lundi 27 décembre 2010

899 - Considérations misanthropiques sur Noël

Certains n'aiment pas les rats, les araignées ou les asticots.

Moi je n'aime pas les chiens (leurs odeur et moeurs me dégoûtent, je ne supporte pas leurs aboiements et crains leurs crocs), les enfants (pas tous mais en général car peu d'entre eux sont des surdoués) et les vieilles gens séniles (les vieux retombant en enfance incarnent la déchéance de la fin de vie).

En bref je suis allergique à la vue des êtres faibles, sots, handicapés, diminués.

Je préfère voir les humains en pleine santé, intelligents, cultivés, habiles, talentueux, heureux, épanouis, radieux, glorieux.

Est-ce donc interdit d'avoir de telles préférences ?

J'aime voir les enfants heureux... de ne rien recevoir à Noël. Ces IZARRA en modèles réduits sont malheureusement assez rares.

Je préfère voir des enfants heureux à l'idée de faire ceinture à Noël, donc des enfants intelligents. Si les parents étaient assez pédagogues et courageux envers leur progéniture ils leur expliqueraient que les vrais cadeaux ne sont pas toutes ces sottises matérielles dont on les gave à Noël et même chaque jour de l'année mais l'intelligence, cette richesse de l'esprit. Un enfant assez intelligent pour comprendre qu'il doit être heureux de ne rien recevoir à Noël est infiniment plus plaisant à mes yeux qu'un de ces petits crétins ignares pourris de cadeaux qu'il ira revendre le lendemain sur EBAY ! (Parce qu'en plus ils ont l'ordinateur dans leur chambre avec l'accès à INTERNET, ce qui en soi est un cadeau quotidien qui vaut tous les Noël de leur vie !)

C'est Noël tous les jours dans notre société d'abondance mais combien s'en rendent vraiment compte ? Les enfants devraient s'émerveiller chaque jour de l'année non seulement de toutes les belles choses dont ils jouissent, mais aussi du ciel, de la nature et des étoiles au lieu d'attendre le jour de Noël pour commencer à écarquiller les yeux sur les inepties qu'on leur offre !

Les gamins de nos jours sont aussi abrutis que les parents : gavés de game-boy, de jeux en réseaux débiles, de téléphones portables et de programmes de décervelés débités par les bouquets de chaînes, ce sont des cancres analphabètes qui ne savent même plus apprécier les joies essentielles de l'existence. Surcouvés, "yaourtisés" à outrance, ce sont de futurs adultes souffreteux (ils n'ont plus d'anticorps à force de vivre sous des toits surchauffés) qui vont réclamer leur retraite dupontesque avant cinquante ans !

Nombreux parmi eux ne savent même pas ce qu'est une vache, une giboulée de mars ou une grenouille, emmitouflés qu'ils sont dans leurs cages à lapins anti-éducatives ! Ils s'imaginent que les poissons sont carrés et que les piercings sont des accessoires indispensables qui leurs son dus.

Génération "limacière" d'ignares blasés par les écrans, les fast-foods et les Noëls quotidiens car Noël avec eux c'est tous les jours de l'année mais tout comme leurs abrutis de parents ils ne s'en rendent même pas compte.

Aujourd'hui les enfants élevés à l'Iphone, rebelles et frondeurs, alcoolisés à 11 ans, dépucelés à 13 ans, ne savent plus s'émerveiller devant les choses simples de la nature et pourtant infiniment plus denses que leurs technologies de petits imbéciles incultes.

Cela dit je ne déteste pas vraiment les enfants : je n'apprécie que les enfants silencieux, intellectuellement surdoués, bien éduqués et socialement avantagés. S'ils ont hérité de la particule c'est encore mieux.

Quant à la progéniture des Dupont, elle m'incommode singulièrement.

Je suis réellement allergique à la bêtise infantile et parentale, ce n'est pas de la provocation de ma part de dire cela mais la simple et banale vérité.

Voir la beauté du monde permet d'avoir la volonté de lutter contre sa laideur.

C'est précisément ce que je fais ici, je ne me focalise pas sur la laideur du monde, bien au contraire : c'est sa beauté qui m'intéresse, d'où ma préférence pour les être aboutis, expérimentés, sages, intelligents. Le simple fait de savoir poser un regard émerveillé sur la beauté des choses et non de s'attarder sur leur laideur suffit à embellir le monde, même si par ailleurs on ne fait pas nécessairement la démarche active de redresser la laideur.

Je n'ai pas le culte imbécile et politiquement correct de l'enfance si cher à notre société démagogue, même si j'estime être un authentique Peter Pan par ailleurs, ce qui n'a rien de paradoxal. L'enfance est un paradis quand on y est mais dès qu'on est un adulte l'enfance -du moins celle des autres- est considérée comme un handicap, un état de dépendance, de faiblesse et d'ignorance. J'ai fait un stage dans une maison de retraite pour grabataires en 1991 : je pense la même chose en ce qui concerne la vieillesse sénile. J'avais pitié de ces vieux finissant leur existence dans la misère mentale et physique et certains m'insupportaient dans leur gâtisme, souillant leur literie d'excréments.

Je ne vois rien de glorieux à torcher des vieillards. Je trouve dégradant et déplacé de s'enorgueillir de cet acte faussement charitable puisque la prétendue élévation d'âme de la personne soignante est au prix de la misère de ces vieux. La vraie charité ne serait-elle pas de faire le sacrifice de sa propre humilité afin de servir une cause heureuse ?

Voir mon texte biographique N°781 à ce sujet "L'étable des morts-vivants" :


Contrairement à la mère Térésa qui semblait se complaire dans les odeurs rances de la vieillesse miséreuse de Calcutta, je préfère les parfums nobles de la vieillesse radieuse. Certes elle soulageait la misère et c'est très louable, mais elle n'avait pas tellement de mérite puisque c'était précisément sa vocation. Elle ne pouvait chrétiennement rien faire d'autre dans sa vie.

Ce qui n'est pas mon rôle à moi : IZARRA n'est pas mère Térésa.

Chacun doit être à sa place et y faire son travail et la mienne n'est pas à Calcutta mais ici dans la démythification des cadeaux de Noël que je nomme "imbécillités pour petits crétins déjà gavés toute l'année".

Je déteste le Père Noël, scorie publicitaire typiquement yankee pour le Coca-Cola !

Rappelons que le Père Noël est une invention marketing des années 1940 pour vendre du Coca-Cola. C'est pour moi l'image de la décadence mise sur le trône mensonger d'une tradition qui n'est ni la nôtre ni même légitime pour ses créateurs (les publicistes américains) qui ont dévoyé le message de Noël pour en faire un coup marketing de longue durée.

