vendredi 28 février 2020

1572 - Une étoile dans le potager

Ce matin au marché des Jacobins j'ai croisé son regard indifférent.

Son sourire, bien que purement commercial, m'a cependant brûlé le coeur et, enivré par la vue de cette Vénus maraîchère à l'aspect légèrement populaire, je lui ai commandé un avocat superflu, en plus de mes quatre endives "réglementaires" et de mes quelques bananes indispensables.

Cet avocat, pris au nom de ses beaux yeux, je le dégusterai en rêvant de ses lèvres, en espérant ses mots, et j'adresserai d'indicibles louanges gastronomiques au fruit gras serré entre mes doigts.

Je pense à elle et je suis pris de vertige. 

Je sais bien que je suis un astre et qu'elle n'est qu'un oiseau du pavé, que je suis le Soleil et qu'elle n'est qu'une brise, que j'incarne le tonnerre et la lumière et qu'elle me reçoit comme un vulgaire amateur de fruits de saisons...

Elle n'imagine point qu'une étoile virile et fracassante s'est mise à genoux devant sa face de pomme à peau de pêche. Elle continue, insouciance, ignorante de ma flamme, à proposer ses denrées horticoles aux affamés du quotidien.

Et moi, je vole, je prie, je tremble, je me consume d'amour idéalisé pour ce pissenlit des hortillons, pour cette rose des potagers.

VOIR LA VIDEO :

https://youtu.be/G4aWY9-0_1A

jeudi 27 février 2020

1571 - Voyage autour de mars

Les giboulées claquent contre les fenêtres et font des étincelles de glace sur le sol.

Le spectacle de cette eau d'artifice afflige mon âme déjà bien en peine et, paradoxalement, y verse également un peu de joie glacée.

Tout le charme de la grêle de mars est là : dans l'ambiguïté des morceaux de givre se mêlant aux rayons de lumière.

Tristesse des nues entrant dans une danse frénétique, sombre et quasi-nivéenne : un orage de mélancolie aqueuse qui produit sur les hommes une douce ivresse... Une sorte de spleen résultant de la rencontre entre le nuage et le caillou, l'azur et la boue, l'averse et le labour.

Bref, le baiser entre le ciel et la terre.

L'humide saison m'inspire des sentiments troubles. Quand elle assombrit le monde de ses bourrasques et fait chanter les vitres, mon coeur s'éclaire de pensées en semi-clartés.

Et je trouve belle cette pluie pleine de douleur et de confusion, passant de la déprime à l'arc-en-ciel, des pleurs à la sérénité, de la gifle froide au soleil en un instant...

Les deux extrêmes se croisent, se nuancent, se combinent pour offrir des tableaux changeants, brefs et intenses : tantôt le jour, tantôt l'ombre apparaît comme dans un rêve.

Une errance qui durera une journée, une heure ou quelques minutes.

Le temps pour moi de voyager très loin, très haut, très mystérieusement dans mes brumes intérieures.

VOIR LES DEUX VIDEOS :

https://youtu.be/KEDG40HInUI

https://youtu.be/onSt1xWxqNg

mercredi 26 février 2020

1570 - Les ailes du marché

Je brûle d'un amour violent, tendre et frais, follement ardent pour la vendeuse de fruits et légumes du marché des Jacobins.

Ma flamme pour cette Vénus trônant sur ses trésors potagers -garantis de premier choix- est aussi brutale qu'aérienne.

C'est un feu écarlate, bleu, doux, tranchant. Comme une salade de piments verts et de fraises mûres. Un mélange de sentiments venimeux et caressants.

A la vérité ses marchandises, aussi choisies soient-elles, ne m'intéressent nullement. Ou si peu...

Lorsque je vais lui acheter des prunes, c'est surtout pour me noyer dans ses prunelles. Et quand je vais chez elle quérir deux ou trois pommes, c'est au nom de ses pommettes que je viens. Si je veux m'offrir des poires, c'est parce que j'ai envie de voir sa fiole. Enfin, les jours de carottes je suis à ses bottes.

Et je ne vous parlerai pas de mes subits appétits pour ses noix de coco... S'il fallait que je développe, on me prendrait pour un gros cornichon.

Quoiqu'un tantinet philistine par ses allures, la marchande rayonne telle une déesse de calendrier Vilmorin, glorieuse parmi ses étals. Comme si un fournisseur céleste l'avait entourée des  diamants horticoles issus de quelque corne d'abondance...

Et je rêve comme un tournesol tout retourné devant sa face florale... Et je sens la verdeur du poireau qui s'enfièvre au fond de sa cagette, le trémoussement des pamplemousses dans leur panier, les tomates empourprées de désirs inavoués et les courges lascivement couchées sous la braise du Soleil... L'éveil des chairs, la langueur des pulpes et l'envol des pollens dans toute leur splendeur !

Mais je vais vous parler de l'essentiel sans plus me cacher derrière ce masque commode, et à vrai dire bien impudique, de l'humour : le sacré ne doit pas être rabaissé et terni par la dérision.

Je me fiche bien en réalité de ses végétaux étalés et tarifés, endives, agrumes et autres ors agricoles à portée de bourses ! 

Ce que je convoite, c'est le ciel de ses yeux, la lumière de son front, la pureté de ses traits, l'azur de ses lèvres, l'écume de ses baisers, le calme et la tempête de ses étreintes...

A l'extrême opposé, finalement, de ce terreux marché des Jacobins fréquenté par des bovins embourbés dans la lourdeur des habitudes dominicales.

Dans cette vaste foire aux pesanteurs, cette fille entourée de bananes et d'artichauts incarne pour moi toute la légèreté du monde au-delà des sillons nourriciers : un papillon posé sur une enclume.

Ou plus exactement, une fleur sur un tas de patates.

VOIR LA VIDEO :

https://youtu.be/PzwMD-jPXlc

dimanche 23 février 2020

1569 - La marchande de fruits et légumes

Sur le fameux marché des Jacobins du Mans je connais depuis assez longtemps une vendeuse de produits horticoles.

D'âge moyen, plutôt mince et bien faite, un peu vulgaire avec ses manières plébéiennes, d'une gentillesse naturelle qui n'est pas que commerciale, d'origine française ou kabyle -je ne saurais trop le dire-, le sourire facile et charmeur, la libellule tranche crûment avec la lourdeur, la trivialité de ses étals.

Ce qui, dans ce milieu rugueux peu enclin aux délicatesses cupidiques est plutôt inattendu...

En lorgnant d'un oeil critique et connaisseur ses cucurbitacées dodues, ses solanacées écarlates et autres oblongues et turgescentes productions potagères, en les tâtant et les soupesant consciencieusement, je flatte l'air de rien la détaillante sur les beaux calibres de ses comestibles, m'assurant par là-même de son attention toute professionnelle.

Lui acheter ses primeurs est pour moi un délicieux rituel dominical... 

A vrai dire, dès mes premiers contacts avec ses courges, poires et aubergines, j'ai eu le béguin pour la fraîche maraîchère. Ce qui justifie en réalité mon subit intérêt pour ses marchandises...

Ho ! Ce n'était rien de méchant... Juste une toquade, une bagatelle. Une amourette. Rien du tout.

Du moins lors de mes premiers achats... Et puis je me suis aperçu, en effet, que de dimanche en dimanche j'allais de plus en plus me fournir chez elle en endives, avocats, bananes et tout le reste... Pas que pour la qualité des denrées (un peu chères), évidemment.

Aussi pour son regard, ses paroles, son sourire. 

Toujours gratuits, quant à eux.

Je dois bien me rendre à l'évidence : aujourd'hui, je ne sais comment ni pourquoi, l'anodine fleurette du début est devenue un feu capital dans mon coeur d'esthète féroce.

Je devine bien que cette demi-foraine est d'une commune extraction et qu'elle restera insensible aux attraits austères de ma particule, aux séductions de ma poésie acerbe, aux crocs de mon machisme radical, certes. Les avances d'un sybarite de mon espèce laisseront froide cette bergère-épicière plus accoutumée aux caresses lénifiantes de l'eau tiède des gens de son rang qu'aux cruautés choisies de mes flammes d'envergure, je n'en doute pas. 

Cependant, comme je brûle pour cette espèce de quincaillière ambulante !

Je la trouve magnétique, irrésistible, enchanteresse avec ses traits éclatants, son regard vif, son front sans malice, bien que par ailleurs elle ait des allures béotiennes.

Jamais je n'aurais imaginé que je puisse un jour m'enflammer pour une roturière !

En dépit de son peu de naissance et de son industrie grotesque, je l'avoue, je suis furieusement épris de cette belle gueuse. Qui jamais ne le saura, à moins que je n'aie l'extrême audace de lui faire lire directement ce texte...

Ce qui est toujours possible dans l'état d'incompréhensible folie amoureuse où elle m'a mis.

Du marché, elle est devenue à mes yeux le plus attirant de tous les légumes !

VOIR LA VIDEO :

https://youtu.be/aE7NCBGCIQQ

jeudi 13 février 2020

1568 - Rat crevé

En croisant ce matin un rat crevé, éventré, faisandé au bord d’un égout, je décidai de l’incorporer à ce présent texte et de l’associer à Farrah Fawcett.

Périlleux exercice littéraire, il est vrai.

Par une astucieuse gymnastique de plume, je dois donc faire un lien fulgurant entre le cadavre puant du rongeur et la face parfumée de la radieuse texane.

Histoire de briller pour rien. Ou de me ridiculiser avec fruit.

Partir de la charogne de cette bête aux viscères ouverts et putrides pour arriver au sommet de ce qui, sur Terre et bien au-delà, a été conçu en terme de perfection esthétique. Pas facile, penseront les âmes frileuses.

Je relève pourtant ce défi sans palme ni bénéfice. Mais plein de panache et d’artifices.

Que pourrais-je donc dire de sombre ou de lumineux, de sot ou de sensé, d’opaque ou de fin pour mettre de la flamme sur de la neige et rendre la pierre aussi digeste que l’azur ?

Tout en me posant ces questions puériles, stériles, frivoles, du bout de ma chaussure je m’amusais à remuer les restes de l’animal en décomposition.

Et puis, dans un subit élan de dégoût mêlé de mépris pour ce que fut ce nuisible de son vivant et ce qu’il est devenu après trépas, j’éjectai le cadavre d’un coup de pied leste et précis. Je le fis voltiger assez haut avant qu’il ne valdingue en quelque recoin éloigné.

En fait, sans le vouloir, je l’avais balancé dans un parterre de roses magnifiques.

Et c’est là que mon texte prend racine.

Cette créature misérable, c’est une ordure de notre monde que j'ai jetée dans un jardin floral rédempteur.

Tandis que Farrah Fawcet c’est au contraire un champ de fleurs qui s’est déversé sur les misères de notre monde.

1567 - Le terreau du ciel

Parfois mes pensées, à la fois lucides et morbides, m'emmènent jusque dans les gouffres de la réalité la plus crue.

Ne voulant surtout pas occulter les aspects certes dérangeants mais réalistes des choses de ce monde, j'accepte d'ouvrir les yeux sur l'immonde, l'inconcevable, l'horreur.

Ainsi je décide de regarder le Soleil en face, c'est-à-dire le vrai visage de la mort, au sens propre du terme.

J'ose le vertige anti-esthétique.

J'imagine les traits de Farrah Fawcett sous l'ombre fatale, soumis aux lois du recyclage, se corrompant, s'anéantissant progressivement dans le secret de la tombe.

Alors, avec courage et audace, j'essaie de me figurer l'ignoble grimace résultant du processus de la décomposition des chairs. Avec la froide objectivité, le glacial détachement de l'oeil strictement scientifique, mon esprit me montre les hurlements et cauchemars de la putréfaction s'exerçant sur cette incarnation de la pure beauté.

Mais bien vite, et c'est un grand mystère que je ne puis expliquer, que je constate simplement, ma perception des distorsions naturelles issues de la pourriture du corps de cette femme change de manière extraordinaire !

Depuis les vues profondes -ou légères- de mon âme, les lambeaux de matière organique se réorganisent alors dans un nouveau tourbillon moléculaire pour former d'autres images, faire naître un portrait sépulcral différent.

Les particules désagrégées composant le bouillon macabre s'engagent dans un mécanisme de transformation des éléments encore plus affolant que celui attendu...

Sa physionomie liquéfiée par la destruction terrestre prend soudain des allures célestes.

Ses cheveux enroulés autour de son crâne se mettent à étinceler. Sa tête devient une sorte de tournesol sidéral. Et lentement les substances éparses vouées à la ruine se mettent à tourner, l'ordure et le chaos se métamorphosant en une harmonieuse expression...

Et tout refleurit, tout brille, tout est lumière.

Au lieu de l'atroce déchirure de ses yeux, de ses joues, de sa bouche, au lieu de l'affreux rictus d'un cadavre, de l'horrible sourire d'une charogne, m'apparaît une splendide vision. 

A la place d'un épouvantable amas désintégré de pestilence, je vois les spirales d'une galaxie.

mardi 11 février 2020

1566 - Chaque peuple dans son pays !

Simple bon sens commun : pourquoi des citoyens, des sujets, des enfants nés sur les terres de leurs ancêtres devraient-ils s'expatrier et se soumettre, se corrompre à une pensée, une civilisation, des coutumes qui ne sont pas les leurs ?

Pour quelle raison majeure la France recevrait-elle tous les naufragés économiques de la planète ? En quoi les problèmes internes des autres nations concerneraient-ils l'Hexagone et ses habitants ?

L'idéal ne serait-il pas que chaque humain vive sur son sol d'origine au lieu de le quitter ? L'ordre normal des choses n'est-il pas que chaque homme s'épanouisse dans son propre pays et non sous des cieux lointains ?

Quelle est donc cette étrange folie que de vouloir absolument mêler des populations radicalement différentes, opposées, inconciliables ?

La vraie panacée : que chaque individu participe à la construction de son royaume, de sa république, de son territoire natal ! Et non qu'il aille chercher asile hors de son nid...

Au nom de quoi la Gaule s'engagerait-elle à accueillir tous ces étrangers ? En vertu de quel principe aberrant les gens de notre sang accepteraient-ils de se "défrançiser" pour faire place à telle communauté, telle peuplade, tel intrus ? Au nom de quel idéal délirant les français se mélangeraient-ils à d'autres sociétés, d'autres races, d'autres cultures ?

Et si chaque peuple restait à l'intérieur de ses frontières et demeurait intègre, pur, homogène ? Cela constituerait-il un si grand crime que de respecter les caractéristiques de chaque ethnie, de chaque patrie, de chaque état au lieu de les dénaturer à travers des exils, des assimilations contre-nature, des métissages de masse contre-productifs ?

Adopter les moeurs, les rites, les croyances, les couleurs de l'allogène ne contribue nullement à 'l'enrichissement" de notre identité nationale mais bien au contraire à son abâtardissement.

VOIR LA VIDEO :

https://youtu.be/F2CumVRVaZU

samedi 8 février 2020

1565 - Réponse aux appels à la lutte contre l'homophobie

Ce siècle dément a criminalisé les plus sains comportements, les aversions les plus légitimes.

Peu à peu on a remis en question les réactions innées de l'honnête homme en les rendant illégales, méprisables, blâmables. Désormais celui qui ne vénère pas le veau d'or de l'homosexualité est considéré comme un paria...

Le péché aujourd'hui ce n'est plus l'homosexualité. Le péché aujourd'hui c'est de refuser l'homosexualité.

C'est même le mal suprême, l'opprobre totale, l'immoralité publique, le plus grand déshonneur du citoyen, et ce tant aux yeux de l'homme de la rue qu'aux yeux des juges qui condamnent et punissent ces salutaires comportements de sauvegarde...

Oui, le crime en France en 2020 c'est le refus de l'homosexualité. C'est même la grande affaire qui est dans l'air du temps.

Moi, je ne mange pas de ce pain-là.

Je demeure intègre, droit, décent. Je ne succombe pas à ces modes insensées où le vice, l'obscénité et les plus honteuses licences sont honorés, encouragés, montrés en exemple à nos enfants.

