dimanche 25 novembre 2007

765 - L'inégalité des sexes et des âges

Alors que l'homme avance en âge sans crainte, la noblesse au front, le port altier, le pas sûr, le regard sage et pénétrant, la femme que rongent les ans pénètre dans l'ombre de la vie avec des terreurs qui affligent sa face et l'enlaidissent davantage. Ses fards tardifs, loin de soigner le mal, accentuent sa décrépitude.

Tandis que l'homme se bonifie de décennie en décennie, la femelle qui déjà est altérée, déformée, gâtée par l'orgueil s'étiole au fil des saisons, vaincue par le temps, le simple temps qui passe. Les années sur l'homme ont des effets flatteurs, charmants, exquis.

Mais dégradent les dernières arrogances de la femme... Irrémédiablement.

L'homme avec le temps présente un miraculeux allongement et glorieux durcissement pénien, ses productions séminales s'avivent, son coeur bat avec sérénité, son esprit s'éclaircit comme un astre, ses pensées s'approfondissement tel un puits immense, il arbore une irrésistible grisaille dans les cheveux, ses sourires matures et virils ont des charmes fous qui séduisent même les tendrons. La femme du même âge au contraire devient repoussante : sa chair tombe, sa chevelure teinte est pleine d'indécence, sa face reflète la ruine.

Et sa bêtise s'enracine avec plus de vigueur dans les vanités déçues de sa féminilité dévastée.

C'est la raison pour laquelle l'on voit toujours des jeunes créatures aux bras de vieux messieurs galants et jamais d'éphèbe courir après des vieillardes, sauf si elles sont fortunées, bien entendu.

VOIR LA VIDEO :

35 commentaires:

Anonyme a dit…

Oui mais en même temps on est tous aussi sur un pareil pieds d'égalité au niveau de la vieillesse des âges. La séduction de l'homme mûre ne dure qu'un temps (sauf si il est fortuné alors là il sera encore convoité à grand âge) mais sinon cela rattrape la convoitise juvénile de la femme qui s'est fait plus tôt et de l'homme donc plus tard. La vieillesse s'acquiert avec mérite.


Naturellementvotre

Anonyme a dit…

Et je rajouterais même qu'on peut tomber amoureux à n'importe quel âge, rien n'est figé.
L'amour n'a pas d'âge si je puis dire.
Merci pour ce joli texte très cher Izarra!


Naturellementvotre

Anonyme a dit…

(L'homme avec le temps présente un miraculeux allongement et glorieux durcissement pénien, ses productions séminales s'avivent)

merciii Dr Viagraaaa !


(C'est la raison pour laquelle l'on voit toujours des jeunes créatures aux bras de vieux messieurs galants)

Elémentaire Watson, c’est à cause de leurs bourses pleines avant qu’ils claquent. ^o^

Anonyme a dit…

Il ne faut pas oublier qu'à tout âge, il est toujours plus facile de garder la bouche ouverte que de tendre le bras. Les vieillardes sont rôdées, mais les vieillards deviennent impuissants. Les vieilles toupies deviennent plus flasques, mais l'angoisse des vieux boucs est de ne plus bander leur mât pour tenir le cap sur un matelas moelleux de chair. Vous, vous n'y échapperez pas non plus, mon pauvre sans ailes, ni aucune ni aucun en cette humanité.

On dira que vous avez eu des couilles molles, dans votre plus jeune âge de ne pas oser affirmer votre personnalité de paon face à un troupeau de mâles et femelles circulant autour de vous, mais de n'en défendre que votre ardeur bafouée par une plume acide trempée de vitriol, vous incapable à la répartie en face à face, incapable au duel des chairs ou d'un corps un corps loyal. On dira aussi, sur votre vieil âge, que vous avez de l'amertume sur le coin de vos babines déformées par autant de dégoût d'être passé à côté de vous-même quand vous auriez pu être l'homme qui ose s'affirmer en toute situation, sans sa plume de paon pour fouetter dans sa roue. Vous auriez pu être plus glorieux par plus d’actions valeureuses que de faire couler votre sang d'encre bleue virant au rouge sans culotte.

Vous me faites rire aux éclats chaque fois que je vous lis, ne changez pas ! Restez aussi beau jeune tordu, ne devenez pas un laid vieux raide ! Je ne pourrais plus rire autant de ces vents échappés de votre cul ! Le rire entretient jeunesse et beauté, en somme : la santé ! Vous êtes le clou... clown, bouffon... planté à la fesse de votre page* ! Vous deviendrez baveux d’avoir fait baver autant votre plume que ceux dont vous rêviez les tournures à frapper en coups et afin de retenir leur attention. Vous deviendrez baveux et, l’asticot ramolli, vous sentirez le vin aigre, pour ne pas dire le vinaigre, la pisse de mouton à cinq pattes et de brebis galeuse. Que cherchez-vous pauvre seigneur dépourvu d’espoir, une donzelle qui vous baise correctement les pieds et l’appendice indiscipliné ? N’avez-vous pas encore trouvé celle qui tienne le coup et les coups que vous lui mettrez par tous les petits bouts impétueux de votre personne ?

Vous savez que les vérités ne concernent pas que les autres, mais vous également. Le "mou" et le "dur" ne vous épargnent pas, ni dans l'état de votre corps, ni dans les allusions. Je vous recommande : soyez lucide à vous regarder aussi bien que vous observez les autres et l'horizon, puis n'en soyez pas dégoûté à vous "louper** " d'aussi près.

Ne vous demandez pas qui je suis... Je pourrais répondre : "Mais mon pauvre seigneur, vous disiez que j'étais à la fois trop flasque et trop vieux con". Peut-être suis-je bique et bouc. Ah ! Lisez entre les lignes, et voyez ce que je veux y dire en chaque mot. Vous y verrez bien plus que la croûte.
Mais je ne pourrai jamais vous donner de caresses, les miennes vous piqueraient ! Les coups de bâtons sont raffermissants... Ils se révèlent être bons pour le teint et la forme !

