dimanche 20 novembre 2011

941 - L'interview profonde

Interview de Raphaël Zacharie de IZARRA par Noëlle Simono du journal “Le Monde” (édition du mercredi 12 octobre 2011)

Raphaël Zacharie de IZARRA, allez-vous enfin éclaircir le mystère embaumant votre personnage si fameux ? Les journalistes se perdent en conjectures à votre sujet. Vous répondez scrupuleusement à chacune de leurs questions et pourtant nul ne parvient à vous cerner tant vos réponses prêtent à maintes interprétations, toutes contradictoires... Personne n’arrive à vous situer exactement. A droite ? A gauche ? Sur la Lune ? Ici ? Là-bas ? Nulle part ? Quand allez-vous cesser de nous faire tourner autour de votre nombril, de votre particule, de votre Farrah Fawcett, de vos chères “vérités féroces” comme vous dites vous-même sur votre excellent blog IZARRALUNE ?

Je suis très clair pourtant avec les reporters. Ce n’est pas de ma faute si ce siècle est aux demi-vérités, aux molles paroles, aux tièdes mythes. Voilà, je suis le défenseur de la veuve et de l’orphelin, même si personnellement je n’ai pas de particulière sympathie ou indulgence envers les indigents et les pupilles. Je suis également le défenseur des belles gens fortunés contre leurs ignobles bourreaux -je veux parler des pauvres ou prétendus tels- car fort souvent la veuve et l’orphelin se muent en loups. L’iniquité, la bassesse, l’injustice peuvent aussi habiter chez la veuve et l’orphelin (de génération en génération comme un système atavique ou bien passagèrement) et je ne vois pas en quoi la veuve et l’orphelin seraient moins condamnables que les porteurs de gants blancs.

Politiquement cela me place autant à droite qu'à gauche, hors des extrêmes. Mais la politique ne m’intéresse guère. L’image publique que je renvoie à mes lecteurs ne me préoccupe pas. Mais s’il fallait me situer sur ce plan alors je dirais que je suis autant de droite et de gauche car je prends ce que j’estime être le meilleur dans chaque parti et laisse de côté ce qui me semble plus indigne. En général ce qui représente le meilleur dans chaque parti, ce sont les valeurs partagées par les uns et les autres. Pas toujours mais presque. C’est aussi simple que cela pour ne pas dire simpliste, et cela a peu d’intérêt du reste.

Je ne comprends pas que l’on puisse à ce point être curieux à propos à mes postions politiques. Ma plume est beaucoup plus passionnante à étudier que mes opinions de citoyen, savez-vous.

Il est certain Raphaël Zacharie de IZARRA que votre art littéraire est admirable. C’est même la raison essentielle de votre omniprésence sur la planète LITTÉRATURE. Alors parlons lettres : vous régnez incontestablement sur le web des lettrés mais vous êtes également très controversé. Les uns contestent la légitimité de votre statut de “souverain de l’écrit”, d’autres crient à la supercherie, persuadés d’avoir affaire à un comédien et non à un être sincère...

Ma particule parle pour moi. Je n‘ai rien à ajouter, rien à gagner, rien à perdre et n'ai pas à tenter de prouver quoi que ce soit à ce sujet. Ma particule est la plus éloquente des défenses, point.

Votre particule toujours et encore... Etes-vous sérieux Raphaël Zacharie de IZARRA ? (Sans se démonter –et là je le soupçonne d’avoir prévu son coup- il me sort comme par magie sa carte d’identité avec son nom, son prénom, sa particule...)

Cela vous suffit-il ?

Ce n’est pas ce genre de “preuve” que j’attendais Raphaël Zacharie de IZARRA...

Peut-être mais c’est celle que je vous présente, vous vous en contenterez.

Où puisez-vous votre intarissable inspiration ? Dans les livres, au cinéma, dans la rue ?

Soyons clairs, définitivement : je suis réellement inculte, ou quasiment. Je ne m’abreuve nullement de livres, je n’ai pas un goût prononcé pour la lecture en règle générale. Je ne cesse de le marteler ailleurs dans la presse : la littérature des autres ne m’intéresse pas. Ou si peu. De ma vie je n’ai presque rien lu. Des classiques j’ignore tout, à quelques rares exceptions près. Je ne m’intéresse pas à la littérature. Enfin pour être précis, à celle des autres. La littérature pour moi c’est comme les rêves : seuls les miens sont dignes d’être racontés. Ceux des autres sont sans le moindre intérêt. C’est ainsi que je fonctionne. Je passe beaucoup plus de temps à écrire qu’à lire.

Fondamentalement je suis un auteur, non un lecteur. Même si cela peut paraître incohérent voire prétentieux dans la mesure où l’on prétend que pour écrire il faut d’abord avoir beaucoup lu... Ce n’est pas vrai en ce qui me concerne. C’est ainsi, j’écris sans avoir lu. Certains trouveront peut-être cela mystérieux, pas moi. Entre écrire et lire, il n’y a aucune complémentarité à mes yeux, la première activité étant possible sans la seconde. Disons que la voiture incarne le lecteur et la route l’auteur, hé bien nul besoin d’avoir un permis de conduire pour se construire sa propre route. On peut fort bien créer une voie sans jamais prendre le volant de sa vie puisque le processus créatif de l’écriture n’a, du moins pour moi, aucun lien avec la démarche nettement plus passive que constitue la lecture. La différence entre la plume et le livre est aussi grande qu’entre la route et l’automobile.

La littérature n’est pas spécifiquement le fruit de ces deux activités mais le “simple” fait de se hisser au sommet du verbe, de la pensée, de la spiritualité, de la poésie, de l’art et de l’imaginaire avec les seules ailes de l’alphabet, et peu importent les conditions de cette ascension : avec ou sans lecture.

L’essentiel est d’atteindre le but.

Pour moi, c’est donc sans l’expérience de la conduite.

