A deux doigts de ses lèvres, je suis au bord d’une piscine. A
travers l’éther de son regard, je me retrouve en plein azur. Au sommet de son
front, je plonge dans l’horizon.
Dés que je pense à Farrah Fawcett, je ne vois plus que du bleu !
Et pour le reste n’y vois que du feu.
Ignorant candidement les écoulement nauséeux de ses grumeleuses ou gluantes
humeurs féminines, les profanations merdeuses de ses outrances intestinales, les
outrages corporels de ses femelles dérangements, je me noie dans les fumées
cérulescentes de mes rêves les plus fous...
Et dans les fluides les plus sains car enfin c’est avant tout l’or du ciel
qui m’agrée. C’est à dire, l’air d’en haut.
Même sa chevelure de fauve me montre un fleuve avec plein de nuages qui
glissent au fond.
C’est la couleur céleste que le lis sur sa face. L’éclat des sommets. Aux
antipodes des ternes artichauts et des pâles pâquerettes qui stagnent
au sol.
Aux abords de ses lèvres, je suis au-dessus de l’eau. Dans la mer de ses
pupilles, j’aperçois le plein océan. Au sommet de son front, je me perds dans le
grand large.
Depuis la terre jusqu’aux nues, décidément, avec elle j’ai des ailes dans
les yeux.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire