Face à la posture victimaire des ANTI-FA et autres gauchistes
hystérico-dégénérés j’oppose la férocité de mes moeurs, la dureté de mes lois,
la virilité de mes vues.
Et la vérité des neiges éternelles trônant dans les sommets.
Fragiles, frileux, pleurnichards, malingres, mollassons, révoltés par la
justice cosmique, scandalisés par l’ordre naturel des choses, en rébellion
contre l’harmonie du monde, contre les siècles et même contre le Ciel, ces
caniches châtrés et ces femelles déréglées ne savent que geindre et usent de
tous les artifices du mensonge, jusqu’au grotesque, pour tenter d’imposer leur
vision aberrante de l’Univers.
Pour eux un homme est une femme, une femme est un homme. Par conséquent le
garçon doit porter jupes et escarpins, tandis que la fille doit singer le mâle.
Cela, au nom de leur furieuse conception de l’égalité phallus-vagin. Ou
tulipe-vache, tarte-pissenlit, horloge-saucisson... Pour eux rien n’est
ridicule, tout est possible, surtout l’impossible, tout est progrès, surtout la
régression.
Rien dans la Création ne trouve grâce à leurs yeux. Ils veulent tout
chambouler. Inverser les plus parfaits accords divins. Remplacer le bas par le
haut. Transformer les droitiers en gauchers. Acclamer les vicieux et blâmer les
vertueux. Mépriser leur frère, chasser leur prochain mais accueillir l’étranger,
l’ennemi à bras ouverts.
Bref, je réponds à leur numéro de clowns schizophrènes par une
démonstration magistrale, glorieuse et martiale de ma couillue supériorité dans
l’arène du machisme triomphant !
Là, à coups de torgnoles cinglantes dans leurs tronches pâles de flasques
pédés dégénérés et de gouinasses dégoulinantes de haine, je leur montre que la
vie “dans la vraie vie” est faite pour les forts, les gagnants, les gladiateurs,
non pour les limaces, les larves, les baveux de leur espèce.
Et encore que la grêle est faite pour gifler les faces vaillantes. Que
l’injustice est faite pour forger les âmes nobles. Que les inégalités permettent
les vraies différences. Que les richesses de l’existence sont dans les pleurs,
les épreuves, les efforts et non dans la tiédeur et la léthargie d’un bonheur de
chien gâteux. Que les humains ne sont pas des machines toutes pareilles mais des
paysages uniques. Que certains sont méritants, d’autres paresseux, les uns
beaux, ceux-là laids, quelques-uns fortunés, le reste plus modeste, et que
l’Humanité dans ses plaines et ses hauteurs, ses profondeurs et ses légèretés,
ses éclats et ses nuances, ses fleurs et ses épines forme une belle mosaïque à
préserver, glorifier, alimenter et non à niveler...
L’orage, la tempête, la bourrasque sont faits pour être affrontés. C’est ce
qui fait la beauté de la vie.
Il y a du sel dans les larmes, c’est aussi ce qui en fait leur prix. Sans la pluie, le beau temps est sans saveur. Et le printemps fait désirer l’hiver, tout comme l’automne fait aimer l’été. Alors qu’un soleil sempiternel rend les jours fades et les roses ennuyeuses.
Il y a du sel dans les larmes, c’est aussi ce qui en fait leur prix. Sans la pluie, le beau temps est sans saveur. Et le printemps fait désirer l’hiver, tout comme l’automne fait aimer l’été. Alors qu’un soleil sempiternel rend les jours fades et les roses ennuyeuses.
Les gauchistes n’affectionnent que l’ataraxie du sucre stérile et
lénifiant. La fadeur de la soupe aux navets convient à ces adeptes du néant.
Pour eux le moindre bobo est source de contrariété. Ils voudraient que chaque
destinée soit sans heurt, sans aspérité, débarrassée de ses habituelles misères,
dénuée de toute adversité.
Ils idolâtrent la matière et profanent l’esprit.
Ils n’ont pas compris l’essentiel, le sens du réel, le sacré : c’est le
piment du malheur qui, finalement, rend les gens heureux.
VOIR LA VIDEO :
https://youtu.be/jaiZbWBhQWM
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