Aussi cheminé-je dans l’univers des mots sans permis de conduire, c’est à dire sans aucun bagage livresque, traçant ma propre route (que d’autres empruntent). Mes pieds suffisent pour avancer. Evidemment cette créativité spontanée n’est pas à la portée de tous.

Bien sûr n’importe qui est capable d’écrire sans avoir lu et même en ayant lu : on peut trouver à la tonne des exemples de littérature dupontesque chez la “Pensée Universelle”. Tout dépend de la définition que l’on donne au terme “littérature”...

Disons que j’ai les moyens de me passer des modèles. Moyens surnaturels si l’on peut dire. D’un point de vue extérieur car pour moi la chose va de soi.

On peut faire de la très mauvaise soupe avec de riches et abondants légumes et un potage excellent avec de l’eau, des cailloux et de la magie dans les doigts.

Et quels sont ces moyens qui vous démarquent si glorieusement des autres auteurs Raphaël Zacharie de IZARRA ?

C’est à la fois tout bête et inexprimable : je dors avec les muses.

Ca nous le savions déjà. Mais encore ?

Hé bien lorsque je me réveille, voyez-vous, mon âme est légère, mon coeur vif, ma tête pleine d’étoiles, de lueurs nouvelles, de visions fulgurantes et de monstres magnifiques : l’alchimie littéraire s’est opérée au cours des songes.
L’oeuvre des muses.

Vos muses, ne seraient-ce pas ces illustres mortes qui semblent hanter vos pensées d’étrange esthète, dites-moi Raphaël Zacharie de IZARRA ?

Absolument pas. Quand j’évoque les muses, je parle réellement des muses communes aux gens de lettres, celles de la mythologie grecque. Je suis au premier degré ici.

Vous vous moquez encore du monde Raphaël Zacharie de IZARRA... D’où vous vient cette manie insupportable de toujours tout vouloir tourner en dérision, vous y compris ?

Non non non, je vous parle le plus sérieusement du monde. Je commerce réellement avec les muses de l’antiquité grecque. Ne me demandez pas de vous expliquer la chose, c’est ainsi. C’est un mystère. Ou un miracle comme vous voudrez. Vous savez la vie est faite de toute façon d’une succession de miracles. Et il n’y a pas de petit ou de grand prodige dans la Création : l’aile de la mouche, une poussière, une poire sont aussi extraordinaires qu’un astre, qu’une galaxie, qu’une casserole. Tous sont des amas d’atomes divinement organisés. Ou génialement façonnés par l’homme, je parle de la casserole. D’ailleurs si vous m’aviez interviewé en Grèce il y a deux mille ans vous n’auriez pas mis en doute mes dires et tout cela vous semblerait parfaitement banal n’est-ce pas ?

En effet. Dois-je pour autant croire que c’est là votre réponse définitive et que vos lecteurs devront s’en satisfaire ?

Certes.

Vos détracteurs repoussent sans nuance tout ce qui émane de vous mais les femmes vous font des avances, quel effet cela vous fait-il Raphaël Zacharie de IZARRA ?

Cela me fait un plein effet.

Et si je vous lançais un défi ?

Lequel ?

Voilà, ayant préparé cette interview depuis plusieurs jours j’avais d’autres questions pertinentes en réserve. Mais puisque visiblement vous semblez prendre tout cela à la légère, j’ai décidé d’adopter cette même désinvolture avec laquelle vous me traitez : ce sera ma dernière intervention si vous continuez à me répondre en vous moquant de moi et de votre lectorat. Donc, et c’est ma question, allez-vous oui ou non donner une allure plus scrupuleuse à cette interview monsieur Izarra ?

C’est bien le drame de ces interviews... On m’interroge, je réponds et nul ne m’écoute. Je dis des choses que je crois graves, vraies et belles et on préfère en rire. Ce n’est pas moi qui me moque du monde madame, c’est le monde qui se moque de Raphaël Zacharie de IZARRA.

74 commentaires:

Unknown a dit…
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
Anonyme a dit…

Flattée...flattée mais pas dupe...

Anonyme a dit…

Par pitié arrêtez avec ces interviews truqués
je dénote que rêver sa vie, est beaucoup plus absurde que de la vivre.
Je suid désolé mais pour moi la surestimation de soi reste le propre des faibles d'esprit.

Raphaël Zacharie de IZARRA a dit…

Anonyme,

Cette interview est authentique puisque j'en suis l'auteur.

Raphaël Zacharie de IZARRA

raisonnable a dit…

Euréka, j'ai trouvé ! Parmi les muses de Izarra (avec lesquelles il dort) il y a Liliana,...ok ok je comprends donc vos délires Raphaël. Tout s'éclaire :) (entre nous ,c'est pas trop dur parfois?

Unknown a dit…

http://www.youtube.com/watch?v=8C8z1wUn9A4
Ça ce n'est pas pour Raphael, l’Esthète que je n'oserais jamais der ranger avec une telle légèreté, mais pour vous, les pseudonymes, les anonymes que j'ai décidé d'aimer comme j'aimerais un théâtre de marionnettes.
Liliana

Unknown a dit…

Ça, oui , c'est pour Raphael.

http://www.youtube.com/watch?v=3Mzf1WLyHEE

Liliana

Anonyme a dit…

Très gentil de votre part Liliana!

C'est comme ça, je pense, en tirant sur les fils que vous espérez donner de la hauteur dans l'amour ou l'amitié.
Ou que vous pensez qu'il y en ait?

Ça c'est dommage voyez-vous. Vraiment dommage.

Un pseudonyme.

Anonyme a dit…

Nous irons sur l'place Jeanette à vaques
Virent les marionettes comme te riras
Quand t'eintendra dire eun doup pour Jacques
Par l'Polichinelle qui parle magat
Te li mettras dein s'menotte,
au lieu ds'doup un rond d'carotte
i t'dira merci peinse comme nous arons du plaisi'

Le pseudonyme chanteur.

Anonyme a dit…

Moi, je ne pense pas
j'essaye d'agir
agir sur quoi ? me diriez-vous?
Sur cette Putain de vie, qui fait que parfois c'est difficile,
compliqué, écrasant, et si dure qu' on en péterait des cables....

Thérèse a dit…

Raphaël
Depuis que je vous connais, je vous admire et je vous aime
J’ai vraiment eu peur d’être tombée à jamais en dépression totale et d’être inconsolable, rompue, explosée dans l’univers intersidéral mais votre extraordinaire fraicheur d'esprit m'a délivré d'un grand poids.
Merci d'exister comme vous êtes et n'ayez pas peur,à vos côtés se trouve votre amie Thérèse.

Raphaël Zacharie de IZARRA a dit…

Aux deux Thèrèse, vraie et fausse,

IZARRA est ami de la Lune, des femmes (qu'elles soient créatures ou communes), des chats, des rondelles de citron de Menton, de la Beauté et de la Vérité.

Gloire à lui !

Raphaël Zacharie de IZARRA

La vraie de vraie Thérèse a dit…

L'ignare désespéré qui se permet de se faire passer tantôt pour la vraie,tantôt pour la fausse Thérèse à, à mon avis un sacré problème avec des substances que je qualifierais d'illicites. (le pauvre !)

Raphaël Zacharie de IZARRA a dit…

La vraie de vraie Thérèse,

Rien ne dit que c'est un homme. Pourquoi ne serait-ce pas une femme, cette personne que vous évoquez ?

Cela dit, ces échanges stériles entre la vraie et la fausse Untelle est assimilable à de la pollution.

Je préfèrerais lire des commentaires plus consistants. Mais je ne pratique aucune censure sur mon blog quoi qu'il en soit.

Raphaël Zacharie de IZARRA

Anonyme a dit…

on s'en fout! il faudrait censurer ces commentaires stupides, j'en ai marre de lire que des conneries

plus que raisonnable a dit…

j'aime aussi le chocolat au lait mais l'important est de savoir pourquoi vous ne l'acceptez pas
je suis libre ou non?

Anonyme a dit…

Jean Sébastien Bach, il n'avait pas de particule et pourtant qu'est ce que c'était divin !
Dommage que je ne sais pas lire les partitions.
J'aurai volontiers fait une vidéo. En son honneur

Anonyme mélomane.

Anonyme a dit…

"Que je ne sache pas..."
Un pardon confus oh grand Maitre de la Plume.

Unknown a dit…
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
Bien plus que raisonnable a dit…

A l'anonyme qui se permet de corriger les fautes : vous en avez oublié une autre : j'aurais et non pas j'aurai. Lorsqu'on se permet de corriger les fautes d'autrui on le fait dans les règles de l'art..sinon on s'abstient

Bien plus que raisonnable a dit…

Raphaël
Avez-vous des suspicions sur une quelconque dame ou damoiselle? Car à vous lire, on dirait que vous en savez plus que ce que vous voudriez bien nous faire croire

Raphaël Zacharie de IZARRA a dit…

Bien plus que raisonnable,

Aucune et je m'en moque.

Raphaël Zacharie de IZARRA

Anonyme a dit…

Oh, mais c'était de l'auto correction à la relecture Madame ou Monsieur "bien plus que raisonnable". Je ne me permettrais pas de le faire pour autrui. Sauf avec son encouragement bien entendu.
Mais je constate que vous même ne vous privez point de le faire. Et vous avez bien raison. Vous m'avez ainsi rendu un grand service.
En fait,j'avais un futur en mon esprit et non un conditionnel.
Comme une espèce de "Demain, j'apprendrai le solfège et je contribuerai à perpétuer le souvenir du grand Bach.".
Je me rends bien compte grâce à vous qu'il est inutile que je le fasse.
Un grand esprit comme lui n'a pas besoin de ma modeste personne. Lui se suffit à "lui même".

filledemnemosyne a dit…

Liliana,

J'ai aujourd'hui commis une regrettable erreur de jugement et je tiens à m'en excuser ici même.
Ma sotte imagination fait que j'ai encore imaginé des idioties.Je ne voulais pas vous peiner.
Je vous adore mon amie. Et je le dis publiquement.

Marie-Hélène.

Anonyme a dit…

Censure Censure
Mon cher Raphaël ,vous êtes fort tendre pour les chiennes enragées et point pour ceux qu'elles ont mordus

Unknown a dit…

Excuses acceptées, Oublions ça, mais ne retombez pas dans l'erreur!

La vraie de vraie Thérèse a dit…

Raphaël, C'est vous qui dites cela et vous prétendez connaître le monde ? vous me chagrinez, vous m'humiliez; vous cherchez à me mettre en colère!Tout cela m'agace fortement mes nerfs.
Aurais-je pollué votre ciel mental ?
pourquoi pensez-vous que le voleur d'identité est une voleuse détraquée?

brunette a dit…

tsssssssssssssst je suspecte liliana de jalousie.

Jawohl a dit…

Monsieur,
Pourquoi réécrire un texte sous la forme d'une interview imaginaire au cours de laquelle vous ne laissez place qu'à une ridicule outrecuidance. Ou vous semblez vous suffir à vous-même si je prends au sérieux ce que vous racontez ou alors vous vous accommodez,trop souvent d'humour, un humour qui me semble rarement divertissant.C'est bien dommage qu'il n'y ait presque jamais rien de retentissant.

Raphaël Zacharie de IZARRA a dit…

Jawohl,

Interview imaginaire dites-vous ?

Raphaël Zacharie de IZARRA

Jawohl a dit…

Monsieur,
Expliquez-moi si vous croyez que je suis dans l'erreur
Éclairez-moi, faites-moi part des vérités que vous dissimulez si bien

Aronax a dit…

Et Isabelle elle fait comment pour vivre avec quelqu'un qui n'aime pas le monde, la société,le modernisme, les gens , les femmes? Et je suis certain qu'elle lave vos chaussettes à la main? vous pourriez achetez un lave linge !
Remarque c'est peut être un homme Isabelle, un trans peut être?

Raphaël Zacharie de IZARRA a dit…

Aronax,

Isabelle n'existe pas.

C'est une comédienne, elle joue son rôle.

Raphaël Zacharie de IZARRA

Raphaël Zacharie de IZARRA a dit…

Jawohl,

Qui n'adhère pas à la vérité izarrienne est dans l'erreur.

Nécessairement.

Si je n'avais pas raison, ce blog n'existerait pas.

Raphaël Zacharie de IZARRA

Thérèse a dit…

au pauvre Aronax Houla..Vous ne savez pas avec qui vous avez à faire, comment un homme si majestueux, d'une fine éloquence avec une voix enchanteresse pourrait choisir une femme aussi laide et retardée comme cette isabelle ?

Unknown a dit…

Therese,
Je connais personnellement Isabelle,
elle a une beaute fine et douce qui vient de l'interrieur, d'une ame fine et celeste comme ses beaux yeux.
Liliana

Aronax a dit…

Pauvre Isabelle......

Jawohl a dit…

Monsieur,
vous n'êtes pas en forme.
Vous vous contentez de réponses un peu paresseuses.
Je ne vous flatterai pas en adulant votre arrogance burlesque, je n'ai nul envie de satisfaire votre paresse d'esprit, alors Monsieur Raphaël Zacharie de IZARRA faites-moi
part des vérités que j'ai peut-être ignorées jusqu'à présent.

Thérèse a dit…

Liliana je suis désolée mais je crois bien que vous êtes complètement miraude
elle est belle à la chandelle mais moi je la trouve affreuse et cela me fait à la fois plaisir et pitié comme elle est.Cette isabelle n'est qu'une ignoble maritorne aux grosses mains..beurk !

Aronax a dit…

Isabelle est une pauvre âme soumise, au service d'un Râphaël imbue de sa personne. Une soumise sans personnalité qui dit : oui à toutes paroles de Izarra, qui dit vert si c'est rouge, du moment que son maître l'affirme

Anonyme a dit…

Juste une question (moi qui suis venu ici par hasard comme tout le monde): vous rédigez aussi tous les commentaires ?

Anonyme a dit…

Bienvenu(e) Anonyme
Vous vous trouvez actuellement sur un blog qui sécrètent l'ennui à la longue, ici et là vous y rencontrerez des vaches psychosées, un porc à particule rêvant de gloire et de reconnaissance et quelques moutons hirsutes égarés , mais aussi d'étonnantes bêtises, d'effrayantes révélations et de nombreuses vidéos insolites.

Thérèse a dit…

Silence, bande de jaloux laissez nous en paix!

Anonyme a dit…

C'est la vieille vache qui est bonne pour la boucherie qui devrait la fermer et se cacher dans un trou

Aronax a dit…

C'est qui la vieille vache? Liliana? je comprends plus rien, j'y perds mon latin :(

Anonyme a dit…

C'estThérèse notre vieille rombière qui fayote un max.

Thérèse a dit…

allez voir ailleurs si c'est mieux
Rien n'égale la fraîcheur, la grandeur, la perfection de ce blog conçu par notre unique et bien-aimé Raphaël.
et de plus c'est pas moi la vieille, c'est l'autre fausse vraie de vraie Thérèse ,j'ai au contaire une taille de guêpe, un teint d'une exquise fraîcheur naturelle blanc comme crème, avec des cheveux d'or soyeux et brillants.

Anonyme a dit…

Raphael est un grand enfant, à la naïveté parfois désarmante, qui réveille l'instinct maternel de Thérèse, femme mûre et divorcée...

Thérèse la vraie de vraie a dit…

Et qui vous dit que Thérèse est une femme? ahahahhahahahhahaha. Raphaël donne des idées aux hommes aussi, trop craquant Raphaël

Anonyme a dit…

Ben ça s'arrange pas....

Thérèse la plus que vraie a dit…

femme mûre et divorcée ahahahhahah ahahahhahahhahahhahah si tu savais anonyme tu serais ...comment dire....stupéfait ! ! ! ! !

Anonyme a dit…

L'ennui est quelquefois plus difficile à supporter que la douleur

Thérèse la vraie de vraie a dit…

Mais c'est koi cet anonyme parano ? sa vie doit être bien triste le pauvre !

Anonyme a dit…

votre intuition essentielle est complétement embrouillée par tant d'analyses futiles

Thérèse la vraie de vraie a dit…

je vous emmerde Anonyme

soeur Thérèse.com a dit…

Anonyme = jaloux d'Izarra, seul dans sa vie de m....... le père noel tapportera rien tu es trop méchant

Anonyme a dit…

et ou se cache le pretentiard de service

plus fou que la folie a dit…

Houlà !C'est bien triste tout cela il n'y a plus que des zombies commentateurs, des mangeurs de porc et des gueuses d'esprit en chaleur.
Par pitié Raphaël sauvez-nous,nous périssons tous. je vous en prie,débarassez-nous de ces gens-là. Amenez-les loin d'ici.

Thérèse a dit…

Laissez nous enfin bande de lâches

Thérèse la vraie de vraie a dit…

je revendique mon plaisir de manger du porc, boudin, saucisses andouillettes, côtelettes, jambon cru, jambon cruit, miam. Quand je pense que certains passent à côté de ça.. tiens je vais m'avaler un petit sauté de cochon aux olives, et cela à ta santé toi l'anonyme qui fais les questions, les réponses, qui prend x pseudos..

