lundi 5 mai 2008

785 - La soumission naturelle de la femme

(Photo : le dieu Priape ou la phallocrate autorité)

La femme naît soumise. Son destin est d'être enchaînée à la virile autorité. Malheureusement la société a perverti la femme, avec la complicité du mâle dévirilisé.

Notre monde occidental obsédé d'égalité et de modernité nie bêtement ce principe naturel. Ainsi la femme dénaturée se croit libre sous prétexte qu'elle vote, conduit, boit, fume, jure, crache... Or la vraie liberté de la femme est de se contenir sous la coupe de l'homme. La femme n'est véritablement femme que lorsqu'elle ne sort pas de son rôle, qu'elle demeure sur le trône où l'a placée sa naissance : à mi hauteur entre le mâle et la casserole.

Quoi de plus détestable, de plus vulgaire qu'une femme qui ignore les préceptes les plus élémentaires du savoir-vivre et qui se rebelle contre les lois cosmiques ? Une femme de classe sait se taire, se placer dans l'ombre pour laisser la lumière éclairer son maître. La femme digne de ce nom aime faire valoir son seigneur. Je sais bien que, à l'heure où tout le monde trouve normal que la femme moderne -que j'appellerais volontiers "dégénérée"- cherche à humilier l'homme au lieu de lui faire honneur, mon propos semblera insupportable...

La société est à ce point corrompue par la dictature de la vulgarité féminine, par l'hystérie générale faite autour de l'égalité contre nature des sexes, que prétendre que la femme doit élever l'homme et non l'écraser, le célébrer et non le maudire, le servir et non l'opprimer passe pour un crime aux yeux de la plupart des gens !

La femme de par la volonté céleste, terrestre, cosmique et même atomique est soumise à l'homme de la même façon que la lune est soumise à l'attraction de la Terre.

Toutes les femmes sont soumises.

Beaucoup l'ignorent tant notre société frileuse, molle, éprise de nivellement envers les êtres (qu'elle appelle "égalité") a formaté leur cervelle dans le sens du sexuellement faux. Certaines se croient autonomes, insoumises, libres parce qu'elles gagnent leur vie seules, vivent en solitaire, ont remplacé la présence souveraine et magistrale de l'homme par un vulgaire salaire. Voire son phallus par une prothèse en plastique qu'ont réussi à leur vendre des professionnels du marketing exploitant le filon de la "femme libre". Bref, loin de l'autorité de leurs seigneurs et maîtres, les "femmes libres" mènent des existences vides qu'elles meublent avec de la vanité.

Elles ont beau arborer des apparences de liberté triomphante, dans le secret de leur âme elles restent des femmes, fondamentalement. Même si elles l'ignorent, s'en défendent, se rebellent. Le mensonge social ne résiste pas devant la force, l'éclat, l'évidence de la Nature qui dicte à la femme ses lois justes, belles, vraies.

Il suffit juste que la femme cesse d'alimenter son sot orgueil, renonce à adopter les modèles artificiels de cette société pour que la nature sur elle reprenne ses droits et que tout aille pour le mieux dans le plus ordonné des mondes.

VOIR LA VIDEO :

https://rutube.ru/video/9dc74d5c5abdb104c4999093ae3b8771/

http://www.dailymotion.com/video/x39sr7g_la-soumission-naturelle-de-la-femme-raphael-zacharie-de-izarra_school

29 commentaires:

Anonyme a dit…

"Une femme de classe sait se taire, se placer dans l'ombre pour laisser la lumière éclairer son maître."

Monsieur l'auteur , je vous rejoins intégralement dans cette idée. Il est préférable à la femme de se taire, car si malencontreusement elle prenait la parole, c'est sur elle que la lumière divine rejaillirai. N'a-t-elle pas été élue pour recevoir le pouvoir suprême ? Celui qui est supérieur à la prétentieuse parole. Mais si ! Réfléchissez...
Elle ne se sait pas le droit d'inverser l'ordre du monde. Sans Elle, plus de petits d'hommes ! Ainsi sage, elle préfère laisser croire à l'homme, au regard de sa société machiste, qu'il est le maître. Ce serait mesquin de lui retirer son rêve. Il n'a que ça comme jouet ce cher bambin !
Mais lorsque cette femme ordonne à l'homme, dans leur intimité retrouvée: "ferme les volets" le maître redevient le gentil toutou soumis et obéissant de madame jusqu'au bout de la nuit.
Et lorsqu'elle lui dit: "fait le beau ! " le maître obéit...
Alors oui, la femme doit préférer la vérité lumineuse de l'ombre à l ensolleillée vanité vaine de l'homme.
Nous constatons donc, que l'égalité entre les hommes et les femmes est un leurre. La femme est utile ! Dois-je dire : Supérieure de par sa différence fondamentale...

Au plaisir,

Amazone

Raphaël Zacharie de IZARRA a dit…

Bonjour Amazone,

Je n'ai jamais parlé de SUPERIORITE ou d'INFERIORITE dans mon texte, si vous lisez bien. J'ai parlé de soumission naturelle de la femme à l'homme. Une affaire de gêne donc, et non de culture. De plus ce que vous dites sur mon propos peut tout aussi bien s'appliquer à votre thèse. C'est l'éternelle histoire de la bouteille à moitié vide.

La tentative de prise de pouvoir par la gent femelle est bien réelle, contre nature et par conséquent odieuse. Les femmes dignes de ce nom aiment se soumettre à l'homme. Les rebelles sont des hérétiques, des dégénérées de la cause nuptiale.

