La lutte des femmes pour les femmes c’est comme le vent qui se révolterait
contre la rotation terrestre : vain et grotesque.
Le féminisme est une boursouflure de la femelle bêtise dans le ciel de la
gloire masculine.
Celle qui se bat pour sa “liberté” n’a pas compris que la dignité du sexe
faible est de se tenir à côté du mâle, non de lui faire face. Le salut d’Eve est
dans sa soumission, non dans l’affrontement.
La porteuse d’enfants n’est fondamentalement heureuse que dans les bras
protecteurs et sanctifiants de son seigneur et non pas dans les égarements d’une
“libération” qui l’aliène à des codes sociaux et moraux toujours plus vulgaires
et déprimants.
Colette, Beauvoir, Woolf, Badinter et leurs soeurs dégradées par les idées
en vogue ne sont que de vastes chimères pour petits esprits. Ces célébrités
prenant la pose avec des airs pénétrés sur des photos en noir et blanc sont les
monstres imberbes de notre société émasculée, matée, athée.
Ces suffragettes en chef sont les mentors des syndicats d’eunuques.
Productrices de brumes toxiques d’une pensée morbide et mensongère, elles
alimentent les âmes faibles de leur nourriture létale. De leur cervelle sort non
pas du sens mais de la cendre : les fruits de leur génie sont l’avorton, le
divorce, l’amertume.
Ces grandes figures de la cause suprême sont avant tout fières d’être “ce
qu’elles ne sont pas” : des hommes.
Le putsch de Vénus contre la Création confère à ces illustres combattantes
des allures de statues en jupette : le grand style du siècle.
Ces fleurs plates, pâles, sèches, portent les graines de la stérilité
promise ! L’espoir des poires dans toute sa splendeur. Le rêve de la volaille
émancipée. Les lendemains de la dinde votante.
Bref, de leurs germes naît la ruine des genres. Tel est leur fait
d’armes.
De leur plume émane la fumée, de leur vie sort le vide. Et leur tombe est
fleurie d’illusions.
Ces séductrices ne conquièrent que les penseurs creux : les seuls ciboulots
flasques à leur portée.
Ces accoucheuses de pages de mort, parées de paillettes folles,
impressionnent beaucoup, il est vrai, les caniches de ce monde.
Mais on a oublié les loups et me voici.
Et d’un seul coup de gueule, dans un fracas de rires et de crocs, je les
égorge tout net.
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