Nous les éveillés, nous les esprits encore libres, nous devenons les cibles des
criminels au pouvoir.
Stéphane BLET, dernière victime en date, est tombé pour la vérité. Il a été
sacrifié par les profanateurs de consciences pour avoir préféré la lumière au
mensonge.
Tué sous le venin vengeur de ces initiés de l'obscurité, véritables
serpents en col blanc qui se protègent derrière des sigles intouchables et tout-puissants.
Il ne cesse pourtant de dénoncer ses assassins à travers l'éclatante
ambiguïté de son trépas.
Seuls les endormis, les naïfs, les incrédules, les moutons, les lâches et
les complices ne croient -ou feignent de ne croire- qu'aux évangiles médiatiques
édulcorés, n'avalent que les discours policés de la pensée unique, ne suivent
que les guides touristiques de la politique proprette.
Pendant ce temps les tueurs prennent leur temps, fourbissent leurs langues
de vipères, sécrètent leurs mots mortels, agissent dans l'ombre, poussent au
suicide.
Ou poussent tout court leurs adversaires dans le vide.
Ils contrôlent vos pensées, orientent vos idées, forgent vos opinions,
décident à votre place en vous donnant l'illusion du choix... Eux les grands
décideurs, vous les pions. Eux les "éclairés", vous les suiveurs.
Eux les façonneurs, eux les faces sans honneur, eux les zélés ligués sans
ailes qui se frottent les mains.
Vous les avez reconnus de toute façon, pour être franc, n'est-ce pas
?
Avec leurs secrets d'état, leurs codes de nuisances, leurs sombres
fraternités, leurs messes basses et leurs complots, ils vous enfument en portant
des masques qui ne disent jamais leur nom, puisque selon eux, ils vous le
certifient, ces voiles inavouables que vous leur attribuez sont purement
imaginaires...
Ce sont les rois des meneurs et les princes des menteurs. Le monde est à
leurs pieds.
Et nous les intègres, nous les âmes claires, nous les ennemis du mal, nous
leur tenons tête.
Ils savent qui nous sommes et nous savons qui ils sont. Les uns bravent
leurs opposants, les autres tremblent.
Et ceux qui sont du mauvais côté, savez-vous, ce ne sont pas ceux qui
meurent mais ceux qui ont peur.
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