Est-ce respecter la femme que de l'envoyer à l'usine, au bureau, régler la circulation et de lui faire croire que son bonheur sera à la hauteur de son salaire ? La soumission de la femme à la l'homme consiste à lui épargner la déchéance du salaire et non de singer sa condition. Les infirmières, les institutrices sont utiles. Ce sont des métiers spécifiques de femme comme le métier de bûcheron est un métier masculin.

L'intérêt de la femme est de ne pas être obligée de travailler pour gagner sa vie. Le vrai esclavage, c'est le travail obligatoire pour la femme. La nature a donné la beauté à la femme, ce n'est pas pour aller la dégrader à l'usine ou aux champs ! Seules les laides devraient pouvoir se corrompre à l'usine, ces êtres n'ayant point hérité de la beauté n'ont rien à perdre.

Je suis un phallocrate convaincu, autrement dit un authentique progressiste, un esthète soucieux de la préservation de la beauté des femmes et non de leur indépendance dans l'abrutissement.

Pour conclure j'ajoute que la plupart des caissières et des charcutières sont infâmes, vulgaires, déchues de leur féminité à force d'avoir trop fréquenté les gros moustachus de leur entourage.

Raphaël Zacharie de Izarra

Anonyme a dit…

La soumission (disposée à l'obéissance) serait donc selon vous, une affaire de gêne et non de culture. Intéressant mais
stupide !
Les nouveaux-nés, un garçon et une fille naissent nus et égaux. Éduquez la fille qu'avec des notions de machisme et vous verrez bien à l'âge adulte, si la soumission est toujours dans ses gênes.
Cela dit, je reconnais que la prise de pouvoir par la gent féminine est bien réelle mais pas plus que vous , je la trouve souhaitable. La nature, en offrant à la femme le pouvoir d' enfanter, l'a promue à la plus illustre fonction. Il est donc logique que le mâle s'oblige au labeur pour nourrir la femelle et sa progéniture. Dame nature a su distribuer les rôles équitablement. La femme n'a pas à être soumise à l'homme, pas plus que l'homme à la femme. Ils ont besoin l'un de l'autre d'où leur complémentarité.
Le machisme n'existe que dans les livres et se perpétue à cause de la faiblesse intellectuelle des hommes. Ils en ont tant abusé, que la femme actuelle désireuse de ce mirage est en train de les dépasser.

Comment dit-on "machiste" au féminin ? Femme , tout simplement...

Amazone

Raphaël Zacharie de IZARRA a dit…

Amazone,

Vous êtes soumise à la dictature de l'égalité contre nature, soumise aux lois du marché dictées par les hommes, soumise à la pensée "étatique" et dégénérée consistant à croire que votre bonheur est de singer les mâles sans en avoir les attributs.

La liste de vos soumissions peut être encore longue... Je vous l'épargne, ces simples évocations devraient suffire à vous convaincre que la société a fait de vous un pantin femelle, un rouage de son économie hystérique, de son système à vue faussée.

C'est comme si je prétendais vouloir être à la hauteur des femmes dans leur bornes, leurs spécificités, leurs féminité... Je ne suis pas une femme et les femmes ne sont pas des hommes. La place de la femme est dans l'ombre de l'homme. Ce n'est pas criminel d'affirmer cette vérité. Quel homme serait assez sot ou dénaturé pour revendiquer le droit d'être traité comme une femme ?

Raphaël Zacharie de Izarra

Anonyme a dit…

L'égalité que je revendique n'a rien de contre nature. Nous sommes hommes et femmes nés égaux. La loi des hommes, par crainte (fondée...) a dévié le processus originel. En donnant à la femme le qualificatif de faible et à l'homme le qualificatif
de fort, ils n'ont rien fait d'autre que de ralentir le mouvement. Mais ces deux qualificatifs ne concernent que l'aspect physique de ces êtres.
Car la nature est là qui veille et se réveille de sa léthargie millénaire. Gare aux prochaines années. La femme veut retrouver sa position. L'homme, est en train de se ratatiner pendant que la femme se régénère.
Le moindre labeur l'exténue, il ne pense qu'à penser . L'homme est devenu raleur comme la femme. Il se plaint de tout. Du temps, des patrons, des copains, des voisins, des femmes modernes...
L'homme actuel accomplit les tâches ménagères et se vante de cette "évolution" de sa condition.

"Quel homme serait assez sot ou dénaturé pour revendiquer le droit d'être traité comme une femme ? "
Mais la majorité d'aujourd'hui Monsieur ! Sortez de chez vous et espionnez !

Amazone

Anonyme a dit…

J'ai oublié

Les rayons de produits d'esthétiques sont devenus aussi nombreux pour homme que pour femme. Chacun à ce jour à sa petite crème pour le visage ou pour le corps L'homme , dans le soin du corps cherche à égaler la femme. Il veut devenir aussi soigné et beau qu'elle. Il est mal barré ! L'homme se médicamentalise pour un petit bobo aussi souvent que la femme.
Et vous appelez ça des mâles !!! ils ne vont obtenir que ce qu'ils méritent.

Amazone

Anonyme a dit…

Remarquez qu'en matière d'évolution, les cultures archaïques et machistes qui prônent la soumission de la femme sont restées au stade moyenâgeux et sous-développé, voire dans la misère.

Dans la nature, comme tout le monde le sait, les parades nuptiales président à l'acte copulatoire. C'est de cette manière que s'effectue la sélection sexuelle génétique donc quelque part le progrès. baiser uniquement pour baiser n'intéresse pas le mâle sinon le viol serait une règle majeure, la vanité naturelle du mâle est beaucoup plus puissante que le jeu d’hormones qui l’animent, il ressent le besoin de prouver sa valeur pour le bien de l’espèce en se lançant dans la compétion.

Impossible pour une femelle de faire son travail de sélection que lui a dicté la nature, si elle n’était pas libre, sous peine de voir l’espèce dégénérer et le mâle dormir sur ses lauriers.

S'il y avait bien une loi naturelle (sous-entendu divine) à respecter, c'était bien celle-là, par conséquent la LIBERTE de la femme. Erronées, dégénérées et hérétiques, les sociétés patriarcales ont entravé cette sélection en la rabaissant socialement c'est à dire en lui retirant le droit à la parole, à la liberté et au choix, bref en la cantonnant dans le rôle de « sois belle et tais-toi, et pond pour la collectivité une dizaine de marmots » pour prouver la virilité de n’importe quel péquenaud. Bref, nulle doute que ce genre de société est vouée à la déliquescence.

Pour ce qui est de l’esclavage de la femme par le travail, les capitalistes ont aussi ignoré cette loi et ont préféré exploiter son image bien sûr largement plus attrayante et esthétique que celle de l’homme, dans le but de vendre un pot de yaourt ou une bagnole ou en la faisant bosser à l’usine, donc la sacrifier sur l’autel du profit.

Alors moi je dis : vive la femme libre! mais je pense qu’il est trop tard, les dégâts ont l’air irrémédiables.

Ce qui est certain, l’homme usurpateur de pouvoir n’a rien compris, on peut résumer sa situation ainsi : échec et mat. Il a foutu le plan divin en l’air (pour les croyants).

Anonyme a dit…

"Alors moi je dis : vive la femme libre! mais je pense qu'il est trop tard, les dégâts ont l'air irrémédiables.
C'est dramatique, mais c'est une évidence !
La faute à qui ? A la femme actuelle qui confond ambition et arrivisme. A l'homme qui se trouve dépasser par les évènements. ( Un peu comme la loi qui se trouve dépasser par Internet.)

La femme dite libérée pullule. Sous couvert de cette appellation qu'elle trouve flatteuse elle s'est rajoutée des contraintes au fil du temps. Quel paradoxe ! La femme libérée multiplie ses chaînes aux pieds. Mais ce n'est pas le seul de paradoxe. Socialement et difficilement la femme se hisse et sexuellement , mais aisément, elle s'enlise. Entendre pas là la pratique de soumission devenue courante de la sodomisation. Hé ! oui c'est ça l'évolution. La fellation aussi a eut son heure de gloire en son temps. Mais aujourd'hui, elle est devenue d'un banal !

Une journée fait toujours 24 heures. Ces dites super-women trouvent le temps de remplir une activité professionnelle, d'entretenir (à temps perdu) leur maison, d'éduquer ( à temps trouvé) leurs enfants, de baiser (entre la cuisine et le salon ) leur mari. A cela, il faut ajouter, les loisirs de madame qui eux aussi se sont multipliés: Lèche-vitrines, lèche-musées, sport de remise en forme, théâtre, cinéma etc.
Mais Madame dans tout son bastringue trouve qu'on lui en demande trop... Qu'elle est sous-payée dans son activité professionnelle, que son mari ne la comprends pas et pense qu'à ça lorsqu'elle rentre épuisée le soir, que ses enfants lui volent sa jeunesse, qu'elle a toujours trop à faire dans sa maison entre la lessive et la cuisine. Que c'est pas à elle de sortir les poubelles...

Mais heureusement pour tout ce petit monde, Madame a gardé un atout dans sa manche: l'amant est là qui sait résoudre toutes ses questions existentielles. Celles du haut et celles du bas: C'est communicant ce bazar !

Je déplore que les combats de féministes (Simone de Beauvoir, Simone Veil etc.) n'aient pas été compris par les femmes.
A croire qu'elles se sont battues toute leur vie pour rien !


Amazone

Anonyme a dit…

Cher aristocrate décadent,

Je m'interroge sur le but des articles que vous écrivez; sont-ils le fruit de convictions profondes ou du désir de provoquer?

Une chose est certaine, ils sont d'un goût exquis pour celui qui sait apprécier l'absurdité de l'humanité, tous sexes confondus. N'étant ni misandre ni vulvocrate, je juge nécessaire de ne pas m'abaisser au niveau de clivages simplistes et de rapports de force désuets.
Votre prose est en tout cas délectable tant vous semblez sortir d'un roman de J.K Toole!
Prenez soin de vous cher Ignatus et tâchez d'établir quelques connections neuronales de plus afin d'atteindre cette noblesse que vous revendiquez tant. Vous, qui attribuez si humblement à de sombres inepties le statut de vérités et d'éclats de l'esprit.
Pour finir,Nietzsches a dit que la conviction est l'ennemi de la vérité; tentez de prendre exemple sur cet illustre misogyne ou tâchez au moins de vous faire contaminer dans les plus brefs délais par le treponem pal. Qui sait si ça ne remettrait pas vos idées en place de sombrer dans une folie vénérienne.

Cordialement Shambles.

Raphaël Zacharie de IZARRA a dit…

Bonjour Shambles,

Pour vous répondre avec brièveté et éclat, je dirais que JE SUIS UN VIVANT ROMAN.


Ceci devrait satisfaire toutes vos interrogations à mon sujet.