Je n'ai pas cédé aux délires de ces pervers qui se sont insurgés contre l'ordre naturel !

Les homophobes sont en réalité de vrais résistants, ce sont des gens sains, intègres, courageux qui refusent de se faire violer le cerveau par les adeptes décomplexés des dérèglements en tous genres.

La population, et surtout notre jeunesse, devraient être préservées de l'homosexualité et non pas être initiées à cette anomalie...

Les jeunes français devraient être protégés contre ces esprits criminels qui au nom de la tolérance veulent les corrompre avec l'idéologie malsaine de l'homosexualité et du transgenre !

Ces détraqués qui actuellement détiennent le pouvoir veulent culpabiliser les promoteurs de la vertu, les défenseurs de la norme hétérosexuelle, les adeptes de la droiture morale que nous sommes, nous les gardiens des valeurs absolues.

Ils nous appellent “HOMOPHOBES” pour mieux nous stigmatiser.

Ne nous laissons surtout pas faire ! Ils ont le pouvoir temporel certes, mais nous avons avec nous l'intemporelle vérité biologique.

Contrairement à leurs lois républicaines perverses, nous avons avec nous les lois naturelles, qui elles sont immuables et éternelles !

VOIR LA VIDEO :

https://youtu.be/bfI-0gnk8sY

vendredi 7 février 2020

1564 - Réponse à un "hypersensible"

(Réponse pédagogique faite à un de ces malingres fragiles et pleurnicheurs idiotement appelés “hypersensibles”.)

Les hypersensibles sont des larves, des caniches, des loques, des faibles, des inadaptés sociaux qui tentent de se faire passer pour des gens "intérieurement riches et remarquables" alors que ce ne sont que de pauvres déclassés.

Ils sont les purs produits d'une société en perte de repères, de plus en plus composée de membres narcissico-égocentriques cherchant du sens à la vie dans leur autolâtrie.

Moi je suis coach-expert en insensibilité. J'apprends aux mollassons comment devenir dur, très dur.

Je dénonce le croupissement mental de ces égotistes inutiles de votre espèce. Ce qui vous manque à vous "zébres" et autres bestioles autocentrées de tous poils, c'est le retour au réel. Un bon stage dans un camp de rééducation par le travail forcé vous ferait le plus grand bien.

Croyez-moi, après cela vos délires de flasques oisifs s'envoleront et vous serez des hommes, des vrais, capables de vivre en société avec vos frères humains actifs qui eux sont aptes à produire des choses concrètes au lieu de délirer stérilement en se regardant le nombril !

Cessez de bavarder sur votre petite personne “sensible” et allez travailler aux champs, allez vous confronter au réel ! La civilisation française est en train de s'effondrer, elle n'a pas besoin de traine-savates infécondes qui tournent en rond autour de leur “MOI JE” ! Il y en a déjà assez avec les pédés et les transgenres, n'en rajoutez pas avec votre émotivité de fifille dont les couillus n’ont que foutre !

Vous me reprochez d’être un grand narcissique, sauf que moi j'en ai les moyens ! Comprenez-vous cette différence essentielle avec ces fiottes inactives qui encrassent la société ? Je suis narcissique certes, mais également créatif, totalement insensible, plein de force et de santé contrairement à ces larves pleurnichardes qui ne cultivent que du bla-bla masturbatoire !

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https://youtu.be/8zLuwNoY4ms

jeudi 6 février 2020

1563 - L'immortalité du sable

Elle était tout en ciel et denture.

Une tête de Lune au visage brillant. Avec une bouche ouverte sur un océan de brumes mystérieuses et de bleu glacé qui me rappellent les âpres étendues maritimes de Cayeux-sur-Mer.

A travers son front étincelant je vois, aujourd'hui encore, des sables lointains, des galets claquants, des vagues fécondes et de l'écume comme des flammes.

L'évocation de sa face florale aux reflets lunaires rend belles les flots sombres, tristes et infinis de la mer du Nord.

Morte depuis si longtemps, elle rend éclatantes les clartés de mon enfance et teinte d'azur le reste de  mes jours.

L'astre rayonna, se flétrit, devint charogne, puis ossements.

Mais demeure pure lumière par la toute puissance de sa mâchoire ogresque, support marmoréen de son sourire céleste qui dans le coeur des vrais esthètes laisse un impérissable sentiment de beauté éthéréenne.

Je ferme les yeux et je revois ses traits ineffables dans les immensités de mon âme. Je les rouvre et je l'aperçois dans le trouble de l'horizon. Je m'endors et son fantôme onirique m'apparaît au coeur de la nuit. Je me réveille et le rêve devient impression dure comme la pierre.

Preuves de l'éternité de la cause esthétique qu'incarna Farrah Fawcett.

mardi 4 février 2020

1562 - Je suis intolérant !

La tolérance c’est la flamme sacrée des faibles, des moutons, des mous qui, sans broncher, acquiescent à tout sans discernement.

Les gens tolérants ne hiérarchisent pas les êtres et les choses : pour eux tout est vérité, tout est égal, tout se vaut. Le mal est considéré, accepté, accueilli comme le bien. A leurs yeux il n'y a pas de différence entre le blanc et le noir, l'ombre et la lumière, l’authentique et le faux.

Ils ne font aucune sélection : vice et vertu sont mis au même niveau.

En agissant ainsi ils croient faire preuve de générosité et d'ouverture d'esprit mais ne prouvent que leur bêtise, leur folie, leur bassesse...

