mercredi 24 avril 2019

1471 - Infirmité-spectacle ou leçon de vie ?

CONFUSION ENTRE COURAGE ET SIMPLE NÉCESSITÉ

Voir la vidéo :


Quel courage ? Tout ce qui vit aspire à continuer à vivre, le bien-portant comme le débile, le fort comme le faible, l'humain comme la vermine, la plante comme la chair.

Cet infirme n'a pas d'autre solution que de faire ce qu'il fait. Où est son courage ? Il ne fait qu'emprunter l'irrépressible pente de la nécessité.

Celui qui touche le fond est toujours courageux. Il n'a pas d'autre choix que de l'être, par la force des choses. En cela il ne fait qu'obéir à la nécessité de la nature comme un chien blessé qui instinctivement cherche à ne pas crever. A partir de là, où est son mérite ?

Le reste n'est que larmoiements puérils et sensiblerie féminine dégoulinante de sucre sentimental.
Le plus insupportable, ce n'est pas l'indécente mise en spectacle des effets de l'infirmité mais les larmoiements des jeunes et émotives spectatrices.

Sensiblerie typiquement américaine.

Détestable !

En outre la mise en scène -par définition artificielle- de cet infirme est déplacée, indécente. Cet enrobage théâtral de sa débilité physique est une forme de manipulation des sensibilités, un exercice pervers de récupération psychologico-mentale des esprits de tous les imbéciles émus.

Ce genre d'exhibition publique de l'infirmité est typiquement dans l'esprit des Yankees. C'est du fast-food moral, bref quelque chose de parfaitement écoeurant.

La vraie charité, l'authentique pitié envers les êtres ne se manifeste pas devant des caméras de télévision. La vraie pitié, la pure fraternité envers ses semblables n'est pas dirigée exclusivement et ponctuellement vers ce qu'un directeur de théâtre ou un journaliste de télévision désigne au public.

Les vrais sentiments de compassion sont universels, inconditionnels.

L'authentique compassion s'adresse aussi bien aux êtres normaux qu'aux débiles. Elle ne se fixe pas sottement sur une infirmité spectaculaire, sur une tare rare ou sur un phénomène médical -quasiment de cirque en ce qui concerne le sujet de la vidéo- mais englobe tout l'être.

Être né dans un corps de misère n'est pas nécessairement synonyme de beauté intérieure. La déchéance du corps n'a rien à voir avec la qualité de l'âme. Il n'y a aucun rapport entre une infirmité et la beauté de l'âme. Un être qui a un corps débile est aussi faillible que n'importe quel autre être humain. Obtenir aussi facilement la compassion de ses semblables par le seul pouvoir de l'apparence physique tient de la pure malhonnêteté, de l'imposture morale. Je le répète, c'est là une forme odieuse de manipulation des sensibilités. Une sorte de chantage sur la misère du corps.

Quand on souffre d'une infirmité aussi spectaculaire, il est tellement aisé de remporter les suffrages d'un public préparé par une mise en scène étudiée... Qui n'est ni plus ni moins une mise en condition émotive. Les mêmes qui, conditionnées par la mise en scène, s'émeuvent devant les caméras pour cet handicapé n'adresseraient même pas un regard au clochard dans la rue... Émotivité sélective !

La vraie beauté du coeur est pudique et non exhibitionniste, l'émotion sincère est profonde et non superficielle.

Ici ce n'est pas une "leçon de vie" mais un numéro de cirque déguisé en leçon d'humanité, du voyeurisme qui ne dit pas son nom. Nous sommes en Amérique...

Le "coeur" comme disent certains n'est qu'une guimauve assassine.

Les gens honnêtes et bons sont les pires crapules qui soient.

Je veux dire qu'être bon et honnête par défaut, parce que tout le monde l'est de manière consensuelle, non par choix personnel mais parce que la pensée dominante (orientée par les médias) formate le peuple pour l'être, c'est la porte ouverte à toutes les vilenies. C'est ainsi que des millions de gens honnêtes sont devenus des nazis en Allemagne en 1933.

Les mangeurs de viande sont des gens honnêtes, sensibles, ce sont même les premiers à s'émouvoir de la condition animale ! Les complices des mines qui amputent les enfants sont de petites gens bons et honnêtes payant leurs impôts. Ils ont beaucoup de coeur puisqu'ils s'émeuvent devant l'injustice du monde. Ils donnent même pour le téléthon comme la télévision le leur demande... Les gens devant leur télévision sont bons, ils ont du "coeur". La plupart sont de la pâte à médias bien primaire réagissant de façon épidermique à la moindre image "révoltante" émise par leur télévision.

Le "coeur" est l'argument des ânes qui croient que braire en choeur c'est nécessairement s'humaniser.

On confond trop souvent humanisme de surface, source de sensiblerie et d'erreurs de jugement, avec humanisme authentique qui ne s'arrête pas au visuel mais plonge jusqu'aux racines du sujet pour mieux perçevoir les vrais contours, faire la distinction entre simple épiderme et âme.

Je me réclame de la raison, non des tripes.

Imaginez-vous que l'on donne la parole à une demi portion qui se plaindrait de son sort en public ? Pour un infirme "courageux" bénéficiant des projecteurs, combien d'infirmes qui ont "mal tournés", passés sous silence ?

Vous le trouvez fort ? Quand on a rien, pas même de membres, quand on est dans la misère totale on est toujours fort. Par défaut.

Cela n'a donc aucune valeur. Je ne me vois pas admirer un être physiquement débile sous prétexte qu'il fait sa cuisine avec les dents, faute de membres. L'infirmité physique n'est pas un idéal de vie pour moi, pas un exploit, pas une vertu. C'est juste une misère de naissance. Ensuite, de gré ou de force on fait avec puisqu'on ne peut pas faire autrement.

Cet être au sommet de l'infirmité m'inspire une très grande pitié. Même si je le trouve positif -au moins il ne se plaint pas, j'apprécie cela-, je n'envie pas un instant sa situation. On peut être positif sans être diminué physiquement. Il n'est pas nécessaire d'être handicapé pour avoir une belle âme. Les manchots n'ont pas le monopole de la noblesse intérieure.

Il est malhonnête, à mon sens, de susciter l'admiration grâce à ses tares plutôt que grâce à ses gloires. Une infirmité est une tare de naissance, celui qui la subit n'en est pas responsable, tandis que la santé morale s'acquiert à force d'efforts, indépendamment des éventuelles tares de naissance.

Oui il est utile en cela qu'il fait réfléchir, réagir les uns et les autres : les dindes sensibles comme les seigneurs raisonnables, et je dis cela sans aucune ironie. Chacun prend ce qu'il a à prendre dans cette affaire. A travers cet infirme certains versent des larmes "ego-suggestives" sur leur propre nombril, réparent leur petites blessures, se félicitent secrètement de leur santé, trop heureux de n'être pas comme cet infirme, d'autres ont des réactions plus élevées.

Bref, les uns pansent, les autres pensent.

Pour moi ce genre de "bonté" a peu de valeur.

Dans un tel état de misère comment faire autrement qu'adopter cette attitude ? Celui qui est dans une totale détresse fera instinctivement profil bas. Il adoptera d'emblée les comportements nécessaires à sa survie en société : ici il fait preuve de "bonté", de "grandeur d'âme". C'est exactement ce qu'on attend de lui.

Imaginez qu'il adopte l'attitude inverse, qu'au lieu de cette dégoulinante attitude correspondant si bien à nos critères socio-culturels à propos de l'image que nous avons des infirmes, il soit plein de haine, de méchanceté, de mesquinerie... Ce serait suicidaire de sa part, n'est-ce pas ?

Les infimes ont bien compris que pour optimiser leurs "succès" il fallait adopter un comportement social adéquat. L'infirme est dans une situation de faiblesse, non de force.

Au Moyen-Âge les mêmes auraient exhibé leurs moignons sur les foires. De nos jours ils font des discours liquoreux. Dans les deux cas ils survivent dans leur milieu.

Cet infirme n'a rien à perdre puisqu'il a déjà tout perdu. Il est exactement dans l'état du supplicié qui demande grâce. En soi quelle valeur peut avoir sa demande puisqu'il est sur l'échafaud, tremblant de peur, la corde déjà autour du cou ? Authentique repentance ou simplement peur de crever au bout d'une corde ? Le cri du coeur ne vient pas de la tête puisque par définition il émane du coeur...

Il est évident que le condamné à mort demandera toujours la grâce présidentielle. Il n'a rien à perdre à la demander...

A la "bonté" prétendue de l'infirme qui fait tout pour susciter l'admiration béate des gens valides je préfère la sincérité du méchant qui au départ a tout pour lui et qui revient de lui-même dans le droit chemin. Celui qui a la gloire, la puissance, l'impunité et qui décide de faire marche arrière pour raison morale, celui-là est autrement plus admirable à mes yeux.

Prenons l'exemple du nazi repenti. Quel authentique courage, quelle grandeur d'âme il faut pour renier ce qui faisait ses valeurs, se repentir de ses crimes ! Non de force mais de soi-même, volontairement.

Celui qui a tout pour lui, qui au départ est dans une situation de force et qui fait la démarche volontaire de tout perdre pour des raisons morales(ce qui est exactement la démarche inverse de l'infirme), celui-là est réellement admirable.

L'infirme fera tout pour gagner sinon la santé, du moins l'affection, la reconnaissance, le respect de ses semblables. Le nazi repenti, l'assassin pris de remords, le braqueur épris d'honnêteté qui décident de se livrer pour payer leurs dettes perdront tout.

Leur geste aura beaucoup plus de valeur.