Raphaël Zacharie de Izarra

romanzini a dit…

Où se cachent les mâles superbes dominant nos femelles passions ?
les champs de l'Olympe sont loin
devrons-nous attendre leurs mains orphiques du fond de nos enfers ?
las

Anonyme a dit…

Monsieur, je m'en fous de cet article en particulier. Je te trouves lâche et un peu ridicule, comme tous les dandys qui sont nés après les années 30. C'est tellement facile de calquer son état d'esprit sur trois quatre auteurs, comme ça... Sauf que t'as pas fait la guerre, qu'on te butteras pas à la libération et que tu passeras toute ta vie à faire croire aux autres que tu te sens supérieur. Si tu l'étais vraiment tu vivrais ce que tu écris, d'ailleurs. Mais même si tu l'es pas, c'est pas encore trop tard pour le faire et t'amuser, au lieu de travailler ton image.

(je repasserais pas après ce commentaire, c'est juste l'avis d'un bouseux, inutile d'y répondre)

BEBOPER a dit…

Tout vient d'une erreur: "contre nature et par conséquent odieuse". Ce sont très propres mots. Ils ne sont ni "indéfendables", ni "infâmes", ni "monstrueux", ni "rappelant les heures les plus noires de l'Histoire": ils sont simplement faux.
Contre-nature: tout! La sécurité sociale, c'est contre nature. L'appartement chauffé, c'est contre-nature! Un David de 4 mètres en marbre blanc, c'est contre-nature! Un enfant qui naît sans avoir 50% de risques de mourir, c'est contre-nature! Le Taj Mahal, c'est contre-nature, bon dieu!
Un raisonnement, une affirmation, un murmure qui prend la nature pour modèle et, surtout, qui condamne la culture quand elle contre la nature (du verbe contrer) ne peut être que faux. Partant de là, on explique facilement pourquoi ton article est rempli de sottises.

Le Gall : Décrypter Le Système Pyramidall a dit…

vous êtes d'une naîveté, les femmes sont bien plus fortesd que les hommes ! Soumission ? Ce sont les hommes qui leur sont soumis !

Anonyme a dit…

Je suis tombée sur cette page en recherchant des réflexions sur la soumission des femmes dans le monde. Je m'étonne que dans beaucoup de culture la femme est soumise à l'homme, parfois elle en est heureuse par méconnaissance peut être de notre société, mais qui peut dire si notre société est meilleure que celle d'une petite tribu africaine, les femmes rient, font des enfants, cuisinent pour leur maris construisent les huttes et ne s'en plaignent pas.
Je défends l'idée d'égalité, mais je me pose des questions, avant les hommes utilisaient leur force physique pour protéger et nourrir leur foyer, la femme s'occupait des tâches domestique. De nos jours nos hommes ne partent plus à la chasse et la beaucoup ne savent plus planter un clou, la femme par contre a su garder son savoir, s'occuper des enfants, faire à manger, tenir une maison sont restés même en occupant un poste à responsabilité ses tâches courantes, pourquoi ??
Je vis en ce moment un amour dans une relation Dominant/Dominée, par choix bien sur, et sans vie commune. J'aime comme le dit Raphaël faire tout mon Maitre, dans tous les domaines, mais lui de son côté me respecte, m'aime, n'oublie jamais ma jouissance, prends soin de moi comme je prends soin de lui, mais nous avons des règles, il dit j'obéis, et j'aime ne pas avoir à décider, j'aime perdre ce contrôle, j'aime lever les yeux vers lui en l'admirant, je sens sa force, je me sens protégé. Je ne sais pas ce qu'il pourrait advenir de cet amour dans une vie traditionnelle, ce que je sais c'est que pour la première fois dans une relation, tout me parait glisser, les rôles sont établis avec le consentement de chacun. Du coup j'ai finis par me poser cette question, et si la femme finalement n'était pas faite pour être soumise à l'homme, dans des règles établies et modernes, avec amour, complicité et respect.
bull

Raphaël Zacharie de IZARRA a dit…

Anonyme,

Vous êtes l'exemple éclatant de la validité de la pensée izarrienne !

La preuve par la soumission féminine consentie...

Raphaël Zacharie de IZARRA

Anonyme a dit…

Imbéciles !

Morgane a dit…

La femme, à mi chemin entre l'homme et la casserole ? Quelle classe.

La femme a effectivement pour rôle de s'occuper de l'homme et de le glorifier, ce qui ne fait en aucun cas d'elle un être inférieur, d'ailleurs le mâle n'irez pas loin sans elle.

La femme sait par nature rester dans l'ombre, car elle sait faire preuve d'humilité. L'homme a besoin de reconnaissance. Ceux qui, comme vous, tende à rabaisser la femme en tirant sur la corde raide de cette particularité naturelle ne font que basculer d'avantages de " féministes " dans leurs hystéries, leurs complexes, leurs désirs de célibat.

Lorsque les hommes tels que vous auront compris cela, les femmes répondront à leur fonction.Non par soumission, mais par dévotion.

Raphaël Zacharie de IZARRA a dit…

Morgane,

Je n'ai jamais dit que la femme était un être inférieur à l'homme.

Elle est juste différente.

Raphaël Zacharie de IZARRA

Anonyme a dit…

Vous le dites lorsque vous employez le mot " maître " et dans le propos que j'ai relevé dans le commentaire précédent.