Moi je suis intolérant.

Je discrimine, je trie, j’échelonne : pour moi les gens de valeurs, très précisément, ne valent pas exactement les gens sans valeur... Un être de choix n’est pas n’importe qui. Et n’importe quel caillou ne ressemble pas à un diamant. C’est certes bête de devoir préciser cette lapalissade. Mais c’est bien de le dire.

Et même de le répéter si nécessaire, tant cette évidence n’en est plus une dans notre société en perte de repères.

Une âme sombre ne sera jamais une pierre précieuse, le feu n’est pas l’eau et une ronce ne ressemble en rien à une fleur. S’il y a des couleurs, des nuances, des différences dans la Création c’est que, justement, tout n’est pas pareil, tout n’est pas incolore, interchangeable, de même attrait.

Non, je ne tolère pas que le péché soit logé à la même enseigne que la droiture.

Je n’autorise pas que l’on puisse honorer l’ordure comme si c’était de l’or. Je ne consens pas à donner la parole aux menteurs, le pouvoir aux défenseurs de la perversité, la possibilité d’agir aux malfaisants.

Ce qui fait le prix des choses, c’est leur qualité.

Leur excellence et non leur médiocrité.

Mettre les caniveaux fangeux et les sommets enneigés à la même hauteur, c’est corrompre le monde, dénaturer la pensée, violer l’intelligence. Préférer un humain à un autre au lieu d’accorder le même crédit à tous, indifféremment, telle est la loi de l’amour. Non le tiède mais le brûlant.

Je n’approuve pas que le pestiféré revendique la même place que l’homme sain. Que l’ivraie réclame les mêmes privilèges que le bon grain. Que le marchand de toc exige le même salaire que le vendeur de vrai.

La récompense est faite pour revenir au méritant et le blâme au méprisable : c’est ça l’ordre normal des choses.

Oui je suis intolérant : je ne reçois pas à la même table la mauvaise herbe et la gerbe dorée, le rat de la boue et le lion plein d’honneur, le cafard qui rampe et le papillon qui vole.

Chez moi les immoraux doivent être nourris d’épines rédemptrices, les hommes honnêtes de pain chaud.

C’est que je ne veux surtout pas que la justice, la pureté, la probité soient bafouées par la tolérance.


VOIR LA VIDEO :

https://youtu.be/4r_YN-R1mZY

samedi 1 février 2020

1561 - Une odeur

L'autre jour à  travers ma fenêtre ouverte ça sentait l'ail, le persil et le beurre fondu. On préparait, me semble-t-il, des escargots dans le restaurant  jouxtant ma demeure mancelle.

Aussitôt des souvenirs d'enfance me revinrent en mémoire : je me revoyais, cinquante ans en arrière dans le nord de la France, courant dans l'herbe, l'âme légère, le pas leste, le coeur lumineux sous la clarté d'un été idéal.

Porté par ces effluves culinaires, je remontais dans mon passé.

Et le voyage s'avéra fantastique.

Ranimées par ces parfums de cuisine, d'autres images enfouies dans la poussière de l'oubli resurgirent dans ma tête. Fulgurantes.

J'avais l'âge des fleurs qui naissent au printemps. Je filais dans les airs comme une hirondelle. Avec des ailes pour aller jusqu'au Soleil. Et du vent dans les oreilles, et de longs cheveux sur mon front, et l'azur devant moi... 

Et je bondissais dans les prés.

Je croisais des sauterelles dans des immensités de verdure. Le ciel était parsemé de cerises. Les nuages beaux, mystérieux, prenaient des formes de glaces crémeuses. Une friandise inaccessible qui me faisait rêver depuis mon sol de candeur.

Des abeilles tournoyaient dans l'espace, des fourmis s'éparpillaient sous mon pied, des papillons se posaient sur ma main et je discernais des forêts infinies dans les brumes  de l'horizon. 

J'imaginais d'autres maisons derrière le bleu du lointain et le vague de ma vision... Des mondes indistincts peuplés de gens minuscules : l'effet de la distance me faisait rapetisser la réalité.

Et je cavalais dans les chemins.

Des avions parcouraient la nue et je les prenais pour des brindilles, tout là-haut... Et je ne savais pas s'il fallait rire ou pleurer quand on me disait que de gens se trouvaient à l'intérieur.

Et je trottais dans la prairie.

Je me sentais telle une particule de vie plongée dans un océan de lumière, étrange et merveilleux...

A quatre ans, dans le tourbillon de mes jours d'insouciance, je découvrais également l'odeur d'ail, de persil et de beurre fondu.

VOIR LA VIDEO :

https://youtu.be/ecIoSVNk1mE

Liste des textes

2148 - Je suis de la droite honteuse
2147 - Les écrivains sont des poids morts
2146 - L’héritage de Clinchamp
2145 - Clinchamp, une histoire sans fin
2144 - Vent de mystère à Clinchamp
2143 - Ma cachette à Clinchamp
2142 - Randonnée à Clinchamp
2141 - Eclipse de Lune à Clinchamp
2140 - Un arc-en-Ciel à Clinchamp
2139 - Clinchamp sous l’orage
2138 - J’ai rêvé de Clinchamp
2137 - Jour de l’An à Clinchamp
2136 - Vacances d’été à Clinchamp
2135 - Attente à Clinchamp
2134 - Un jour ordinaire à Clinchamp
2133 - Or de France
2132 - La compagne des esseulés
2131 - Loup de lumière
2130 - Spleen
2129 - Le pitre
2128 - Les corbeaux de Clinchamp
2127 - Un homme heureux à Clinchamp
2126 - Le mouton
2125 - Des lutins à Clinchamp ?
2124 - Je suis fort !
2123 - Paroles prophétiques
2122 - L’égalité entre les hommes est injuste !
2121 - L’idéaliste de gauche
2120 - La femme est la monture de l’homme
2119 - Clinchamp sous la neige
2118 - Le Nord et le Sud
2117 - Pourquoi j’aime Clinchamp ?
2116 - Convaincre Blandine
2115 - Un couple de vieillards à Clinchamp
2114 - Le facteur de Clinchamp
2113 - Tristesse et beauté à Clinchamp
2112 - L’Art
2111 - Botte à l’oeuf
2110 - Les bûcherons de Clinchamp
2109 - Le coucou de Clinchamp
2108 - BFMTV : l’écran de la vérité
2107 - Lettre anonyme
2106 - Je ne suis pas amoureux de Paris !
2105 - Un jour d’hiver à Warloy-Baillon
2104 - La femme soumise brille comme une casserole
2103 - Les chouettes de Clinchamp
2102 - Quand la tempête s’abat sur Clinchamp...
2101 - L’aile et la pierre
2100 - Mes amis les maudits
2099 - Le brouillard de Clinchamp
2098 - Artiste de gauche
2097 - L’éternité dans la tête
2096 - Toussaint à Clinchamp
2095 - Chagrin échappé
2094 - Clinchamp-sur-Mystère
2093 - Les cafards
2092 - Loup des airs
2091 - Le loup de Clinchamp
2090 - En latin, c’est plus beau !
2089 - Les patates de Clinchamp
2088 - L’enfant des airs
2087 - Ciel de France
2086 - Thaïs d’Escufon
2085 - Les tomates de Clinchamp
2084 - Jérôme Bourbon
2083 - Les chats de Clinchamp
2082 - Poupée d’ailleurs
2081 - Pierre de feu
2080 - Les champs de Clinchamp
2079 - L’éclosion
2078 - Vacuité des bouquinistes
2077 - Les toits
2076 - Freud
2075 - Sport
2074 - Le simplet de Clinchamp
2073 - Les oiseaux de Clinchamp
2072 - Je ne suis pas cartésien
2071 - Au cimetière de Clinchamp
2070 - Le Panthéon pour Hugo, l’évasion pour Izarra
2069 - Les rats de la France
2068 - Le curé de Clinchamp
2067 - Mon trou à Clinchamp
2066 - Saint-Léonard-des-Bois
2065 - Les cloches de Clinchamp
2064 - Un épouvantail à Clinchamp
2063 - Les rêves de Clinchamp
2062 - Je suis raciste
2061 - L’injustice sociale ne me choque pas
2060 - Les femmes de Clinchamp
2059 - Les jours vides de Clinchamp
2058 - Une grand-mère
2057 - Clinchamp vers 1970
2056 - La femme de soixante ans
2055 - Sale temps à Clinchamp
2054 - Un grand voyage en forêt
2053 - L’ailé et l’aliéné
2052 - Souvenirs lointains
2051 - Domestication d’une greluche
2050 - Déprime à Clinchamp
2049 - L’amour à Clinchamp
2048 - Les Droits de l'Homme, c'est la négation de l'homme !
2047 - Les hivers de Clinchamp
2046 - Les chemins de Clinchamp
2045 - Seul au monde
2044 - Ne me parlez pas d’amour
2043 - Tristesse de l’été
2042 - Jour de fête à Clinchamp
2041 - Monsieur Lecon
2040 - Châtelain
2039 - Les ailes de Clinchamp
2038 - Tremblement de terre
2037 - Nuit d’amour
2036 - Pluie de joie à Clinchamp
2035 - Les gauchistes
2034 - Clinchamp sous les clartés lunaires
2033 - Henri d’Anselme, héros hétéro rétro
2032 - Les hirondelles
2031 - Retraite dans la forêt
2030 - Mon bosquet
2029 - L’or de Clinchamp
2028 - Sur le chemin
2027 - La souche
2026 - Clinchamp, ce voyage sans fin
2025 - Sardines à l’huile
2024 - Les fantômes
2023 - Le silence de la forêt
2022 - Les arbres
2021 - Les joies de Clinchamp
2020 - La merde républicaine
2019 - Les ailés
2018 - Les soirées de Clinchamp
2017 - Parasite
2016 - Clinchamp, les routes de l’ennui
2015 - Moi français, je déteste les migrants !
2014 - Répugnante
2013 - Les complotistes
2012 - Je déteste les livres de philosophie !
2011 - Le bossu de Clinchamp
2010 - La lumière de Clinchamp
2009 - Les crépuscules de Clinchamp
2008 - Les nuits à Clinchamp
2007 - Les aubes de Clinchamp
2006 - Je suis un oiseau à Clinchamp
2005 - Les rats de Clinchamp
2004 - Les papillons de Clinchamp
2003 - Les richesses de la normalité
2002 - Le Rimbaud des bobos
2001 - Les vaches de Clinchamp
2000 - La folle de Clinchamp
1999 - Mon ego solaire
1998 - Vague Lune
1997 - Ma cabane à Clinchamp
1996 - Moi, IZARRA
1995 - Mais qui donc est Dardinel ?
1994 - La Dame Blanche de Clinchamp
1993 - Le Dalaï-Lama
1992 - Pluie à Clinchamp
1991 - Je suis sexiste
1990 - Les flammes du printemps
1989 - Le rustaud de Clinchamp
1988 - Les larmes d’Amsterdam
1987 - Clinchamp, terre d’envol
1986 - La Joconde de Clinchamp
1985 - Face cachée de Clinchamp
1984 - La clocharde de Clinchamp
1983 - Je suis un extraterrestre
1982 - Clinchamp sous les éclats de novembre
1981 - Clinchamp au bord des larmes
1980 - Les fantômes de Clinchamp
1979 - Les pissenlits de Clinchamp
1978 - Clinchamp : fin et commencement de tout
1977 - Amsterdam
1976 - J’habite sur la Lune
1975 - Secret de Lune
1974 - Les ailes de la Lune
1973 - Voir Clinchamp et sourire
1972 - La pierre et l’éther
1971 - Clinchamp, au bonheur des larmes
1970 - Clinchamp, mon dernier refuge
1969 - Croissant de Lune
1968 - Mais d’où vient donc la Lune ?
1967 - Lune lointaine
1966 - Lune éternelle
1965 - Sandrine, notre voisine
1964 - Rêve de Lune
1963 - Lune des rêves
1962 - La Lune dans le bleu
1961 - Lune ultime
1960 - Les tourmentés
1959 - Clinchamp, paradis des ombres
1958 - Lune absente
1957 - Je raffole des commérages !
1956 - Clinchamp : royaume des humbles
1955 - La Dame dans le ciel
1954 - Palmade : de la gloire au gouffre
1953 - Evasion
1952 - Tatouages, ces marques de faiblesse
1951 - L’égalité est un enfer !
1950 - Repas sur l’herbe à Clinchamp
1949 - Escale à Clinchamp
1948 - Beauté morbide de la Lune
1947 - J’ai dormi dehors à Clinchamp
1946 - Les humanitaires sont des parasites !
1945 - Sur les routes de Clinchamp
1944 - Une année à Clinchamp
1943 - Tristesse du printemps
1942 - Bulle de Terre
1941 - Jour de joie à Clinchamp
1940 - L’inconnu de Clinchamp
1939 - Le ciel de Clinchamp
1938 - Les éclats de Clinchamp
1937 - Le voyageur
1936 - Fête triste
1935 - Les antiracistes
1934 - Jean Messiha
1933 - Coeur gelé
1932 - Romantisme de pierre
1931 - La femme est sous mes pieds
1930 - Burcu Güneş, un air léger
1929 - Je déteste les pauvres !
1928 - Quand mon coeur s’allume
1927 - Intègre, entier, râpeux
1926 - Le cheval
1925 - Homme mauvais
1924 - Un trou sous le ciel
1923 - Hauteur de la Lune
1922 - Nulle part, là-bas, ailleurs
1921 - Belle Lune
1920 - Salades lunaires
1919 - Lettre à Reynouard
1918 - MARGUERITE OU L’HISTOIRE D’UNE VIEILLE FILLE
1917 - Récoltes lunaires
1916 - Je suis français de souche
1915 - Lune mortuaire
1914 - Clinchamp, cité des oubliés
1913 - Clinchamp, l’air de rien
1912 - Clinchamp, sommet du monde
1911 - La pollution, c’est la vie !
1910 - Seule au monde ?
1909 - Le Ciel et la Terre
1908 - Lune de haut vol
1907 - La Lune s’allume
1906 - Nuit sombre
1905 - Soupe de Lune
1904 - Puretés raciales
1903 - Lune-pizza
1902 - La grande question
1901 - Amiens
1900 - Pleur de Lune
1899 - Rêve d’amour
1898 - Vive le patriarcat !
1897 - La libellule
1896 - L’eau qui m’éclaire
1895 - Une question de clarté
1894 - La Lune dort
1893 - Les artifices du spirituel
1892 - Lune normale
1891 - Ni chauffage ni travail
1890 - Lune de fer
1889 - Molle Lune
1888 - Insensible aux malheurs des autres
1887 - Mon visage de vérité
1886 - Amante russe
1885 - J’écris
1884 - Lune martiale
1883 - Je suis un incapable
1882 - Lune creuse
1881 - 1975
1880 - L’éclat d’un fard
1879 - Amour impossible
1878 - Femme au foyer
1877 - L’esprit de la Lune
1876 - Ingérence féministe
1875 - Cratères lunaires
1874 - Lune d’effroi
1873 - Lune des chats
1872 - Les athées
1871 - Lune d’or
1870 - Lune carrée
1869 - Lune de miel
1868 - Folle lune
1867 - Jour de joie
1866 - SMARPHONES : abrutissement des masses
1865 - Sombre lune
1864 - Les mouches
1863 - Ma vie simple
1862 - Clinchamp, terre lointaine
1861 - Je suis un conservateur
1860 - Lune de glace
1859 - Le lac
1858 - Qu’est-ce que la beauté ?
1857 - Lune blanche
1856 - Lune de mer
1855 - Lune de feu
1854 - Présence immortelle
1853 - Surprenante Lune !
1852 - L’éclat de la Lune
1851 - Epis lunaires
1850 - L’autre Lune
1849 - L’amie des cheminées
