 - La libellule
1896 - L’eau qui m’éclaire
1895 - Une question de clarté
1894 - La Lune dort
1893 - Les artifices du spirituel
1892 - Lune normale
1891 - Ni chauffage ni travail
1890 - Lune de fer
1889 - Molle Lune
1888 - Insensible aux malheurs des autres
1887 - Mon visage de vérité
1886 - Amante russe
1885 - J’écris
1884 - Lune martiale
1883 - Je suis un incapable
1882 - Lune creuse
1881 - 1975
1880 - L’éclat d’un fard
1879 - Amour impossible
1878 - Femme au foyer
1877 - L’esprit de la Lune
1876 - Ingérence féministe
1875 - Cratères lunaires
1874 - Lune d’effroi
1873 - Lune des chats
1872 - Les athées
1871 - Lune d’or
1870 - Lune carrée
1869 - Lune de miel
1868 - Folle lune
1867 - Jour de joie
1866 - SMARPHONES : abrutissement des masses
1865 - Sombre lune
1864 - Les mouches
1863 - Ma vie simple
1862 - Clinchamp, terre lointaine
1861 - Je suis un conservateur
1860 - Lune de glace
1859 - Le lac
1858 - Qu’est-ce que la beauté ?
1857 - Lune blanche
1856 - Lune de mer
1855 - Lune de feu
1854 - Présence immortelle
1853 - Surprenante Lune !
1852 - L’éclat de la Lune
1851 - Epis lunaires
1850 - L’autre Lune
1849 - L’amie des cheminées
1848 - Lune morte
1847 - Lune Parmentier
1846 - Lune fatale
1845 - Amour céleste
1844 - Grâces et disgrâces
1843 - Ma maison, c'est la Lune
1842 - Poids de la Lune
1841 - La morte visiteuse
1840 - Ma cabane sous la Lune
1839 - Bleu ciel
1838 - Histoire de lune
1837 - Suc de Turque
1836 - Stéphane Blet
1835 - Ciel bleu
1834 - Bonheur de rat
1833 - Redneck
1832 - Sur le rivage
1831 - Attraction lunaire
1830 - Je suis anti-féministe radical
1829 - Mais qui est-il ?
1828 - Je veux des frontières !
1827 - Les francs-maçons
1826 - Folies lunaires
1825 - Alunir, en un mot
1824 - “Comme ils disent”, chanson d’Aznavour
1823 - Lune tiède
1822 - Globe de rêve
1821 - Effroi
1820 - Vangelis
1819 - L’air de la Lune
1818 - La campagne
1817 - Lune tombale
1816 - Les cailloux
1815 - Je déteste Paris !
1814 - Boules de neige
1813 - Je n’ai pas peur
1812 - Parler vrai
1811 - Les hommes simples
1810 - Quand la Lune panse
1809 - Régine : extinction d’un feu
1808 - Morte veilleuse
1807 - Coeur de pierre
1806 - Noir
1805 - Mystère de la Lune
1804 - Jackson Pollock
1803 - En pleine lumière
1802 - Harmonie des sexes
1801 - Dix ans dans l’azur
1800 - Pluie d’avril
1799 - Le gueux
1798 - Les pommes de pin
1797 - Voyage vers la Lune
1796 - Mystère d’une nuit
1795 - Une lumière turque
1794 - Sans coeur et avec écorce
1793 - Envolé !
1792 - Galante ou l’abcès crevé
1791 - La lumière du Bosphore
1790 - Claude Monet
1789 - Rat aristocrate
1788 - Ukraine : sortez de vos ornières mentales !
1787 - Tranche de ciel et plumes de la Terre
1786 - Les sots écolos
1785 - L’astre turc
1784 - L’Ukraine, je m’en fous totalement !
1783 - Vive la guerre !
1782 - Réponses à un coatch
1781 - Droite pure
1780 - Vains hypersensibles
1779 - Mes valeurs vives
1778 - Le secret
1777 - Force et lumière
1776 - De l’herbe à l’aiguillon
1775 - Jusqu’à la mort
1774 - Zemmour et les journalistes de gauche
1773 - Dur et juste
1772 - La flamme et le marbre
1771 - Mon chat est mort
1770 - Les frères Bogdanoff
1769 - J’ai rêvé de Natacha
1768 - Technologie
1767 - Vers la Lune
1766 - C’était la guerre
1765 - La “tondue de Chartres”
1764 - Dans le métro
1763 - Naissance d’un virus
1762 - Zemmour est-il un de Gaulle ?
1761 - Je suis grand
1760 - Jour de gloire
1758 - Une muse du Bosphore
1758 - Je suis un extrémiste
1757 - Les éoliennes
1756 - Femme terminale
1755 - Autoportrait
1754 - Je suis un sanglier
1753 - Faux fou
1752 - Les affaires
1751 - Octobre
1750 - Le fantôme
1749 - Les écrivains
1748 - Sauvez la France !
1747 - Mes sentiments de pierre
1746 - Une araignée raconte
1745 - Un coeur clair
1744 - Phallocrate
1743 - Les vaches
1742 - Les faibles sont mauvais
1741 - Les sans-visage
1740 - Le trouillard de gauche
1739 - Léonard de Vinci enfant
1738 - Mes froideurs sublimes
1737 - Le romantisme, c’est la décadence
1736 - La Joconde
1735 - La tour Eiffel
1734 - Le Soleil
1733 - Une boule de mystère
1732 - Les masqués
1731 - Burcu Günes, l’or turc
1730 - Léa Désandre
1729 - Le père Dédé
1728 - “Blanc lumière” de Pollock
1727 - Les kikis et les cocos
1726 - Les funérailles de Belmondo
1725 - Pôle Sud
1724 - Vierge au mariage
1723 - La forêt
1722 - Le réveil des clochers
1721 - En septembre
1720 - Extraterrestre
1719 - Ni cagoule ni sérum
1718 - L’astre des morts
1717 - L’idéaliste
1716 - Un ange noir pour les Blancs ?
1715 - Trois heures du matin
1714 - Dur et vivant
1713 - Homme des bois
1712 - De flamme et de sang
1711 - Mes bas potentiels
1710 - Je suis un anti-progressiste
1709 - Eléonore et les Noirs
1708 - Eléonore et les Juifs
1707 - Une française
1706 - Femme d’idées
1705 - Joie de vivre
1704 - Auteur de rêves
1703 - Raison féminine
1702 - Vieillard
1701 - Face de France
1700 - 1789
1699 - Adieu, France
1698 - Célibataire
1697 - L’envers vert
1696 - Avant la chute
1695 - L’aube d’Ève
1694 - Amour raté
1693 - À vue d’homme
1692 - Le loup et l’agnelle
1691 - Têtes à corps
1690 - Trêve de la nuit
1689 - L’été
1688 - L’hiver
1687 - Les âmes de la forêt
1686 - Enfin libre !
1685 - Je vis sans masque
1684 - Enfants du monde
1328 - Je suis apolitique
115 - Le cygne
114 - Le spleen de Warloy-Baillon
113 - Les visiteurs
112 - La Lune
111 - L’amant des laides
110 - Mémoires d’un libertin
109 - Une existence de pompiste
108 - Lettre à mes amis des listes sur Internet