Anonyme a dit…

Raphaël, c'est votre prétention même qui fais de vous quelqu'un "d'intellectuellement inférieur". La sagesse n'est sans doute pas l'une de vos valeurs. C'est vous qui êtes stupide. Vous avez besoin de vous sentir supérieur, c'est dans votre propre interet que vous écrivez tous cela vous ne supportez pas l'idée que l'homme et la femmes soient égaux ça vous rend malade. Sachez simplement que vos pensées datent des temps anciens il est temps d'accueillir modernité et renouveau, évolution des sexes. La 'lumière divine" ne doit jaillir que sur celui qui l'a mérite avec de tels propos beaucoup voudraient que ce soit un tas de merde qui vous jaillissent sur le corps et dans votre bouche pour que l'ont n'entende plus votre discours de pauvre fou qui se crois un éclairé. non , vous n'avez certainement pas la science infuse vous n'ête pas dieu notre créateur, le bon fonctionnement du monde seul dieu le connaît, vous n'ête qu'un homme parmis tant d'autre alors cessez de vous prendre pour un saint qui prêche la "bonne" parole... Ne vous en faites pas les hommes ne sont pas malheureux comme cela , je suis avec quelqu'un depuis 5 ans nous deux sommes complémentaires, on s'entraide, un équilibre s'est crée et ni lui ni moi sommes soumis à l'autre. Ce n'est d'ailleurs pas aimer que de soumettre.Il n'est pas supérieur à moi et moi non plus. Il me protège m'apporte de l'amour m'aide à la maison comme il le peut et je fais de même.

Votre vision des choses n'est plus compatible avec notre société. Chacun apporte à l'autre mutuellement et nous sommes tous sur le même pied d'égalité.

Anonyme a dit…

Il me semble assez logique de dire que la femme par nature est soumise à l'homme. Il en va ainsi depuis la nuit des temps. C'est inscrit dans les gênes comme tant d'autres chose que l'évolution a patiemment gravé dans les génomes des êtres vivants. Soumise ne veut pas dire inégale. Les femmes et les hommes sont différents. Un homme n'est pas concu pour porter un enfant, un homme n'aura jamais l'instinct maternel que l'évolution a gravé dans le cerveau des femmes. C'est un peu à l'image de toutes les maldies métaboliques et les cancers qui n'existaient pas il y a quelques siècles et que le progrès a crée. L'homme n'est pas fait pour se gaver de sucreries et d' hamburgers et rester assis toute la journée devant la TV. Un homme n'est pas une femme et une femme n'est pas un homme. Il y a plus de différences entre un homme et une femme qu'entre un homme et un primate non humain male ou une femme et une primate femelle. C'est ainsi. Nous ne pouvons pas changer en quelques décennies le résultat génétique de millions d'années d'avolution. A force de vouloir rendre identiques les hommes et les femmes, nous générons des maladies dont l'impact est immense
.

Raphaël Zacharie de IZARRA a dit…

Anonyme,

En effet, et ces évidences que vous rappelez avec plein de bon sens sont pourtant difficiles à faire entendre à une certaine catégorie d'esprits conditionnés par les lobbys féministes !

Raphaël Zacharie de IZARRA

Anonyme a dit…

Rassurez-moi, tout ceci est une blague ? Vos arguments qui ne s'appuient que sur du vent me rendent plus que perplexe : êtes-vous donc frustré à ce point pour en arriver à écrire une telle chose ? Ce petit côté "nostalgique" d'un patriarcat archaïque me fait penser à la moule qui n'arrive pas à se détacher de son rocher, à la chenille qui n'ose sortir de son cocon : à quel point avez vous peur des femmes pour ainsi souhaiter les voir "dans l'ombre de l'homme" ? Cela vous rassure de vous appuyer sur cette prétendue "domination naturelle" de l'homme qui ne sort de nul part. En effet, où cela est-il inscrit ? Pas dans mon esprit en tout cas, ni dans celui de plus en plus de monde, fort heureusement. Et un jour, à l'instar d'autres organisations sociétales avant nous, le patriarcat sera voué à disparaître. Car ceux qui sont las des inégalités sont de plus en plus nombreux.

Raphaël Zacharie de IZARRA a dit…

Anonyme,

Ce texte n'est nullement une plaisanterie. Je m'appuie sur mes simples instincts de mâle intègre, confortés par ceux de la femme non encore dénaturée par les sirènes du féminisme, voilà tout.

La femme non contaminée par l'hérésie féminisme aime la mâle domination, et ce dans tous les domaines.

Raphaël Zacharie de IZARRA

Anonyme a dit…

Effectivement la femme doit éternel soumission, obéissance, compassion et même sacrifice à l'homme ce serai vanité de le nier . 👠👢👡

Clément de Nazareth

Anonyme a dit…

bravo je suis une femme et aimerait être soumise ! Monsieur je voudrais vous connaître car un homme viril doit être dominant et tout se passe mieux ainsi ,on ne se pose pas de question on obéit et ainsi tout est calme et serein !la vie ne connait pas de discorde et se déroule comme un chemin tout tracé harmonie et relations sans conflit quoi de mieux

Unknown a dit…

c'est bien à causse de vos termes stupides de SOUMISSION que notre mésentente restera à jamais. "Monsieur le mâle qui soumet", faites évoluer et votre esprit et votre vocabulaire. et surtout ouvrez grands vos yeux et vos oreilles L'homme et la femmes sont condamnés à mourir ensemble par leur bêtise issue du langage. cet outil nous a séparé à jamais.

Anonyme a dit…

Je vous prie retirer cette illustration obscène de cette page. Pourquoi tant de vulgarité ?

