dimanche 26 avril 2020

1580 - Pensée malade

Un détracteur commentait sous un de mes plaidoyers pour l'hétérosexualité : 

"VOTRE HOMOPHOBIE EST SUSPECTE, ELLE TRAHIT UNE HOMOSEXUALITÉ REFOULÉE"

Ma réponse :

Vous êtes un bel exemple de gauchiste qui cherche toujours à frelater, falsifier, dénaturer les références les plus sacrées : si je comprends bien votre raisonnement de pervers-dégénéré-enculé que vous semblez être (et je suppose que vous devez aussi en tirer une particulière fierté), un hétérosexuel est fatalement un gay refoulé.

Pire : la moindre critique envers la pédérastie, la plus petite remarque dans le sens de la préservation des trésors de la famille traditionnelle pour vous équivaut à un aveu de bougrerie cachée...

Ainsi vous soupçonnez d'homosexualité les gens équilibrés, sains d’esprit qui ont le malheur d’être choqués par vos moeurs déréglées, autrement dit vous êtes INCAPABLE de concevoir un monde NORMAL peuplé d'humains NORMAUX...

Il faut toujours que les dissolus de votre espèce voient le mal là où il n’y a que probité, innocence, pureté... Ce qui est très révélateur de l’état d’esprit du libertaire.

A mon tour je pourrais affirmer qu'il est très suspect de défendre les inversés comme vous le faites et que cela cacherait bien une pédophilie refoulée... J'adopte ici la même logique d'abâtardi avec laquelle vous suspectez les individus salubres qui, comme moi, en ont plus que marre de la sur-valorisation politique, culturelle, médiatique, sociétale de ces enculés fiers de l'être...

Un homophobe, aux yeux d'un de ces enculés notoires, est nécessairement un bougre refoulé... Pas d'autre explication possible pour un gaucho ! En effet, il est inimaginable, selon le dépravé de gauche, qu’on puisse agir de manière désintéressée, pour l'amour du bien, du beau, du vrai. Non, pour le gauchiste un homme honnête qui parle cache forcément des causes peu avouables...

Dans ce contexte malsain de perversions démocratisées, la société en est arrivée à incriminer les pudiques, à calomnier les décents, à jeter l’opprobre sur les derniers des Mohicans partisans de l’intégrité.

Elle leur a d’ailleurs donné de drôles de noms : “fachos”, “intégristes”, "obscurantistes”...

Et, ultime perversité utilisée par les prêcheurs de la débauche pour mieux décrédibiliser ces “mauvais éléments”, ces “arriérés” et tourner en dérision leur autel sacré : on les accuse d’incarner le contraire de ce qu’ils professent.

Ainsi l'apologiste de l’hétérosexualité devient-il tout naturellement un “homosexuel refoulé” aux yeux de son accusateur dénué de tout autre argument. Procédé habituel du Diable : l’inversion des évidences, le renversement de la vérité, la transmutation de l’or en merde. .

En tentant d’avilir de la sorte les intentions les plus chères de leurs détracteurs, les apôtres du mal signent leur méfait à l’encre de la bêtise...

Mais le pire, c’est que dans une apothéose de bassesse et de putrescence généralisée à tous les niveaux, juges, pédagogues, enseignants, influenceurs, politiques, idéologues, organisations reconnues, administrations, acteurs aux postes-clés du pays et autres faiseurs d’opinion en appellent au “civisme”, à la “citoyenneté”, et même à la “conscience de chacun” pour dénoncer ces “adversaires du progrès”. Et combattre leurs idées et comportements “nauséabonds”...

Ainsi les âmes fortes, dignes, inflexibles, pleines de respect pour les grandeurs les ayant précédées et dotées d'un sens de l’honneur et de l’éthique développé, sont-elles méprisées par tout un système qui se voue à la perdition dans des surenchères féministes et homophiles de plus en plus délirantes !

Culpabiliser la blancheur, telle est la réponse de ces militants de la crasse que blesse la propreté.

Pauvre humanité de détraqués ! Tant qu'il y aura des décadents pour supposer qu'un être sain d'esprit comme moi épris de valeurs intemporelles n’est qu’un inverti refoulé, alors je serai un ardent homophobe !

Cette matrice que vous fabriquez est MALADE et vous-même êtes MALADE car il faut être MALADE, spirituellement pestiféré, moralement contaminé par le virus du mensonge et la lèpre du gauchisme, pour penser que celui qui se fait l'avocat du foyer conjugal est un sodomite refoulé !

C’est même là le signe de la totale corruption de notre société, de notre siècle, de notre morale. Vous incarnez, exactement par votre pensée pathologique (qui malheureusement est très répandue aujourd’hui) la perte de notre civilisation.

Nos grands-parents élevés dans les années 50 et 60 n’auraient jamais cru qu’un jour leurs propres enfants accompagnés de leurs petit-enfants montreraient d’un doigt réprobateur les gardiens de la cellule familiale, de la norme hétérosexuelle, de la vertu... Non, ils n’auraient pas pu imaginer que leurs enfants élevés par leurs soins dans les lumières chrétiennes tomberaient de si haut, au nom de “l’ouverture d’esprit”.

Et que leurs petits-enfants plus radicalement encore (élevés quant à eux non pas dans la sainte religion chrétienne mais dans le culte satanique des LGBT), participeraient à des GAY-PRIDES, deviendraient bisexuels, homosexuels, transgenres et j’en passe... Et glorifieraient leurs déviances et en seraient même les plus fervents promoteurs. Et seraient officiellement acclamés pour cette raison, toujours au nom de la tolérance, de l’humanisme, de la liberté, de la modernité... Et seraient de vaillants destructeurs de la parentalité, de zélés corrupteurs de la jeunesse, de parfaits défenseurs du vice, de brûlants adeptes du désordre, du chaos sexuel, de la ruine morale...

Jamais nos ascendants n’auraient osé effleurer la simple idée que la génération après eux serait celle que je viens de décrire.

dimanche 12 avril 2020

1579 - Un regard en arrière

Je traîne un siècle derrière moi. 

Je suis jeune, très jeune : j'approche de l'âge zéro, le dernier jour de mes rides. A la veille de mon trépas. Quand on a cent ans, quand on a vécu, quand on est déjà mort, on est au-delà de la vieillesse, on redevient une flamme.

Alors je brûle. Et vacille... Mais vais me rallumer de l'autre côté. Déjà je distingue des formes à travers le voile.

Et je vole vers ce nouveau ruisseau, me laisse glisser mollement dans cette clarté étrange et belle. Je dois tout oublier pour mieux me libérer de ces cent années d'homme et monter vers l'azur.

Mais d'abord, je désire une ultime ivresse.

Lâcher prise oui, après avoir revu les grâces et onctions de ma vie. Sourire au monde et à la fin, le quitter.

Je suis en paix, je pars le visage fatigué mais l'âme claire, le dos courbé mais le regard droit. Je veux revoir quelques empreintes de mon passage sur cette terre, revivre ce temps passé, bénir toutes ces choses, louer le sort.

D'un souffle ou deux de plus, le Ciel m'accorde cette faveur.

Aussi je porte ce bonheur final à mes lèvres : un verre de mes souvenirs les plus doux accompagné de quelques brumes d'hiver. Avec, peut-être aussi, un chant de corbeau.

C'est tout ce que je demande, avant d'aborder le grand horizon.

Puis m'endormir dans l'éternité.

VOIR LA VIDEO :

https://youtu.be/jWQvvgDG4IE

vendredi 10 avril 2020

1578 - Interview exceptionnelle

Monsieur Raphaël Zacharie de IZARRA, en ces temps troublés, comment vous portez-vous ? Le confinement n'est-il pas trop pénible pour vous ?

Je me porte à merveille, d'ailleurs je ne suis pas là pour me plaindre. Je laisse les pleurnicheries du quotidien et autres méprisables doléances plébéiennes aux âmes flasques qui ne méritent pas de recevoir la douceur du jour sur leur face d'éternels ingrats ! Nous sommes confinés, quasiment auto-incarcérés dans nos salons, nos libertés fondamentales d'aller et venir ont été violées sous prétexte de virus, nous entrons dans une récession économique de grande ampleur, et tout cela est magnifique ! De cette situation exceptionnelle, j'augure un avenir radieux. Et si malgré tout c'est pire, ce sera encore mieux ! Les mauvais chemin finissent toujours par mener sur de belles routes. Plus la soupe sera amère, plus on appréciera le dessert ! Et plus le temps des vaches maigres durera, plus verte sera l'herbe au bout du tunnel ! Plus les restrictions seront âpres, plus nos jouissances seront raréfiées, moins on aura besoin d'artifices. Bref à mesure que nous ne vivrons que d'essentiel, la vie sera plus belle car plus simple, plus saine, plus vraie ! C'est dans la privation et non dans l'opulence que naît le vrai bonheur. Hier nous baignions dans la graisse et l'insouciance qui nous amollissaient et émoussaient nos sensibilités. Rassasiés de superflu jusqu'à l'écoeurement, nous étions des larves. J'espère que nous nous serrerons davantage la ceinture, jusqu'à la délivrance de nos viles habitudes de consuméristes ! Ainsi nous regarderons comme des trésors ce qu'avant le cantonnement nous considérions comme des misères.

Comment analysez-vous le traitement médiatique et politique de cette crise sanitaire ?

Comme tous les gens intelligents, j'estime que ce matraquage tous azimuts à propos du virus est non seulement indigeste mais surtout insignifiant. Il y a tant de choses passionnantes auxquelles se consacrer, surtout en cette période providentielle de quarantaine où le travail professionnel n'est plus une priorité... Les masses dociles perdent leur temps à s'abrutir autour de ce sujet qu'elles se ressassent stérilement, alors qu'elles pourraient mettre à profit cette liberté soudaine pour éteindre voire casser leurs télévisions, grimper aux arbres, admirer les étoiles, réfléchir, s'entraîner à changer leurs rapports superficiels aux choses, bref enrichir leur existence de ces petits riens précieux qui en font la vraie saveur. Je me désole de constater que tant de jardins intérieurs ne soient pas cultivés en cette occasion si propice... Quel gâchis ! Pour ces âmes vulgaires j'imagine que les événements doivent être source d'angoisse, de confusion, de mal-être... Je suppose que ces pauvres esprits doivent attendre avec impatience un retour à l'engourdissement du monde d'avant... Pour ces crétinisés du système l'électrochoc n'aura pas été assez violent. Il faut toutefois espérer que l'avenir leur réserve des cloches de réveil plus radicales. Pour l'heure, ils sont demeurés des moutons bouffant du BFMTV à longueur de journées...

Et vous, comment occupez-vous actuellement vos journées Raphaël Zacharie de IZARRA ?

Je ne fais rien.

Comment cela ? Vous ne produisez aucun fruit prodigieux en ces circonstances extraordinaires ?

En effet, je savoure la paix des rues désertées, hume le parfum délectable de la mort citadine, observe le vol des oiseaux dans le ciel ravivé, fais ami-ami avec des chats inconnus sortant de leurs trous, tends l'oreille aux menus bruits de la cité figée et autres voix émanant des tombeaux qui m'entourent, je veux parler des foyers où désormais sont cloîtrées les familles. Non sans malice et curiosité... On se croirait dans une vaste nécropole. C'est charmant et même très inspirant. Je m'abreuve de ce miel rare et prends mon temps pour en jouir du matin au soir. Et même au coeur de la nuit où je rêve éveillé. Mais en fait quand je dis que je ne crée rien actuellement, bien au contraire je cultive beaucoup de choses en réalité ! Sauf que ce sont des patates moins tangibles que ce qu'on pourrait attendre : je me fabrique du bonheur. Oui, je suis heureux de vivre en ces heures de contingentements, de silence, d'immobilisme. Mais pour être honnête, j'étais tout aussi heureux avant, également...

Si j'ai bien compris votre "contemplative inactivité" a été conditionnée par la subite inertie de la société... Par conséquent, que ferez-vous après le confinement ?

Je cracherai mes baisers de feu sur le monde. 

C'est-à-dire ?

C'est-à-dire que je serai au rendez-vous des choses et des hommes sous les astres éternels. A la place qui a toujours été la mienne : devant la porte de la vérité, cherchant à me faire entendre auprès des sourds et des incrédules tel un Christ certes imparfait mais tout de même lucide. Et sincère.

Quel programme ! Et là, qu'attendez-vous du sort ? 

Tout. Autrement dit le meilleur qui soit. Et si le pire arrive, ce sera encore bon à manger. Qu'il pleuve ou qu'il fasse beau, je suis toujours preneur. Hier noir, aujourd'hui blanc, demain gris : pour moi tout a la couleur idéale de la vie. Salée ou sucrée, elle est toujours délicieuse... Alors quand elle est pleine de ronces et d'amertume comme aujourd'hui, quel régal ! Le confort et l'abondance du passé, devenus écoeurants à vomir, me font raffoler du vinaigre ! Quoi qu'il arrive, mon coeur se réjouit de la surprise qui lui sera servie à la table du destin. C'est précisément l'aventure du monde avec ses hauts et ses bas, ce que j'appelle le risque de vivre. Ou la joie de participer au festin de l'Univers ! Que j'avale de la boue ou de l'azur ici-bas, tout à le goût des repas de fête car je me nourris de toutes les expériences. Et c'est merveilleux.

Avec les premières chaleurs printanières, aurons-nous le privilège de vous apercevoir en train d'arpenter les rues mancelles en slip, à présent qu'elles sont dépeuplées, dites-moi Raphaël Zacharie de IZARRA ?

Certainement pas ! Je ne baisse mon froc que devant ma caméra. Et encore, ça dépend du sujet traité. J'ai de la décence.

Quels conseils donneriez-vous à ceux qui, n'ayant pas votre lumière, dépriment entre leurs quatre murs ?

A ces victimes de la paresse intellectuelle, à ces otages consentants dotés de vues brèves, à ces esclaves de la télévision, à ces martyrs imaginaires que leur propre bêtise condamne au malheur, à ces sous-humains aliénés par leur pauvreté spirituelle enfin, je conseille très pédagogiquement de continuer à fermer les yeux. Jusqu'à l'éblouissement. Anéantis de stupidité, fatigués de leur lourdeur, assoiffés d'air pur, ils se rendront compte d'eux-mêmes de leur état de légumes et prendront la décision de devenir des hommes, avec ou sans effort selon leur nature. On ne peut rien faire sans l'assentiment des gens. C'est exactement ce que font en ce moment ceux qui nous gouvernent : ils privent les citoyens d'oxygène avec leur accord exclusif, dûment signé ! Hé bien pour ces déprimés que vous évoquez, c'est la même chose : s'ils veulent se libérer de leurs chaînes mentales, de leur sottise, et surtout des incessantes inepties débitées par leurs putains de postes de télévision sempiternellement branchés sur les chaînes d'informations en continue, ils doivent adhérer d'eux-mêmes aux vérités non officielles... C'est par leur jugement qu'ils obtiendront l'auto-accord de laisser leur âme respirer. Pour résumer, chacun a ce qu'il mérite. Pour les uns, les larmes, pour les autres les rires. C'est simplement une question d'éveil.

Quel drôle d'oiseau vous êtes ! Je crois qu'à travers la densité de vos réponses on a déjà fait le tour de pas mal de questions, cher Raphaël Zacharie de IZARRA... Je ne vous en poserai donc pas plus.  Un dernier mot pour la route ?

Décollage !

VOIR LA VIDEO :

mercredi 8 avril 2020

1577 - Jean-Claude LADRAT

Jean-Claude LADRAT est un ours avec des rêves de papillon.

Une enclume pleine de légèretés. Une glèbe semée de fleurs. Une rocaille aux ailes de fée.

Pour cet oiseau hors-sol, l’extrême fantaisie est la chose la plus sérieuse qui soit au monde.

Le ciel, c’est son évangile.

L’imaginaire est sa table de travail, l’enchantement son matériau essentiel, le firmament son espace de jeu.

Et le poireau son réconfort.

Avec ses allures de pachyderme tranquille, il a la prétention de décoller. Corps et âme.

Pas symboliquement, non. Haut. Loin. Longtemps. Lui, ce sont les étoiles qu’il vise.

L’horizon, l’océan, l’infini, c’est son chemin de lumière. Il a en lui cette ivresse, cet émerveillement, cette étincelle que seuls connaissent les enfants.

Les moqueurs prennent ce conquérant des nuages pour un fou. Voire pour un benêt. Eux les matérialistes, lui l’ailée... Eux les vrais lourdauds, lui l’authentique esprit. Eux les mulets, lui l’élu.

Les sarcastiques qui se targuent d’avoir les pieds sur terre plaignent celui qu’ils qualifient de pauvre dingue.

Mais lui s’en moque. Indifférent aux lourdeurs du monde, il vole.

Haut. Loin. Longtemps.

Triomphalement maintenu dans les airs, étendu sur son matelas de poésie.

VOIR LA VIDEO :

https://youtu.be/tWCFx9IwPDI

Liste des textes

2148 - Je suis de la droite honteuse
2147 - Les écrivains sont des poids morts
2146 - L’héritage de Clinchamp
2145 - Clinchamp, une histoire sans fin
2144 - Vent de mystère à Clinchamp
2143 - Ma cachette à Clinchamp
2142 - Randonnée à Clinchamp
2141 - Eclipse de Lune à Clinchamp
2140 - Un arc-en-Ciel à Clinchamp
2139 - Clinchamp sous l’orage
2138 - J’ai rêvé de Clinchamp
2137 - Jour de l’An à Clinchamp
2136 - Vacances d’été à Clinchamp
2135 - Attente à Clinchamp
2134 - Un jour ordinaire à Clinchamp
2133 - Or de France
2132 - La compagne des esseulés
2131 - Loup de lumière
2130 - Spleen
2129 - Le pitre
2128 - Les corbeaux de Clinchamp
2127 - Un homme heureux à Clinchamp
2126 - Le mouton
2125 - Des lutins à Clinchamp ?
2124 - Je suis fort !
2123 - Paroles prophétiques
2122 - L’égalité entre les hommes est injuste !
2121 - L’idéaliste de gauche
2120 - La femme est la monture de l’homme
2119 - Clinchamp sous la neige
2118 - Le Nord et le Sud
2117 - Pourquoi j’aime Clinchamp ?
2116 - Convaincre Blandine
2115 - Un couple de vieillards à Clinchamp
2114 - Le facteur de Clinchamp
2113 - Tristesse et beauté à Clinchamp
2112 - L’Art
2111 - Botte à l’oeuf
2110 - Les bûcherons de Clinchamp
2109 - Le coucou de Clinchamp
2108 - BFMTV : l’écran de la vérité
2107 - Lettre anonyme
2106 - Je ne suis pas amoureux de Paris !
2105 - Un jour d’hiver à Warloy-Baillon
2104 - La femme soumise brille comme une casserole
2103 - Les chouettes de Clinchamp
2102 - Quand la tempête s’abat sur Clinchamp...
2101 - L’aile et la pierre
2100 - Mes amis les maudits
2099 - Le brouillard de Clinchamp
2098 - Artiste de gauche
2097 - L’éternité dans la tête
2096 - Toussaint à Clinchamp
2095 - Chagrin échappé
2094 - Clinchamp-sur-Mystère
2093 - Les cafards
2092 - Loup des airs
2091 - Le loup de Clinchamp
2090 - En latin, c’est plus beau !
2089 - Les patates de Clinchamp
2088 - L’enfant des airs
2087 - Ciel de France
2086 - Thaïs d’Escufon
2085 - Les tomates de Clinchamp
2084 - Jérôme Bourbon
2083 - Les chats de Clinchamp
2082 - Poupée d’ailleurs
2081 - Pierre de feu
2080 - Les champs de Clinchamp
2079 - L’éclosion
2078 - Vacuité des bouquinistes
2077 - Les toits
2076 - Freud
2075 - Sport
2074 - Le simplet de Clinchamp
2073 - Les oiseaux de Clinchamp
2072 - Je ne suis pas cartésien
2071 - Au cimetière de Clinchamp
2070 - Le Panthéon pour Hugo, l’évasion pour Izarra
2069 - Les rats de la France
2068 - Le curé de Clinchamp
2067 - Mon trou à Clinchamp
2066 - Saint-Léonard-des-Bois
2065 - Les cloches de Clinchamp
2064 - Un épouvantail à Clinchamp
2063 - Les rêves de Clinchamp
2062 - Je suis raciste
2061 - L’injustice sociale ne me choque pas
2060 - Les femmes de Clinchamp
2059 - Les jours vides de Clinchamp
2058 - Une grand-mère
2057 - Clinchamp vers 1970
2056 - La femme de soixante ans
2055 - Sale temps à Clinchamp
2054 - Un grand voyage en forêt
2053 - L’ailé et l’aliéné
2052 - Souvenirs lointains
2051 - Domestication d’une greluche
2050 - Déprime à Clinchamp
2049 - L’amour à Clinchamp
2048 - Les Droits de l'Homme, c'est la négation de l'homme !
2047 - Les hivers de Clinchamp
2046 - Les chemins de Clinchamp
2045 - Seul au monde