Rien à voir avec le véritable Noël !

Les pères Noël qui traînent dans les zones commerciales où ils sont payés à l'heure ne me font pas rêver.

Ce sont même des tue-rêve par excellence.

Tout n'est que récupération commerciale, les enfants sont décidément bien trop bêtes pour ne pas le voir ! Pendant qu'ils rêvent, les adultes manipulateurs, cyniques, se frottent les mains et les parents, abrutis au dernier degré, ouvrent leur porte-monnaie sans compter.

Enfants rois = parents esclaves.

Quand j'étais petit naïvement je pensais que les forains étaient heureux de me faire monter sur leurs manèges. Adultes, j'ai compris qu'ils n'en ont rien à faire de la joie des enfants. Seul leur importe l'argent que leur rapportera leurs sourires hypocrites (quand ils l'affichent car la plupart du temps les forains ont une mine crapuleuse et montrent à longueur de temps leur mauvaise humeur).

Quel sens peut avoir Noël quand c'est Noël tous les jours ?

Pour moi un vrai Noël qui me fait réellement rêver c'est un Noël dépouillé dans le froid hivernal, un Noël pieux en contact avec les âpres éléments, un Noël monacal où seul l'essentiel comble les âmes lassées de l'abondance matérielle qui étouffe l'esprit.

Lisez mes contes de Noël, révélateurs de ma pensée: ils traitent tous du renoncement aux artifices pour un retour à l'essentiel.

Les imbécillités relatives au Noël païen, depuis la bûche aux édulcorants jusqu'aux cadeaux obscènes (jeux vidéos martiaux et Iphones) ou mièvres au bas du sapin clignotant (qui parfois, comble de l'horreur, est en plastique) m'ennuient mortellement, ne me font pas rêver du tout. Je trouve tout cela fort trivial, vulgaire, pesant, indigeste et finalement vide.

Je préfère me promener seul la nuit sous la neige loin des écrans, du bruit parasite et de tous les artifices de la vie moderne, chose que je fais d'ailleurs à chaque fois qu'il neige.

Pour être honnête je dois préciser que j'apprécie les veilles et nuits de Noël pour la raison que l'espace public se dépeuple agréablement de toute roture, trop occupée qu'elle est à festoyer devant la télévision. Il est délicieux de me promener en campagne dans le froid de la nuit pendant que le reste du monde me laisse en paix. Cela dit je trouve quand même dommage que ces gens se privent de cette joie pure et virile consistant à renoncer à leurs imbécillités de Noël. Pour aucun Noël profane au monde je n'échangerais mes belles promenades nocturnes contre une soirée de télévision dans une pièce surchauffée dégoulinante de guirlandes et de cadeaux clinquants.

Enfin, remuer un chiffon rouge devant un taureau ou bien le flatter avec des gerbes de foin sont les meilleurs moyens de canaliser son énergie à notre profit. On applique la même méthode aux humains sauf que les mots agissent tantôt comme des aiguillons, tantôt comme des caresses. Les hommes politiques savent user à la perfection de cette ruse vieille comme le monde.

Les buts sont assez divers mais ici il consiste à éprouver les caractères, mesurer les intelligences.

Le surenchérissement izarrien est un excellent test pour mes interlocuteurs.

Il y en a qui répondent par l'humour à mes chiffons rouges, d'autres par la rhétorique, d'autres encore par l'injure.

dimanche 19 décembre 2010

898 - La revanche des culs-terreux (suite)

Face aux réactions moqueuses engendrées par le fameux boy's band russe aux codes vestimentaires et esthétiques totalement décalés par rapport à ce que certains appellent la "norme décente" -et que moi je qualifierais plutôt d'artifice occidental, voire de décadence mercantilo-mondialiste- je reviens sur le sujet pour y ajouter quelques vérités supplémentaires.

Ces multiples parodies du groupe russe à travers le monde occidental -jusqu'en Amérique du Sud- sont révélatrices de la mentalité corrompue de ces jeunes populations bien formatées par les gourous de la cause facebookienne qui les gavent de leurs valeurs frelatées.

Tous ces moqueurs me font pitié car leurs moqueries signent leur dégénérescence.

Ils se croient mieux lotis avec leurs références hollywoodiennes puant le vice esthétique et le mensonge culturel, se trouvent plus chanceux avec leurs rap, rock et tectonique de décervelés aux lèvres piercées, se pensent plus intelligents, mieux éduqués avec leur boîte crânienne vide devenue misérable récipient à Coca-Cola, sont persuadés d'être plus créatifs, de jouir d'une sensibilité musicale plus sophistiquée avec leurs dérèglements sonores malsains...

Ces clones -interchangeables d'un continent à l'autre- consommateurs de nullités, adeptes des mêmes inépuisables inepties et hérésies servies par des marchands de soupe dictant leurs lois sont à mes yeux de vrais indigents.

Ayant perdu toute innocence artistique, ils adorent la déviance musicale et ses perversités qu'ils prennent pour du raffinement, de l'avant-gardisme, de la rébellion !

Parfaitement dénués de sens critique, lobotomisés par les ondes décérébrantes de leurs radios débiles, adoptant les moeurs et produits insanes dérivés de leurs goûts pour la musique viciée, ces pantins avides de consommer des imbécillités se laissent berner par les sirènes mercantilo-vestimentaires qui feront d'eux des singes tous semblables, à la grande satisfaction de leurs mentors détenant la grosse artillerie, tels EMI, LA FNAC, M6, NRJ, FACEBOOK, APPLE, MICROSOFT, MSN, ORANGE, etc.

Le superflu, l'accessoire, le futile, la frime sont leurs vraies valeurs.

Iphonisés, imbécillisés, mac-donalisés, homosexualisés, gauchisés (mais de travers) ces branchés-tatoués-épilés victimes de la crise -la vraie crise, c'est-à-dire la crise morale- n'ont plus qu'à tourner en ridicule ces chanteurs russes restés sains d'esprit, vrais avec leur apparence sans vanité, leurs gueules authentiques, anguleuses et franches, non pommadées, avec leur mentalité russe rurale demeurée intacte, bien à l'écart des miasmes culturels occidentaux qui font la fierté de nos ânes déculturés.

Misérables moqueurs parodiant ces jeunes russes !

Ce sont eux, les moqueurs, qui sont vraiment à plaindre, eux la chair à canon des discothèques et labels de musique qui les abrutissent disque après disque, année après année, génération après génération.

samedi 18 décembre 2010

897 - Boy's band : la revanche des culs-terreux

Ils sont ringards, pas beaux, mal habillés, partiellement édentés, ont des allures franchement provinciales et sont la risée du NET occidental.

Bref, ce sont de vrais ploucs.

Et le meilleur, c'est que ce n'est absolument pas du second degré !

On les parodie dans tous les pays. Le monde entier se fout de leurs gueules (qu'ils n'ont pas du tout à la mode).

C'est un boy's band russe, ou plus exactement, de la Russie profonde : les StekloVata.

Leur succès hors de leurs frontières est dû à cet hilarant décalage entre leurs normes de bouseux et les nôtres.

Il n'empêche...

C'est précisément parce qu'ils incarnent l'exact opposé de ce qui fait la superficialité, l'ineptie et la décadence de nos codes "branchés", que je les trouve touchants.

Mais surtout très sains.

En effet, ils ne chantent pas des histoires de sexe, de fric, d'amour sordide, de drogue ou de violence. Ce ne sont pas des frimeurs à la mentalité dégénérée. Eux, avec leurs pull-over grossiers, nous souhaitent simplement... une bonne année ! (NOVI GOD)

Influence de la Russie profonde...

Dans leurs grosses chaussures bien terreuses, ces garçons aux valeurs musicales totalement étrangères à notre occident hyper sexué, imprégné d'idées malsaines et en permanent état d'over-dose nous souhaitent une bonne année, innocents dans leur rustre simplicité, protégés du poison de notre vice sophistiqué.

Alors regardons non seulement avec un oeil indulgent ce boy's band de culs-terreux mais aussi avec une certaine pureté, même si leur apparence fait naturellement sourire.

Je préfère mille fois plus un boy's band de rustauds demeurés sains, authentiques à un de ces produits musicaux markettés, déculturés et "rappéisés", aux dessous suspects.

VOIR LA VIDEO :

https://rutube.ru/video/664f0456b838bc64e5c0a88def876205/

http://www.dailymotion.com/video/x4jo9qe

http://www.dailymotion.com/video/x2bawu7_boy-s-band-la-revanche-des-culs-terreux-par-raphael-zacharie-de-izarra_school

https://rutube.ru/video/9e83432a8e11da4714970c5dd7003553/

mercredi 15 décembre 2010

896 - Infirmité du monde, supériorité izarrienne

Je me doute bien que ce que je vais exposer ici va encore être perçu comme abusif, prétentieux, insupportablement vaniteux aux yeux de certains détracteurs lassés des manifestations péremptoires du panache izarrien...

Il n'empêche : je prends de plus en plus conscience de la sottise socio-culturelle -voire congénitale- de la plupart de mes frères humains aux prises avec les imbéciles réalités de ce monde d'aliénés qu'ils se forgent eux-mêmes. Face à leur comportement parfaitement puéril, insignifiant, tragiquement inepte, comiquement idiot, j'affirme sans aucun complexe être supérieurement intelligent, glorieusement lucide et définitivement affranchi des chaînes de ce siècle. Comparé à ce troupeau de mollusques cérébraux brouteurs de vérités lénifiantes, je suis un astre brûleur d'herbes rases, un soleil "assécheur" de bave escargotique, un seigneur rédempteur de bêtise ordinaire : la pire qui soit car la bêtise banale -acceptée, partagée, entretenue- passe toujours inaperçue.

Une illustration très simple de la haute imbécillité ambiante de ce monde, tellement quotidienne que rares sont ceux qui sont capables de la percevoir : le rapport de l'homme moyen à son véhicule. Sciemment, je n'ai pas pris un exemple spectaculaire -ce serait trop facile de dénoncer l'exception- mais universel, proche, immédiatement identifiable.

Flagrante misère de l'esprit du possesseur de voiture chagriné pour une bosse ou une rayure sur sa carrosserie ! Profonde infirmité de l'âme de ce même automobiliste qui se rend dans un centre de lavage pour y nettoyer ce qu'il considère comme le summum du signe de sa respectabilité... Ou de manière encore plus primaire, plus crue, plus affligeante, comme le symbole ostensible de son phallus (qu'il a généralement fort bref).

Inaliénable et souveraine liberté des individus d'agir selon leurs caprices, me rétorquera-t-on... Ou de dépenser leur argent comme ils l'entendent, de mettre leur dignité dans l'apparence, la diversité de leurs biens matériels, de chérir leur voiture comme une femme. Certes. Sauf que ce comportement insane relève plus de la pure aliénation aux causes commerciales, publicitaires, médiatiques et donc plus regrettablement de la BÊTISE que de la véritable liberté.

Autrement dit cette manière d'agir et de ressentir est déterminée par un vulgaire conditionnement par le bas de l'esprit faible, lâche ou paresseux et non par cette prétendue liberté individuelle sacralisée jusqu'à l'outrance par ceux-là mêmes qui, persuadés d'en avoir toute jouissance, en sont pitoyablement privés !

Pour être vraiment libre il faut être un seigneur et non un serf, un guerrier et non une victime, un acteur et non un pion : c'est celui qui pense qui plane au-dessus des stupidités et vanités du monde.

L'homme est un génial crétin capable du meilleur pour prouver le pire. Il construit des voitures, des ordinateurs, des fusées et pourtant cela ne l'empêche pas d'être un lamentable crétin : un ingénieur parfois adoptera le même comportement qu'un analphabète socialement défavorisé quand il fera laver son véhicule ou bien fera redresser un léger enfoncement de sa carrosserie...

De tels exemples d'infirmité, de nullité, d'indigence de la part de mes contemporains, je pourrais en fournir à satiété. Peu d'esprits aussi éveillés que le mien perçoivent ces choses avec une telle acuité. Beaucoup d'humains sont des produits non de leur pensée mais de la pensée des marchands d'artifices : publicitaires, industriels, manipulateurs politiques, faiseurs d'opinions médiatiques ou plus insidieux encore, des gourous du cinéma hollywoodien hégémonique.

Ainsi les hommes sont des clones bornés dans leur propre mimétisme systématiquement orienté vers la pauvreté comportementale : tous sensibles aux mêmes causes vantées et vendues (en général au prix fort) par leurs écrans, tous "fans" de football, tous adeptes des mêmes produits alimentaires ou culturels infects (car dans ce contexte d'abrutissement social la culture est bien évidemment devenue un produit, tout comme le plaisir sexuel ou la spiritualité dont on a fait un commerce), des mêmes laideurs imposées comme normes par ce système lisse où le costume-cravate vaut lauriers. La ressemblance des êtres -concept créé par l'ère industrielle me semble-t-il-, leur égalité dans la médiocrité, leur uniformisation sur tous les plans possibles permet d'agir sur eux avec un maximum d'efficacité et un minimum d'effort. Les foules ayant été éduquées dans les mêmes goûts au rabais, avec les mêmes besoins de superflu, il est plus commode de continuer de leur dicter des valeurs dûment calibrées à consommer à partir d'une seule source comme le cinéma, la télévision, la presse. Ou plus habile encore, à travers "l'esprit Coca-Cola" c'est-à-dire sans support palpable, ce qui rend la manipulation plus indétectable : ce qu'on appelle le jeunisme, la frime, le superficiel, le futile. Une forme élevée de vulgarité et d'inanité.

Facebook est champion pour ça.

Ces handicapés de la pensée ne sont pas de méchants hommes pour autant, non ce n'est pas la question : dans leur grande majorité ils sont même gentils, honnêtes, ont un vrai bon fond, sont de bonne volonté et aspirent au bien commun.

Ces humains hérétiques à la lumière izarrienne ne sont pas des cochons, non.

Ce sont juste des ânes.

VOIR LA VIDEO :

https://rutube.ru/video/a0e0a67a3ebb03eb59b7da59b27d3b14/

lundi 6 décembre 2010

895 - À propos des "souhaitages" d'anniversaires

Aujourd'hui c'est mon anniversaire, je dois donc mettre en mode SPAM tous les messages qui me sont inévitablement expédiés depuis les réseaux sociaux et autres lieux de la toile plus ponctuels où je suis inscrit.

Par courtoisie je ne dis en général pas ce que je pense réellement à ceux qui ont la sotte amabilité (pour ne pas dire le réflexe stérile) de me lancer leurs fleurs factices en ce jour qu'ils croient particulier. Mais finalement j'estime que les gens sont assez intelligents (sinon ce serait vraiment à désespérer de l'être humain) pour leur faire comprendre que je trouve parfaitement inutile cette démarche dans les cercles amicaux du NET consistant à s'envoyer des feux de pacotille virtuels, des "joyeux Noëls" et autres "bonne année" tout aussi vides et superflus...

Il y a des choses tellement plus intéressantes à s'adresser que ces imbécillités ! La commémoration des dates de naissance sont des non-événements par excellence. Je comprends que l'on puisse fêter ce genre de puérilité : précisément quand on a entre quatre et douze ans. Ce qui est parfaitement indigne des adultes.

S'il est vrai que je suis demeuré un authentique Peter Pan, je n'en suis pas pour autant un attardé mental.

S'adonner à ces mièvreries sur INTERNET revient à se parler juste pour meubler le néant entre utilisateurs du WEB reliés par ordinateurs. C'est faire le constat de l'échec d'une communication internautique qui se réduit à échanger du vent. C'est abaisser la parole au niveau du bavardage, surtout quand cela se passe à travers FACEBOOK, véritable machine à polluer les cerveaux de nullités et âneries en tous genres.

Célébrer cette futilité équivaut pour moi à produire du bruit parasite.

Je considère FACEBOOK comme un appareil à décerveler les esprits faibles, avec sa réserve de conneries déversées automatiquement à destination de ses membres abrutis au dernier degré par son interface populiste-jeuniste à vocation hégémonique.

FACEBOOK est en train de préparer une grosse partie de la population à la pré-sénilité, me semble-t-il.

Bref, face à ces hordes d'âmes creuses en mal d'artifices, j'incarne ici le ver rédempteur qui rongera de l'intérieur cette pomme de fatuité qu'ils se partagent entre croqueurs de vie superficielle. J'espère par ces mots salutaires avoir contribué à mettre un minimum de plomb dans la tête de ces oisillons sans épaisseur.

samedi 4 décembre 2010

894 - Un métier pour creuser le sable du désert

Vacuité, décadence, ineptie : tels sont les termes qui, selon moi, définissent le mieux ce non-métier que représente l'activité du disk-jockey.

Je trouve honteux de payer le travail creux et parfaitement abrutissant de ces gens pétris de cette "science musicale de la nullité". L'homme, on le voit, est capable du pire dans la dégénérescence volontaire de ses neurones. Employer son esprit, son temps et son énergie à de telles imbécillités et s'en glorifier, et même revendiquer en ce domaine un savoir-faire précieux dûment monnayable, c'est à mes yeux atteindre le sommet de l'infirmité culturelle.

S'entraîner durant des années à maîtriser une technique complexe, s'immerger dans un environnement sonore spécifique et exigeant (avec ses codes d'initiés de bas-étage et son jargon anglo-saxon de cancre atavique) et y chercher une certaine reconnaissance pour finalement pouvoir s'employer à mixer, tordre, malaxer sous les projecteurs de la gloire de la sous-musique qui donnera naissance à une sous sous-musique, quoi de plus vain, abêtissant, inutile, réducteur et déshonorant pour tout esprit conscient de sa réelle valeur et de son immense potentiel ?

Le disk-jockey n'explore même pas les bassesses de la sensibilité humaine, il donne simplement ses lettres de noblesse au néant.

Il est certes créatif, mais ne fabrique que du vent, n'invente que des ronds de fumée sonores, n'engendre que du bruit parasite, ne produit qu'un lamentable, coupable, criminel abêtissement collectif.

VOIR LA VIDEO :

https://youtu.be/xIsM-WG__ao

vendredi 3 décembre 2010

MODERNITE DE L'ISLAM

Un article de mon frère Xavier-Louis de IZARRA xavier_de_izarra@yahoo.fr sur l'Islam :

Je considère toute religion comme un saut considérable de l'humain vers le sacré, vers ce qu'il est réellement, c'est-à-dire un être divin.

L'homme est un animal religieux qui se pose les questions suivantes : d'où je viens, qui suis-je, ou vais-je ? Les poules, les lapins, les bécasses, les athées, les phoques, les communistes, les blaireaux et les gnous ne se posent pas ce genre de questions. Toute religion quelle qu'elle soit est une réponse à ces trois questions essentielles.

Désolé si cela vous déplaît, mais l'Islam est une réponse comme le sont le bouddhisme, le judaïsme, la philosophie ou votre croyance au retour de Jésus.

