Á PROPOS D'UNE PHOTO FLATTEUSE, ARTISTIQUE D'UNE
MENDIANTE ROUMAINE
Je déteste ces mendigots des pays de l’Est tous pareils dans le
misérabilisme de façade, image dégradante d’une humanité tricheuse, sale et
cynique (il est évident que ces gens ne respectent pas leurs bienfaiteurs
puisqu’ils les arnaquent).
Cette femme maigre, éternelle traine-misère, vicieuse, n’inspire que le
rejet, l’échec, le mépris ainsi que de pédagogiques crachats entre les deux
yeux.
La photo est très belle, “inesthétiquement” parlant.
L’image d’un archétype des professionnels de la mendicité sans subtilité,
sans noblesse, sans idéal. Plus ce genre de voleuse de rue affiche une mine
désolante devant les magasins, plus les crachats que je lui destine sont précis.
Un crachat vers sa main tendue à l’entrée, un crachat au visage à la
sortie.
J’aime beaucoup montrer mes richesses à ces minables voleurs maffieux au
sortir des épiceries fines en leur faisant bien comprendre, de ma mine hautaine
lorsque je n’ai plus de salive à leur adresser, qu’ils ne profiteront d’aucune
miette de mes trésors alimentaires, ce qui est le plus sûr moyen de les faire
repartir dans leur pays de perdants.
Ces pauvres hères exhibant leur misère morale et psychologue (car la
misère alimentaire est un mythe en France) comme un passe-droit pour
récolter des miettes me répugnent, je préfère voir le spectacle glorieux et
digne de la beauté, de la grâce, de la santé et du bonheur
Je vais plus naturellement vers un de mes semblables épanouis, propres, bien vêtus et souriants que vers un de ces chiens battus puant l’échec, la crasse et le malheur.
Je vais plus naturellement vers un de mes semblables épanouis, propres, bien vêtus et souriants que vers un de ces chiens battus puant l’échec, la crasse et le malheur.
La vraie charité consiste à gifler avec un air hautain ces rats de nos
trottoirs afin de leur apprendre que le bonheur se mérite et ne se mendie
pas.
Je suis franc, je n'ai jamais apprécié les mendigots et autres
porteurs de haillons, non pas parce qu'ils sont mal habillés et qu'ils puent la vinasse
mais parce que leur indigence les rend inintéressants selon mes
critères.
Préoccupés par leurs problèmes, ils sont insensibles à la poésie, à la
beauté ou plus simplement à MES problèmes.
Quant aux SDF français, les échanges avec eux se limitent à la température
qu'il fait en hiver, à la nourriture de leurs chiens et aux moyens de se
procurer des canettes de bière.
Bref, cette gueusaille égoïste et malpropre n'éprouve nulle compassion envers les délicatesses de ma personne.
Je suis en effet à des années-lumières des préoccupations grossières de cette population claudicante, fangeuse, peu éduquée.
Parfaitement indifférent aux propos bassement matériels dont ces esprits vulgaires m'accablent.
Et surtout, singulièrement allergique aux puanteurs canines et aux relents vinassiers que ces naufragés laissent dans leur sillage.
Bref, cette gueusaille égoïste et malpropre n'éprouve nulle compassion envers les délicatesses de ma personne.
Je suis en effet à des années-lumières des préoccupations grossières de cette population claudicante, fangeuse, peu éduquée.
Parfaitement indifférent aux propos bassement matériels dont ces esprits vulgaires m'accablent.
Et surtout, singulièrement allergique aux puanteurs canines et aux relents vinassiers que ces naufragés laissent dans leur sillage.
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