A nous deux, nous pourrions tenir la scène du théâtre et faire rire un public passant à nous donner la réplique !

* Ici, feuille et jeune noble placé auprès d'un seigneur.
** Ici, "louper" : manquer et regarder à la loupe.

Inflexiblement vôtre.

Raphaël Zacharie de IZARRA a dit…
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
Raphaël Zacharie de IZARRA a dit…

L'esprit et rien que l'esprit, tel est mon credo.

Briller, monter, grossir, remplir l'espace, m'étendre... Non par ma chair, non par des moyens sonores, mais par la beauté de mon esprit.

Raphaël Zacharie de Izarra

Raphaël Zacharie de IZARRA a dit…
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
Anonyme a dit…

Mon très cher Izarra, je pense bien que ce gars "Porto William de Saint Nivel" est dépourvue d'intelligence et de bien d'autres choses parce que là!!!!!

Et votre esprit est très beau rassurez-vous! :)

Nombreux sont les jaloux!



Naturellementvotre

Anonyme a dit…

Eclats de rire !

Comment être jaloux d'un trou du cul qui ferait de sa roue perforée un panache sur sa propre misère : un esprit qui ne sait pas rire mais seulement grincer des dents jusqu'à n'en émettre que le bruit de ses malaises ?
Un esprit si pauvre en joie qu'il ne sait comprendre le rire qu'il provoque...

Quelle banalité dans l'argument !
L'anonyme sans nom et le trou du cul, compères qui ne savent plaisanter. Une peau trop sèche flétrit très vite. Ne voyez aucune offense dans "le trou du cul", un cul est un cul, un trou est un trou et vous aimez parler de couillons, de couillards et de "couilles au n'a d'oeufs (d'eux)". Sachez le lire à la sauce que vous aimerez.

Attention de ne pas éclater à grossir, grossir... Le jeu du personnage, le vôtre, où peut-être s'éclate votre beauté. Quant au reste, aucun doute : aucune beauté... Peut-être dans votre persévérance, il y a une lourdeur qui vaut d'être remarquée et de rire de toute votre plaisanterie.

Continuez à péter et à nous "odorer" d'aussi bonnes couches.

Applaudissement vôtre, sans flatterie... vous laisseriez tomber un fromage.

Apprenez à rire anonyme-ment... également.
Riez comme le seigneur que vous léchez à tous ces endroits. Il veut être une bête de cirque et, sifflé ou applaudi peu importe, vous l'en verrez heureux !

Anonyme a dit…

"Anonyme a dit...
Mon très cher Izarra, je pense bien que ce gars "Porto William de Saint Nivel" est dépourvue d'intelligence et de bien d'autres choses parce que là!!!!!"

Faute d'orthographe voulu "ce gars" et "dépourvue" respectant le "bique et bouc" possible ?

Raphaël Zacharie de IZARRA a dit…

Porto William,

Ma particule, ma particule, mon "de" et mon esprit, voilà les deux mamelles de mon izarrien, autruchien, gallinacéen, chevalesque, chevaleresque et même chevalinien, -voire chevalinesquéen- (et pourquoi pas chevaleresquenicéen?), escargotique, éthéréen, baleinien, simesque, inextinguible éclat.

Raphaël Zacharie de Izarra

Anonyme a dit…

Voilà pourquoi je vous trouve drôle à en rire aux éclats et sympathique : les particules que vous mettez aux mots et les accents pathétiques de ceux-ci. Brutus et Romulus seraient venus y "têter".

Grands "pouf !" et éclats de rire !

Anonyme a dit…

L’orgueil est un fil facile à manipuler lorsqu’on est un tant soit peu psychologue et manipulateur…

Etre libre, c’est être humble. Un homme vaniteux n'est pas libre, il fait trop reposer son image (de l'esprit ou de son physique) sur le regard des autres comme s'il cherchait à se rassurer de sa beauté à travers un miroir.

Mais ce défaut peut constituer un charme à condition de ne pas s’y perdre comme Narcisse.

Bien à vous Raphaël.

Raphaël Zacharie de IZARRA a dit…

Sophia,

Ne confondez pas l'orgueil avec le simple mouvement de plume qui est aussi une arabesque littéraire...

Raphaël Zacharie de Izarra

IndigOr a dit…

A lire : Clarissa Pinkola Estes

Vite !

Anonyme a dit…

(Ne confondez pas l'orgueil avec le simple mouvement de plume qui est aussi une arabesque littéraire)

Faire la roue est la vanité du paon.

Alouette, je te plumerai.
Je te plumerai la tête.
Je te plumerai la queue.
Je te plumerai les ailes. ^_^

Anonyme a dit…

Et s'il n'y avait rien à plumer ? Rien qu'une vanité illusoire, rien que des mots qui veulent grandir le paon... Faut aller voir sur place pour s'en rendre compte. La taille des mots donne parfois de l'illusion à celui qui les écrit et à celui qui les lit. Elle fait effet d'envergure, mais n'en est pas toujours. Est-ce un bien ou un mal ? L'un comme l'autre ne vaut que le bienfait de l'illusion.

Anonyme a dit…

(Et s'il n'y avait rien à plumer ? Rien qu'une vanité illusoire)

chuis tout à fait d’accord anonymous, il n’y a même pas de plumes, il n’y a que du vent.
excepté que chez le paon (l’animal je parle hein), la vanité est toute naturelle liée à la survie de son espèce.
Chez l’homme par contre, je ne peux m’empêcher parfois de me demander si le bocal n’est pas fêlé. ^-^
Mais de là à dire que l’illusion est un bienfait, je n’irai pas jusque là.