Selim a dit…

je m'aime donc je me suis

filledemnemosyne a dit…

Alors moi je suis navrée. Pour ne pas dire désespérée.
Comment, sur un espace dédié, du moins je le pense, à la littérature, et accessoirement à l’éclat d'esprit, on trouve dans les commentaires de telles inepties.
A croire que la majorité des lecteurs actifs (dans la mesure ou ils ne sont pas issus d'hôpitaux psychiatriques), en profitent pour remettre sur le tapis leurs idéologies religieuses .
Pourquoi ne vous posez vous pas plutôt le question:
Le Créateur(quel que soit Son nom) est-il aussi taré que Ses fils les Hommes a prétendre qu'il faille se nourrir de telle ou telle viande? Et ne point consommer ci- ou çà. Et tel ou tel jour !
A mon avis, il préférerait qu'on ne consomme rien qui ait vécu. Mais bon, Jésus mangeait du poisson. Et le mouton figure sur nombreuse tables.
Ne pensez vous pas que cette histoire de cochon, c'est simplement sorti du bon sens de personnes plus intelligentes que d'autres à l'époque primitive et qui aurait compris que cette viande apportait des maladies ( la viande mal cuite, mais à l'époque on mangeait sûrement cru)
Et on s’entre tue encore de nos jours, à cause de ça!
C'est désespérant!

Je suis navrée aussi, dans un autre registre (et là j'ai un sérieux doute sur la qualité des portes des cellules psy) de voir les insultes qui pleuvent. Et ces crêpages de chignons entre vraies fausses je ne sais quoi...et tout ça pour une "image".
Celle d'un auteur qui est peut-être une femme, un vieillard qui occupe sa retraite, un groupe politico-religieux ou un extra terrestre qui pointe le nez vers sa planète lointaine.
C'est bien navrant tout ça.

Anonyme a dit…

L'auguste clochard intellectuel, notre artiste raté préféré dont la devise orgueilleuse est: Aimer d'être haï,et haïr d'être aimé,se noie dans les profondeurs de l'obscurité.Hélas! quelle tristesse! en attendant qu'on trouve le remède au mal qui le consume et l'isole de la vie et des autres,prions pour que tous les souhaits de l'astre qui n'a scintillé qu'à son aurore,se réalisent le plus promptement possible.

filledemnemosyne a dit…

En fait, ce que je pense, c'est que cet homme qui était plus intelligent que les autres (non, en fait c'était une femme puisque on parle d'intelligence... et puis, comme ce sont les femmes qui cuisinent, normal qu'elles comprennent en premier) donc, cette femme, aurait mieux fait de la fermer. De ne pas manger elle même de cette viande crue et de laisser les autres s'empoisonner à cause de leur ignorance. Mais les femmes ont bons coeur.
Et voilà le résultat. Le résultat c'est que des milliers d'années plus tard, on se colle les uns les autres sur la figure depuis des simples blogs jusque dans des luttes acharnées aux quatre coins de la planète.

Pour avoir commis une telle bourde, non, ça ne devait pas être une femme. En fait c'était un homme.
Enfin, comme quoi il vaut mieux être ignorant... ou égoïste.

Anonyme a dit…

Va, je ne te hais point...

plus que raisonnable a dit…

"un espace dédié, du moins je le pense, à la littérature, et accessoirement à l’éclat d'esprit"
Je suppose que vous plaisantez Madame Marie-Hélène ?

filledemnemosyne a dit…

Moi je pense,(qu'est ce que je pense aujourd'hui...!) c'est que quand, comme le dit si bien l'anonyme de tantôt, on se noie dans les profondeurs de l'obscurité rien ne vaut, pour s'éclairer, et à condition d'en faire bon usage, une vieille lanterne.
J'aurai pu aussi dire une chandelle. Comme celle de Pierrot Lunaire.
Mais la lanterne c'est pas mal.

filledemnemosyne a dit…

Monsieur ou Madame plus que raisonnable,

Filledemnemosyne si vous voulez bien, il y a un copyright sur le Marie-Hélène.
Non, je ne plaisante pas. En ai-je l'air?

plus que raisonnable a dit…

Marie-Hélene
Vous prenez tout au sérieux, vous manquez parfois d'humour. Ma chére Marie-Hélene, vous êtes une âme sensible qui s'est trompée de voie.
Ce blog n'a rien de sérieux, il ne sert seulement qu'à attiser le feu entre vous et moi.

filledemnemosyne a dit…

Se faire taxer de trop sérieuse par une personne plus que raisonnable...pas banal!
Je crois au contraire que tout ici est très sérieux.
Quand à m'être trompée de voie, oui, ça c'est clair. Je viens encore d'en avoir la preuve il y a quelques minutes et hors de l'espace Izarrien. Mais je suis déficiente dans le sens de l'orientation, je l'ai souvent dit.

Le reste, le feu, vous et moi...laissez moi rire.
Voyez que j'ai de l'humour!
Par contre, l'utilisation de mon prénom est réservée, il me semble vous l'avoir dit également.

plus que raisonnable a dit…

Marie-Hélene les mots ,les noms, les lettres et tout le reste n'appartiennent à personne.
Je suis libre d'écrire ce qu'il me plaît.Je comprends que vous aimiez tant remplir un rôle si important d'ambassadrice de la tolérance, mais malheureusement vous prenez trop au sérieux ce blog qui n'est qu'un étalage
de provocations de bas étage devenues au fil du temps répétitives et mortellement ennuyeuses.

filledemnemosyne a dit…

Nommez moi comme vous le voulez. Après tout, je suis l'ambassadrice de la tolérance alors, hein!
Répétitif, oui, dommage.
Bas-étage...c'est pas vraiment le mot. Il y a du 7ème ciel comme du troisième sous sol.
Mortellement ennuyeux ? Mais alors que faites vous là ?

plus que raisonnable a dit…

Ennuyeux parce que répétitif
Je n'aime pas les histoires réchauffées.
Madame je vous quitte à regret.
le temps est rare, il ne faut pas le gaspiller.Je crois que c'est plus plus que raisonnable..