Liste des textes

2148 - Je suis de la droite honteuse
2147 - Les écrivains sont des poids morts
2146 - L’héritage de Clinchamp
2145 - Clinchamp, une histoire sans fin
2144 - Vent de mystère à Clinchamp
2143 - Ma cachette à Clinchamp
2142 - Randonnée à Clinchamp
2141 - Eclipse de Lune à Clinchamp
2140 - Un arc-en-Ciel à Clinchamp
2139 - Clinchamp sous l’orage
2138 - J’ai rêvé de Clinchamp
2137 - Jour de l’An à Clinchamp
2136 - Vacances d’été à Clinchamp
2135 - Attente à Clinchamp
2134 - Un jour ordinaire à Clinchamp
2133 - Or de France
2132 - La compagne des esseulés
2131 - Loup de lumière
2130 - Spleen
2129 - Le pitre
2128 - Les corbeaux de Clinchamp
2127 - Un homme heureux à Clinchamp
2126 - Le mouton
2125 - Des lutins à Clinchamp ?
2124 - Je suis fort !
2123 - Paroles prophétiques
2122 - L’égalité entre les hommes est injuste !
2121 - L’idéaliste de gauche
2120 - La femme est la monture de l’homme
2119 - Clinchamp sous la neige
2118 - Le Nord et le Sud
2117 - Pourquoi j’aime Clinchamp ?
2116 - Convaincre Blandine
2115 - Un couple de vieillards à Clinchamp
2114 - Le facteur de Clinchamp
2113 - Tristesse et beauté à Clinchamp
2112 - L’Art
2111 - Botte à l’oeuf
2110 - Les bûcherons de Clinchamp
2109 - Le coucou de Clinchamp
2108 - BFMTV : l’écran de la vérité
2107 - Lettre anonyme
2106 - Je ne suis pas amoureux de Paris !
2105 - Un jour d’hiver à Warloy-Baillon
2104 - La femme soumise brille comme une casserole
2103 - Les chouettes de Clinchamp
2102 - Quand la tempête s’abat sur Clinchamp...
2101 - L’aile et la pierre
2100 - Mes amis les maudits
2099 - Le brouillard de Clinchamp
2098 - Artiste de gauche
2097 - L’éternité dans la tête
2096 - Toussaint à Clinchamp
2095 - Chagrin échappé
2094 - Clinchamp-sur-Mystère
2093 - Les cafards
2092 - Loup des airs
2091 - Le loup de Clinchamp
2090 - En latin, c’est plus beau !
2089 - Les patates de Clinchamp
2088 - L’enfant des airs
2087 - Ciel de France
2086 - Thaïs d’Escufon
2085 - Les tomates de Clinchamp
2084 - Jérôme Bourbon
2083 - Les chats de Clinchamp
2082 - Poupée d’ailleurs
2081 - Pierre de feu
2080 - Les champs de Clinchamp
2079 - L’éclosion
2078 - Vacuité des bouquinistes
2077 - Les toits
2076 - Freud
2075 - Sport
2074 - Le simplet de Clinchamp
2073 - Les oiseaux de Clinchamp
2072 - Je ne suis pas cartésien
2071 - Au cimetière de Clinchamp
2070 - Le Panthéon pour Hugo, l’évasion pour Izarra
2069 - Les rats de la France
2068 - Le curé de Clinchamp
2067 - Mon trou à Clinchamp
2066 - Saint-Léonard-des-Bois
2065 - Les cloches de Clinchamp
2064 - Un épouvantail à Clinchamp
2063 - Les rêves de Clinchamp
2062 - Je suis raciste
2061 - L’injustice sociale ne me choque pas
2060 - Les femmes de Clinchamp
2059 - Les jours vides de Clinchamp
2058 - Une grand-mère
2057 - Clinchamp vers 1970
2056 - La femme de soixante ans
2055 - Sale temps à Clinchamp
2054 - Un grand voyage en forêt
2053 - L’ailé et l’aliéné
2052 - Souvenirs lointains
2051 - Domestication d’une greluche
2050 - Déprime à Clinchamp
2049 - L’amour à Clinchamp
2048 - Les Droits de l'Homme, c'est la négation de l'homme !
2047 - Les hivers de Clinchamp
2046 - Les chemins de Clinchamp
2045 - Seul au monde
2044 - Ne me parlez pas d’amour
2043 - Tristesse de l’été
2042 - Jour de fête à Clinchamp
2041 - Monsieur Lecon
2040 - Châtelain
2039 - Les ailes de Clinchamp
2038 - Tremblement de terre
2037 - Nuit d’amour
2036 - Pluie de joie à Clinchamp
2035 - Les gauchistes
2034 - Clinchamp sous les clartés lunaires
2033 - Henri d’Anselme, héros hétéro rétro
2032 - Les hirondelles
2031 - Retraite dans la forêt
2030 - Mon bosquet
2029 - L’or de Clinchamp
2028 - Sur le chemin
2027 - La souche
2026 - Clinchamp, ce voyage sans fin
2025 - Sardines à l’huile
2024 - Les fantômes
2023 - Le silence de la forêt
2022 - Les arbres
2021 - Les joies de Clinchamp
2020 - La merde républicaine
2019 - Les ailés
2018 - Les soirées de Clinchamp
2017 - Parasite
2016 - Clinchamp, les routes de l’ennui
2015 - Moi français, je déteste les migrants !
2014 - Répugnante
2013 - Les complotistes
2012 - Je déteste les livres de philosophie !
2011 - Le bossu de Clinchamp
2010 - La lumière de Clinchamp
2009 - Les crépuscules de Clinchamp
2008 - Les nuits à Clinchamp
2007 - Les aubes de Clinchamp
2006 - Je suis un oiseau à Clinchamp
