mardi 24 novembre 2009

858 - L'esthète

Tendre avec lui-même, impitoyable envers ses amis, tiède avec ses ennemis, il déteste morveux, vacanciers, plèbe.

Et chérit la Beauté.

Chez ce faux misanthrope et vrai égocentrique bien éduqué, certes asocial, voire perfide mais d'une rare honnêteté intellectuelle, tout inspire la répugnance aux borgnes qui le jugent pour sa franchise.

Encensé par les gens heureux, lapidé par le vulgaire, le dandy plaît aux princes, déplaît aux manchots.

Et met tout le monde d'accord sur la noirceur de ses chaussettes.

Ses mains propres lui attirent l'animosité des salariés, sa particule les railleries des chômeurs, son éclat la méfiance des blanchisseurs.

Les félins sont les hôtes privilégiés de sa tour d'ivoire. Les femmes (des créatures) éprises de ce féroce aristocrate en ont d'ineffaçables souvenirs. Vous ne verrez jamais un fils de Cerbère sous le toit de ce sybarite. Pas même un adorable caniche : ennemi de tout aboyeur, le bel esprit que je présente affectionne la compagnie des bêtes intelligentes.

Et inodores.

Obsédé par la Camarde, horrifié par la beauté qui devient pourriture, Farrah Fawcett est son plus doux cauchemar. Il s'extasie en s'enivrant de bière sur sa lumière révolue, médite en bavant d'épouvante sur son sourire devenu ordure.

En passant de la gloire vénusiaque à l'horreur du tombeau, de la caresse de Râ au cloaque de la sépulture, du baiser des hommes à la morsure du ver, Farrah Fawcett a su, de toute évidence, percer la carapace étincelante de notre héros décidément aussi détestable qu'attachant...

Seul le sort des papillons le touche : il faut qu'un ange trépasse pour qu'il frémisse.

La destinée des éternelles chenilles le laisse insensible.

Charitable à l'égard des belles gens, altruiste envers les seigneurs (ses pairs et laudateurs), plein de bonté pour les bien portants, généreux avec la gent blanc gantée, il conspue les méchants matérialistes, les malhonnêtes malheureux, les béats "broutteurs" de certitudes locales.

Cet esprit élégant à la tenue vestimentaire négligée ne songe guère aux soucis domestiques : les étoiles changées en cendre, les siècles en néant et peut-être l'esprit en éternité, telles sont ses préoccupations quotidiennes.

Bien des lecteurs en lisant ce texte désigneront le firmament pour nommer cet astre manceau. D'autres dirigeront un doigt rageur vers la fosse pour mieux l'inhumer sous leur oubli.

Peu importe, l'esthète brille.

Tout comme le soleil avec ses rayons de vérité crue, il dispense ses bienfaits aux porteurs d'ombrelles et brûle les sots.


VOIR LA VIDEO :

https://youtu.be/3wYqtTvjPcg

19 commentaires:

Ciel a dit…

Il faut faire attention, entre esthétisme et esthétique.. l' esthete est sensible par définition au caractère du beau dans l'art et la nature... Sinon, tout le monde est esthète .

''En effet, seul le sort des êtres d'exception le touche '' - Commme Michael Jackson ? En faite c'est le propre à tous. De se sentir affecté surtout par la mort du roi, et non par l'infirme. Cela fait très '' populasse ''

ciel a dit…

nous sommes tous d'exception, suffit de voyager en chaque être. le roi, l'infirme, la mère, l'enfant, d'un être c'est tout.

ciel a dit…

Je trouve aussi, vous essayé dans certains de vos textes , que dans vos textes de décrire un personnage détestable , mais parfois, cela semble être de la provocation... plus qu'une description réaliste.

ciel a dit…

En faite, dans un roman, je pourrais croire qu'un tels être existe, seulement il y a certaine contradiction .

Raphaël Zacharie de IZARRA a dit…

Ciel,

Que pensez-vous de cette version revue et corrigée ? Je pense que le texte précédent était un plat réchauffé bien fade qui ressemblait trop à beaucoup d'autres textes postés ici. Celui-ci réveillera les papilles blasées par le discours izarrien si souvent lu en ces lieux...

Raphaël Zacharie de IZARRA

Ciel a dit…

Bien, faut-il toujours un cadavre pour que vienne un nouveau-né ?

ciel a dit…

Bonjour,
désolé, pour cette phrase violente. en faite je ne suis vraiment pas la bonne personne pour donner des conseils. J'écris n'importe quoi. Voila, aurevoir.

Anonyme a dit…

Je reviens sur ce que j'ai dit. Et je n'aime pas les entre-guillemets qui rend le texte lourd d'explication. À mon avis, l'auteur dans ce type de texte poétique ne devrais pas devoir expliqué le sens de ce qu'il veut dire par l'introduction des entre-guillemets.
Chacun comprend à sa manière.

CielA a dit…

Farrah Farrah, qui ne cesse de captivé, même Christian !

Farrah, OH Farrah Fawcett, superbe actrice sur la scène du théâtre
Quand donc accepteras-tu de me jouer Cléopâtre ?
Assis dans un fauteuil, délaissant la douceur de mon âtre
Je rêve dès aujourd’hui te voir en reine, vivante statue d’albâtre
Trônant au milieu de la foule des esclaves mulâtres,

Farrah Oh Farrah Fawcett

A la scène comme à la ville entourée de tes idolâtres.
Afin que cette gloire naisse et ne cesse de croître,
Tu dois, dès à présent et en chaque instant combattre,
Te dresser encore et toujours, toujours et encore opiniâtre.
Te glisser dans les rôles même les plus saumâtres,
Na pas les défendre comme quelconque bellâtre,

Farrah Oh Farrah Fawcett

Les vivre, les aimer passionnément, les sentir en toi croître
Ne surtout pas les porter comme on supporte un emplâtre !
Si l’auteur a décrit une chrysalide presque blanchâtre,

Farrah Oh Farrah Fawcett

A toi d’en faire naître les couleurs du papillon folâtre.
En seras-tu vraiment capable en cette époque noirâtre ?
Je le crois sincèrement et tu rempliras les amphithéâtres
De ceux que tu aimes déjà et pour qui tu te mettras en quatre
Ne vivant plus que pour entendre leurs mains battre.

Farrah Oh Farrah Fawcett

Brisant entre eux et toi ce mur que l’on dit de plâtre,
Donnant de toi le meilleur même pour les rôles palâtre.
N’oublie pas ; défaite et gloire, maîtresses acariâtres,

Signé Christian. Poète à ces heures.

CieloLesbos a dit…

Une Esthète lesbianas.
________

Un jour, a la '' douce ''qui l'aime,
En train de montrer ses trésors,
Elle voulut lire un poème,
Le poème de son beau corps.

D'abord, superbe et triomphante
Elle vint en grand apparat,
Traînant avec des airs d'infante
Un flot de velours nacarat :

Telle qu'au rebord de sa loge
Elle brille aux ''Italiennes '',
Ecoutant passer son éloge
Dans les chants des musiciens.

Ensuite, en sa verve d'artiste,
Laissant tomber l'épais velours,
Dans un nuage de batiste
Elle ébaucha ses fiers contours.

Glissant de l'épaule à la hanche,
La chemise aux plis nonchalants,
Comme une tourterelle blanche
Vint s'abattre sur ses pieds blancs.

Pour Apelle ou pour Cléoméne,
Elle semblait, marbre de chair,
En Vénus Anadyomène
Poser nue au bord de la mer.

De grosses perles de Venise
Roulaient au lieu de gouttes d'eau,
Grains laiteux qu'un rayon irise,
Sur le frais satin de sa peau.

Oh ! quelles ravissantes choses,
Dans sa divine nudité,
Avec les strophes de ses poses,
Chantait cet hymne de beauté !

Comme les flots baisant le sable
Sous la lune aux tremblants rayons,
Sa grâce était intarissable
En molles ondulations.

Mais bientôt, lasse d'art antique,
De Phidias et de Vénus,
Dans une autre stance plastique
Elle groupe ses charmes nus.

Sur un tapis de Cachemire,
C'est la sultane du sérail,
Riant au miroir qui l'admire
Avec un rire de corail ;

La Géorgienne indolente,
Avec son souple narguilhé,
Etalant sa hanche opulente,
Un pied sous l'autre replié.

Et comme l'odalisque d'Ingres,
De ses reins cambrant les rondeurs,
En dépit des vertus malingres,
En dépit des maigres pudeurs !

Paresseuse odalisque, arrière !
Voici le tableau dans son jour,
Le diamant dans sa lumière ;
Voici la beauté dans l'amour !

Sa tête penche et se renverse ;
Haletante, dressant les seins,
Aux bras du rêve qui la berce,
Elle tombe sur ses coussins.

Ses paupières battent des ailes
Sur leurs globes d'argent bruni,
Et l'on voit monter ses prunelles
Dans la nacre de l'infini.

D'un linceul de point d'Angleterre
Que l'on recouvre sa beauté :
L'extase l'a prise à la terre ;
Elle est morte de volupté !

Que les violettes de Parme,
Au lieu des tristes fleurs des morts
Où chaque perle est une larme,
Pleurent en bouquets sur son corps !

Et que mollement on la pose
Sur son lit, tombeau blanc et doux,
Où ''la poetesse '', à la nuit close,
Ira prier à deux genoux.

Théo Gauthier.

Cielanne a dit…

Comment ne pas être captivé par la femme, même pour une femme ! Moi ce que je préfère, c'est le sourire... ah non ceci, ou ceci. Rose, avec mauve et un peu de brillant. Merci.

Du sang et aussi cette pluie qui tombe, essentiel ... Sinon

Aussi peut-être un sol vert, quelques fleurs.

Une brise ... aussi n'oublions jamais la brise.

Et surtout... pas d'homme.

ciel a dit…

La femme devenue vieille est une déesse de beauté, magique, est Médusa triomphant dans sa tour. Une beauté, qui baisse la tête par modestie... Lorsqu'on la croise. Une femme...

Tandis que l'homme est une brute en vieillissant. Non seulement il est brute, mais il devient encore plus laid !