En somme c'est l'histoire biblique du pécheur revenant dans le droit chemin qui fait se réjouir les anges bien plus que ne le fait l'homme "bon et honnête" de naissance...

S'il fallait compter sur les nains tordus pour construire des barrages, conduire des trains, planter des haricots verts ou creuser des puits en Afrique, nous en serions encore à l'état de sous-développement économique et industriel !

Je veux dire qu'il y a une certaine perversité à "admirer" les exploits des infirmes et que si on pousse le bouchon un peu loin dans cet état d'esprit, on arrive à des aberrations.

Je n'ai rien contre les infirmes mais j'estime que ce sont eux qui ont à apprendre des gens sains et non l'inverse. Il ne faudrait pas que le handicap, la tare, l'indigence, la misère deviennent des références.

Le rôle des infirmes c'est d'être protégés par les plus forts, les gens valides. Pas de donner aux gens sains des leçons de construction de barrages ou de conduites de tracteurs dans les champs.

Dans notre monde matérialiste tout est fait pour que chacun soit utile économiquement parlant (j'avais déjà écrit un article pour dénoncer cet état d'esprit à l'égard des trisomiques) car cette société nombriliste malade de son image ne supporte pas qu'un infirme puisse être improductif, voire mauvais en vertu du fait que selon ses préjugés l'infirmité est nécessairement synonyme de bonté.

Or de nos jours la reconnaissance passe non par l'honnêteté, la religion, la qualité de la pensée ou la moralité mais plus bêtement par le TRAVAIL.

Il faut que les handicapés soient quasiment des saints, comme pour contre-balancer leurs tares. La société à besoin de se fabriquer des mirages qui collent à son époque. Des illusions établies sur un mode économique et non moral.

Or rien ne s'oppose à ce qu'il existe des handicapés pédophiles, paresseux, voleurs, méchants, bêtes, odieux, etc.

Dans cette société d'hyper émotivité médiatique, un handicapé lourd aura toujours plus d'écoute, d'attention, de projecteurs braqués sur ses moignons qu'une personne bien portante. Ce qui au départ est profondément injuste à l'égard des gens sains, pourtant économiquement plus utiles que les infirmes selon les critères de cette société décidément bien hypocrite et contradictoire...

Ne soyons surtout pas dupes de ce cirque : les handicapés "courageux" inspirent la compassion selon l'angle des caméras qui les visent.

Notre époque correspond à celle de l'angle flatteur vis-à-vis des handicapés. Ne perdons pas de vue que ce n'est qu'un parti pris médiatique.

Ce que je dénonce dans cette vidéo, c'est la manipulation unilatérale : l'infirme se met tout de suite son public dans la poche.

Sa cause est acquise d'avance, quoi qu'il dise, son infirmité jouant en sa faveur.

C'est tout simplement malhonnête.

La contestation semble interdite du fait de l'ampleur de son infirmité, de la théâtralisation de son discours, de l'adhésion inconditionnelle du public, du caractère émotif de la mise en scène.

Conclusion : ce spectacle de "l'infirmité glorieuse" par sa manière d'être présenté ressemble plus au discours d'un dictateur imposant ses vues et ne souffrant aucune opposition qu'à un témoignage sain permettant une constructive discussion.

Nick en lui-même ne m'intéresse pas ici, c'est le principe malhonnête de ce spectacle "à opinion unique" que je dénonce.

P.S.

Tout ceci à mes yeux reste un show à l'américaine.

Qui vous dit que derrière cette façade publique Nick ne se réveille pas avec des envies suicidaires le matin ?

Pourquoi devrais-je me fier à de belles paroles issues de ce show ? Je ne suis pas dans le secret du coeur de ce jeune homme. Un infirme n'est pas infaillible. Le mensonge, l'auto-suggestion, la mauvaise foi existent aussi chez les êtres au corps débile.

Je me méfie de ce genre de confessions publiques "à l'américaine" où tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes. Les "impresarios" de Nick ont tout intérêt à ce qu'il soit l'homme le plus heureux du monde. Au moins sur scène.

Je répugne à me laisser séduire par les exhibitionnistes du "bonheur-spectacle".

Il est fort possible que je le trompe du début à la fin, mais au moins j'adopte l'attitude critique consistant à vomir sur ce qui flatte la populace. Je suis à peu près certain de faire erreur (je crois que cet infirme est réellement heureux) mais cette non adhésion à la cause, c'est le prix à payer à l'indépendance de ma pensée.

Je me trompe peut-être ici mais lorsqu'il s'agira d'adopter la même attitude critique sur un cas beaucoup plus suspect, alors je serai dans le vrai et pour une cause autrement plus essentielle. Tandis que les autres se seront fait piéger par les apparences.

13 commentaires:

Esprit de Noble Vertu a dit…
Pareillement je corrobore !
Daniéla a dit…
Encore vous ! Cela fait deux fois en deux jours que je vous croise dans le sillage de Nick Vujivic. Décidément, vous tenez à éclabousser.
lightfoot a dit…
Bonjour, Je suis d'accord sur le fait que c'est une production très hollywoodienne, une mise en scene un peu obscene, mais cela reste une leçon de vie, il faut tout de même un certain courage pour faire de son infirmité une force (même médiatique). Il est facile d'être juste mais beaucoup plus dur de rendre la justice : Si vous pensez que la grandeur d'ame ne DOIT pas être exhibée, vous mettez un frein, une ornière : chacun est libre et sans limites, voila mon point de vue sur ce clip qui m'émeut à chaque fois et qui me donne de la force pour ne jamais "baisser les bras. One Love!
georges a dit…
à mélanger déterminisme et libre arbitre dans tes propos tu est condamné à pondre un discours inconsistant et sterile. Le pire dans tous ca c est qu en plus de mélanger ces 2 inconciliables par définition tu soupoudres tous ca de morale. Que tu ai ressenti un malaise à la vue de ce spectacle est une chose compréhensible, n'essai pas de justifier ca par de la philiosphie de comptoir. Suivant ton raisonnement je pourrais très bien affirmer que tu cherche à attirer l attention en allant à contre courant d'une pensée politiquement correct, tu recherche quoi en publiant tes commentaires si ce n'est faire la preuve de ton narcissisme. Si je publie ca ce n'est pas parceque tu m'énerve mais parce que je sais très bien de quel mal tu souffres.
Raphaël Zacharie de Izarra a dit…
Georges,

Je ne souffre pas, je jouis.

Je jouis de pouvoir faire parler de moi à bon compte de par la toile.

Je ne m'en suis jamais caché, j'aime l'exhibition de mes neurones, de ma particule, de mon feu izarrien.

INTERNET est le plus puissant moyen actuel à ma disposition pour faire parler de moi.

Pourquoi m'en priverais-je ?

Accessoirement je me sers également de cet outil pour répandre dans ce monde sclérosé par le "tout émotif" mes petites vérités impartiales.

Raphaël Zacharie de IZARRA
georges a dit…
dans ce cas c est moi qui me suis trompé, si ton texte a pour origine le besoin de jouir plutôt que celui d'argumenter ce n'est pas la peine de perdre son temps. Après tout tu as le droit de jouir en public mais dans ce cas je te conseil plutôt la poésie. L argumentation quand a elle demande une bonne dose d esprit critique et de recul ce dont tu manques pour une raison bien simple: la facination de tes propres neurones...dommage que la forme prenne le dessus sur le fond car je pense que tu ouvre des questions interessantes, la conclusion quand a elle n est qu une distorsion au service d'un présupposé qui se serait bien passé de tout ce developpement inutile.
La fin justifie les moyens et la tienne n est que l autocélébration de ta pensé...quelle perte de temps et d energie...mais si l illusion dans laquelle tu vis t'apporte jouissance je ne peux te donner que raison
Raphaël Zacharie de Izarra a dit…
Georges,

Bien entendu j'ironisais...