2044 - Ne me parlez pas d’amour
2043 - Tristesse de l’été
2042 - Jour de fête à Clinchamp
2041 - Monsieur Lecon
2040 - Châtelain
2039 - Les ailes de Clinchamp
2038 - Tremblement de terre
2037 - Nuit d’amour
2036 - Pluie de joie à Clinchamp
2035 - Les gauchistes
2034 - Clinchamp sous les clartés lunaires
2033 - Henri d’Anselme, héros hétéro rétro
2032 - Les hirondelles
2031 - Retraite dans la forêt
2030 - Mon bosquet
2029 - L’or de Clinchamp
2028 - Sur le chemin
2027 - La souche
2026 - Clinchamp, ce voyage sans fin
2025 - Sardines à l’huile
2024 - Les fantômes
2023 - Le silence de la forêt
2022 - Les arbres
2021 - Les joies de Clinchamp
2020 - La merde républicaine
2019 - Les ailés
2018 - Les soirées de Clinchamp
2017 - Parasite
2016 - Clinchamp, les routes de l’ennui
2015 - Moi français, je déteste les migrants !
2014 - Répugnante
2013 - Les complotistes
2012 - Je déteste les livres de philosophie !
2011 - Le bossu de Clinchamp
2010 - La lumière de Clinchamp
2009 - Les crépuscules de Clinchamp
2008 - Les nuits à Clinchamp
2007 - Les aubes de Clinchamp
2006 - Je suis un oiseau à Clinchamp
2005 - Les rats de Clinchamp
2004 - Les papillons de Clinchamp
2003 - Les richesses de la normalité
2002 - Le Rimbaud des bobos
2001 - Les vaches de Clinchamp
2000 - La folle de Clinchamp
1999 - Mon ego solaire
1998 - Vague Lune
1997 - Ma cabane à Clinchamp
1996 - Moi, IZARRA
1995 - Mais qui donc est Dardinel ?
1994 - La Dame Blanche de Clinchamp
1993 - Le Dalaï-Lama
1992 - Pluie à Clinchamp
1991 - Je suis sexiste
1990 - Les flammes du printemps
1989 - Le rustaud de Clinchamp
1988 - Les larmes d’Amsterdam
1987 - Clinchamp, terre d’envol
1986 - La Joconde de Clinchamp
1985 - Face cachée de Clinchamp
1984 - La clocharde de Clinchamp
1983 - Je suis un extraterrestre
1982 - Clinchamp sous les éclats de novembre
1981 - Clinchamp au bord des larmes
1980 - Les fantômes de Clinchamp
1979 - Les pissenlits de Clinchamp
1978 - Clinchamp : fin et commencement de tout
1977 - Amsterdam
1976 - J’habite sur la Lune
1975 - Secret de Lune
1974 - Les ailes de la Lune
1973 - Voir Clinchamp et sourire
1972 - La pierre et l’éther
1971 - Clinchamp, au bonheur des larmes
1970 - Clinchamp, mon dernier refuge
1969 - Croissant de Lune
1968 - Mais d’où vient donc la Lune ?
1967 - Lune lointaine
1966 - Lune éternelle
1965 - Sandrine, notre voisine
1964 - Rêve de Lune
1963 - Lune des rêves
1962 - La Lune dans le bleu
1961 - Lune ultime
1960 - Les tourmentés
1959 - Clinchamp, paradis des ombres
1958 - Lune absente
1957 - Je raffole des commérages !
1956 - Clinchamp : royaume des humbles
1955 - La Dame dans le ciel
1954 - Palmade : de la gloire au gouffre
1953 - Evasion
1952 - Tatouages, ces marques de faiblesse
1951 - L’égalité est un enfer !
1950 - Repas sur l’herbe à Clinchamp
1949 - Escale à Clinchamp
1948 - Beauté morbide de la Lune
1947 - J’ai dormi dehors à Clinchamp
1946 - Les humanitaires sont des parasites !
1945 - Sur les routes de Clinchamp
1944 - Une année à Clinchamp
1943 - Tristesse du printemps
1942 - Bulle de Terre
1941 - Jour de joie à Clinchamp
1940 - L’inconnu de Clinchamp
1939 - Le ciel de Clinchamp
1938 - Les éclats de Clinchamp
1937 - Le voyageur
1936 - Fête triste
1935 - Les antiracistes