Anonyme a dit…

Je suis l'anymous qui dit qu'il n'y a rien à plumer.
Tout à fait d'accord, Barbie.
La vanité un bienfait ? Pour celui qui s'y enferme (dans la vanité), le bienfait ne dure que le temps que l'illusion dure. Le vent est fort tant qu'il court, s'il ne court plus : il n'existe plus. La vanité est un monde tant qu'elle est illusion de pouvoir sur celui qui s'en enveloppe. Dès l'instant que la vanité ne sert plus de parade, de coquille, l'illusion d'être et de paraître s'effondre.

Le problème des vaniteux c'est qu'ils ne sont pas assez forts sans vanité. On dit se gonfler comme un dindon. Sans volume, sans langage enflé, il n'y a que maigre pitance. La parachute donne l'illusion de posséder des ailes, et ne fait pas d'un homme qui l'endosse un oiseau qui saura voler avec beauté. Pour le vaniteux : même problème.
Il faudrait que Raphaël se mette à exister sans vanité, là serait alors la naissance de sa vraie force. Il ne le conçoit pas, dommage pour lui. Même si le rôle qu'il tient est basé sur la vanité. Il serait plus admirable, plus fort et plus valeureux en chevalier noble et preux dépourvu de vanité mais n'ayant que la splendeur de sa plume raffinée, réaliste et naturelle. Allez donc expliquer cela à De Izarra qui pense qu'une particule a besoin d'une vanité ou donne ce droit. La particule, à elle seule, donnerait sa vraie force si son coeur, lui aussi, était preux et véritablement noble sans narguer la société par sa vanité futile. Cette vanité retire beaucoup à sa personnalité. De Izarra pense qu'au contraire elle "excite" un piédestal et l'habille d'un manteau "royal". A cet endroit, le piédestal est pour lui illusoire. Il ne voudra jamais le comprendre... sinon cet auteur, en devant preux avec la force de sa plume et la force de sa personnalité, irait bien plus loin et serait bien mieux reconnu. Lui suffit d'être vu et "moqué" de la sorte. Il me fait penser à un petit noble qui ne règne que sur son fief, mais incapable de s'imposer à tous hors de son petit périmètre, ici dissimulé derrière son écran.
Le manque de naturel n'est qu'une composition et une composition n'est qu'un décor. A l'envers du décor, il n'y a que du carton creux donnant le relief. Pauvre Raphaël qui ne voudra pas comprendre et voudra maintenir ses arguments de défenses. On peut toujours faire ce qui nous convient, sans penser que faire autrement serait mieux et plus marquant.

Le véritable Raphaël est autre. Il est magnifique sans sa parade, authentique. Sa panoplie l'ampoule à l'enlaidir. L'acteur est lourd, le comédien sans son maquillage est un courageux compositeur. Son mérite est là, dans son travail : celui qu'il pratique lorsqu'il écrit ses textes. Derrière la particule, se cache un auteur qui forge ses mots. Là est le véritable charme. Il peut mieux faire, mais il fait déjà bien. Mais il ne sait pas voir ni comprendre que sans "ses airs", il serait mieux apprécié. Refusant de sortir de son jeu de mots et s'emprisonnant dans son personnage, il a la plume amusante et le ton rebel, poivré d'humour, salé d'objectivité subjective, huilé de subjectivité objective ; La plume est tranchante comme une lame, la langue est acerbe, aigre, amère, caustique, diabolique, goguenarde, ironique, mauvaise, moqueuse, narquoise, persifleuse, railleuse, satirique. Mais Raphaël est empreint d'autre chose qu'il ne montre pas à travers ses textes. Dommage... Il vous paraîtra encore plus mystérieux.

Personne n'est parfait, mais Raphaël est un écrivain sérieux qui cherche toujours à aller plus loin vers la perfection. Il commet quelques imperfections, mais il y met tant d'âme qu'il ne faut pas le décourager. Pour ma part : dommage qu'il ne nous interpète pas un autre rôle en parallèle, celui de son rang (ne pas oublier la particule) ou il serait bien plus noble par la beauté de son regard, de ses gestes à se battre pour embellir. Bâtir un personnage est bien, mais deux est mieux ! Mieux qu'un paon serait un chevalier à la fois secouant le monde et se battant pour y mettre de la beauté. Je crois qu'il n'est qu'une oreille qui entend chez Raphaël, et une autre seulement chez De Izarra. Jamais l'un et l'autre ne feront un même et seul homme à être lui-même. Dommage...
Bien lire mes mots Raphaël au-delà de ce qu'ils semblent dire. Une suggestion... ce sera mon cadeau de Noël, "dit" avec bienveillance et ne portant aucune méchanceté ni raillerie.

Il n'est aucune jalousie. Un tel travail d'auteur se respecte. La jalousie est une bêtise d'étroitesse d'esprit" appartenant à l'être futil. Ni De Izarra, ni De Saint Nivel ne sont des "être" futils.
Voir message du 1 déc. 2007 03:56:00

Par de mauvaises manoeuvres à l'enregistrement du message, j'ai oublié de dire que je suis Porto William de Saint Nivel depuis deux messages précédents paraissant sous le nom "anymous" du 1 déc. 2007 12:19:00 et 6 déc. 2007 15:27:00

Raphaël Zacharie de IZARRA a dit…

Porto William de Saint Nivel,

Je ne joue aucun personnage. Je suis Raphaël Zacharie de Izarra, comédien "naturel". Est-ce que le bossu du théâtre joue à jouer le bossu ? Certes pas. Il incarne son rôle tout simplement. Tellement qu'il y croit dur comme fer. Moi de même.