Thérèse a dit…

plus que raisonnable
Ce n'est pas grave, votre esprit n'est pas encore assez développé pour reconnaître la génialité de Raphaël Zacharie de IZARRA

Liste des textes

2148 - Je suis de la droite honteuse
2147 - Les écrivains sont des poids morts
2146 - L’héritage de Clinchamp
2145 - Clinchamp, une histoire sans fin
2144 - Vent de mystère à Clinchamp
2143 - Ma cachette à Clinchamp
2142 - Randonnée à Clinchamp
2141 - Eclipse de Lune à Clinchamp
2140 - Un arc-en-Ciel à Clinchamp
2139 - Clinchamp sous l’orage
2138 - J’ai rêvé de Clinchamp
2137 - Jour de l’An à Clinchamp
2136 - Vacances d’été à Clinchamp
2135 - Attente à Clinchamp
2134 - Un jour ordinaire à Clinchamp
2133 - Or de France
2132 - La compagne des esseulés
2131 - Loup de lumière
2130 - Spleen
2129 - Le pitre
2128 - Les corbeaux de Clinchamp
2127 - Un homme heureux à Clinchamp
2126 - Le mouton
2125 - Des lutins à Clinchamp ?
2124 - Je suis fort !
2123 - Paroles prophétiques
2122 - L’égalité entre les hommes est injuste !
2121 - L’idéaliste de gauche
2120 - La femme est la monture de l’homme
2119 - Clinchamp sous la neige
2118 - Le Nord et le Sud
2117 - Pourquoi j’aime Clinchamp ?
2116 - Convaincre Blandine
2115 - Un couple de vieillards à Clinchamp
2114 - Le facteur de Clinchamp
2113 - Tristesse et beauté à Clinchamp
2112 - L’Art
2111 - Botte à l’oeuf
2110 - Les bûcherons de Clinchamp
2109 - Le coucou de Clinchamp
2108 - BFMTV : l’écran de la vérité
2107 - Lettre anonyme
2106 - Je ne suis pas amoureux de Paris !
2105 - Un jour d’hiver à Warloy-Baillon
2104 - La femme soumise brille comme une casserole
2103 - Les chouettes de Clinchamp
2102 - Quand la tempête s’abat sur Clinchamp...
2101 - L’aile et la pierre
2100 - Mes amis les maudits
2099 - Le brouillard de Clinchamp
2098 - Artiste de gauche
2097 - L’éternité dans la tête
2096 - Toussaint à Clinchamp
2095 - Chagrin échappé
2094 - Clinchamp-sur-Mystère
2093 - Les cafards
2092 - Loup des airs
2091 - Le loup de Clinchamp
2090 - En latin, c’est plus beau !
2089 - Les patates de Clinchamp
2088 - L’enfant des airs
2087 - Ciel de France
2086 - Thaïs d’Escufon
2085 - Les tomates de Clinchamp
2084 - Jérôme Bourbon
2083 - Les chats de Clinchamp
2082 - Poupée d’ailleurs
2081 - Pierre de feu
2080 - Les champs de Clinchamp
2079 - L’éclosion
2078 - Vacuité des bouquinistes
2077 - Les toits
2076 - Freud
2075 - Sport
2074 - Le simplet de Clinchamp
2073 - Les oiseaux de Clinchamp
2072 - Je ne suis pas cartésien
2071 - Au cimetière de Clinchamp
2070 - Le Panthéon pour Hugo, l’évasion pour Izarra
2069 - Les rats de la France
2068 - Le curé de Clinchamp
2067 - Mon trou à Clinchamp
2066 - Saint-Léonard-des-Bois
2065 - Les cloches de Clinchamp
2064 - Un épouvantail à Clinchamp
2063 - Les rêves de Clinchamp
2062 - Je suis raciste
2061 - L’injustice sociale ne me choque pas
2060 - Les femmes de Clinchamp
2059 - Les jours vides de Clinchamp
2058 - Une grand-mère
2057 - Clinchamp vers 1970
2056 - La femme de soixante ans
2055 - Sale temps à Clinchamp
2054 - Un grand voyage en forêt
2053 - L’ailé et l’aliéné
2052 - Souvenirs lointains
2051 - Domestication d’une greluche
2050 - Déprime à Clinchamp
2049 - L’amour à Clinchamp
2048 - Les Droits de l'Homme, c'est la négation de l'homme !
2047 - Les hivers de Clinchamp
2046 - Les chemins de Clinchamp
2045 - Seul au monde
2044 - Ne me parlez pas d’amour
2043 - Tristesse de l’été
2042 - Jour de fête à Clinchamp
2041 - Monsieur Lecon
2040 - Châtelain
2039 - Les ailes de Clinchamp
2038 - Tremblement de terre
2037 - Nuit d’amour
2036 - Pluie de joie à Clinchamp
2035 - Les gauchistes
2034 - Clinchamp sous les clartés lunaires
2033 - Henri d’Anselme, héros hétéro rétro
2032 - Les hirondelles
2031 - Retraite dans la forêt
2030 - Mon bosquet
2029 - L’or de Clinchamp
2028 - Sur le chemin
2027 - La souche
2026 - Clinchamp, ce voyage sans fin
2025 - Sardines à l’huile
2024 - Les fantômes
2023 - Le silence de la forêt
2022 - Les arbres
2021 - Les joies de Clinchamp
2020 - La merde républicaine
2019 - Les ailés
2018 - Les soirées de Clinchamp
2017 - Parasite
2016 - Clinchamp, les routes de l’ennui
2015 - Moi français, je déteste les migrants !
2014 - Répugnante
2013 - Les complotistes
2012 - Je déteste les livres de philosophie !
2011 - Le bossu de Clinchamp
2010 - La lumière de Clinchamp
2009 - Les crépuscules de Clinchamp