1934 - Jean Messiha
1933 - Coeur gelé
1932 - Romantisme de pierre
1931 - La femme est sous mes pieds
1930 - Burcu Güneş, un air léger
1929 - Je déteste les pauvres !
1928 - Quand mon coeur s’allume
1927 - Intègre, entier, râpeux
1926 - Le cheval
1925 - Homme mauvais
1924 - Un trou sous le ciel
1923 - Hauteur de la Lune
1922 - Nulle part, là-bas, ailleurs
1921 - Belle Lune
1920 - Salades lunaires
1919 - Lettre à Reynouard
1918 - MARGUERITE OU L’HISTOIRE D’UNE VIEILLE FILLE
1917 - Récoltes lunaires
1916 - Je suis français de souche
1915 - Lune mortuaire
1914 - Clinchamp, cité des oubliés
1913 - Clinchamp, l’air de rien
1912 - Clinchamp, sommet du monde
1911 - La pollution, c’est la vie !
1910 - Seule au monde ?
1909 - Le Ciel et la Terre
1908 - Lune de haut vol
1907 - La Lune s’allume
1906 - Nuit sombre
1905 - Soupe de Lune
1904 - Puretés raciales
1903 - Lune-pizza
1902 - La grande question
1901 - Amiens
1900 - Pleur de Lune
1899 - Rêve d’amour
1898 - Vive le patriarcat !
1897 - La libellule
1896 - L’eau qui m’éclaire
1895 - Une question de clarté
1894 - La Lune dort
1893 - Les artifices du spirituel
1892 - Lune normale
1891 - Ni chauffage ni travail
1890 - Lune de fer
1889 - Molle Lune
1888 - Insensible aux malheurs des autres
1887 - Mon visage de vérité
1886 - Amante russe
1885 - J’écris
1884 - Lune martiale
1883 - Je suis un incapable
1882 - Lune creuse
1881 - 1975
1880 - L’éclat d’un fard
1879 - Amour impossible
1878 - Femme au foyer
1877 - L’esprit de la Lune
1876 - Ingérence féministe
1875 - Cratères lunaires
1874 - Lune d’effroi
1873 - Lune des chats
1872 - Les athées
1871 - Lune d’or
1870 - Lune carrée
1869 - Lune de miel
1868 - Folle lune
1867 - Jour de joie
1866 - SMARPHONES : abrutissement des masses
1865 - Sombre lune
1864 - Les mouches
1863 - Ma vie simple
1862 - Clinchamp, terre lointaine
1861 - Je suis un conservateur
1860 - Lune de glace
1859 - Le lac
1858 - Qu’est-ce que la beauté ?
1857 - Lune blanche
1856 - Lune de mer
1855 - Lune de feu
1854 - Présence immortelle
1853 - Surprenante Lune !
1852 - L’éclat de la Lune
1851 - Epis lunaires
1850 - L’autre Lune
1849 - L’amie des cheminées
1848 - Lune morte
1847 - Lune Parmentier
1846 - Lune fatale
1845 - Amour céleste
1844 - Grâces et disgrâces
1843 - Ma maison, c'est la Lune
1842 - Poids de la Lune
1841 - La morte visiteuse
1840 - Ma cabane sous la Lune
1839 - Bleu ciel
1838 - Histoire de lune
1837 - Suc de Turque
1836 - Stéphane Blet
1835 - Ciel bleu
1834 - Bonheur de rat
1833 - Redneck
1832 - Sur le rivage
1831 - Attraction lunaire
1830 - Je suis anti-féministe radical
1829 - Mais qui est-il ?
1828 - Je veux des frontières !
1827 - Les francs-maçons
1826 - Folies lunaires
1825 - Alunir, en un mot
1824 - “Comme ils disent”, chanson d’Aznavour
1823 - Lune tiède
1822 - Globe de rêve
1821 - Effroi
1820 - Vangelis
1819 - L’air de la Lune
1818 - La campagne
1817 - Lune tombale
1816 - Les cailloux
1815 - Je déteste Paris !
1814 - Boules de neige
1813 - Je n’ai pas peur
1812 - Parler vrai
1811 - Les hommes simples
1810 - Quand la Lune panse
1809 - Régine : extinction d’un feu
1808 - Morte veilleuse
1807 - Coeur de pierre
1806 - Noir
1805 - Mystère de la Lune
1804 - Jackson Pollock