A part cela, très bonne analyse de l'auteur. Légèrement au-dessous de la vérité toutefois : ma plume vaut plus que vos éloges. Vous êtes le cierge laudateur, je suis la flamme.

Raphaël Zacharie de Izarra

Anonyme a dit…

Vous écrivez :"Il incarne son rôle tout simplement. Tellement qu'il y croit dur comme fer. Moi de même." Je réponds : croire être dur comme fer, n'est pas être dur comme fer." En pleine illusion que vous ne concevez plus, car elle est votre habitude. votre monde est illusion, votre univers en dépend, vous n'êtes qu'illusion.Je maintiens mes propos.

"... ma plume vaut plus que vos éloges. Vous êtes le cierge laudateur, je suis la flamme."

Non pas. Je suis l'air, je suis libre comme l'air. Bien mieux que dur comme fer. Pour qu'il y ait flamme, il faut l'air qui lui permet d'être. Votre commentaire est dans ce sens parce que je lui ai permis d'être dans ce sens. Vous êtes ce que l'on vous permet d'être, mais vous n'êtes pas celui qui impose son "être".

N'oubliez pas que la vie d'une flamme ne tient qu'à une mèches et à quelques conditions.

Dommage que vous ne sachiez tenir en beauté qu'un rôle, toujours le même... où vous cuisinez les mêmes ingédients à toutes les sauces. Dans la réalité vous êtes meilleur et c'est celui-là que je préfère.

Anonyme a dit…

Bonjour à tous

(Pour celui qui s'y enferme (dans la vanité), le bienfait ne dure que le temps que l'illusion dure. Le vent est fort tant qu'il court, s'il ne court plus : il n'existe plus.)

Excellente allégorie, je la note celle-là. ^-^

(Personne n'est parfait, mais Raphaël est un écrivain sérieux qui cherche toujours à aller plus loin vers la perfection.)

Je suis d’accord avec tout le reste sauf avec cette phrase. Je ne sais pas ce qu’on appelle véritablement perfection et quels sont les critères objectifs qui la définissent pour l’atteindre sachant que ces critères peuvent varier selon les individus, les modes et les peuples.

Au sens figuré, est-ce porter au quotidien une robe de haute couture parée de diamants et de fils d’or.

C’est beau je l’avoue, on admire, toute la galerie est ébahie, mais comme c’est lourd à vêtir au quotidien, on s’y sent à l’étroit, on ne peut même pas gambader, sauter, à chaque fois il faut faire attention par souci de préserver cette soi disante perfection, pour finalement par perdre sa liberté de mouvement et son naturel.

Et là il n’est pas compliqué de comprendre que le meilleur peut devenir l’ennemi du bien et sacrifier l’être pour le beau n’est pas souhaitable.

Ça me fait penser aussi à un passage du récit biblique (quoique je ne suis pas spécialment croyante) mais je reconnais que ce livre possède de véritables enseignements si on le comprend au sens littéral.

Il est raconté que Dieu, dans son infinie sagesse, ayant créé l’homme à son image, et ayant réuni tous les anges et le plus beau de tous en esprit et en ailes nommé Lucifer, leur dit de se prosterner devant sa nouvelle créature la désignant comme son véritable et unique fils.

Et tout le monde connaît la suite, c’est à partir de là que les ennuis commencent, beauté devenue orgueilleuse jalousant l’être dans toute sa simplicité et sans fioritures.

Cela dit je respecte totalement le choix de ceux qui aiment revêtir quotidiennement leur robe de haute couture pour épater soi-même et la galerie, s’ils considèrent que c’est leur véritable nature pourquoi pas, ça peut faire un beau spectacle d'artifices. ^o^

Et en meme temps, je reconnais aussi que parfois être en s’affranchissant du regard des
autres demande un sacré courage. souvent ce sont les enfants qui peuvent le faire, mais l'idéal c'est d'être un grand enfant avec la sagesse en plus. ^o^

Anonyme a dit…

Dis donc ! entre Porto et Barbie mister de Izarra est encadré.
Hier soir je souhaitais réagir mais un tchat me saisit à l’improviste. Voici l’enregistrement de secours (Barbie a rajouté son grain de sel entre temps) :

Porto a cessé de railler. Sa profonde bienveillance l’élève au dessus de la mêlée des arguments flingueurs, des sifflets persifleurs, des traits d’esprit décochés.
Mais Raphaël tient bon. Il maintient la pose. Ou peut-être sa pose le maintient-elle ? Qui contrôle qui ?
Porto a jeté le gant du style pour tendre la main de la vérité. Raphaël, dédaigneux, a gardé son masque, sa superbe. Ce masque qui lui colle superbement à la peau. Altier, Raphaël creuse son trou. Il s’enfonce en surface. Ses spirituelles dorures pétillent. Comme on dit, c’est de la bonne chair.

Voilà, le reste est perdu à tout jamais. Mais suffit ainsi ! le pitre a satisfait son objectif : attirer l’attention.

Anonyme a dit…

"Voilà, le reste est perdu à tout jamais. Mais suffit ainsi ! le pitre a satisfait son objectif : attirer l’attention."

Chacun peut jouer son rôle, mais qui est chacun et quel rôle tient chacun sans être la vérité de soi ? Qui est qui ? Qui est vrai ? Qui joue et qui ne joue pas ? Il existe certaines attentions attirées par la comédie qui ne sont pas des attentions comme on les croirait... La mienne par exemple, n'est pas celle que l'on accorde : railler ou ne pas railler, tout cela n'est-ce pas un rôle volontairement interprété ? On peut jouer ce que l'on veut si l'on s'en sent l'envie pour y faire croire "dur comme fer".

Notre paon n'a sans doute pas encore poudré son nez pour paraître en public...

