Avec la non-évènementielle affaire Hollande-Gayet, c’est un effondrement généralisé de la pensée, de la presse, de la politique qui s’opère.
Le pouvoir depuis quelques lustres montrait des signes d’indéniable décadence, mais ici une étape décisive a été franchie. A travers cette descente fulgurante de la flamme élyséenne vers le néant médiatique, c’est tout le pays qui s’éteint peu à peu, les grands organes étatiques et civils sombrant dans l’insignifiance la plus complète.
Le système délesté de ses ors républicains originels tourne dans le vide à plein régime.
La vulgarité des paillettes a remplacé la solennité des statues de marbre : le carrosse de l’intelligentsia roule désormais pour Closer, bible en vogue où sont relatées les fumées du monde.
On y déballe de la boue, mais en gants blancs.
Les temps ont changé.
Aujourd’hui les grandes questions des grands journalistes aux grandes heures de la France portent sur les petits fours que le petit président aurait partagés dans l’alcôve avec quelque vague starlette du petit écran. Et l’intéressé, se sachant attendu sur ce principal sujet, fait maladroitement mine de le mettre de côté, invoquant la décence et rappelant les réelles préoccupations du peuple français...
On l’attaque sur son silence. S’il avait répondu, on lui aurait reproché la complaisance. Piégé d’un côté comme de l’autre. Des intellectuels se divisent sur ces sottises, des opportunistes y font leur beurre. Bref on est loin des problèmes essentiels qu’une prétendue grande nation comme la nôtre est en droit d’aborder.
Aujourd’hui les grandes questions des grands journalistes aux grandes heures de la France portent sur les petits fours que le petit président aurait partagés dans l’alcôve avec quelque vague starlette du petit écran. Et l’intéressé, se sachant attendu sur ce principal sujet, fait maladroitement mine de le mettre de côté, invoquant la décence et rappelant les réelles préoccupations du peuple français...
On l’attaque sur son silence. S’il avait répondu, on lui aurait reproché la complaisance. Piégé d’un côté comme de l’autre. Des intellectuels se divisent sur ces sottises, des opportunistes y font leur beurre. Bref on est loin des problèmes essentiels qu’une prétendue grande nation comme la nôtre est en droit d’aborder.
Ce n’est plus le tout-Paris qui s’émeut des amourettes du chef d’Etat mais la France profonde. Du moins, ce sont nos chaumières que les journalistes aimeraient bien contaminer avec leurs inepties. Officiellement toute la France est conquise. En réalité le peuple se contre-fiche des galipettes présidentielles extra-Trierweileriennes.
Reste à savoir qui est complice de qui dans ce cirque de clowns en cravates. Est-ce la presse qui tire les ficelles ? Est-ce le gouvernement qui manipule les médias ? Sont-ce les deux qui s’associent comme de subtils malfaiteurs afin d’attirer les attentions vers le bas, chacun y trouvant son compte respectif ?
Qu’importe. On est dans le vent, dans tous les sens du terme, à l’heure de Closer qui dorénavant fait seul la pluie et le beau temps sur le royaume en décrépitude.
VOIR LA VIDEO :
http://www.dailymotion.com/video/x20mscz_hollande-gayet-les-bas-fonds-de-la-france-raphael-zacharie-de-izarra_webcam
https://rutube.ru/video/dd7bc0848c4f65dd638573c6b21b84ef/
http://www.dailymotion.com/video/x20mscz_hollande-gayet-les-bas-fonds-de-la-france-raphael-zacharie-de-izarra_webcam
https://rutube.ru/video/dd7bc0848c4f65dd638573c6b21b84ef/
10 commentaires:
- C'est une conspiration des lobbys homosexuels intralunaires qui dirigent "closer" et veulent faire vaciller la société en inventant cette histoire de toute pièce.
D'ailleurs le président lui même est homosexuel. Julie gayet est homosexuelle qui a avorté 30 fois en 2 mois. Le scooter du président est de marque homosexuel et roule à l'essence arc-en-ciel homosexuel. Les croissants étaient fabriqués par un boulanger homosexuel avec de la farine d'un agriculteur lui-même homosexuel.
Bien joué Izaza! Heureusement que tu es là pour dénoncer les problèmes de la vie!
PS: attention, les consonnes et les voyelles ont été crées par des lobbys homosexuels - OH MON DIEU!!!!!!!
IL Y A GAY DANS "GAYET"!!!!!!!!