1803 - En pleine lumière
1802 - Harmonie des sexes
1801 - Dix ans dans l’azur
1800 - Pluie d’avril
1799 - Le gueux
1798 - Les pommes de pin
1797 - Voyage vers la Lune
1796 - Mystère d’une nuit
1795 - Une lumière turque
1794 - Sans coeur et avec écorce
1793 - Envolé !
1792 - Galante ou l’abcès crevé
1791 - La lumière du Bosphore
1790 - Claude Monet
1789 - Rat aristocrate
1788 - Ukraine : sortez de vos ornières mentales !
1787 - Tranche de ciel et plumes de la Terre
1786 - Les sots écolos
1785 - L’astre turc
1784 - L’Ukraine, je m’en fous totalement !
1783 - Vive la guerre !
1782 - Réponses à un coatch
1781 - Droite pure
1780 - Vains hypersensibles
1779 - Mes valeurs vives
1778 - Le secret
1777 - Force et lumière
1776 - De l’herbe à l’aiguillon
1775 - Jusqu’à la mort
1774 - Zemmour et les journalistes de gauche
1773 - Dur et juste
1772 - La flamme et le marbre
1771 - Mon chat est mort
1770 - Les frères Bogdanoff
1769 - J’ai rêvé de Natacha
1768 - Technologie
1767 - Vers la Lune
1766 - C’était la guerre
1765 - La “tondue de Chartres”
1764 - Dans le métro
1763 - Naissance d’un virus
1762 - Zemmour est-il un de Gaulle ?
1761 - Je suis grand
1760 - Jour de gloire
1758 - Une muse du Bosphore
1758 - Je suis un extrémiste
1757 - Les éoliennes
1756 - Femme terminale
1755 - Autoportrait
1754 - Je suis un sanglier
1753 - Faux fou
1752 - Les affaires
1751 - Octobre
1750 - Le fantôme
1749 - Les écrivains
1748 - Sauvez la France !
1747 - Mes sentiments de pierre
1746 - Une araignée raconte
1745 - Un coeur clair
1744 - Phallocrate
1743 - Les vaches
1742 - Les faibles sont mauvais
1741 - Les sans-visage
1740 - Le trouillard de gauche
1739 - Léonard de Vinci enfant
1738 - Mes froideurs sublimes
1737 - Le romantisme, c’est la décadence
1736 - La Joconde
1735 - La tour Eiffel
1734 - Le Soleil
1733 - Une boule de mystère
1732 - Les masqués
1731 - Burcu Günes, l’or turc
1730 - Léa Désandre
1729 - Le père Dédé
1728 - “Blanc lumière” de Pollock
1727 - Les kikis et les cocos
1726 - Les funérailles de Belmondo
1725 - Pôle Sud
1724 - Vierge au mariage
1723 - La forêt
1722 - Le réveil des clochers
1721 - En septembre
1720 - Extraterrestre
1719 - Ni cagoule ni sérum
1718 - L’astre des morts
1717 - L’idéaliste
1716 - Un ange noir pour les Blancs ?
1715 - Trois heures du matin
1714 - Dur et vivant
1713 - Homme des bois
1712 - De flamme et de sang
1711 - Mes bas potentiels
1710 - Je suis un anti-progressiste
1709 - Eléonore et les Noirs
1708 - Eléonore et les Juifs
1707 - Une française
1706 - Femme d’idées
1705 - Joie de vivre
1704 - Auteur de rêves
1703 - Raison féminine
1702 - Vieillard
1701 - Face de France
1700 - 1789
1699 - Adieu, France
1698 - Célibataire
1697 - L’envers vert
1696 - Avant la chute
1695 - L’aube d’Ève
1694 - Amour raté
1693 - À vue d’homme
1692 - Le loup et l’agnelle
1691 - Têtes à corps
1690 - Trêve de la nuit
1689 - L’été
1688 - L’hiver
1687 - Les âmes de la forêt
1686 - Enfin libre !
1685 - Je vis sans masque
1684 - Enfants du monde
1328 - Je suis apolitique
115 - Le cygne
114 - Le spleen de Warloy-Baillon
113 - Les visiteurs
112 - La Lune
111 - L’amant des laides
110 - Mémoires d’un libertin
109 - Une existence de pompiste
108 - Lettre à mes amis des listes sur Internet