1848 - Lune morte
1847 - Lune Parmentier
1846 - Lune fatale
1845 - Amour céleste
1844 - Grâces et disgrâces
1843 - Ma maison, c'est la Lune
1842 - Poids de la Lune
1841 - La morte visiteuse
1840 - Ma cabane sous la Lune
1839 - Bleu ciel
1838 - Histoire de lune
1837 - Suc de Turque
1836 - Stéphane Blet
1835 - Ciel bleu
1834 - Bonheur de rat
1833 - Redneck
1832 - Sur le rivage
1831 - Attraction lunaire
1830 - Je suis anti-féministe radical
1829 - Mais qui est-il ?
1828 - Je veux des frontières !
1827 - Les francs-maçons
1826 - Folies lunaires
1825 - Alunir, en un mot
1824 - “Comme ils disent”, chanson d’Aznavour
1823 - Lune tiède
1822 - Globe de rêve
1821 - Effroi
1820 - Vangelis
1819 - L’air de la Lune
1818 - La campagne
1817 - Lune tombale
1816 - Les cailloux
1815 - Je déteste Paris !
1814 - Boules de neige
1813 - Je n’ai pas peur
1812 - Parler vrai
1811 - Les hommes simples
1810 - Quand la Lune panse
1809 - Régine : extinction d’un feu
1808 - Morte veilleuse
1807 - Coeur de pierre
1806 - Noir
1805 - Mystère de la Lune
1804 - Jackson Pollock
1803 - En pleine lumière
1802 - Harmonie des sexes
1801 - Dix ans dans l’azur
1800 - Pluie d’avril
1799 - Le gueux
1798 - Les pommes de pin
1797 - Voyage vers la Lune
1796 - Mystère d’une nuit
1795 - Une lumière turque
1794 - Sans coeur et avec écorce
1793 - Envolé !
1792 - Galante ou l’abcès crevé
1791 - La lumière du Bosphore
1790 - Claude Monet
1789 - Rat aristocrate
1788 - Ukraine : sortez de vos ornières mentales !
1787 - Tranche de ciel et plumes de la Terre
1786 - Les sots écolos
1785 - L’astre turc
1784 - L’Ukraine, je m’en fous totalement !
1783 - Vive la guerre !
1782 - Réponses à un coatch
1781 - Droite pure
1780 - Vains hypersensibles
1779 - Mes valeurs vives
1778 - Le secret
1777 - Force et lumière
1776 - De l’herbe à l’aiguillon
1775 - Jusqu’à la mort
1774 - Zemmour et les journalistes de gauche
1773 - Dur et juste
1772 - La flamme et le marbre
1771 - Mon chat est mort
1770 - Les frères Bogdanoff
1769 - J’ai rêvé de Natacha
1768 - Technologie
1767 - Vers la Lune
1766 - C’était la guerre
1765 - La “tondue de Chartres”
1764 - Dans le métro
1763 - Naissance d’un virus
1762 - Zemmour est-il un de Gaulle ?
1761 - Je suis grand
1760 - Jour de gloire
1758 - Une muse du Bosphore
1758 - Je suis un extrémiste
1757 - Les éoliennes
1756 - Femme terminale
1755 - Autoportrait
1754 - Je suis un sanglier
1753 - Faux fou
1752 - Les affaires
1751 - Octobre
1750 - Le fantôme
1749 - Les écrivains
1748 - Sauvez la France !
1747 - Mes sentiments de pierre
1746 - Une araignée raconte
1745 - Un coeur clair
1744 - Phallocrate
1743 - Les vaches
1742 - Les faibles sont mauvais
1741 - Les sans-visage
1740 - Le trouillard de gauche
1739 - Léonard de Vinci enfant
1738 - Mes froideurs sublimes
1737 - Le romantisme, c’est la décadence
1736 - La Joconde
1735 - La tour Eiffel
1734 - Le Soleil
1733 - Une boule de mystère
1732 - Les masqués
1731 - Burcu Günes, l’or turc
1730 - Léa Désandre
1729 - Le père Dédé
1728 - “Blanc lumière” de Pollock
1727 - Les kikis et les cocos
1726 - Les funérailles de Belmondo
1725 - Pôle Sud
1724 - Vierge au mariage
1723 - La forêt
1722 - Le réveil des clochers
1721 - En septembre
1720 - Extraterrestre
1719 - Ni cagoule ni sérum
1718 - L’astre des morts
1717 - L’idéaliste
1716 - Un ange noir pour les Blancs ?
1715 - Trois heures du matin
1714 - Dur et vivant
1713 - Homme des bois
1712 - De flamme et de sang
1711 - Mes bas potentiels
1710 - Je suis un anti-progressiste
1709 - Eléonore et les Noirs
1708 - Eléonore et les Juifs
1707 - Une française
1706 - Femme d’idées
1705 - Joie de vivre
1704 - Auteur de rêves
1703 - Raison féminine
1702 - Vieillard
1701 - Face de France
1700 - 1789
1699 - Adieu, France
1698 - Célibataire
1697 - L’envers vert
1696 - Avant la chute
1695 - L’aube d’Ève
1694 - Amour raté
1693 - À vue d’homme
1692 - Le loup et l’agnelle
1691 - Têtes à corps
1690 - Trêve de la nuit
1689 - L’été
1688 - L’hiver
1687 - Les âmes de la forêt
1686 - Enfin libre !
1685 - Je vis sans masque
1684 - Enfants du monde
1328 - Je suis apolitique
115 - Le cygne
114 - Le spleen de Warloy-Baillon
113 - Les visiteurs
112 - La Lune
111 - L’amant des laides
110 - Mémoires d’un libertin
109 - Une existence de pompiste
108 - Lettre à mes amis des listes sur Internet