Concernant l'Islam, il s'agit d'une religion qui existe depuis 1500 ans. Si elle était aussi cruelle que vous le supposez, il y a belle lurette qu'elle aurait disparu. Ce qui est bon pour l'homme perdure, ce qui lui est néfaste disparaît spontanément. Voyez le nazisme, le communisme ou les religions qui sacrifiaient les jeunes filles pour faire tomber la pluie.

Ce n'est pas l'Islam qui a inventé le sacrifice humain, la loi du talion, la lapidation, mais bien le judaïsme que vous adorez tant. En fait, ces sacrifices existaient déjà chez l'homme préhistorique, le jour où il a pris conscience de son origine divine.

Tous les dimanches, les Chrétiens commémorent un sacrifice humain, celui de Jésus, lors de l'eucharistie. "Mangez et buvez, ceci est mon corps, ceci est mon sang". Il s'agit ni plus ni moins d'un acte de cannibalisme. Par l'hostie, les fidèles, dévorent l'agneau Jésus.

Une hostie est une victime immolée sur la pierre de l'autel, puis offerte au dieu. L'autel n'est rien d'autre qu'un dolmen, table de sacrifice.

On ne retrouve pas pareille imbécilité dans l'Islam. L'agneau Jésus, sacrifié, torturé et crucifié pour sauver les hommes trône dans toutes les églises, à de nombreuses intersections de routes ou au-dessus du lit des Chrétiens. N'est-ce pas cruel, imbécile et primaire de croire qu'un sacrifice puisse faire tomber la pluie ou sauver l'humanité ?

Nous sommes au 21 èmes siècle ! On ne trouve pas cela en Islam sauf le sacrifice du mouton lors de l'Aïd el Kébir qui est davantage une fête qu'un sacrifice. Dans nos abattoirs républicains, on ne fait pas mieux.

Contrairement à l'Islam qui est la religion la plus moderne, les Chrétiens sont encore polythéistes. Ils adorent les saints comme des dieux. Ils se prosternent devant la statue de plâtre de la Sainte Vierge, défilent en pèlerinage à Lisieux ou baisent les pieds d'un Jésus en plâtre...

Les Chrétiens sont des idolâtres, les bouddhistes également, mais en Islam il est interdit de réduire le divin à une statue. L'art musulman n'est pas figuratif pour éviter l'idolâtrie. Appréciez le dépouillement d'une mosquée aux décors indécents du Vatican.

Aujourd'hui non seulement les lapidations sont extrêmement rares (appliquées sur des criminelles et non pas pour une simple infidélité), mais elles sont condamnées par la majorité des Musulmans. Comparez aux 220 000 avortements pratiqués rien qu'en France... Pour les Juifs et les Musulmans c'est une horreur, pour vous c'est un droit. Si aujourd'hui on ne peut plus reprocher d'atrocités au Chrétiens, ce n'est pas parce que cette religion est meilleure, mais parce qu'elle a perdu son pouvoir.

Et puis le Pape n'est guère intelligent lorsqu'il interdit le préservatif en Afrique touchée par le SIDA.

Conclusion : les religions sont une réponse mais ne sont pas LA réponse à nos questions existentielles. Elles ont toutes de bons et de mauvais côtés (plus de mauvais que de bons.)

Laissez le temps aux humains de grandir, de s'humaniser, de découvrir qui ils sont, d'évoluer, chacun selon sa voie et sa culture. Vos croyances et vos pratiques sont les vôtres, les leurs sont les leurs. Un peu d'ouverture d'esprit s'il vous plaît ! Commencez par voir ce qui cloche chez vous. L'Islam, même si c'est la religion la plus moderne, n'est rien d'autre qu'une religion, souvent détournée par les politiques, avec des aspects cruels et d'autres plus intéressants. A terme, l'Islam mourra quand l'humanité aura ouvert les yeux.

Xavier de Izarra
xavier_de_izarra@yahoo.fr


VOIR LES CINQ VIDÉOS :


1 - Beauté et grandeur du voile islamique :


2 - Vive le voile islamique ! :


3 - Vues sur le voile :


4 - La burqa : bête noire des moutons :

mercredi 1 décembre 2010

893 - Israël et la Palestine : n'y sacrifions pas nos légumes !

(Sur la base du texte numéro 807 "A ceux qui me reprochent de détourner le regard de la Yougoslavie", appliqué au conflit Israélo-palestinien : http://izarralune.blogspot.com/2008/10/807-ceux-qui-me-reprochent-de-dtourner.html)

Foutez-nous la paix avec les Juifs et les Palestiniens !

Que vous soyez pour l'un ou pour l'autre camp, si vous y mettez les pieds vous entrerez dans une histoire de fous sans fin.

Cessez de vouloir mêler les esprits sains à ces imbroglios politico-ethniques parfaitement ubuesques !

Laissons les Juifs et les Palestiniens patauger dans leur fange entre aliénés qu'ils sont, n'étendons pas leurs hostilités mesquines jusqu'à nous. Il y a tant de belles choses à faire sur Terre, pourquoi aller s'embarquer dans ces histoires de dingues ? Israël et la Palestine, c'est pour toute personne saine un immense asile psychiatrique rempli de furieux délirants, le "Sainte-Anne" du Moyen-Orient. Je me demande même si les belligérants là-bas ne se complaisent pas dans leur immémoriale soupe au vinaigre qui semble décidément bien longue à vouloir refroidir... Maintenir en ébullition ce mets infect depuis tant de temps, cela relève carrément du vice ! Ou de la farce démoniaque.

On dirait une vaste pantalonnade ourdie par de sinistres clowns, un numéro de cirque funeste donné à une nation entière, mené par des trompettistes de la mort.

Si je devais tenter de résoudre tous les problèmes du monde, hé bien cette démarche certes généreuse dans les apparences mais dans les faits parfaitement stérile, ajouterait une énième épine au monde... Et ma vie n'y suffirait pas. Pourquoi irais-je m'embourber dans le fumier schizophrénique des autres au risque d'amplifier un processus morbide, de rendre encore plus complexe un inextricable imbroglio martial ? Pourquoi vouloir me forcer à entrer dans la ronde des déments ? Je ne prends pas parti dans cet inextinguible différend, et à vrai dire la diarrhée des âmes malades ne m'intéresse pas. Entrer dans l'arène de ce coin du Moyen-Orient ne ferait qu'ajouter au vacarme, à l'absurdité de la situation. Quand les pitres de ce chapiteau sanglant en auront assez de s'étriper, quand les autres pays n'entreront plus dans leur ronde infernale, ils finiront par se lasser et, pourquoi pas, par entendre raison car la solution à leur pathologie est d'une simplicité biblique, pour ne pas dire imbécile... Quand on a soif et que l'eau est trouble, deux solutions : ou on se désaltère à la source viciée et on contracte la chiasse, ou on s'en va quérir ailleurs de l'eau claire.