2008 - Les nuits à Clinchamp
2007 - Les aubes de Clinchamp
2006 - Je suis un oiseau à Clinchamp
2005 - Les rats de Clinchamp
2004 - Les papillons de Clinchamp
2003 - Les richesses de la normalité
2002 - Le Rimbaud des bobos
2001 - Les vaches de Clinchamp
2000 - La folle de Clinchamp
1999 - Mon ego solaire
1998 - Vague Lune
1997 - Ma cabane à Clinchamp
1996 - Moi, IZARRA
1995 - Mais qui donc est Dardinel ?
1994 - La Dame Blanche de Clinchamp
1993 - Le Dalaï-Lama
1992 - Pluie à Clinchamp
1991 - Je suis sexiste
1990 - Les flammes du printemps
1989 - Le rustaud de Clinchamp
1988 - Les larmes d’Amsterdam
1987 - Clinchamp, terre d’envol
1986 - La Joconde de Clinchamp
1985 - Face cachée de Clinchamp
1984 - La clocharde de Clinchamp
1983 - Je suis un extraterrestre
1982 - Clinchamp sous les éclats de novembre
1981 - Clinchamp au bord des larmes
1980 - Les fantômes de Clinchamp
1979 - Les pissenlits de Clinchamp
1978 - Clinchamp : fin et commencement de tout
1977 - Amsterdam
1976 - J’habite sur la Lune
1975 - Secret de Lune
1974 - Les ailes de la Lune
1973 - Voir Clinchamp et sourire
1972 - La pierre et l’éther
1971 - Clinchamp, au bonheur des larmes
1970 - Clinchamp, mon dernier refuge
1969 - Croissant de Lune
1968 - Mais d’où vient donc la Lune ?
1967 - Lune lointaine
1966 - Lune éternelle
1965 - Sandrine, notre voisine
1964 - Rêve de Lune
1963 - Lune des rêves
1962 - La Lune dans le bleu
1961 - Lune ultime
1960 - Les tourmentés
1959 - Clinchamp, paradis des ombres
1958 - Lune absente
1957 - Je raffole des commérages !
1956 - Clinchamp : royaume des humbles
1955 - La Dame dans le ciel
1954 - Palmade : de la gloire au gouffre
1953 - Evasion
1952 - Tatouages, ces marques de faiblesse
1951 - L’égalité est un enfer !
1950 - Repas sur l’herbe à Clinchamp
1949 - Escale à Clinchamp
1948 - Beauté morbide de la Lune
1947 - J’ai dormi dehors à Clinchamp
1946 - Les humanitaires sont des parasites !
1945 - Sur les routes de Clinchamp
1944 - Une année à Clinchamp
1943 - Tristesse du printemps
1942 - Bulle de Terre
1941 - Jour de joie à Clinchamp
1940 - L’inconnu de Clinchamp
1939 - Le ciel de Clinchamp
1938 - Les éclats de Clinchamp
1937 - Le voyageur
1936 - Fête triste
1935 - Les antiracistes
1934 - Jean Messiha
1933 - Coeur gelé
1932 - Romantisme de pierre
1931 - La femme est sous mes pieds
1930 - Burcu Güneş, un air léger
1929 - Je déteste les pauvres !
1928 - Quand mon coeur s’allume
1927 - Intègre, entier, râpeux
1926 - Le cheval
1925 - Homme mauvais
1924 - Un trou sous le ciel
1923 - Hauteur de la Lune
1922 - Nulle part, là-bas, ailleurs
1921 - Belle Lune
1920 - Salades lunaires
1919 - Lettre à Reynouard
1918 - MARGUERITE OU L’HISTOIRE D’UNE VIEILLE FILLE
1917 - Récoltes lunaires
1916 - Je suis français de souche
1915 - Lune mortuaire
1914 - Clinchamp, cité des oubliés
1913 - Clinchamp, l’air de rien
1912 - Clinchamp, sommet du monde
1911 - La pollution, c’est la vie !
1910 - Seule au monde ?
1909 - Le Ciel et la Terre
1908 - Lune de haut vol
1907 - La Lune s’allume
1906 - Nuit sombre
1905 - Soupe de Lune
1904 - Puretés raciales
1903 - Lune-pizza
1902 - La grande question
1901 - Amiens
1900 - Pleur de Lune
1899 - Rêve d’amour
1898 - Vive le patriarcat !
1897 - La libellule
1896 - L’eau qui m’éclaire
1895 - Une question de clarté
1894 - La Lune dort
1893 - Les artifices du spirituel
1892 - Lune normale
1891 - Ni chauffage ni travail
1890 - Lune de fer
1889 - Molle Lune
1888 - Insensible aux malheurs des autres
1887 - Mon visage de vérité
1886 - Amante russe
1885 - J’écris
1884 - Lune martiale
1883 - Je suis un incapable
1882 - Lune creuse
1881 - 1975
1880 - L’éclat d’un fard
1879 - Amour impossible
1878 - Femme au foyer
1877 - L’esprit de la Lune
1876 - Ingérence féministe
1875 - Cratères lunaires
1874 - Lune d’effroi
1873 - Lune des chats
1872 - Les athées
1871 - Lune d’or
1870 - Lune carrée
1869 - Lune de miel
1868 - Folle lune
1867 - Jour de joie
1866 - SMARPHONES : abrutissement des masses
1865 - Sombre lune
1864 - Les mouches
1863 - Ma vie simple
1862 - Clinchamp, terre lointaine
1861 - Je suis un conservateur
1860 - Lune de glace
1859 - Le lac
1858 - Qu’est-ce que la beauté ?
1857 - Lune blanche
1856 - Lune de mer
1855 - Lune de feu
1854 - Présence immortelle
1853 - Surprenante Lune !
1852 - L’éclat de la Lune
1851 - Epis lunaires