Raphaël Zacharie de IZARRA
georges a dit…
pour dévelloper un peu :
Si tu pose comme base que cet infirme n a d autres choix que de faire ce qu il fait, tu pose les bases du déterminisme. Dans ce cas, personne n est responsable de ses actes, pas plus le mechant que le bon, l infirme que le nazi. Nous sommes conditioné par un ensemble de facteurs physiques et inombrables qui nous conduisent à agir d'une façon et pas d'une autre. Cette vision du monde à laquelle j adère s'oppose strictement à la notion de libre arbitre. Quand par ailleurs tu fais les louanges du mechant qui fait repentance, tu parle de choix. Mais si nous sommes conditioné à faire les choix que l'on fait, le repenti n a pas plus de mérite. Le problème est qu il est difficile d'intégrer la vision déterministe dans notre vie de tous les jours...il faudrait pour cela excuser tous le monde sous pretexte que tout écrit!!c est de là que vient ta révolte, comme tous les être humains, tu es habité par des émotions, tu as besoin d'aimer ou de haïr. J ai veccu ce conflit il y a longtemps, je decortiquait le monde, le soumettais à une critique implaccable mais je me suis perdu car j'ai commencé à donner des jugements de valeurs aux choses et à regarder les être humains comme des pantins ridicules. La vérité c'est que même si nous sommes sous un certain angle des pantin, langle de la vision déterministe, nous en sommes pas pour autant ridicule, le fait d'y voir du ridicule est issu d'une revolte interne,le refus d'accepter le monde tel qu il est... Je pense que tu ira bcp plus loin si tu cesse de porter des jugements de valeur ou si au contraire tu fais le choix de faire la moral aux gens et d agir comme un justicier, rends toi compte que c'est les emotions qui te dirige plutôt que la raison (même si on fait souvent les deux à la fois et c est de là que naissent toutes les débats steriles). Je crois qu on gagne plus à se rendre compte qu on est pas meilleurs que ceux que l'on montre du doigt
georges a dit…
une dernière chose, désolé pour le style et l'orthographe
Hadrien a dit…
Tu devrais écrire ton article en anglais.
mic-mac d a dit…
En ce qui concerne le personnage de Nick Vujicic,c'est une idée géniale qu'il ait eu , de mettre de côté toutes les questions qui fragilisaient son âme pour se focaliser sur son esprit, en puisant dans sa détermination à dominer la chair afin de se faire connaitre ;afin de montrer aux autres handicapés la place qu'ils possèdent dans la société et au monde des normaux le défi de se surpasser nonobstant les circonstances ou tournures de la vie.GLOIRE soit rendu à DIEU qui l'a inspiré à rester connecté à lui à travers sa parole (Jean 9)et qui l'a entouré des parents chrétiens à tel enseigne qu'il n'a manqué ni de soutien spirituel ni du financier.MAIS LE COMBAT était livré contre lui-même ;d'abord s'accepter comme tel et en tirer profit pour les autres.
mic-mac d a dit…
En ce qui concerne le personnage de Nick VUJICIC,je suis impressionnée par sa volonté de faire connaitre sa personne sur internet comme il le dit lui-même (voir son album)après avoir mis de côté les questions qui le turlipinaient sur son infirmité et compris après la lecture de jean 9, le bien fondé de sa situation qui est de donner une valeur aux autres handicapés et un défi au monde des personnes normales comme un tremplin, pour exceller par l'esprit et non par les capacités physiques.
MERCI Seigneur car tes pensées sont insondables et ton mystère qui n'est autre que ta puissance se manifeste dans l'infirmité.Gloire à Dieu...
Raphaël Zacharie de IZARRA a dit…
mic-mac d,

La vraie piété se manifeste quand on est en bonne santé, non quand on est infirme.

C'est quand tout va bien que la piété qui s'exprime est sincère.

La piété ne doit pas être une roue de secours en cas de malchance mais une option prise dès le départ, une option inconditionnelle et non pas une issue de secours en cas de force majeure.

Raphaël Zacharie de IZARRA

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Liste des textes

2148 - Je suis de la droite honteuse
2147 - Les écrivains sont des poids morts
2146 - L’héritage de Clinchamp
2145 - Clinchamp, une histoire sans fin
2144 - Vent de mystère à Clinchamp
2143 - Ma cachette à Clinchamp
2142 - Randonnée à Clinchamp
2141 - Eclipse de Lune à Clinchamp
2140 - Un arc-en-Ciel à Clinchamp
2139 - Clinchamp sous l’orage
2138 - J’ai rêvé de Clinchamp
2137 - Jour de l’An à Clinchamp
2136 - Vacances d’été à Clinchamp
2135 - Attente à Clinchamp
2134 - Un jour ordinaire à Clinchamp
2133 - Or de France
2132 - La compagne des esseulés
2131 - Loup de lumière
2130 - Spleen
2129 - Le pitre
2128 - Les corbeaux de Clinchamp
2127 - Un homme heureux à Clinchamp
2126 - Le mouton
2125 - Des lutins à Clinchamp ?
2124 - Je suis fort !
2123 - Paroles prophétiques
2122 - L’égalité entre les hommes est injuste !
2121 - L’idéaliste de gauche
2120 - La femme est la monture de l’homme
2119 - Clinchamp sous la neige
2118 - Le Nord et le Sud
2117 - Pourquoi j’aime Clinchamp ?
2116 - Convaincre Blandine
2115 - Un couple de vieillards à Clinchamp
2114 - Le facteur de Clinchamp
2113 - Tristesse et beauté à Clinchamp
2112 - L’Art
2111 - Botte à l’oeuf
2110 - Les bûcherons de Clinchamp
2109 - Le coucou de Clinchamp
2108 - BFMTV : l’écran de la vérité
2107 - Lettre anonyme
2106 - Je ne suis pas amoureux de Paris !
2105 - Un jour d’hiver à Warloy-Baillon
2104 - La femme soumise brille comme une casserole
2103 - Les chouettes de Clinchamp
2102 - Quand la tempête s’abat sur Clinchamp...
2101 - L’aile et la pierre
2100 - Mes amis les maudits
2099 - Le brouillard de Clinchamp
2098 - Artiste de gauche
2097 - L’éternité dans la tête
2096 - Toussaint à Clinchamp
2095 - Chagrin échappé
2094 - Clinchamp-sur-Mystère
2093 - Les cafards
2092 - Loup des airs
2091 - Le loup de Clinchamp
2090 - En latin, c’est plus beau !
2089 - Les patates de Clinchamp
2088 - L’enfant des airs
2087 - Ciel de France
2086 - Thaïs d’Escufon
2085 - Les tomates de Clinchamp
2084 - Jérôme Bourbon
2083 - Les chats de Clinchamp
2082 - Poupée d’ailleurs
2081 - Pierre de feu
2080 - Les champs de Clinchamp
2079 - L’éclosion
2078 - Vacuité des bouquinistes
2077 - Les toits
2076 - Freud
2075 - Sport
2074 - Le simplet de Clinchamp
2073 - Les oiseaux de Clinchamp
2072 - Je ne suis pas cartésien
2071 - Au cimetière de Clinchamp
2070 - Le Panthéon pour Hugo, l’évasion pour Izarra
2069 - Les rats de la France
2068 - Le curé de Clinchamp
2067 - Mon trou à Clinchamp
2066 - Saint-Léonard-des-Bois
2065 - Les cloches de Clinchamp
2064 - Un épouvantail à Clinchamp
2063 - Les rêves de Clinchamp
2062 - Je suis raciste
2061 - L’injustice sociale ne me choque pas
2060 - Les femmes de Clinchamp
2059 - Les jours vides de Clinchamp
2058 - Une grand-mère
2057 - Clinchamp vers 1970
2056 - La femme de soixante ans
2055 - Sale temps à Clinchamp
2054 - Un grand voyage en forêt
2053 - L’ailé et l’aliéné
2052 - Souvenirs lointains
2051 - Domestication d’une greluche
2050 - Déprime à Clinchamp
2049 - L’amour à Clinchamp
2048 - Les Droits de l'Homme, c'est la négation de l'homme !
2047 - Les hivers de Clinchamp
2046 - Les chemins de Clinchamp
2045 - Seul au monde
2044 - Ne me parlez pas d’amour
2043 - Tristesse de l’été
2042 - Jour de fête à Clinchamp
2041 - Monsieur Lecon
2040 - Châtelain
2039 - Les ailes de Clinchamp
2038 - Tremblement de terre
2037 - Nuit d’amour
2036 - Pluie de joie à Clinchamp
2035 - Les gauchistes
2034 - Clinchamp sous les clartés lunaires
2033 - Henri d’Anselme, héros hétéro rétro
2032 - Les hirondelles
2031 - Retraite dans la forêt
2030 - Mon bosquet
2029 - L’or de Clinchamp
2028 - Sur le chemin
2027 - La souche
2026 - Clinchamp, ce voyage sans fin
2025 - Sardines à l’huile
2024 - Les fantômes
2023 - Le silence de la forêt
2022 - Les arbres
2021 - Les joies de Clinchamp
2020 - La merde républicaine
2019 - Les ailés
2018 - Les soirées de Clinchamp
2017 - Parasite
2016 - Clinchamp, les routes de l’ennui
2015 - Moi français, je déteste les migrants !
2014 - Répugnante
2013 - Les complotistes
2012 - Je déteste les livres de philosophie !
2011 - Le bossu de Clinchamp
2010 - La lumière de Clinchamp
2009 - Les crépuscules de Clinchamp
2008 - Les nuits à Clinchamp
2007 - Les aubes de Clinchamp