CONSPIRATIOOOOOOOOOOOOOOOOON!!!!!!! - article caca comme d'habitude
- Anonyme,
Votre argumentation est brillante, hautement pertinente.
Mon article est "caca" en effet, et quand vous avez dit cela vous avez tout dit.
Ce qui signe au passage la profondeur de votre analyse, la grandeur de votre intelligence, la justesse de votre vue.
Imaginez que l'on adopte enfin un tel niveau d'intelligence dans les débats à l'Elysée :
- Votre projet de loi est caca monsieur le ministre !
Serait-ce l'effet merveilleux des SMS sur les esprits modernes, cet éclat inégalé de votre argumentation ?
En tout cas bravo, je suis effectivement terrassé, confondu face à votre argument ! Je n'ai plus rien à dire d'ailleurs. Vous êtes trop fort, je m'incline.
Bref, vous avez gagné. Je me retire de ce débat, piteux, achevé par ce maître de la rhétorique que vous êtes.
Raphaël Zacharie de IZARRA - caca boudin
- Raphaël,
Votre réponse faite a l’Anonyme adorateur de l'argumentation brève mais brillante et pleine de grâce, est encore meilleure que l'article en soi.
Liliana - Cher Mr de Izarra,
l'Histoire démontre que les affaires privées de certains hommes d'état sont passées avant leurs responsabilités. La satisfaction sexuelle est considérée comme une prérogative dès lors que la fonction donne du pouvoir et j'ai malheureusement envie de dire 'c'est humain'! Il n'est pas nouveau, non plus l'étalage de ce type de faits dans la presse : affaires DSK, Monica Lewinsky, par exemple. J'ai envie de conclure en disant : 'rien de neuf sous le soleil'... Banalité, triste banalité d'un président 'normal' sur qui comptaient beaucoup de français... - Hého le monde n'a pas commencé avec toi izarracouille.
Depuis toujours nos présidents sont des baiseurs invétérés.
Miterrand, giscard, sarkosy, chirac, De Gaulle… Même felix faure qu'on a retrouvé mort avec sa bite dans la bouche de sa courtisane.
Et depuis toujours la presse, aussi intellectuelle soit-elle, a fait ses choux gras de leurs ébats.
Aussi grande que soit notre nation, nous sommes loin d'être les seuls à faire parler de nos histoires de culs dans les hautes sphères de la société.
On choisit de s'en foutre et d'en parler. En en parlant, tu voles aussi bas que Closer mon cher izarranus.
Alors pour paraphraser: "article caca comme d'habitude". - Je ne censure rien, je nettoie juste certaines pollutions.
J'appelle pollutions les pures imbécillités publiées ici par des esprits adolescents, la plupart du temps émis par des gens vulgaires, obscènes, sots, haineux et ignares ou des êtres simplement malveillants dénués de toute noblesse aimant répandre l'ordure sous anonymat.
J'accepte la critique, je l'accepte totalement, il est immature, puéril, profondément imbécile de croire que je ne souffre que les éloges... Sauf que je fais la distinction entre critique réelle et stérile pornographie verbale.
Je n'efface que les SPAMS ainsi que les injures répétitives qui n'apportent rien, strictement rien aux débats et ne font que discréditer des détracteurs sans la moindre argumentation.
Je laisse certaines injures si elles ne sont pas répétitives, bien que par nature elles soient absolument inutiles sur le plan de la dialectique.
Parfois l'outrage, lorsqu'il est plus structuré, plus précis qu'a l'accoutumé, même s'il demeure nul du point de vue de l'argumentation, est néanmoins révélateur de la psychologie profonde de son auteur, c'est pourquoi je tiens à faire apparaître cet aspect de la vérité, dans un but purement pédagogique.
Raphaël Zacharie de IZARRA
Hého le monde n'a pas commencé avec toi izarracouille.
Depuis toujours nos présidents sont des baiseurs invétérés.
Miterrand, giscard, sarkosy, chirac, De Gaulle… Même felix faure qu'on a retrouvé mort avec sa bite dans la bouche de sa courtisane.
Et depuis toujours la presse, aussi intellectuelle soit-elle, a fait ses choux gras de leurs ébats.
Aussi grande que soit notre nation, nous sommes loin d'être les seuls à faire parler de nos histoires de culs dans les hautes sphères de la société.
On choisit de s'en foutre et d'en parler. En en parlant, tu voles aussi bas que Closer mon cher izarranus.
Alors pour paraphraser: "article caca comme d'habitude".
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire