mardi 19 novembre 2019

1539 - France sombre

Le ciel de France se voile progressivement.

Et se noircit de plus en plus.

Notre azur européen s’habitue aux nues sombres et se peuple d’oiseaux peu catholiques...

Je croise partout ces volatiles, dans toutes les villes du pays.

Ho ! je sais, ce ne sont pas là des animaux bien méchants. Juste des victimes des marionnettistes au pouvoir. Des fétus de misère jetés par milliers sur le vaste échiquier du cynisme mondialiste, échoués sur nos terres presque malgré eux.

Mais ils sont là, bel et bien là. Hommes, femmes et enfants. Et ils nous le font bien savoir.

Les mâles avec leurs seuls regards pleins d’exotisme qui séduisent tant nos blondes en mal d’horizons nouveaux... Les génitrices, du fond de leurs matrices pleines de sable et de vents. Bref, des promesses génétiques jalousement conservées qu’ils souhaitent enraciner sur notre sol aux sillons féconds.

Avec leurs habits neufs et leur sabir ancien, avec leurs bobines basanées de natifs bananiers, avec leurs exigences de polygames insatiables et leurs spécificités culturelles...

Sans un mot de français sortant de leur bouche, sans un gramme d’amour pour la France dans leur coeur, sans un signe de respect pour notre drapeau.

Mais leur bourse pleine des écus du coq gaulois.

Aux antipodes du mythe de l’intégration universelle...

Et le seul rempart que nous avons trouvé face à cette invasion, c’est l’OUVERTURE D’ESPRIT” !

Quel tour de génie de la part de nos maîtres pour nous insuffler cette parade humaniste ! 

Ouvrir nos frontières, ouvrir nos esprits, ouvrir nos âmes, ouvrir nos hymens...

Et fermer nos gueules.

Et au final nos cités ressemblent à leurs cités. Et la France est de moins en moins la France, de plus en plus l’Afrique, le Moyen-Orient...

Plus rien du tout en somme.

Le “vivre ensemble”, le ‘partage”, le “multiculturalisme” ces pièges à pigeons que nous avons érigé en “valeurs républicaines” et qui font la fierté des cocus que nous sommes !

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https://youtu.be/d881UgTrrVo

1538 - De gauche à droite

Avant, j’étais une pâle endive de gauche
 
Le pur fruit inodore des terres indolores de la pensée flasque.
 
Une fadasse flaque de fables reflétant les fadaises d’un siècle générateur de soupe aux navets pour seul idéal.
 
Je fus ainsi longtemps une vaste blague incarnée dans un arbre à l’écorce pourtant rugueuse à la base...
 
Né avec les attributs majeurs, fracassants des seigneurs de haut rang et de vrai sang, j’ai paradoxalement poussé comme un légume vert dans le jardin rose de la propagande socialo.
 
Années d’insouciance politique, légèreté de l’âge...
 
Erreur de jeunesse pardonnable car heureusement l’hérésie n’a pas duré...
 
Au lieu de donner sur moi ces fleurs niaiseuses des idées molles en vogue, les germes du gauchisme ont finalement produit d’urticantes orties aux effets thérapeutiques sur ma terre aristocrate.
 
L’écoeurante guimauve que les endoctrineurs en savate ont voulu déverser à la tonne dans mon bec trop fin de dandy racé m’a définitivement vacciné du sucre.
 
Les épines de la percutante réflexion sont promptement apparues, crevant les baudruches lénifiantes que la gauche avait voulu imposer à ma tête royale.
 
Du jour au lendemain la larve du système que j’étais (par défaut, par ignorance, par naïveté, par innocence, par simple paresse intellectuelle) est devenue, dans un glorieux éblouissement de lucidité homophobe, un redoutable lion cracheur de vérités cinglantes mêlées de salutaire vitriol à la face de tous les menteurs et manipulateurs de la gauchosphère !
 
Les abus, les délires, les harcèlements des LGBT (et autres associations de criminels-corrupteurs-dégénérés du même tonneau) ont fait de moi le roi des fachos !
 
Très vite et tout naturellement, c’est de famille, je suis tombé en pâmoison dans le lustre azuré du royalisme : je porte le bleu du ciel dans mes gènes.

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1537 - Paradis blanc

Les vastes forêts des pays froids sont mes horizons préférés.

Je me perds avec délices entre les clartés de leurs aubes embrumées et les feux de leurs crépuscules appesantis.

C’est là, entouré de silhouettes majestueuses, que je prends la mesure de l’âpre splendeur des terres septentrionales.

Bercé par le chuintement du vent ou bien plongé dans un silence solennel, je perçois la grandeur, la noblesse de ces arbres aux allures augustes, aux destins multiséculaires, immenses comme des cathédrales.

Beaux, forts, superbes, à l’image des hommes de ces contrées.

Les humains vivant là-bas sont les exacts reflets de ces géants de bois qui peuplent leur imaginaire et imprègnent leur histoire : de leurs racines sourd une sève pure et de leurs sommets triomphe la lumière.

Et, depuis leurs hauteurs, rien que des vues vertigineuses.

Bref, l’avenir du monde est au nord.

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https://youtu.be/4WJbU-zMI_c

1536 - Eternité d'un printemps

Elle a quinze ans, elle est grande, elle est lumineuse, elle rêve encore d’enfance mais parle tout haut d’amour.

Elle chante l’aube et poursuit le jour pour atteindre le Soleil.

Et s’endort dans des champs de fleurs, bercée par un idéal forgé dans la paille et le ciel.

C’est un oiseau de notre monde. Avec un coeur de chair fait pour les humains, des ailes de lumière faites pour l’azur.

Elle est jeune, elle est heureuse, elle vole.

Pure, forte, belle, confiante envers la vie, prête à suivre la première étoile, la prochaine flamme, le moindre feu sacré...

Et je l’admire, si proche de l’essentiel, si loin de l’ombre, si haut dans ses sommets.

Vierge, ardente, claire... Simple comme l’eau, aussi blanche qu’un nuage, elle brûle.

Bleue, limpide, aérienne.

Je l’aime, elle m’émeut, c’est un ange sur terre. 

Mais demain elle sera morte.

Fauchée dans la fraîcheur de son âge, en pleine joie.

Dana Dawson (1974 - 2010)

https://youtu.be/92nkusRu_tY

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1535 - Les deux faces du monde

(D'après deux tableaux du peintre Aldéhy)

- Je suis l’amante du Soleil, je me lève dans sa splendeur, rayonne à son zénith et me couche dans ses flamboiements pacifiques, tandis que ton éclat est sombre, austère. A l’image de ton éther peuplé d’oiseaux de malheur, de ton siècle agité par ces orages que tu appelles “civilisation”... Parée de la seule clarté du jour, je me sais plus aimable que toi, vaine porcelaine alourdie d’artifices, compassée dans de pesants atours voilant ta peau au lieu de la révéler.

- L’astre dore peut-être ta face mais il est loin de mon trône et n’éclaire que les hôtes quelconques de tes terres sauvages, il n’a pas d’Histoire, pas de mémoire. Tes matins sont pareils aux autres matins, rien ne change sous ton azur immuable. Nul ne te contemple, à part ta propre ombre et quelques inconnus furtifs dont aucune stèle ne retiendra les noms... Alors que des princes m’approchent, d’illustres courtisans me vénèrent, des peintres rêvent de mes courbes, des sculpteurs me gravent dans l’éternité.

- Certes les siècles m’oublieront mais le présent me glorifie ! Qu’ai-je besoin de briller dans mille ans ? Le bonheur de l’instant me suffit. Je suis heureuse d’être admirée tant que je respire. Peu m’importe de n’être belle qu’à travers des regards anonymes pourvu que cela me flatte et réjouisse ceux que je croise !

- Tu n’es qu’une silhouette éphémère, une libellule de passage que remplaceront d’autres demoiselles aussi légères et volatiles... Moi je suis une statue de marbre, une oeuvre unique, une image figée à jamais dans l’idéal des hommes de mon monde fait de palais et de châteaux. Mon front jamais ne sera terni : il demeurera intact pour la postérité. Aussi admirable sois-tu, tu n'auras que le sable et l’écume pour tombeau.

- Ton royaume est plein d’or et de raffinements, érigé de sommets d'art, embelli de jardins fabuleux et féconds, mais il est aussi déchiré par des tempêtes absurdes, ravagé par des folies sanglantes. Il est riche de fantaisies et de progrès mais également d’industries funestes. Je n’envie pas ton olympe et ses horizons menaçants. Ton ciel est éblouissant de promesses mais ton sol est affreux. Moi je me contente du trésor intime de mon dénuement, me sachant ainsi l’égale de toute chose créée, sans autre ambition mais sans aucune mélancolie. Le prix de ton bonheur est aussi celui de ton malheur. Au contraire de toi, je traverse l’existence sans lauriers mais sans misère. Tu es prestigieuse dans ton empire, mais moi je suis heureuse sur mon île. Tu as le succès, j’ai la lumière. Tu portes des diamants, j’ai mon seul sourire. Nous avons toutes deux la beauté mais moi j’ai une chose de plus essentielle que tes fastes : ma simplicité.

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lundi 18 novembre 2019

1534 - Le gauchisme ou la pensée à l'envers

Pour un gauchiste, tout hétérosexuel est un homosexuel refoulé...

Cette manière de penser est révélatrice de la perversité de son esprit détraqué.

Celui qui refuse de voir le Soleil tel qu'il est en prétendant que "le Soleil c'est en réalité la Lune refoulée" est un délirant. Preuve que le “progressisme” est une pathologie sociale.

Du point de vue du “progressiste”, c'est-à-dire du détraqué du ciboulot, le patriote qui ose se dresser contre un délinquant africain en situation irrégulière est fatalement un horrible raciste, l'opposant qui critique la gauche perverse et indécente est nécessairement un nazi, le père de famille qui n’adhère pas à l’idéologie de l'homosexualité décomplexée est évidemment un facho doublé d'un pédé refoulé...

Le voltairien niera toujours les plus éclatantes évidences.

S'il voit un opportuniste fouiller les poubelles, exactement comme moi, il en déduira que cette personne est dans la misère, affamée, exclue socialement, victime d'injustice... (Car c'est ce qui m'est arrivé et j'avais dû expliquer à cet imbécile de gaucho incrédule que j'étais dans l'opulence et le bonheur...)

Ces adorateurs de la matière et des déviances ne peuvent pas imaginer que des personnes (comme moi) se contrefichent de ne pas vivre selon leurs normes strictement horizontales.

Selon les égalitaristes tout ce qui en ordre, droit, propre, est forcément suspect, douteux. Ces libertaires ne croient que ce qui est tordu, il ne prennent en considération que les êtres viciés, à leur image, les seuls qui soient crédibles à leurs yeux.

En effet le rouge partisan ne peut pas concevoir qu'on puisse aspirer à la droiture, à la vertu, aux sacrifices matériels au nom de la pureté intérieure. Lui ne cherche que le dérèglement, le péché (que dans son esprit corrompu il nomme d'ailleurs "valeur").

Ces faiblesses, anomalies et souillures en lui, il en est même très fier ! Il veut les entretenir, les cultiver, les promouvoir et non les combattre...

Pour lui l'humain est obligatoirement une machine à jouir, un corps à combler de satisfactions matérialistes, un esprit à nourrir de joies profanes.

Et non une âme en quête de sommets.

Au nom de leur conception tyrannique de la justice sociale, de leur obsessionnel souci d'égalité, les antiautoritaires prônent l'avortement, l'homosexualité, l'éducation sexuelle dès la maternelle, les allocations sociales impératives et inconditionnelles pour les immigrés clandestins, surtout s’ils sont délinquants, le droit au logement pour ces mêmes étrangers qui s'invitent en France, la prime de Noël pour les musulmans mais jamais la prime du Ramadan pour les français de souche, etc...

Bref, moi je dis que le gauchisme est une pathologie sociale, une tare mentale, une aberration économique, un non-sens général.

vendredi 15 novembre 2019

1533 - Plongeon céleste

J'avais douze ans et peut-être déjà même un âge d'or oublié de tous, éphémère et fulgurant.

A mes yeux puérils le monde dans ses lignes magistrales se composait du Soleil, de la Lune, de l'horizon, des nuages, d'éclatantes et sombres étendues, des mystérieuses étoiles, d'océans inconnus...

Mais il y avait autre chose derrière tous ces astres, ces espaces, ces créations palpables.

Un vertige esthétique à la hauteur de ces miracles, de ces magnificences de l'Univers, une cause intime nommée "Farrah Fawcett".

La matière s'allégeait, la réalité pour moi se prolongeait à l'infini, à la verticale, et je comprenais que l'esprit soutenait le roc, que la lumière nourrissait tous les principes, profanes ou sacrés, minuscules ou grandioses.

Transfiguré par cette révélation, je volais, partant du sol jusqu'à l'invisible, voyageais d'immensités en sommets.

Et tout au bout du Cosmos, plus loin que la physique et ses lois, il y avait mon âme.

Là siégeaient la Beauté, la Poésie, l'Amour.

Et je ne voyais plus que la face de celle qui ressemblait tant à la divine présence.

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https://youtu.be/-envCBQpxb0

jeudi 14 novembre 2019

1532 - L'oiseau volatil

Elle était vulgaire, elle était insipide, elle était banale, elle était également devenue vieille et elle est d'ailleurs morte.