2006 - Je suis un oiseau à Clinchamp
2005 - Les rats de Clinchamp
2004 - Les papillons de Clinchamp
2003 - Les richesses de la normalité
2002 - Le Rimbaud des bobos
2001 - Les vaches de Clinchamp
2000 - La folle de Clinchamp
1999 - Mon ego solaire
1998 - Vague Lune
1997 - Ma cabane à Clinchamp
1996 - Moi, IZARRA
1995 - Mais qui donc est Dardinel ?
1994 - La Dame Blanche de Clinchamp
1993 - Le Dalaï-Lama
1992 - Pluie à Clinchamp
1991 - Je suis sexiste
1990 - Les flammes du printemps
1989 - Le rustaud de Clinchamp
1988 - Les larmes d’Amsterdam
1987 - Clinchamp, terre d’envol
1986 - La Joconde de Clinchamp
1985 - Face cachée de Clinchamp
1984 - La clocharde de Clinchamp
1983 - Je suis un extraterrestre
1982 - Clinchamp sous les éclats de novembre
1981 - Clinchamp au bord des larmes
1980 - Les fantômes de Clinchamp
1979 - Les pissenlits de Clinchamp
1978 - Clinchamp : fin et commencement de tout
1977 - Amsterdam
1976 - J’habite sur la Lune
1975 - Secret de Lune
1974 - Les ailes de la Lune
1973 - Voir Clinchamp et sourire
1972 - La pierre et l’éther
1971 - Clinchamp, au bonheur des larmes
1970 - Clinchamp, mon dernier refuge
1969 - Croissant de Lune
1968 - Mais d’où vient donc la Lune ?
1967 - Lune lointaine
1966 - Lune éternelle
1965 - Sandrine, notre voisine
1964 - Rêve de Lune
1963 - Lune des rêves
1962 - La Lune dans le bleu
1961 - Lune ultime
1960 - Les tourmentés
1959 - Clinchamp, paradis des ombres
1958 - Lune absente
1957 - Je raffole des commérages !
1956 - Clinchamp : royaume des humbles
1955 - La Dame dans le ciel
1954 - Palmade : de la gloire au gouffre
1953 - Evasion
1952 - Tatouages, ces marques de faiblesse
1951 - L’égalité est un enfer !
1950 - Repas sur l’herbe à Clinchamp
1949 - Escale à Clinchamp
1948 - Beauté morbide de la Lune
1947 - J’ai dormi dehors à Clinchamp
1946 - Les humanitaires sont des parasites !
1945 - Sur les routes de Clinchamp
1944 - Une année à Clinchamp
1943 - Tristesse du printemps
1942 - Bulle de Terre
1941 - Jour de joie à Clinchamp
1940 - L’inconnu de Clinchamp
1939 - Le ciel de Clinchamp
1938 - Les éclats de Clinchamp
1937 - Le voyageur
1936 - Fête triste
1935 - Les antiracistes
1934 - Jean Messiha
1933 - Coeur gelé
1932 - Romantisme de pierre
1931 - La femme est sous mes pieds
1930 - Burcu Güneş, un air léger
1929 - Je déteste les pauvres !
1928 - Quand mon coeur s’allume
1927 - Intègre, entier, râpeux
1926 - Le cheval
1925 - Homme mauvais
1924 - Un trou sous le ciel
1923 - Hauteur de la Lune
1922 - Nulle part, là-bas, ailleurs
1921 - Belle Lune
1920 - Salades lunaires
1919 - Lettre à Reynouard
1918 - MARGUERITE OU L’HISTOIRE D’UNE VIEILLE FILLE
1917 - Récoltes lunaires
1916 - Je suis français de souche
1915 - Lune mortuaire
1914 - Clinchamp, cité des oubliés
1913 - Clinchamp, l’air de rien
1912 - Clinchamp, sommet du monde
1911 - La pollution, c’est la vie !
1910 - Seule au monde ?
1909 - Le Ciel et la Terre
1908 - Lune de haut vol
1907 - La Lune s’allume
1906 - Nuit sombre
1905 - Soupe de Lune
1904 - Puretés raciales
1903 - Lune-pizza
1902 - La grande question
1901 - Amiens
1900 - Pleur de Lune
1899 - Rêve d’amour
1898 - Vive le patriarcat !
1897 - La libellule
1896 - L’eau qui m’éclaire
1895 - Une question de clarté
1894 - La Lune dort
1893 - Les artifices du spirituel
1892 - Lune normale
1891 - Ni chauffage ni travail
1890 - Lune de fer
1889 - Molle Lune
1888 - Insensible aux malheurs des autres
1887 - Mon visage de vérité
1886 - Amante russe
1885 - J’écris
1884 - Lune martiale
1883 - Je suis un incapable
1882 - Lune creuse
1881 - 1975
1880 - L’éclat d’un fard
1879 - Amour impossible
1878 - Femme au foyer
1877 - L’esprit de la Lune
1876 - Ingérence féministe
1875 - Cratères lunaires
1874 - Lune d’effroi
1873 - Lune des chats
1872 - Les athées
1871 - Lune d’or
1870 - Lune carrée
1869 - Lune de miel
1868 - Folle lune
1867 - Jour de joie
1866 - SMARPHONES : abrutissement des masses
1865 - Sombre lune
1864 - Les mouches
1863 - Ma vie simple
1862 - Clinchamp, terre lointaine
1861 - Je suis un conservateur
1860 - Lune de glace
1859 - Le lac
1858 - Qu’est-ce que la beauté ?
1857 - Lune blanche
1856 - Lune de mer
1855 - Lune de feu
1854 - Présence immortelle
1853 - Surprenante Lune !
1852 - L’éclat de la Lune
1851 - Epis lunaires
1850 - L’autre Lune
1849 - L’amie des cheminées
