Je suis français, héritier de la Gaule légendaire, enfant des siècles
mythiques, fruit de deux mille années d’Histoire sombre et éclatante, attaché à
mes valeurs, épris de la culture lumineuse et des traditions baroques de mon
pays.
Français oui, mais pas au point d’y perdre mon humanité !
D’un point de vue horizontal je suis farouchement enraciné dans cette terre où nos aïeux firent pousser leurs céréales originelles autant que leurs grains de folie.
Mais dès que je sors de ce jeu puéril dont je ne suis en réalité nullement dupe et que sans plus de fausses passions et sociales complaisances j’élève mon regard, alors je me moque magistralement de ces petitesses dont vous faites des montagnes.
Une fois seul avec moi-même, face à ma claire conscience d’éveillé suprême, loin des chants grossiers des défenseurs de miasmes temporels et autres pataugeurs hystériques s’enlisant dans les sables de leur siècle, j’oublie le fumier de ces cochons humains et vole vers les sommets de la pensée, attentif aux magnificences de la Création, ne voyant plus que l’essentiel, libre, grand, glorieux, pur et serein dans mon ciel de vérité.
Alors qu’ils s’alarment sur des sujets insignifiants et que, oubliant qu’ils mourront bientôt, se préoccupent de l’avenir de leurs illusions, s’inquiètent du métissage culturel et racial du pays, prévoient des vanités économiques, choisissent leur parti politique, versent leurs larmes pour des drapeaux, saignent pour des bobos idéologiques, serrent les dents pour des âneries prises au sérieux, bref alors qu’ils sont emportés dans le tourbillon de leur ridicule érigé en système institutionnel, patriotique et même civilisationnel, moi je monte, monte et monte encore.
Et me retrouve dans des hauteurs vertigineuses, aux antipodes de leur humanité porcine, à une distance incalculable des fumées de leur monde.
Oui je suis français tout comme eux, tout comme vous. Je suis moi aussi fils de ces gaulois d’Epinal, je chante avec vous les vieux quais de Paris, évoque dans un même choeur vibrant femmes et terres immémoriales chères à nos poètes, véritables hanteuses de notre mémoire collective, je salue également la Marianne pétrifiée de nos mairies. Je bois encore en votre compagnie les petits blancs des bistrots et les grands vins de la Loire.
Mais pour moi la grandeur de la France s’arrête aux deux mètres de de Gaulle et, juste après, à l’extrémité du dernier étage de la Tour Eiffel.
Au-dessus, c’est le vaste espace des esprits supérieurs auquel, avant toute autre chose, impérieusement, définitivement, divinement, et que cela vous plaise ou non, j’appartiens.
Ma vraie patrie n’est pas ce petit coin de terre -que j’aime et défends cependant parce que j’en suis issu- d’éternels abrutis racistes, belliqueux (comme ces coqs qu’ils foutent sur le toit de leurs églises), râleurs et stupidement consuméristes mais l’Univers entier, galaxie après galaxie, atome après atome.
Français oui, avec fierté, mais surtout libre de m’en moquer.
VOIR LA VIDEO :
https://rutube.ru/video/214963a0093e6948403894d24c514cdf/
https://rutube.ru/video/e907fec9d7df23826fd6e665fcfbc268/
http://www.dailymotion.com/video/x27fqs2_francais-mais-sans-en-faire-un-fromage-raphael-zacharie-de-izarra_webcam
Français oui, mais pas au point d’y perdre mon humanité !
D’un point de vue horizontal je suis farouchement enraciné dans cette terre où nos aïeux firent pousser leurs céréales originelles autant que leurs grains de folie.
Mais dès que je sors de ce jeu puéril dont je ne suis en réalité nullement dupe et que sans plus de fausses passions et sociales complaisances j’élève mon regard, alors je me moque magistralement de ces petitesses dont vous faites des montagnes.
Une fois seul avec moi-même, face à ma claire conscience d’éveillé suprême, loin des chants grossiers des défenseurs de miasmes temporels et autres pataugeurs hystériques s’enlisant dans les sables de leur siècle, j’oublie le fumier de ces cochons humains et vole vers les sommets de la pensée, attentif aux magnificences de la Création, ne voyant plus que l’essentiel, libre, grand, glorieux, pur et serein dans mon ciel de vérité.
Alors qu’ils s’alarment sur des sujets insignifiants et que, oubliant qu’ils mourront bientôt, se préoccupent de l’avenir de leurs illusions, s’inquiètent du métissage culturel et racial du pays, prévoient des vanités économiques, choisissent leur parti politique, versent leurs larmes pour des drapeaux, saignent pour des bobos idéologiques, serrent les dents pour des âneries prises au sérieux, bref alors qu’ils sont emportés dans le tourbillon de leur ridicule érigé en système institutionnel, patriotique et même civilisationnel, moi je monte, monte et monte encore.
Et me retrouve dans des hauteurs vertigineuses, aux antipodes de leur humanité porcine, à une distance incalculable des fumées de leur monde.
Oui je suis français tout comme eux, tout comme vous. Je suis moi aussi fils de ces gaulois d’Epinal, je chante avec vous les vieux quais de Paris, évoque dans un même choeur vibrant femmes et terres immémoriales chères à nos poètes, véritables hanteuses de notre mémoire collective, je salue également la Marianne pétrifiée de nos mairies. Je bois encore en votre compagnie les petits blancs des bistrots et les grands vins de la Loire.
Mais pour moi la grandeur de la France s’arrête aux deux mètres de de Gaulle et, juste après, à l’extrémité du dernier étage de la Tour Eiffel.
Au-dessus, c’est le vaste espace des esprits supérieurs auquel, avant toute autre chose, impérieusement, définitivement, divinement, et que cela vous plaise ou non, j’appartiens.
Ma vraie patrie n’est pas ce petit coin de terre -que j’aime et défends cependant parce que j’en suis issu- d’éternels abrutis racistes, belliqueux (comme ces coqs qu’ils foutent sur le toit de leurs églises), râleurs et stupidement consuméristes mais l’Univers entier, galaxie après galaxie, atome après atome.
Français oui, avec fierté, mais surtout libre de m’en moquer.
VOIR LA VIDEO :
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