- Hé la Fanchon, ramène un peu ta culasse à bites que je l'y pète à grands coups de crogne !
- Ha ! Ce cher Alphonse. Vous ne changez décidément pas mon bon ami. Toujours aussi impatient à ce que je vois. Dois-je vous rappeler pour la énième fois que nous ne sommes point encore mari et femme, et qu'en vertu de cet état de fait je ne saurais consentir au moindre hyménée avec vous, dût-il être à l'état de simple évocation ?
- Qu'est-ce que tu dégoises encore là, la gueuse ? Vise un peu mon énorme sauciflard ? Pis t'as vu ton gros cul ? Et ben figure-toué que j'avions envie de me le taper, ton foutu trou de pétasse à queues ! C'est pas pus compliqué qu'ça. Arrête donc de bavasser comme une bourgeoise endimanchée, hé, putasse de trivache à la con ! Viens donc là que je te saute la crapiole, belle truie de mes burnes !
- Mon cher Alphonse, votre parler m'est parfois un peu abscons... En effet, je ne saisis guère les propos que vous me tenez ici avec tant d'empressement... Mais que me racontez-vous là au juste ? De quoi est-il question pour que vous brûliez d'une telle fièvre ?
- Hé, parbleu, j'avions envie de me farcir ton tuyau à merde de pouffiasse ! Tu piges donc pas que tu me fais durcir le cornichon avec ton satané fessier d'enculée ? J'te dis que j'avions une sacrée envie de faire dégueuler mon andouille de porc au fond de ta fosse à chieries, t'entends connasse ? Même qu'y l'a un os dedans, tellement qu'y l'est dur c'te salopiau de canon de chair à baise de putain de mes deux qui me fait péter la braguette ! Et pis arrête donc de faire des manières, pasque sinon je vas te cracher mon purin dans la gueule, qu'après ça tu causeras comme une enflure de fumelle de pute de couille-à-vache de bouseuse de fille de ferme !
- Ho ! Je crois entrevoir la délicatesse de votre chaste pensée mon doux Alphonse ! Vous avez envie de procréer chrétiennement avec moi, c'est cela n'est-ce pas ? Ho ! Comme vous êtes charmant : vous voulez que je vous donne le premier fruit de notre amour... Un petit angelot qui vous ressemblera, sans doute. Vous êtes si impatient de donner la vie. Comme je vous comprends ! Mais attendez encore un peu Alphonse. Attendez que le prêtre nous passe l'anneau au doigt.
- Passer l'anneau au doigt ? Tu rigoles la Fanchon ! C'est putôt ma saucisse enflée que je vas te foutre dans ton canal à boudins, oui ! Et pis tu vas bien me la faire dégorger, ma tripe ! Dans ton boyau à chiasse tu vas me la faire dégobiller, hein la Fanchon ?
- Certes Alphonse, certes. Je vais tout de suite vous chercher quelque charcuterie accompagnée d'un peu de laitue puisque vous me semblez si affamé. Mais diantre ! Que ne pouviez-vous me dire plus tôt que vous aviez si faim ? L'émotion à l'idée d'une future paternité sans doute.
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