Manipulation classique de la part des stratèges sans scrupule : mondialiser leurs querelles locales..

Quand, assoiffés de justice, vous croyez prendre parti librement pour l'un ou pour l'autre camp vous n'êtes en fait que le jouet d'habiles belligérants. Leur intérêt est d'exporter leur cause afin qu'un maximum de gogos s'y rallient. Alors qu'au départ vous songiez à des choses saines et sensées, vous vous laissez bêtement manoeuvrer par des loups et vous passionnez bientôt pour une chasse absurde qui n'est pas la vôtre !

Persuadées d'agir pour la justice universelle, d'être dans le bon camp, de défendre la bonne cause, les prétendues belles âmes volant au secours des uns ou des autres ne sont en réalité que des pantins au service des conflits étrangers et de leurs astucieux protagonistes...

Ne surtout pas entrer dans ce jeu de pervers sous peine d'y perdre son âme, sa liberté, sa raison !

Bref, que chacun s'occupe de son jardin et tout ira mieux.

Si vous vous mêliez moins des dissensions des autres, vous les idéalistes du dimanche, peut-être que leurs affaires internes seraient moins difficiles à régler... Entrer dans la guerre des autres ne fait que l'amplifier, la complexifier, l'étendre.

Bref, cela ne fait qu'ajouter de l'absurde à l'absurde. Il n'y a que les déséquilibrés pour vouloir se joindre aux hallucinés...

C'est d'ailleurs exactement comme cela qu'est née la Première Guerre Mondiale. La plupart des soldats ne savaient même pas pourquoi ils se battaient. Et les chefs d'états ? Je pense qu'eux-mêmes, tout comme les soldats, ne savaient pas trop pourquoi leurs nations s'entretuaient.

Les Juifs et les Palestiniens se préoccupent-ils de ma vie, se penchent-ils sur mes ennuis personnels, s'intéressent-ils à mon sort, à celui de la France, de nos chômeurs, de nos divergences de clocher ?

Quand j'ai mal à une dent, je n'alarme pas le monde entier et pourtant un mal dentaire est toujours injuste.

Que chacun s'occupe de son potager sans piétiner les plate-bandes de ses voisins et le monde ne s'en portera que mieux !