1850 - L’autre Lune
1849 - L’amie des cheminées
1848 - Lune morte
1847 - Lune Parmentier
1846 - Lune fatale
1845 - Amour céleste
1844 - Grâces et disgrâces
1843 - Ma maison, c'est la Lune
1842 - Poids de la Lune
1841 - La morte visiteuse
1840 - Ma cabane sous la Lune
1839 - Bleu ciel
1838 - Histoire de lune
1837 - Suc de Turque
1836 - Stéphane Blet
1835 - Ciel bleu
1834 - Bonheur de rat
1833 - Redneck
1832 - Sur le rivage
1831 - Attraction lunaire
1830 - Je suis anti-féministe radical
1829 - Mais qui est-il ?
1828 - Je veux des frontières !
1827 - Les francs-maçons
1826 - Folies lunaires
1825 - Alunir, en un mot
1824 - “Comme ils disent”, chanson d’Aznavour
1823 - Lune tiède
1822 - Globe de rêve
1821 - Effroi
1820 - Vangelis
1819 - L’air de la Lune
1818 - La campagne
1817 - Lune tombale
1816 - Les cailloux
1815 - Je déteste Paris !
1814 - Boules de neige
1813 - Je n’ai pas peur
1812 - Parler vrai
1811 - Les hommes simples
1810 - Quand la Lune panse
1809 - Régine : extinction d’un feu
1808 - Morte veilleuse
1807 - Coeur de pierre
1806 - Noir
1805 - Mystère de la Lune
1804 - Jackson Pollock
1803 - En pleine lumière
1802 - Harmonie des sexes
1801 - Dix ans dans l’azur
1800 - Pluie d’avril
1799 - Le gueux
1798 - Les pommes de pin
1797 - Voyage vers la Lune
1796 - Mystère d’une nuit
1795 - Une lumière turque
1794 - Sans coeur et avec écorce
1793 - Envolé !
1792 - Galante ou l’abcès crevé
1791 - La lumière du Bosphore
1790 - Claude Monet
1789 - Rat aristocrate
1788 - Ukraine : sortez de vos ornières mentales !
1787 - Tranche de ciel et plumes de la Terre
1786 - Les sots écolos
1785 - L’astre turc
1784 - L’Ukraine, je m’en fous totalement !
1783 - Vive la guerre !
1782 - Réponses à un coatch
1781 - Droite pure
1780 - Vains hypersensibles
1779 - Mes valeurs vives
1778 - Le secret
1777 - Force et lumière
1776 - De l’herbe à l’aiguillon
1775 - Jusqu’à la mort
1774 - Zemmour et les journalistes de gauche
1773 - Dur et juste
1772 - La flamme et le marbre
1771 - Mon chat est mort
1770 - Les frères Bogdanoff
1769 - J’ai rêvé de Natacha
1768 - Technologie
1767 - Vers la Lune
1766 - C’était la guerre
1765 - La “tondue de Chartres”
1764 - Dans le métro
1763 - Naissance d’un virus
1762 - Zemmour est-il un de Gaulle ?
1761 - Je suis grand
1760 - Jour de gloire
1758 - Une muse du Bosphore
1758 - Je suis un extrémiste
1757 - Les éoliennes
1756 - Femme terminale
1755 - Autoportrait
1754 - Je suis un sanglier
1753 - Faux fou
1752 - Les affaires
1751 - Octobre
1750 - Le fantôme
1749 - Les écrivains
1748 - Sauvez la France !
1747 - Mes sentiments de pierre
1746 - Une araignée raconte
1745 - Un coeur clair
1744 - Phallocrate
1743 - Les vaches
1742 - Les faibles sont mauvais
1741 - Les sans-visage
1740 - Le trouillard de gauche
1739 - Léonard de Vinci enfant
1738 - Mes froideurs sublimes
1737 - Le romantisme, c’est la décadence
1736 - La Joconde
1735 - La tour Eiffel
1734 - Le Soleil
1733 - Une boule de mystère
1732 - Les masqués
1731 - Burcu Günes, l’or turc
1730 - Léa Désandre
1729 - Le père Dédé
1728 - “Blanc lumière” de Pollock
1727 - Les kikis et les cocos
1726 - Les funérailles de Belmondo
1725 - Pôle Sud
1724 - Vierge au mariage
1723 - La forêt
1722 - Le réveil des clochers
1721 - En septembre
1720 - Extraterrestre
1719 - Ni cagoule ni sérum
1718 - L’astre des morts
1717 - L’idéaliste
1716 - Un ange noir pour les Blancs ?
1715 - Trois heures du matin
1714 - Dur et vivant
1713 - Homme des bois
1712 - De flamme et de sang
1711 - Mes bas potentiels
1710 - Je suis un anti-progressiste
1709 - Eléonore et les Noirs
1708 - Eléonore et les Juifs
1707 - Une française
1706 - Femme d’idées
1705 - Joie de vivre
1704 - Auteur de rêves
1703 - Raison féminine
1702 - Vieillard
1701 - Face de France
1700 - 1789
1699 - Adieu, France
1698 - Célibataire
1697 - L’envers vert
1696 - Avant la chute
1695 - L’aube d’Ève
1694 - Amour raté
1693 - À vue d’homme
1692 - Le loup et l’agnelle
1691 - Têtes à corps
1690 - Trêve de la nuit
1689 - L’été
1688 - L’hiver
1687 - Les âmes de la forêt
1686 - Enfin libre !
1685 - Je vis sans masque
1684 - Enfants du monde
1328 - Je suis apolitique
115 - Le cygne
114 - Le spleen de Warloy-Baillon
113 - Les visiteurs
112 - La Lune
111 - L’amant des laides
110 - Mémoires d’un libertin
109 - Une existence de pompiste
108 - Lettre à mes amis des listes sur Internet