2005 - Les rats de Clinchamp
2004 - Les papillons de Clinchamp
2003 - Les richesses de la normalité
2002 - Le Rimbaud des bobos
2001 - Les vaches de Clinchamp
2000 - La folle de Clinchamp
1999 - Mon ego solaire
1998 - Vague Lune
1997 - Ma cabane à Clinchamp
1996 - Moi, IZARRA
1995 - Mais qui donc est Dardinel ?
1994 - La Dame Blanche de Clinchamp
1993 - Le Dalaï-Lama
1992 - Pluie à Clinchamp
1991 - Je suis sexiste
1990 - Les flammes du printemps
1989 - Le rustaud de Clinchamp
1988 - Les larmes d’Amsterdam
1987 - Clinchamp, terre d’envol
1986 - La Joconde de Clinchamp
1985 - Face cachée de Clinchamp
1984 - La clocharde de Clinchamp
1983 - Je suis un extraterrestre
1982 - Clinchamp sous les éclats de novembre
1981 - Clinchamp au bord des larmes
1980 - Les fantômes de Clinchamp
1979 - Les pissenlits de Clinchamp
1978 - Clinchamp : fin et commencement de tout
1977 - Amsterdam
1976 - J’habite sur la Lune
1975 - Secret de Lune
1974 - Les ailes de la Lune
1973 - Voir Clinchamp et sourire
1972 - La pierre et l’éther
1971 - Clinchamp, au bonheur des larmes
1970 - Clinchamp, mon dernier refuge
1969 - Croissant de Lune
1968 - Mais d’où vient donc la Lune ?
1967 - Lune lointaine
1966 - Lune éternelle
1965 - Sandrine, notre voisine
1964 - Rêve de Lune
1963 - Lune des rêves
1962 - La Lune dans le bleu
1961 - Lune ultime
1960 - Les tourmentés
1959 - Clinchamp, paradis des ombres
1958 - Lune absente
1957 - Je raffole des commérages !
1956 - Clinchamp : royaume des humbles
1955 - La Dame dans le ciel
1954 - Palmade : de la gloire au gouffre
1953 - Evasion
1952 - Tatouages, ces marques de faiblesse
1951 - L’égalité est un enfer !
1950 - Repas sur l’herbe à Clinchamp
1949 - Escale à Clinchamp
1948 - Beauté morbide de la Lune
1947 - J’ai dormi dehors à Clinchamp
1946 - Les humanitaires sont des parasites !
1945 - Sur les routes de Clinchamp
1944 - Une année à Clinchamp
1943 - Tristesse du printemps
1942 - Bulle de Terre
1941 - Jour de joie à Clinchamp
1940 - L’inconnu de Clinchamp
1939 - Le ciel de Clinchamp
1938 - Les éclats de Clinchamp
1937 - Le voyageur
1936 - Fête triste
1935 - Les antiracistes
1934 - Jean Messiha
1933 - Coeur gelé
1932 - Romantisme de pierre
1931 - La femme est sous mes pieds
1930 - Burcu Güneş, un air léger
1929 - Je déteste les pauvres !
1928 - Quand mon coeur s’allume
1927 - Intègre, entier, râpeux
1926 - Le cheval
1925 - Homme mauvais
1924 - Un trou sous le ciel
1923 - Hauteur de la Lune
1922 - Nulle part, là-bas, ailleurs
1921 - Belle Lune
1920 - Salades lunaires
1919 - Lettre à Reynouard
1918 - MARGUERITE OU L’HISTOIRE D’UNE VIEILLE FILLE
1917 - Récoltes lunaires
1916 - Je suis français de souche
1915 - Lune mortuaire
1914 - Clinchamp, cité des oubliés
1913 - Clinchamp, l’air de rien
1912 - Clinchamp, sommet du monde
1911 - La pollution, c’est la vie !
1910 - Seule au monde ?
1909 - Le Ciel et la Terre
1908 - Lune de haut vol
1907 - La Lune s’allume
1906 - Nuit sombre
1905 - Soupe de Lune
1904 - Puretés raciales
1903 - Lune-pizza
1902 - La grande question
1901 - Amiens
1900 - Pleur de Lune
1899 - Rêve d’amour
1898 - Vive le patriarcat !
1897 - La libellule
1896 - L’eau qui m’éclaire
1895 - Une question de clarté
1894 - La Lune dort
1893 - Les artifices du spirituel
1892 - Lune normale
1891 - Ni chauffage ni travail
1890 - Lune de fer
1889 - Molle Lune
1888 - Insensible aux malheurs des autres
1887 - Mon visage de vérité
1886 - Amante russe
1885 - J’écris
1884 - Lune martiale
1883 - Je suis un incapable
1882 - Lune creuse
1881 - 1975
1880 - L’éclat d’un fard
1879 - Amour impossible
1878 - Femme au foyer
1877 - L’esprit de la Lune
1876 - Ingérence féministe
1875 - Cratères lunaires
1874 - Lune d’effroi
1873 - Lune des chats
1872 - Les athées
1871 - Lune d’or
1870 - Lune carrée
1869 - Lune de miel
1868 - Folle lune
1867 - Jour de joie
1866 - SMARPHONES : abrutissement des masses
1865 - Sombre lune
1864 - Les mouches
1863 - Ma vie simple
1862 - Clinchamp, terre lointaine
1861 - Je suis un conservateur
1860 - Lune de glace
1859 - Le lac
1858 - Qu’est-ce que la beauté ?
1857 - Lune blanche
1856 - Lune de mer
1855 - Lune de feu
1854 - Présence immortelle
1853 - Surprenante Lune !
1852 - L’éclat de la Lune
1851 - Epis lunaires
1850 - L’autre Lune
1849 - L’amie des cheminées
1848 - Lune morte