Liste des textes

2148 - Je suis de la droite honteuse
2147 - Les écrivains sont des poids morts
2146 - L’héritage de Clinchamp
2145 - Clinchamp, une histoire sans fin
2144 - Vent de mystère à Clinchamp
2143 - Ma cachette à Clinchamp
2142 - Randonnée à Clinchamp
2141 - Eclipse de Lune à Clinchamp
2140 - Un arc-en-Ciel à Clinchamp
2139 - Clinchamp sous l’orage
2138 - J’ai rêvé de Clinchamp
2137 - Jour de l’An à Clinchamp
2136 - Vacances d’été à Clinchamp
2135 - Attente à Clinchamp
2134 - Un jour ordinaire à Clinchamp
2133 - Or de France
2132 - La compagne des esseulés
2131 - Loup de lumière
2130 - Spleen
2129 - Le pitre
2128 - Les corbeaux de Clinchamp
2127 - Un homme heureux à Clinchamp
2126 - Le mouton
2125 - Des lutins à Clinchamp ?
2124 - Je suis fort !
2123 - Paroles prophétiques
2122 - L’égalité entre les hommes est injuste !
2121 - L’idéaliste de gauche
2120 - La femme est la monture de l’homme
2119 - Clinchamp sous la neige
2118 - Le Nord et le Sud
2117 - Pourquoi j’aime Clinchamp ?
2116 - Convaincre Blandine
2115 - Un couple de vieillards à Clinchamp
2114 - Le facteur de Clinchamp
2113 - Tristesse et beauté à Clinchamp
2112 - L’Art
2111 - Botte à l’oeuf
2110 - Les bûcherons de Clinchamp
2109 - Le coucou de Clinchamp
2108 - BFMTV : l’écran de la vérité
2107 - Lettre anonyme
2106 - Je ne suis pas amoureux de Paris !
2105 - Un jour d’hiver à Warloy-Baillon
2104 - La femme soumise brille comme une casserole
2103 - Les chouettes de Clinchamp
2102 - Quand la tempête s’abat sur Clinchamp...
2101 - L’aile et la pierre
2100 - Mes amis les maudits
2099 - Le brouillard de Clinchamp
2098 - Artiste de gauche
2097 - L’éternité dans la tête
2096 - Toussaint à Clinchamp
2095 - Chagrin échappé
2094 - Clinchamp-sur-Mystère
2093 - Les cafards
2092 - Loup des airs
2091 - Le loup de Clinchamp
2090 - En latin, c’est plus beau !
2089 - Les patates de Clinchamp
2088 - L’enfant des airs
2087 - Ciel de France
2086 - Thaïs d’Escufon
2085 - Les tomates de Clinchamp
2084 - Jérôme Bourbon
2083 - Les chats de Clinchamp
2082 - Poupée d’ailleurs
2081 - Pierre de feu
2080 - Les champs de Clinchamp
2079 - L’éclosion
2078 - Vacuité des bouquinistes
2077 - Les toits
2076 - Freud
2075 - Sport
2074 - Le simplet de Clinchamp
2073 - Les oiseaux de Clinchamp
2072 - Je ne suis pas cartésien
2071 - Au cimetière de Clinchamp
2070 - Le Panthéon pour Hugo, l’évasion pour Izarra
2069 - Les rats de la France
2068 - Le curé de Clinchamp
2067 - Mon trou à Clinchamp
2066 - Saint-Léonard-des-Bois
2065 - Les cloches de Clinchamp
2064 - Un épouvantail à Clinchamp
2063 - Les rêves de Clinchamp
2062 - Je suis raciste
2061 - L’injustice sociale ne me choque pas
2060 - Les femmes de Clinchamp
2059 - Les jours vides de Clinchamp
2058 - Une grand-mère
2057 - Clinchamp vers 1970
2056 - La femme de soixante ans
2055 - Sale temps à Clinchamp
2054 - Un grand voyage en forêt
2053 - L’ailé et l’aliéné
2052 - Souvenirs lointains
2051 - Domestication d’une greluche
2050 - Déprime à Clinchamp
2049 - L’amour à Clinchamp
2048 - Les Droits de l'Homme, c'est la négation de l'homme !
2047 - Les hivers de Clinchamp
2046 - Les chemins de Clinchamp
2045 - Seul au monde
2044 - Ne me parlez pas d’amour
2043 - Tristesse de l’été
2042 - Jour de fête à Clinchamp
2041 - Monsieur Lecon
2040 - Châtelain
2039 - Les ailes de Clinchamp
2038 - Tremblement de terre
2037 - Nuit d’amour
2036 - Pluie de joie à Clinchamp
2035 - Les gauchistes
2034 - Clinchamp sous les clartés lunaires
2033 - Henri d’Anselme, héros hétéro rétro
2032 - Les hirondelles
2031 - Retraite dans la forêt
2030 - Mon bosquet
2029 - L’or de Clinchamp
2028 - Sur le chemin
2027 - La souche
2026 - Clinchamp, ce voyage sans fin
2025 - Sardines à l’huile
2024 - Les fantômes
2023 - Le silence de la forêt
2022 - Les arbres
2021 - Les joies de Clinchamp
2020 - La merde républicaine
2019 - Les ailés
2018 - Les soirées de Clinchamp
2017 - Parasite
2016 - Clinchamp, les routes de l’ennui
2015 - Moi français, je déteste les migrants !
2014 - Répugnante
2013 - Les complotistes
2012 - Je déteste les livres de philosophie !
2011 - Le bossu de Clinchamp
2010 - La lumière de Clinchamp
2009 - Les crépuscules de Clinchamp
2008 - Les nuits à Clinchamp
2007 - Les aubes de Clinchamp
2006 - Je suis un oiseau à Clinchamp
2005 - Les rats de Clinchamp
2004 - Les papillons de Clinchamp
2003 - Les richesses de la normalité
2002 - Le Rimbaud des bobos
2001 - Les vaches de Clinchamp
2000 - La folle de Clinchamp
1999 - Mon ego solaire
1998 - Vague Lune
1997 - Ma cabane à Clinchamp
1996 - Moi, IZARRA
1995 - Mais qui donc est Dardinel ?
1994 - La Dame Blanche de Clinchamp
1993 - Le Dalaï-Lama
1992 - Pluie à Clinchamp
1991 - Je suis sexiste
1990 - Les flammes du printemps
1989 - Le rustaud de Clinchamp
1988 - Les larmes d’Amsterdam
1987 - Clinchamp, terre d’envol
1986 - La Joconde de Clinchamp
1985 - Face cachée de Clinchamp
1984 - La clocharde de Clinchamp
1983 - Je suis un extraterrestre
1982 - Clinchamp sous les éclats de novembre
1981 - Clinchamp au bord des larmes
1980 - Les fantômes de Clinchamp
1979 - Les pissenlits de Clinchamp
1978 - Clinchamp : fin et commencement de tout
1977 - Amsterdam
1976 - J’habite sur la Lune
1975 - Secret de Lune
1974 - Les ailes de la Lune
1973 - Voir Clinchamp et sourire
1972 - La pierre et l’éther
1971 - Clinchamp, au bonheur des larmes
1970 - Clinchamp, mon dernier refuge
1969 - Croissant de Lune
1968 - Mais d’où vient donc la Lune ?
1967 - Lune lointaine
1966 - Lune éternelle
1965 - Sandrine, notre voisine
1964 - Rêve de Lune
1963 - Lune des rêves
1962 - La Lune dans le bleu
1961 - Lune ultime
1960 - Les tourmentés
1959 - Clinchamp, paradis des ombres
1958 - Lune absente
1957 - Je raffole des commérages !
1956 - Clinchamp : royaume des humbles
1955 - La Dame dans le ciel
1954 - Palmade : de la gloire au gouffre
1953 - Evasion
1952 - Tatouages, ces marques de faiblesse
1951 - L’égalité est un enfer !
1950 - Repas sur l’herbe à Clinchamp
1949 - Escale à Clinchamp
1948 - Beauté morbide de la Lune
1947 - J’ai dormi dehors à Clinchamp
1946 - Les humanitaires sont des parasites !
1945 - Sur les routes de Clinchamp
1944 - Une année à Clinchamp
1943 - Tristesse du printemps
1942 - Bulle de Terre
1941 - Jour de joie à Clinchamp
1940 - L’inconnu de Clinchamp
1939 - Le ciel de Clinchamp
1938 - Les éclats de Clinchamp
1937 - Le voyageur
1936 - Fête triste
1935 - Les antiracistes
1934 - Jean Messiha