Mais Farrah Fawcett fut aussi, par-delà ces aspects triviaux communs à tous les mortels, du moins le temps de sa jeunesse, un pot de fleurs irradiant des peaux de bananes, un tonneau de verdeur associé à une barrique de gloire, un arrosoir plein d'azur planant au-dessus d'un potager de lumineuses patates.

Autrement dit elle avait tout des célestes fantaisies et rien des terrestres prévisions météorologiques.

Elle était nivéenne, elle était citronnée, elle était unique, elle était également devenue angélique et elle est d'ailleurs invisible.

Mais elle fut aussi, par-delà ces aspects nobles peu communs aux vivants que nous sommes, après avoir brûlé sa plus éclatante chandelle, une citrouille rance, une tomate pourrie, une fraise flasque, une eau stagnante.

C'est-à-dire tout ce qui périt certes, se décompose, mais renaît plus bleu, plus vert, plus neuf que jamais, sous formes gazeuses, aériennes, éthéréenne d'un feu follet qui laisse dans les nuages un ultime reflet d'espoir et sur la terre un dernier parfum de mystère.

VOIR LA VIDEO :

https://youtu.be/STVc2aV1-qQ

mercredi 13 novembre 2019

1531 - Les vagues de Vénus

J'avais des pensées pures, dures, irréelles, des rêves de roc, des ailes d'oiseau rare et mon vol ne ressemblait à aucun autre vol.

Mon coeur âpre et blanc ne battait que pour des sommets.

Je désirais des flammes et des océans, des flots glacés et des ciels embrasés, des nuages bleus et des cailloux dorés.

Je n'avais que l'âge du printemps et il me restait le siècle à découvrir. Farrah Fawcett m'apparut alors comme la Lune autour du monde.

J'étais la cathédrale, elle était le papillon. Moi la pierre, elle la lumière. Moi l'enfant, elle l'infini.

Une alchimie inédite se produisit.

Elle était devenue le bord de la mer, aussi essentielle et aussi vaste, et je nageais, heureux, dans cette immensité de clarté et d'écume, d'idéal, de sable et de mystère.

Avec un sentiment d'éternité dans mon âme vierge.

Des portes s'ouvraient en moi. Je voyais ce que nul ne voit, savais des choses que les savants ignorent, percevais des fleurs d'ailleurs, sentais d'autres parfums.

Le choc entre mon innocence et sa beauté avait provoqué en moi l'éveil cosmique.

VOIR LA VIDEO :

https://youtu.be/PkpnftwP9a4

samedi 9 novembre 2019

1530 - Poireaux du ciel

J’avais du sable dans la tête, la brûlure du soleil sur la peau, plein de ferveur dans l’âme.

Et dans les mains, un kilo de poireaux.

Je songeais à la beauté florale de Farrah Fawcett, cheminant dans la rue avec mon paquet de verdure.

En réalité, c’étaient des asperges que j’aurais dû ainsi porter, mais l’épicier en rupture de stock parvint à me convaincre de les remplacer par des poireaux.

Bref, sous l’astre de la belle saison, en pensant à la face d’agrume de cette femme, mon fardeau de trivialité n’avait plus d’importance.

Et je marchais l’esprit clair, devinant que des champs de carottes pouvait briller comme des océans d’étoiles, et inversement.

Les gloires de la Création, diverses, multiples, innombrables, à portée de main, minuscules ou incommensurables, me présentaient leur vraie face, sans aucun filtre.

Je ne voyais plus rien de grotesque. Tout devenait grandiose

Mes poireaux valaient tous les diamants de l’Univers. Et l’or, aussi léger que l’air, m’entourait de toutes parts : chaque chose à mes yeux était précieuse, depuis le brin d’herbe jusqu'aux amas galactiques.

Tout se spiritualisait sous mon regard.

Mes légumes irradiaient, sublimes, pleins de splendeur, de mystère et de divinité. Leur éclat donnait encore plus de sens au Ciel.

Et je me dirigeais vers mon foyer étreignant avec fièvre ce trésor potager, le front dans les nuages, les pensées perdues dans d’indicibles sommets...

Ma gerbe de poireaux et le visage de celle qui me hantait formaient une double flamme pour une seule lumière.

vendredi 1 novembre 2019

1529 - France, encore un effort pour la diversité !

Je pense qu'il n'y a pas assez d'Arabes pleins de dons pour la florissante économie souterraine, de vitalité et de dévouement pour la casse gratuite de matériel urbain, pas assez de Noirs sous-diplômés et autres migrants -avec ou sans papiers- en France pour égayer nos rues trop monochromes et nos vies trop uniformes.

Tous ces gens indispensables à l'équilibre de notre budget social et à l'animation de nos cités.

En d'autres termes, il n'y a pas encore assez de communautés étrangères, de couleurs et de cultures différentes.

Il faut en effet bien savoir que la France, c'est un mélange numériquement équitable d'ethnies d'origines les plus diverses, un pays multiculturel, multiracial, homosexuel, transexuel, riche de ses différences, de ses paradoxes, de ses contrastes, harmonieux avec son extrême hétérogénéité.

Il faudrait même par souci d'égalité, de parité réelle, de lutte acharnée contre les discriminations, associer le drapeau français traditionnel aux drapeaux LGBT, musulmans et africains.

Et puis surtout, l'urgence de toutes les urgences c'est bien évidemment d'ouvrir encore plus nos frontières et même carrément les abolir afin que des hordes d'étrangers aux pensées, moeurs, coutumes, histoires, religions, éducations radicalement opposées aux nôtres, si enrichissantes, si vitales pour notre avenir, si essentielles pour notre bien-vivre, puissent entrer librement sans frapper sur notre territoire car en vérité le sol de France appartient au monde entier.

Tolérance, générosité, ouverture d'esprit, métissage, telles sont les devises sacrées de la France.

Liste des textes

2148 - Je suis de la droite honteuse
2147 - Les écrivains sont des poids morts
2146 - L’héritage de Clinchamp
2145 - Clinchamp, une histoire sans fin
2144 - Vent de mystère à Clinchamp
2143 - Ma cachette à Clinchamp
2142 - Randonnée à Clinchamp
2141 - Eclipse de Lune à Clinchamp
2140 - Un arc-en-Ciel à Clinchamp
2139 - Clinchamp sous l’orage
2138 - J’ai rêvé de Clinchamp
2137 - Jour de l’An à Clinchamp
2136 - Vacances d’été à Clinchamp
2135 - Attente à Clinchamp
2134 - Un jour ordinaire à Clinchamp
2133 - Or de France
2132 - La compagne des esseulés
2131 - Loup de lumière
2130 - Spleen
2129 - Le pitre
2128 - Les corbeaux de Clinchamp
2127 - Un homme heureux à Clinchamp
2126 - Le mouton
2125 - Des lutins à Clinchamp ?
2124 - Je suis fort !
2123 - Paroles prophétiques
2122 - L’égalité entre les hommes est injuste !
2121 - L’idéaliste de gauche
2120 - La femme est la monture de l’homme
2119 - Clinchamp sous la neige
2118 - Le Nord et le Sud
2117 - Pourquoi j’aime Clinchamp ?
2116 - Convaincre Blandine
2115 - Un couple de vieillards à Clinchamp
2114 - Le facteur de Clinchamp
2113 - Tristesse et beauté à Clinchamp
2112 - L’Art
2111 - Botte à l’oeuf
2110 - Les bûcherons de Clinchamp
2109 - Le coucou de Clinchamp
2108 - BFMTV : l’écran de la vérité
2107 - Lettre anonyme
2106 - Je ne suis pas amoureux de Paris !
2105 - Un jour d’hiver à Warloy-Baillon
2104 - La femme soumise brille comme une casserole
2103 - Les chouettes de Clinchamp
2102 - Quand la tempête s’abat sur Clinchamp...
2101 - L’aile et la pierre
2100 - Mes amis les maudits
2099 - Le brouillard de Clinchamp
2098 - Artiste de gauche
2097 - L’éternité dans la tête
2096 - Toussaint à Clinchamp
2095 - Chagrin échappé
2094 - Clinchamp-sur-Mystère
2093 - Les cafards
2092 - Loup des airs
2091 - Le loup de Clinchamp
2090 - En latin, c’est plus beau !
2089 - Les patates de Clinchamp
2088 - L’enfant des airs
2087 - Ciel de France
2086 - Thaïs d’Escufon
2085 - Les tomates de Clinchamp
2084 - Jérôme Bourbon
2083 - Les chats de Clinchamp
2082 - Poupée d’ailleurs
2081 - Pierre de feu
2080 - Les champs de Clinchamp
2079 - L’éclosion
2078 - Vacuité des bouquinistes
2077 - Les toits
2076 - Freud
2075 - Sport
2074 - Le simplet de Clinchamp
2073 - Les oiseaux de Clinchamp
2072 - Je ne suis pas cartésien
2071 - Au cimetière de Clinchamp
2070 - Le Panthéon pour Hugo, l’évasion pour Izarra
2069 - Les rats de la France
2068 - Le curé de Clinchamp
2067 - Mon trou à Clinchamp
2066 - Saint-Léonard-des-Bois
2065 - Les cloches de Clinchamp
2064 - Un épouvantail à Clinchamp
2063 - Les rêves de Clinchamp
2062 - Je suis raciste
2061 - L’injustice sociale ne me choque pas
2060 - Les femmes de Clinchamp
2059 - Les jours vides de Clinchamp
2058 - Une grand-mère
2057 - Clinchamp vers 1970
2056 - La femme de soixante ans
2055 - Sale temps à Clinchamp
2054 - Un grand voyage en forêt
2053 - L’ailé et l’aliéné
2052 - Souvenirs lointains
2051 - Domestication d’une greluche
2050 - Déprime à Clinchamp
2049 - L’amour à Clinchamp
2048 - Les Droits de l'Homme, c'est la négation de l'homme !
2047 - Les hivers de Clinchamp
2046 - Les chemins de Clinchamp
2045 - Seul au monde
2044 - Ne me parlez pas d’amour
2043 - Tristesse de l’été
2042 - Jour de fête à Clinchamp
2041 - Monsieur Lecon
2040 - Châtelain
2039 - Les ailes de Clinchamp
2038 - Tremblement de terre
2037 - Nuit d’amour
2036 - Pluie de joie à Clinchamp
2035 - Les gauchistes
2034 - Clinchamp sous les clartés lunaires
2033 - Henri d’Anselme, héros hétéro rétro
2032 - Les hirondelles
2031 - Retraite dans la forêt
2030 - Mon bosquet
2029 - L’or de Clinchamp
2028 - Sur le chemin
2027 - La souche
2026 - Clinchamp, ce voyage sans fin
2025 - Sardines à l’huile
2024 - Les fantômes
2023 - Le silence de la forêt
2022 - Les arbres
2021 - Les joies de Clinchamp
2020 - La merde républicaine
2019 - Les ailés
2018 - Les soirées de Clinchamp
2017 - Parasite
2016 - Clinchamp, les routes de l’ennui
2015 - Moi français, je déteste les migrants !
2014 - Répugnante
2013 - Les complotistes
2012 - Je déteste les livres de philosophie !
2011 - Le bossu de Clinchamp
2010 - La lumière de Clinchamp
2009 - Les crépuscules de Clinchamp
2008 - Les nuits à Clinchamp
2007 - Les aubes de Clinchamp
2006 - Je suis un oiseau à Clinchamp
2005 - Les rats de Clinchamp
2004 - Les papillons de Clinchamp
2003 - Les richesses de la normalité
2002 - Le Rimbaud des bobos
2001 - Les vaches de Clinchamp
2000 - La folle de Clinchamp
1999 - Mon ego solaire
1998 - Vague Lune
1997 - Ma cabane à Clinchamp
1996 - Moi, IZARRA
1995 - Mais qui donc est Dardinel ?
1994 - La Dame Blanche de Clinchamp
1993 - Le Dalaï-Lama
1992 - Pluie à Clinchamp
1991 - Je suis sexiste
1990 - Les flammes du printemps
1989 - Le rustaud de Clinchamp
1988 - Les larmes d’Amsterdam
1987 - Clinchamp, terre d’envol
1986 - La Joconde de Clinchamp
1985 - Face cachée de Clinchamp
1984 - La clocharde de Clinchamp
1983 - Je suis un extraterrestre
1982 - Clinchamp sous les éclats de novembre
1981 - Clinchamp au bord des larmes
1980 - Les fantômes de Clinchamp
1979 - Les pissenlits de Clinchamp
1978 - Clinchamp : fin et commencement de tout
1977 - Amsterdam
1976 - J’habite sur la Lune
1975 - Secret de Lune
1974 - Les ailes de la Lune
1973 - Voir Clinchamp et sourire
1972 - La pierre et l’éther
1971 - Clinchamp, au bonheur des larmes
1970 - Clinchamp, mon dernier refuge
1969 - Croissant de Lune
1968 - Mais d’où vient donc la Lune ?
1967 - Lune lointaine
1966 - Lune éternelle
1965 - Sandrine, notre voisine
1964 - Rêve de Lune
1963 - Lune des rêves
1962 - La Lune dans le bleu
1961 - Lune ultime
1960 - Les tourmentés
1959 - Clinchamp, paradis des ombres
1958 - Lune absente
1957 - Je raffole des commérages !
1956 - Clinchamp : royaume des humbles
1955 - La Dame dans le ciel
1954 - Palmade : de la gloire au gouffre
1953 - Evasion
1952 - Tatouages, ces marques de faiblesse
1951 - L’égalité est un enfer !
1950 - Repas sur l’herbe à Clinchamp
1949 - Escale à Clinchamp
1948 - Beauté morbide de la Lune
1947 - J’ai dormi dehors à Clinchamp
1946 - Les humanitaires sont des parasites !
1945 - Sur les routes de Clinchamp
1944 - Une année à Clinchamp
1943 - Tristesse du printemps
1942 - Bulle de Terre
1941 - Jour de joie à Clinchamp
1940 - L’inconnu de Clinchamp
1939 - Le ciel de Clinchamp
1938 - Les éclats de Clinchamp
1937 - Le voyageur
1936 - Fête triste
1935 - Les antiracistes
1934 - Jean Messiha
1933 - Coeur gelé
1932 - Romantisme de pierre
1931 - La femme est sous mes pieds
1930 - Burcu Güneş, un air léger
1929 - Je déteste les pauvres !
1928 - Quand mon coeur s’allume
1927 - Intègre, entier, râpeux
1926 - Le cheval
1925 - Homme mauvais
1924 - Un trou sous le ciel
1923 - Hauteur de la Lune
1922 - Nulle part, là-bas, ailleurs
1921 - Belle Lune
1920 - Salades lunaires
1919 - Lettre à Reynouard
1918 - MARGUERITE OU L’HISTOIRE D’UNE VIEILLE FILLE
1917 - Récoltes lunaires
1916 - Je suis français de souche
1915 - Lune mortuaire
1914 - Clinchamp, cité des oubliés
1913 - Clinchamp, l’air de rien
1912 - Clinchamp, sommet du monde
1911 - La pollution, c’est la vie !
1910 - Seule au monde ?
1909 - Le Ciel et la Terre
1908 - Lune de haut vol
1907 - La Lune s’allume
1906 - Nuit sombre
1905 - Soupe de Lune
1904 - Puretés raciales
1903 - Lune-pizza
1902 - La grande question
1901 - Amiens
1900 - Pleur de Lune
1899 - Rêve d’amour
1898 - Vive le patriarcat !
1897 - La libellule
1896 - L’eau qui m’éclaire
1895 - Une question de clarté
1894 - La Lune dort
1893 - Les artifices du spirituel
1892 - Lune normale
1891 - Ni chauffage ni travail
1890 - Lune de fer
1889 - Molle Lune
1888 - Insensible aux malheurs des autres
1887 - Mon visage de vérité
1886 - Amante russe
1885 - J’écris
1884 - Lune martiale
1883 - Je suis un incapable
1882 - Lune creuse
1881 - 1975
1880 - L’éclat d’un fard
1879 - Amour impossible
1878 - Femme au foyer
1877 - L’esprit de la Lune
1876 - Ingérence féministe
1875 - Cratères lunaires
1874 - Lune d’effroi
1873 - Lune des chats
1872 - Les athées
1871 - Lune d’or
1870 - Lune carrée
1869 - Lune de miel
1868 - Folle lune
1867 - Jour de joie
1866 - SMARPHONES : abrutissement des masses
1865 - Sombre lune
1864 - Les mouches
1863 - Ma vie simple
1862 - Clinchamp, terre lointaine
1861 - Je suis un conservateur
1860 - Lune de glace
1859 - Le lac
1858 - Qu’est-ce que la beauté ?
1857 - Lune blanche
1856 - Lune de mer
1855 - Lune de feu
1854 - Présence immortelle
1853 - Surprenante Lune !
1852 - L’éclat de la Lune
1851 - Epis lunaires
1850 - L’autre Lune
1849 - L’amie des cheminées
1848 - Lune morte
1847 - Lune Parmentier
1846 - Lune fatale
1845 - Amour céleste
1844 - Grâces et disgrâces
1843 - Ma maison, c'est la Lune
1842 - Poids de la Lune
1841 - La morte visiteuse
1840 - Ma cabane sous la Lune
1839 - Bleu ciel
1838 - Histoire de lune
1837 - Suc de Turque
1836 - Stéphane Blet
1835 - Ciel bleu
1834 - Bonheur de rat
1833 - Redneck
1832 - Sur le rivage
1831 - Attraction lunaire
1830 - Je suis anti-féministe radical
1829 - Mais qui est-il ?
1828 - Je veux des frontières !
1827 - Les francs-maçons
1826 - Folies lunaires
1825 - Alunir, en un mot
1824 - “Comme ils disent”, chanson d’Aznavour
1823 - Lune tiède
1822 - Globe de rêve
1821 - Effroi
1820 - Vangelis
1819 - L’air de la Lune
1818 - La campagne
1817 - Lune tombale
1816 - Les cailloux
1815 - Je déteste Paris !
1814 - Boules de neige
1813 - Je n’ai pas peur
1812 - Parler vrai
1811 - Les hommes simples
1810 - Quand la Lune panse
1809 - Régine : extinction d’un feu
1808 - Morte veilleuse
1807 - Coeur de pierre
1806 - Noir
1805 - Mystère de la Lune
1804 - Jackson Pollock
1803 - En pleine lumière
1802 - Harmonie des sexes
1801 - Dix ans dans l’azur
1800 - Pluie d’avril
1799 - Le gueux
1798 - Les pommes de pin
1797 - Voyage vers la Lune
1796 - Mystère d’une nuit
1795 - Une lumière turque
1794 - Sans coeur et avec écorce
1793 - Envolé !
1792 - Galante ou l’abcès crevé
1791 - La lumière du Bosphore
1790 - Claude Monet
1789 - Rat aristocrate
1788 - Ukraine : sortez de vos ornières mentales !
1787 - Tranche de ciel et plumes de la Terre
1786 - Les sots écolos
1785 - L’astre turc
1784 - L’Ukraine, je m’en fous totalement !
1783 - Vive la guerre !
1782 - Réponses à un coatch
1781 - Droite pure
1780 - Vains hypersensibles
1779 - Mes valeurs vives
1778 - Le secret
1777 - Force et lumière
1776 - De l’herbe à l’aiguillon
1775 - Jusqu’à la mort
1774 - Zemmour et les journalistes de gauche
1773 - Dur et juste
1772 - La flamme et le marbre
1771 - Mon chat est mort
1770 - Les frères Bogdanoff
1769 - J’ai rêvé de Natacha
1768 - Technologie
1767 - Vers la Lune
1766 - C’était la guerre
1765 - La “tondue de Chartres”
1764 - Dans le métro
1763 - Naissance d’un virus
1762 - Zemmour est-il un de Gaulle ?
1761 - Je suis grand
1760 - Jour de gloire
1758 - Une muse du Bosphore
1758 - Je suis un extrémiste
1757 - Les éoliennes
1756 - Femme terminale
1755 - Autoportrait
1754 - Je suis un sanglier
1753 - Faux fou
1752 - Les affaires
1751 - Octobre
1750 - Le fantôme
1749 - Les écrivains
1748 - Sauvez la France !
1747 - Mes sentiments de pierre
1746 - Une araignée raconte
1745 - Un coeur clair
1744 - Phallocrate
1743 - Les vaches
1742 - Les faibles sont mauvais
1741 - Les sans-visage
1740 - Le trouillard de gauche
1739 - Léonard de Vinci enfant
1738 - Mes froideurs sublimes
1737 - Le romantisme, c’est la décadence
1736 - La Joconde
1735 - La tour Eiffel
1734 - Le Soleil
1733 - Une boule de mystère
1732 - Les masqués
1731 - Burcu Günes, l’or turc
1730 - Léa Désandre
1729 - Le père Dédé
1728 - “Blanc lumière” de Pollock
1727 - Les kikis et les cocos
1726 - Les funérailles de Belmondo
1725 - Pôle Sud
1724 - Vierge au mariage
1723 - La forêt
1722 - Le réveil des clochers
1721 - En septembre
1720 - Extraterrestre
1719 - Ni cagoule ni sérum
1718 - L’astre des morts
1717 - L’idéaliste
1716 - Un ange noir pour les Blancs ?
1715 - Trois heures du matin
1714 - Dur et vivant
1713 - Homme des bois
1712 - De flamme et de sang
1711 - Mes bas potentiels
1710 - Je suis un anti-progressiste
1709 - Eléonore et les Noirs
1708 - Eléonore et les Juifs
1707 - Une française
1706 - Femme d’idées
1705 - Joie de vivre
1704 - Auteur de rêves
1703 - Raison féminine
1702 - Vieillard
1701 - Face de France
1700 - 1789
1699 - Adieu, France
1698 - Célibataire
1697 - L’envers vert
1696 - Avant la chute
1695 - L’aube d’Ève
1694 - Amour raté
1693 - À vue d’homme
1692 - Le loup et l’agnelle
1691 - Têtes à corps
1690 - Trêve de la nuit
1689 - L’été
1688 - L’hiver
1687 - Les âmes de la forêt
1686 - Enfin libre !
1685 - Je vis sans masque
1684 - Enfants du monde
1328 - Je suis apolitique
115 - Le cygne
114 - Le spleen de Warloy-Baillon
113 - Les visiteurs
112 - La Lune
111 - L’amant des laides
110 - Mémoires d’un libertin
109 - Une existence de pompiste
108 - Lettre à mes amis des listes sur Internet