Raphaël Zacharie de IZARRA a dit…

Porto William de Saint Nivel,

Si je portais quelque masque, je ne me ferais pas appeler par mon nom de naissance : Raphaël Zacharie de Izarra.

A la différence de mes détracteurs et même de mes admirateurs ici présents, j'avance sans fard.

Je ne suis paré que de ma nudité, qui est vérité.

Raphaël Zacharie de Izarra

Anonyme a dit…

Les mecs, vous cassez plus les couilles.

Le sujet était : l’inégalité des âges

Moi je dis qu’il faudra bien admettre tôt ou tard que les femmes même vieilles pourront très bien vivre sans vous, et cette vérité vous a toujours fait peur d’où la chasse aux sorcières au moyen âge et leur animal favori de compagnie, le chat, symbole même de la sérénité indépendante.

Voilà, c’était mon dernier mot Jean-Pierre. ^-^

Anonyme a dit…

« Si je portais quelque masque, je ne me ferais pas appeler par mon nom de naissance : Raphaël Zacharie de Izarra. »

Vieille technique. Se placer en pleine lumière pour mieux dérober sa part d’ombre.
Et puis, des faussaires signent de leur nom, ça s’est déjà vu. De même les fantômes n’ont pas besoin de fard. Enfin, vont nus les animaux, les exhibitionnistes et les avortons. Encore que, la nudité, pourquoi pas, mais aux yeux de qui ? Tel est, ce me semble, l’enjeu du débat. Alors, à qui faites-vous, cher Raphaël, l’honneur de votre effeuillée vérité ?

« Les mecs, vous cassez plus les couilles. »

Mademoiselle, j’ignore si vous êtes vraiment sorcière, mais jamais ne remettrai-je en cause votre langage de charretière.

Anonyme a dit…

Raphaël Zacharie de Izarra,

Vous écrivez :

"Si je portais quelque masque, je ne me ferais pas appeler par mon nom de naissance : Raphaël Zacharie de Izarra.

A la différence de mes détracteurs et même de mes admirateurs ici présents, j'avance sans fard.

Je ne suis paré que de ma nudité, qui est vérité."

Vous réapparaissez après : "Notre paon n'a sans doute pas encore poudré son nez pour paraître en public..."

Brillez, brillez, cher, dans toute votre vérité. Vous avez fort raison, les hommes (nature humaine) sont tels que vous les dépeignez, mais de grâce... élargissez la galerie des portraits sans vous limiter à quelques peintures.

Brillez, nous ne nous faisons point d'ombre l'un et l'autre : tout est bien qui se poursuit bien !

Il ne fallait pas entendre "poudrer" dans le sens que l'avez entendu, hélas, mais au-delà.

Salutations, cher.

Anonyme a dit…

L'inégalité des sexes et des âges est une réalité incontestable. Mais... que se cassent les femmes si l'on sait que les hommes, eux, se cassent les couilles ? Se cassent-elles la tête ?

Anonyme a dit…

Jokeromega a dit...

"Vieille technique. Se placer en pleine lumière pour mieux dérober sa part d’ombre.
Et puis, des faussaires signent de leur nom, ça s’est déjà vu. De même les fantômes n’ont pas besoin de fard. Enfin, vont nus les animaux, les exhibitionnistes et les avortons."

Ah... oui.
Peut-être que certains hommes (êtres humains) errent-ils comme des fantômes, ou peut-être certains se comportent-ils comme des "bestiaux" en prenant d'autres pour du "bétail"... Peut-être que tout ce petit monde fait son cinéma que l'on pourrait désigné sous ces noms "exhibitionnistes et les avortons". Mais personne ne changera sa nature.

Ah... oui... et Raphaël Zacharie de Izarra s'empressera de les dépeindre, d'autres aussi s'y emploieront.

Raphaël Zacharie de Izarra, sans votre nom, vous perdriez votre raison d'être, certainement.

Raphaël Zacharie de IZARRA a dit…

A tous mes détracteurs-admirateurs,

Ma plume est au service de la vérité. Et qu'est-ce que la vérité ? La vérité, du moins la vérité izarrienne, c'est la beauté, la noblesse, la hauteur.

Raphaël Zacharie de Izarra

Anonyme a dit…

(Mademoiselle, j’ignore si vous êtes vraiment sorcière, mais jamais ne remettrai-je en cause votre langage de charretière.)

hihi

sinon sur ce que j'ai dit, vous remettez en cause ou pas ?

votre silence vaudra acceptation.

Anonyme a dit…

Il n'est que justice que l'homme qui avance dans l'âge mûrisse sereinement et physiquement. Lorsque l'on sait à quoi ressemble ce bipède de 16 à 40 ans, dame nature ne l'a vraiment pas épargné. Seule sa vanité mal gérée est un gag quotidien.
Mais heureusement, les femmes de tous âges sont sages. Aux alentours de 14/16 ans, elles recherchent les jeunes hommes de 20ans et plus. Il faut que jeunesse se passe pour qu'elles égarent leur pucelage !
De 18 à 40 ans, elles cherchent le Mâle, mais toutes se disent insatisfaites. Les amants sont légion ! Il n'y a pas de chômage dans cette branche. La demande est constante.
De 40 ans à plus, on peut enfin compter sur leur savoir et leur clémence pour instruire la nouvelle génération de jeunes puceaux.

Bien à vous,

Anonyme a dit…

Réjouissons-nous,mes soeurs,l'ère de l'homme-objet a pointé son nez,point de salut pour les petites bedaines et autres défaillances physiques si souvent gommées devant l'intellect de ces messieurs ,jadis....A l'ère des Dieux du stade s'éffeuillant mois à mois...Messieurs ,à vos liftings ,à vos crèmes en tous genres....vous êtes nos égaux ,mes frères ! (sourire diaboliquement sardonique;-)))

LiliA a dit…

Misogyne ?

Liste des textes

2148 - Je suis de la droite honteuse
2147 - Les écrivains sont des poids morts
2146 - L’héritage de Clinchamp
2145 - Clinchamp, une histoire sans fin
2144 - Vent de mystère à Clinchamp
2143 - Ma cachette à Clinchamp
2142 - Randonnée à Clinchamp
2141 - Eclipse de Lune à Clinchamp
2140 - Un arc-en-Ciel à Clinchamp
2139 - Clinchamp sous l’orage
2138 - J’ai rêvé de Clinchamp
2137 - Jour de l’An à Clinchamp
2136 - Vacances d’été à Clinchamp
2135 - Attente à Clinchamp
2134 - Un jour ordinaire à Clinchamp
2133 - Or de France
2132 - La compagne des esseulés
2131 - Loup de lumière
2130 - Spleen
2129 - Le pitre
2128 - Les corbeaux de Clinchamp
2127 - Un homme heureux à Clinchamp
2126 - Le mouton
2125 - Des lutins à Clinchamp ?
2124 - Je suis fort !
2123 - Paroles prophétiques
2122 - L’égalité entre les hommes est injuste !
2121 - L’idéaliste de gauche
2120 - La femme est la monture de l’homme
2119 - Clinchamp sous la neige
2118 - Le Nord et le Sud
2117 - Pourquoi j’aime Clinchamp ?
2116 - Convaincre Blandine
2115 - Un couple de vieillards à Clinchamp
2114 - Le facteur de Clinchamp
2113 - Tristesse et beauté à Clinchamp
2112 - L’Art
2111 - Botte à l’oeuf
2110 - Les bûcherons de Clinchamp
2109 - Le coucou de Clinchamp
2108 - BFMTV : l’écran de la vérité
2107 - Lettre anonyme
2106 - Je ne suis pas amoureux de Paris !
2105 - Un jour d’hiver à Warloy-Baillon
2104 - La femme soumise brille comme une casserole
2103 - Les chouettes de Clinchamp
2102 - Quand la tempête s’abat sur Clinchamp...
2101 - L’aile et la pierre
2100 - Mes amis les maudits
2099 - Le brouillard de Clinchamp
2098 - Artiste de gauche
2097 - L’éternité dans la tête
2096 - Toussaint à Clinchamp
2095 - Chagrin échappé
2094 - Clinchamp-sur-Mystère
2093 - Les cafards
2092 - Loup des airs
2091 - Le loup de Clinchamp
2090 - En latin, c’est plus beau !
2089 - Les patates de Clinchamp
2088 - L’enfant des airs
2087 - Ciel de France
2086 - Thaïs d’Escufon
2085 - Les tomates de Clinchamp
2084 - Jérôme Bourbon
2083 - Les chats de Clinchamp
2082 - Poupée d’ailleurs
2081 - Pierre de feu
2080 - Les champs de Clinchamp
2079 - L’éclosion
2078 - Vacuité des bouquinistes
2077 - Les toits
2076 - Freud
2075 - Sport
2074 - Le simplet de Clinchamp
2073 - Les oiseaux de Clinchamp
2072 - Je ne suis pas cartésien
2071 - Au cimetière de Clinchamp
2070 - Le Panthéon pour Hugo, l’évasion pour Izarra
2069 - Les rats de la France
2068 - Le curé de Clinchamp
2067 - Mon trou à Clinchamp
2066 - Saint-Léonard-des-Bois
2065 - Les cloches de Clinchamp
2064 - Un épouvantail à Clinchamp
2063 - Les rêves de Clinchamp
2062 - Je suis raciste
2061 - L’injustice sociale ne me choque pas
2060 - Les femmes de Clinchamp
2059 - Les jours vides de Clinchamp
2058 - Une grand-mère
2057 - Clinchamp vers 1970
2056 - La femme de soixante ans
2055 - Sale temps à Clinchamp
2054 - Un grand voyage en forêt
2053 - L’ailé et l’aliéné
2052 - Souvenirs lointains
2051 - Domestication d’une greluche
2050 - Déprime à Clinchamp
2049 - L’amour à Clinchamp
2048 - Les Droits de l'Homme, c'est la négation de l'homme !
2047 - Les hivers de Clinchamp
2046 - Les chemins de Clinchamp
2045 - Seul au monde
2044 - Ne me parlez pas d’amour
2043 - Tristesse de l’été
2042 - Jour de fête à Clinchamp
2041 - Monsieur Lecon
2040 - Châtelain
2039 - Les ailes de Clinchamp
2038 - Tremblement de terre
2037 - Nuit d’amour
2036 - Pluie de joie à Clinchamp
2035 - Les gauchistes
2034 - Clinchamp sous les clartés lunaires
2033 - Henri d’Anselme, héros hétéro rétro
2032 - Les hirondelles
2031 - Retraite dans la forêt
2030 - Mon bosquet
2029 - L’or de Clinchamp
2028 - Sur le chemin
2027 - La souche
2026 - Clinchamp, ce voyage sans fin
2025 - Sardines à l’huile
2024 - Les fantômes
2023 - Le silence de la forêt
2022 - Les arbres
2021 - Les joies de Clinchamp
2020 - La merde républicaine
2019 - Les ailés
2018 - Les soirées de Clinchamp
2017 - Parasite
2016 - Clinchamp, les routes de l’ennui
2015 - Moi français, je déteste les migrants !
2014 - Répugnante
2013 - Les complotistes
2012 - Je déteste les livres de philosophie !
2011 - Le bossu de Clinchamp
2010 - La lumière de Clinchamp
2009 - Les crépuscules de Clinchamp
2008 - Les nuits à Clinchamp
2007 - Les aubes de Clinchamp
2006 - Je suis un oiseau à Clinchamp
2005 - Les rats de Clinchamp
2004 - Les papillons de Clinchamp
2003 - Les richesses de la normalité
2002 - Le Rimbaud des bobos
2001 - Les vaches de Clinchamp
2000 - La folle de Clinchamp
1999 - Mon ego solaire
1998 - Vague Lune
1997 - Ma cabane à Clinchamp
1996 - Moi, IZARRA
1995 - Mais qui donc est Dardinel ?
1994 - La Dame Blanche de Clinchamp
1993 - Le Dalaï-Lama
1992 - Pluie à Clinchamp
1991 - Je suis sexiste
1990 - Les flammes du printemps
1989 - Le rustaud de Clinchamp
1988 - Les larmes d’Amsterdam
1987 - Clinchamp, terre d’envol
1986 - La Joconde de Clinchamp
1985 - Face cachée de Clinchamp
1984 - La clocharde de Clinchamp
1983 - Je suis un extraterrestre
1982 - Clinchamp sous les éclats de novembre
1981 - Clinchamp au bord des larmes
1980 - Les fantômes de Clinchamp
1979 - Les pissenlits de Clinchamp
1978 - Clinchamp : fin et commencement de tout
1977 - Amsterdam
1976 - J’habite sur la Lune
1975 - Secret de Lune
1974 - Les ailes de la Lune
1973 - Voir Clinchamp et sourire
1972 - La pierre et l’éther
1971 - Clinchamp, au bonheur des larmes
1970 - Clinchamp, mon dernier refuge
1969 - Croissant de Lune
1968 - Mais d’où vient donc la Lune ?
1967 - Lune lointaine
1966 - Lune éternelle
1965 - Sandrine, notre voisine
1964 - Rêve de Lune
1963 - Lune des rêves
1962 - La Lune dans le bleu
1961 - Lune ultime
1960 - Les tourmentés
1959 - Clinchamp, paradis des ombres
1958 - Lune absente
1957 - Je raffole des commérages !
1956 - Clinchamp : royaume des humbles
1955 - La Dame dans le ciel
1954 - Palmade : de la gloire au gouffre
1953 - Evasion
1952 - Tatouages, ces marques de faiblesse
1951 - L’égalité est un enfer !
1950 - Repas sur l’herbe à Clinchamp
1949 - Escale à Clinchamp
1948 - Beauté morbide de la Lune
1947 - J’ai dormi dehors à Clinchamp
1946 - Les humanitaires sont des parasites !
1945 - Sur les routes de Clinchamp
1944 - Une année à Clinchamp
1943 - Tristesse du printemps
1942 - Bulle de Terre
1941 - Jour de joie à Clinchamp
1940 - L’inconnu de Clinchamp
1939 - Le ciel de Clinchamp
1938 - Les éclats de Clinchamp
1937 - Le voyageur
1936 - Fête triste
1935 - Les antiracistes
1934 - Jean Messiha
1933 - Coeur gelé
1932 - Romantisme de pierre
1931 - La femme est sous mes pieds
1930 - Burcu Güneş, un air léger
1929 - Je déteste les pauvres !
1928 - Quand mon coeur s’allume
1927 - Intègre, entier, râpeux
1926 - Le cheval
1925 - Homme mauvais
1924 - Un trou sous le ciel
1923 - Hauteur de la Lune
1922 - Nulle part, là-bas, ailleurs
1921 - Belle Lune
1920 - Salades lunaires
1919 - Lettre à Reynouard
1918 - MARGUERITE OU L’HISTOIRE D’UNE VIEILLE FILLE
1917 - Récoltes lunaires
1916 - Je suis français de souche
1915 - Lune mortuaire
1914 - Clinchamp, cité des oubliés
1913 - Clinchamp, l’air de rien
1912 - Clinchamp, sommet du monde
1911 - La pollution, c’est la vie !
1910 - Seule au monde ?
1909 - Le Ciel et la Terre
1908 - Lune de haut vol
1907 - La Lune s’allume
1906 - Nuit sombre
1905 - Soupe de Lune
1904 - Puretés raciales
1903 - Lune-pizza
1902 - La grande question
1901 - Amiens
1900 - Pleur de Lune
1899 - Rêve d’amour
1898 - Vive le patriarcat !
1897 - La libellule
1896 - L’eau qui m’éclaire
1895 - Une question de clarté
1894 - La Lune dort
1893 - Les artifices du spirituel
1892 - Lune normale
1891 - Ni chauffage ni travail
1890 - Lune de fer
1889 - Molle Lune
1888 - Insensible aux malheurs des autres
1887 - Mon visage de vérité
1886 - Amante russe
1885 - J’écris
1884 - Lune martiale
1883 - Je suis un incapable
1882 - Lune creuse
1881 - 1975
1880 - L’éclat d’un fard
1879 - Amour impossible
1878 - Femme au foyer
1877 - L’esprit de la Lune
1876 - Ingérence féministe
1875 - Cratères lunaires
1874 - Lune d’effroi
1873 - Lune des chats
1872 - Les athées
1871 - Lune d’or
1870 - Lune carrée
1869 - Lune de miel
1868 - Folle lune
1867 - Jour de joie
1866 - SMARPHONES : abrutissement des masses
1865 - Sombre lune
1864 - Les mouches
1863 - Ma vie simple
1862 - Clinchamp, terre lointaine
1861 - Je suis un conservateur
1860 - Lune de glace
1859 - Le lac
1858 - Qu’est-ce que la beauté ?
1857 - Lune blanche
1856 - Lune de mer
1855 - Lune de feu
1854 - Présence immortelle
1853 - Surprenante Lune !
1852 - L’éclat de la Lune
1851 - Epis lunaires
1850 - L’autre Lune
1849 - L’amie des cheminées
1848 - Lune morte
1847 - Lune Parmentier
1846 - Lune fatale
1845 - Amour céleste
1844 - Grâces et disgrâces
1843 - Ma maison, c'est la Lune
1842 - Poids de la Lune
1841 - La morte visiteuse
1840 - Ma cabane sous la Lune
1839 - Bleu ciel
1838 - Histoire de lune
1837 - Suc de Turque
1836 - Stéphane Blet
1835 - Ciel bleu
1834 - Bonheur de rat
1833 - Redneck
1832 - Sur le rivage
1831 - Attraction lunaire
1830 - Je suis anti-féministe radical
1829 - Mais qui est-il ?
1828 - Je veux des frontières !
1827 - Les francs-maçons
1826 - Folies lunaires
1825 - Alunir, en un mot
1824 - “Comme ils disent”, chanson d’Aznavour
1823 - Lune tiède
1822 - Globe de rêve
1821 - Effroi
1820 - Vangelis
1819 - L’air de la Lune
1818 - La campagne
1817 - Lune tombale
1816 - Les cailloux
1815 - Je déteste Paris !
1814 - Boules de neige
1813 - Je n’ai pas peur
1812 - Parler vrai
1811 - Les hommes simples
1810 - Quand la Lune panse
1809 - Régine : extinction d’un feu
1808 - Morte veilleuse
1807 - Coeur de pierre
1806 - Noir
1805 - Mystère de la Lune
1804 - Jackson Pollock
1803 - En pleine lumière
1802 - Harmonie des sexes
1801 - Dix ans dans l’azur
1800 - Pluie d’avril
1799 - Le gueux
1798 - Les pommes de pin
1797 - Voyage vers la Lune
1796 - Mystère d’une nuit
1795 - Une lumière turque
1794 - Sans coeur et avec écorce
1793 - Envolé !
1792 - Galante ou l’abcès crevé
1791 - La lumière du Bosphore
1790 - Claude Monet
1789 - Rat aristocrate
1788 - Ukraine : sortez de vos ornières mentales !
1787 - Tranche de ciel et plumes de la Terre
1786 - Les sots écolos
1785 - L’astre turc
1784 - L’Ukraine, je m’en fous totalement !
1783 - Vive la guerre !
1782 - Réponses à un coatch
1781 - Droite pure
1780 - Vains hypersensibles
1779 - Mes valeurs vives
1778 - Le secret
1777 - Force et lumière
1776 - De l’herbe à l’aiguillon
1775 - Jusqu’à la mort
1774 - Zemmour et les journalistes de gauche
1773 - Dur et juste
1772 - La flamme et le marbre
1771 - Mon chat est mort
1770 - Les frères Bogdanoff
1769 - J’ai rêvé de Natacha
1768 - Technologie
1767 - Vers la Lune
1766 - C’était la guerre
1765 - La “tondue de Chartres”
1764 - Dans le métro
1763 - Naissance d’un virus
1762 - Zemmour est-il un de Gaulle ?
1761 - Je suis grand
1760 - Jour de gloire
1758 - Une muse du Bosphore
1758 - Je suis un extrémiste
1757 - Les éoliennes
1756 - Femme terminale
1755 - Autoportrait
1754 - Je suis un sanglier
1753 - Faux fou
1752 - Les affaires
1751 - Octobre
1750 - Le fantôme
1749 - Les écrivains
1748 - Sauvez la France !
1747 - Mes sentiments de pierre
1746 - Une araignée raconte
1745 - Un coeur clair
1744 - Phallocrate
1743 - Les vaches
1742 - Les faibles sont mauvais
1741 - Les sans-visage
1740 - Le trouillard de gauche
1739 - Léonard de Vinci enfant
1738 - Mes froideurs sublimes
1737 - Le romantisme, c’est la décadence
1736 - La Joconde
1735 - La tour Eiffel
1734 - Le Soleil
1733 - Une boule de mystère
1732 - Les masqués
1731 - Burcu Günes, l’or turc
1730 - Léa Désandre
1729 - Le père Dédé
1728 - “Blanc lumière” de Pollock
1727 - Les kikis et les cocos
1726 - Les funérailles de Belmondo
1725 - Pôle Sud
1724 - Vierge au mariage
1723 - La forêt
1722 - Le réveil des clochers
1721 - En septembre
1720 - Extraterrestre
1719 - Ni cagoule ni sérum
1718 - L’astre des morts
1717 - L’idéaliste
1716 - Un ange noir pour les Blancs ?
1715 - Trois heures du matin
1714 - Dur et vivant
1713 - Homme des bois
1712 - De flamme et de sang
1711 - Mes bas potentiels
1710 - Je suis un anti-progressiste
1709 - Eléonore et les Noirs
1708 - Eléonore et les Juifs
1707 - Une française
1706 - Femme d’idées
1705 - Joie de vivre
1704 - Auteur de rêves
1703 - Raison féminine
1702 - Vieillard
1701 - Face de France
1700 - 1789
1699 - Adieu, France
1698 - Célibataire
1697 - L’envers vert
1696 - Avant la chute
1695 - L’aube d’Ève
1694 - Amour raté
1693 - À vue d’homme
1692 - Le loup et l’agnelle
1691 - Têtes à corps
1690 - Trêve de la nuit
1689 - L’été
1688 - L’hiver
1687 - Les âmes de la forêt
1686 - Enfin libre !
1685 - Je vis sans masque
1684 - Enfants du monde
1328 - Je suis apolitique
115 - Le cygne
114 - Le spleen de Warloy-Baillon
113 - Les visiteurs
112 - La Lune
111 - L’amant des laides
110 - Mémoires d’un libertin
109 - Une existence de pompiste
108 - Lettre à mes amis des listes sur Internet