1847 - Lune Parmentier
1846 - Lune fatale
1845 - Amour céleste
1844 - Grâces et disgrâces
1843 - Ma maison, c'est la Lune
1842 - Poids de la Lune
1841 - La morte visiteuse
1840 - Ma cabane sous la Lune
1839 - Bleu ciel
1838 - Histoire de lune
1837 - Suc de Turque
1836 - Stéphane Blet
1835 - Ciel bleu
1834 - Bonheur de rat
1833 - Redneck
1832 - Sur le rivage
1831 - Attraction lunaire
1830 - Je suis anti-féministe radical
1829 - Mais qui est-il ?
1828 - Je veux des frontières !
1827 - Les francs-maçons
1826 - Folies lunaires
1825 - Alunir, en un mot
1824 - “Comme ils disent”, chanson d’Aznavour
1823 - Lune tiède
1822 - Globe de rêve
1821 - Effroi
1820 - Vangelis
1819 - L’air de la Lune
1818 - La campagne
1817 - Lune tombale
1816 - Les cailloux
1815 - Je déteste Paris !
1814 - Boules de neige
1813 - Je n’ai pas peur
1812 - Parler vrai
1811 - Les hommes simples
1810 - Quand la Lune panse
1809 - Régine : extinction d’un feu
1808 - Morte veilleuse
1807 - Coeur de pierre
1806 - Noir
1805 - Mystère de la Lune
1804 - Jackson Pollock
1803 - En pleine lumière
1802 - Harmonie des sexes
1801 - Dix ans dans l’azur
1800 - Pluie d’avril
1799 - Le gueux
1798 - Les pommes de pin
1797 - Voyage vers la Lune
1796 - Mystère d’une nuit
1795 - Une lumière turque
1794 - Sans coeur et avec écorce
1793 - Envolé !
1792 - Galante ou l’abcès crevé
1791 - La lumière du Bosphore
1790 - Claude Monet
1789 - Rat aristocrate
1788 - Ukraine : sortez de vos ornières mentales !
1787 - Tranche de ciel et plumes de la Terre
1786 - Les sots écolos
1785 - L’astre turc
1784 - L’Ukraine, je m’en fous totalement !
1783 - Vive la guerre !
1782 - Réponses à un coatch
1781 - Droite pure
1780 - Vains hypersensibles
1779 - Mes valeurs vives
1778 - Le secret
1777 - Force et lumière
1776 - De l’herbe à l’aiguillon
1775 - Jusqu’à la mort
1774 - Zemmour et les journalistes de gauche
1773 - Dur et juste
1772 - La flamme et le marbre
1771 - Mon chat est mort
1770 - Les frères Bogdanoff
1769 - J’ai rêvé de Natacha
1768 - Technologie
1767 - Vers la Lune
1766 - C’était la guerre
1765 - La “tondue de Chartres”
1764 - Dans le métro
1763 - Naissance d’un virus
1762 - Zemmour est-il un de Gaulle ?
1761 - Je suis grand
1760 - Jour de gloire
1758 - Une muse du Bosphore
1758 - Je suis un extrémiste
1757 - Les éoliennes
1756 - Femme terminale
1755 - Autoportrait
1754 - Je suis un sanglier
1753 - Faux fou
1752 - Les affaires
1751 - Octobre
1750 - Le fantôme
1749 - Les écrivains
1748 - Sauvez la France !
1747 - Mes sentiments de pierre
1746 - Une araignée raconte
1745 - Un coeur clair
1744 - Phallocrate
1743 - Les vaches
1742 - Les faibles sont mauvais
1741 - Les sans-visage
1740 - Le trouillard de gauche
1739 - Léonard de Vinci enfant
1738 - Mes froideurs sublimes
1737 - Le romantisme, c’est la décadence
1736 - La Joconde
1735 - La tour Eiffel
1734 - Le Soleil
1733 - Une boule de mystère
1732 - Les masqués
1731 - Burcu Günes, l’or turc
1730 - Léa Désandre
1729 - Le père Dédé
1728 - “Blanc lumière” de Pollock
1727 - Les kikis et les cocos
1726 - Les funérailles de Belmondo
1725 - Pôle Sud
1724 - Vierge au mariage
1723 - La forêt
1722 - Le réveil des clochers
1721 - En septembre
1720 - Extraterrestre
1719 - Ni cagoule ni sérum
1718 - L’astre des morts
1717 - L’idéaliste
1716 - Un ange noir pour les Blancs ?
1715 - Trois heures du matin
1714 - Dur et vivant
1713 - Homme des bois
1712 - De flamme et de sang
1711 - Mes bas potentiels
1710 - Je suis un anti-progressiste
1709 - Eléonore et les Noirs
1708 - Eléonore et les Juifs
1707 - Une française
1706 - Femme d’idées
1705 - Joie de vivre
1704 - Auteur de rêves
1703 - Raison féminine
1702 - Vieillard
1701 - Face de France
1700 - 1789
1699 - Adieu, France
1698 - Célibataire
1697 - L’envers vert
1696 - Avant la chute
1695 - L’aube d’Ève
1694 - Amour raté
1693 - À vue d’homme
1692 - Le loup et l’agnelle
1691 - Têtes à corps
1690 - Trêve de la nuit
1689 - L’été
1688 - L’hiver
1687 - Les âmes de la forêt
1686 - Enfin libre !
1685 - Je vis sans masque
1684 - Enfants du monde
1328 - Je suis apolitique
115 - Le cygne
114 - Le spleen de Warloy-Baillon
113 - Les visiteurs
112 - La Lune
111 - L’amant des laides
110 - Mémoires d’un libertin
109 - Une existence de pompiste
108 - Lettre à mes amis des listes sur Internet