1933 - Coeur gelé
1932 - Romantisme de pierre
1931 - La femme est sous mes pieds
1930 - Burcu Güneş, un air léger
1929 - Je déteste les pauvres !
1928 - Quand mon coeur s’allume
1927 - Intègre, entier, râpeux
1926 - Le cheval
1925 - Homme mauvais
1924 - Un trou sous le ciel
1923 - Hauteur de la Lune
1922 - Nulle part, là-bas, ailleurs
1921 - Belle Lune
1920 - Salades lunaires
1919 - Lettre à Reynouard
1918 - MARGUERITE OU L’HISTOIRE D’UNE VIEILLE FILLE
1917 - Récoltes lunaires
1916 - Je suis français de souche
1915 - Lune mortuaire
1914 - Clinchamp, cité des oubliés
1913 - Clinchamp, l’air de rien
1912 - Clinchamp, sommet du monde
1911 - La pollution, c’est la vie !
1910 - Seule au monde ?
1909 - Le Ciel et la Terre
1908 - Lune de haut vol
1907 - La Lune s’allume
1906 - Nuit sombre
1905 - Soupe de Lune
1904 - Puretés raciales
1903 - Lune-pizza
1902 - La grande question
1901 - Amiens
1900 - Pleur de Lune
1899 - Rêve d’amour
1898 - Vive le patriarcat !
1897 - La libellule
1896 - L’eau qui m’éclaire
1895 - Une question de clarté
1894 - La Lune dort
1893 - Les artifices du spirituel
1892 - Lune normale
1891 - Ni chauffage ni travail
1890 - Lune de fer
1889 - Molle Lune
1888 - Insensible aux malheurs des autres
1887 - Mon visage de vérité
1886 - Amante russe
1885 - J’écris
1884 - Lune martiale
1883 - Je suis un incapable
1882 - Lune creuse
1881 - 1975
1880 - L’éclat d’un fard
1879 - Amour impossible
1878 - Femme au foyer
1877 - L’esprit de la Lune
1876 - Ingérence féministe
1875 - Cratères lunaires
1874 - Lune d’effroi
1873 - Lune des chats
1872 - Les athées
1871 - Lune d’or
1870 - Lune carrée
1869 - Lune de miel
1868 - Folle lune
1867 - Jour de joie
1866 - SMARPHONES : abrutissement des masses
1865 - Sombre lune
1864 - Les mouches
1863 - Ma vie simple
1862 - Clinchamp, terre lointaine
1861 - Je suis un conservateur
1860 - Lune de glace
1859 - Le lac
1858 - Qu’est-ce que la beauté ?
1857 - Lune blanche
1856 - Lune de mer
1855 - Lune de feu
1854 - Présence immortelle
1853 - Surprenante Lune !
1852 - L’éclat de la Lune
1851 - Epis lunaires
1850 - L’autre Lune
1849 - L’amie des cheminées
1848 - Lune morte
1847 - Lune Parmentier
1846 - Lune fatale
1845 - Amour céleste
1844 - Grâces et disgrâces
1843 - Ma maison, c'est la Lune
1842 - Poids de la Lune
1841 - La morte visiteuse
1840 - Ma cabane sous la Lune
1839 - Bleu ciel
1838 - Histoire de lune
1837 - Suc de Turque
1836 - Stéphane Blet
1835 - Ciel bleu
1834 - Bonheur de rat
1833 - Redneck
1832 - Sur le rivage
1831 - Attraction lunaire
1830 - Je suis anti-féministe radical
1829 - Mais qui est-il ?
1828 - Je veux des frontières !
1827 - Les francs-maçons
1826 - Folies lunaires
1825 - Alunir, en un mot
1824 - “Comme ils disent”, chanson d’Aznavour
1823 - Lune tiède
1822 - Globe de rêve
1821 - Effroi
1820 - Vangelis
1819 - L’air de la Lune
1818 - La campagne
1817 - Lune tombale
1816 - Les cailloux
1815 - Je déteste Paris !
1814 - Boules de neige
1813 - Je n’ai pas peur
1812 - Parler vrai
1811 - Les hommes simples
1810 - Quand la Lune panse
1809 - Régine : extinction d’un feu
1808 - Morte veilleuse
1807 - Coeur de pierre
1806 - Noir
1805 - Mystère de la Lune
1804 - Jackson Pollock
1803 - En pleine lumière
1802 - Harmonie des sexes
1801 - Dix ans dans l’azur
1800 - Pluie d’avril
1799 - Le gueux
1798 - Les pommes de pin
1797 - Voyage vers la Lune
1796 - Mystère d’une nuit
1795 - Une lumière turque
1794 - Sans coeur et avec écorce
1793 - Envolé !
1792 - Galante ou l’abcès crevé
1791 - La lumière du Bosphore
1790 - Claude Monet
1789 - Rat aristocrate
1788 - Ukraine : sortez de vos ornières mentales !
1787 - Tranche de ciel et plumes de la Terre
1786 - Les sots écolos
1785 - L’astre turc
1784 - L’Ukraine, je m’en fous totalement !
1783 - Vive la guerre !
1782 - Réponses à un coatch
1781 - Droite pure
1780 - Vains hypersensibles
1779 - Mes valeurs vives
1778 - Le secret
1777 - Force et lumière
1776 - De l’herbe à l’aiguillon
1775 - Jusqu’à la mort
1774 - Zemmour et les journalistes de gauche
1773 - Dur et juste
1772 - La flamme et le marbre
1771 - Mon chat est mort
1770 - Les frères Bogdanoff
1769 - J’ai rêvé de Natacha
1768 - Technologie
1767 - Vers la Lune
1766 - C’était la guerre
1765 - La “tondue de Chartres”
1764 - Dans le métro
1763 - Naissance d’un virus
1762 - Zemmour est-il un de Gaulle ?
1761 - Je suis grand
1760 - Jour de gloire
1758 - Une muse du Bosphore
1758 - Je suis un extrémiste
1757 - Les éoliennes
1756 - Femme terminale
1755 - Autoportrait
1754 - Je suis un sanglier
1753 - Faux fou
1752 - Les affaires
1751 - Octobre
1750 - Le fantôme
1749 - Les écrivains
1748 - Sauvez la France !
1747 - Mes sentiments de pierre
1746 - Une araignée raconte
1745 - Un coeur clair
1744 - Phallocrate
1743 - Les vaches
1742 - Les faibles sont mauvais
1741 - Les sans-visage
1740 - Le trouillard de gauche
1739 - Léonard de Vinci enfant
1738 - Mes froideurs sublimes
1737 - Le romantisme, c’est la décadence
1736 - La Joconde
1735 - La tour Eiffel
1734 - Le Soleil
1733 - Une boule de mystère
1732 - Les masqués
1731 - Burcu Günes, l’or turc
1730 - Léa Désandre
1729 - Le père Dédé
1728 - “Blanc lumière” de Pollock
1727 - Les kikis et les cocos
1726 - Les funérailles de Belmondo
1725 - Pôle Sud
1724 - Vierge au mariage
1723 - La forêt
1722 - Le réveil des clochers
1721 - En septembre
1720 - Extraterrestre
1719 - Ni cagoule ni sérum
1718 - L’astre des morts
1717 - L’idéaliste
1716 - Un ange noir pour les Blancs ?
1715 - Trois heures du matin
1714 - Dur et vivant
1713 - Homme des bois
1712 - De flamme et de sang
1711 - Mes bas potentiels
1710 - Je suis un anti-progressiste
1709 - Eléonore et les Noirs
1708 - Eléonore et les Juifs
1707 - Une française
1706 - Femme d’idées
1705 - Joie de vivre
1704 - Auteur de rêves
1703 - Raison féminine
1702 - Vieillard
1701 - Face de France
1700 - 1789
1699 - Adieu, France
1698 - Célibataire
1697 - L’envers vert
1696 - Avant la chute
1695 - L’aube d’Ève
1694 - Amour raté
1693 - À vue d’homme
1692 - Le loup et l’agnelle
1691 - Têtes à corps
1690 - Trêve de la nuit
1689 - L’été
1688 - L’hiver
1687 - Les âmes de la forêt
1686 - Enfin libre !
1685 - Je vis sans masque
1684 - Enfants du monde
1328 - Je suis apolitique
115 - Le cygne
114 - Le spleen de Warloy-Baillon
113 - Les visiteurs
112 - La Lune
111 - L’amant des laides
110 - Mémoires d’un libertin
109 - Une existence de pompiste
108 - Lettre à mes amis des listes sur Internet