1848 - Lune morte
1847 - Lune Parmentier
1846 - Lune fatale
1845 - Amour céleste
1844 - Grâces et disgrâces
1843 - Ma maison, c'est la Lune
1842 - Poids de la Lune
1841 - La morte visiteuse
1840 - Ma cabane sous la Lune
1839 - Bleu ciel
1838 - Histoire de lune
1837 - Suc de Turque
1836 - Stéphane Blet
1835 - Ciel bleu
1834 - Bonheur de rat
1833 - Redneck
1832 - Sur le rivage
1831 - Attraction lunaire
1830 - Je suis anti-féministe radical
1829 - Mais qui est-il ?
1828 - Je veux des frontières !
1827 - Les francs-maçons
1826 - Folies lunaires
1825 - Alunir, en un mot
1824 - “Comme ils disent”, chanson d’Aznavour
1823 - Lune tiède
1822 - Globe de rêve
1821 - Effroi
1820 - Vangelis
1819 - L’air de la Lune
1818 - La campagne
1817 - Lune tombale
1816 - Les cailloux
1815 - Je déteste Paris !
1814 - Boules de neige
1813 - Je n’ai pas peur
1812 - Parler vrai
1811 - Les hommes simples
1810 - Quand la Lune panse
1809 - Régine : extinction d’un feu
1808 - Morte veilleuse
1807 - Coeur de pierre
1806 - Noir
1805 - Mystère de la Lune
1804 - Jackson Pollock
1803 - En pleine lumière
1802 - Harmonie des sexes
1801 - Dix ans dans l’azur
1800 - Pluie d’avril
1799 - Le gueux
1798 - Les pommes de pin
1797 - Voyage vers la Lune
1796 - Mystère d’une nuit
1795 - Une lumière turque
1794 - Sans coeur et avec écorce
1793 - Envolé !
1792 - Galante ou l’abcès crevé
1791 - La lumière du Bosphore
1790 - Claude Monet
1789 - Rat aristocrate
1788 - Ukraine : sortez de vos ornières mentales !
1787 - Tranche de ciel et plumes de la Terre
1786 - Les sots écolos
1785 - L’astre turc
1784 - L’Ukraine, je m’en fous totalement !
1783 - Vive la guerre !
1782 - Réponses à un coatch
1781 - Droite pure
1780 - Vains hypersensibles
1779 - Mes valeurs vives
1778 - Le secret
1777 - Force et lumière
1776 - De l’herbe à l’aiguillon
1775 - Jusqu’à la mort
1774 - Zemmour et les journalistes de gauche
1773 - Dur et juste
1772 - La flamme et le marbre
1771 - Mon chat est mort
1770 - Les frères Bogdanoff
1769 - J’ai rêvé de Natacha
1768 - Technologie
1767 - Vers la Lune
1766 - C’était la guerre
1765 - La “tondue de Chartres”
1764 - Dans le métro
1763 - Naissance d’un virus
1762 - Zemmour est-il un de Gaulle ?
1761 - Je suis grand
1760 - Jour de gloire
1758 - Une muse du Bosphore
1758 - Je suis un extrémiste
1757 - Les éoliennes
1756 - Femme terminale
1755 - Autoportrait
1754 - Je suis un sanglier
1753 - Faux fou
1752 - Les affaires
1751 - Octobre
1750 - Le fantôme
1749 - Les écrivains
1748 - Sauvez la France !
1747 - Mes sentiments de pierre
1746 - Une araignée raconte
1745 - Un coeur clair
1744 - Phallocrate
1743 - Les vaches
1742 - Les faibles sont mauvais
1741 - Les sans-visage
1740 - Le trouillard de gauche
1739 - Léonard de Vinci enfant
1738 - Mes froideurs sublimes
1737 - Le romantisme, c’est la décadence
1736 - La Joconde
1735 - La tour Eiffel
1734 - Le Soleil
1733 - Une boule de mystère
1732 - Les masqués
1731 - Burcu Günes, l’or turc
1730 - Léa Désandre
1729 - Le père Dédé
1728 - “Blanc lumière” de Pollock
1727 - Les kikis et les cocos
1726 - Les funérailles de Belmondo
1725 - Pôle Sud
1724 - Vierge au mariage
1723 - La forêt
1722 - Le réveil des clochers
1721 - En septembre
1720 - Extraterrestre
1719 - Ni cagoule ni sérum
1718 - L’astre des morts
1717 - L’idéaliste
1716 - Un ange noir pour les Blancs ?
1715 - Trois heures du matin
1714 - Dur et vivant
1713 - Homme des bois
1712 - De flamme et de sang
1711 - Mes bas potentiels
1710 - Je suis un anti-progressiste
1709 - Eléonore et les Noirs
1708 - Eléonore et les Juifs
1707 - Une française
1706 - Femme d’idées
1705 - Joie de vivre
1704 - Auteur de rêves
1703 - Raison féminine
1702 - Vieillard
1701 - Face de France
1700 - 1789
1699 - Adieu, France
1698 - Célibataire
1697 - L’envers vert
1696 - Avant la chute
1695 - L’aube d’Ève
1694 - Amour raté
1693 - À vue d’homme
1692 - Le loup et l’agnelle
1691 - Têtes à corps
1690 - Trêve de la nuit
1689 - L’été
1688 - L’hiver
1687 - Les âmes de la forêt
1686 - Enfin libre !
1685 - Je vis sans masque
1684 - Enfants du monde
1328 - Je suis apolitique
115 - Le cygne
114 - Le spleen de Warloy-Baillon
113 - Les visiteurs
112 - La Lune
111 - L’amant des laides
110 - Mémoires d’un libertin
109 - Une existence de pompiste
108 - Lettre à mes amis des listes sur Internet