Moi, Lesbos, vrai Esthète, a pour amante la plus belle des créatures... Madeleine. Oh Madeleine que j'aime tant... que j,aimerais tant vous embrassé. Mais Madeleine est une beauté pure, d'age mur, baissant encore le regard du haut de ses 74 ans. Mais une beauté pure ... qui se donne au vent .

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Et l'homme n'importe quoi. Pacotille.

je n'aime pas. Il me dégoute, lève le coeur . Son rire si grave... ses grosse main... Horreur. Son gros nez.

Voila : La donna è l'amor.

Ciel a dit…

Voila, l'esthète hombre est un ramassis de pulsion primaire.

ceil a dit…

Pis comme on dit icite o Québaic . o ti révweur dé me deu. Il dit qu'un homme est fait pour marcher sus la terre, et que c'estdéjà malaisé assez de marcher droite icitte sans aller entreprendre de marcher dans les étouèles. Et pourquoi c'est faire qu'ils iront dans la lune? Hein? Pourquoi c'est faire?

Ciel a dit…

Allez savoir ! Pourquoi !

LunCiel a dit…

Allez savoir Allez savoir Allez Allez SAVOIR

ciel2medos a dit…

Bin, ça fait que pourquoi c,est faire qu'ils se douneriont tant de troubles pour atterrir sus dé étouèle et qui peut même pas te nourrir une journée?.

c.i.e.l a dit…

Anni qu^ne chawu nani,
Yaouni Yaouni...

Unknown a dit…

Raphaël,
Je suis jalouse de Farrah Fawcett, de ses traits parfaits, de sa luminosité incomparable, de sa chevelure brillante. Par pour leur valeur en soi, non! Pour le fait qu'elles vous attirent les yeux, qu'elle vous retient les regard. Je sais que vous êtes épris de sa beauté , de son visage, de sa belle âme.
Elle est pourriture, moi vivante, pourtant c'est mon cœur qui se décompose lentement sous votre indifférence. Elle a votre amour et la paix dans la lumière éternelle, moi l'insignifiance et la tempête , c'est elle dans la Lumière et c'est moi qui git impuissante sous la stèle. C'est son sourire qui rayonne et mon crane qui grince les dents de douleur.
Et ma souffrance est encore plus cruelle quand je pense qu'elle vous aime, même morte, que votre amour fait vivant même au-delà de la tombe.
Les fleurs dorés sur son cercueil étaient sous votre amour plus vivantes que mon front sans grâce, qui se pencha sous les épines.
Liliana

Liste des textes

2148 - Je suis de la droite honteuse
2147 - Les écrivains sont des poids morts
2146 - L’héritage de Clinchamp
2145 - Clinchamp, une histoire sans fin
2144 - Vent de mystère à Clinchamp
2143 - Ma cachette à Clinchamp
2142 - Randonnée à Clinchamp
2141 - Eclipse de Lune à Clinchamp
2140 - Un arc-en-Ciel à Clinchamp
2139 - Clinchamp sous l’orage
2138 - J’ai rêvé de Clinchamp
2137 - Jour de l’An à Clinchamp
2136 - Vacances d’été à Clinchamp
2135 - Attente à Clinchamp
2134 - Un jour ordinaire à Clinchamp
2133 - Or de France
2132 - La compagne des esseulés
2131 - Loup de lumière
2130 - Spleen
2129 - Le pitre
2128 - Les corbeaux de Clinchamp
2127 - Un homme heureux à Clinchamp
2126 - Le mouton
2125 - Des lutins à Clinchamp ?
2124 - Je suis fort !
2123 - Paroles prophétiques
2122 - L’égalité entre les hommes est injuste !
2121 - L’idéaliste de gauche
2120 - La femme est la monture de l’homme
2119 - Clinchamp sous la neige
2118 - Le Nord et le Sud
2117 - Pourquoi j’aime Clinchamp ?
2116 - Convaincre Blandine
2115 - Un couple de vieillards à Clinchamp
2114 - Le facteur de Clinchamp
2113 - Tristesse et beauté à Clinchamp
2112 - L’Art
2111 - Botte à l’oeuf
2110 - Les bûcherons de Clinchamp
2109 - Le coucou de Clinchamp
2108 - BFMTV : l’écran de la vérité
2107 - Lettre anonyme
2106 - Je ne suis pas amoureux de Paris !
2105 - Un jour d’hiver à Warloy-Baillon
2104 - La femme soumise brille comme une casserole
2103 - Les chouettes de Clinchamp
2102 - Quand la tempête s’abat sur Clinchamp...
2101 - L’aile et la pierre
2100 - Mes amis les maudits
2099 - Le brouillard de Clinchamp
2098 - Artiste de gauche
2097 - L’éternité dans la tête
2096 - Toussaint à Clinchamp
2095 - Chagrin échappé
2094 - Clinchamp-sur-Mystère
2093 - Les cafards
2092 - Loup des airs
2091 - Le loup de Clinchamp
2090 - En latin, c’est plus beau !
2089 - Les patates de Clinchamp
2088 - L’enfant des airs
2087 - Ciel de France
2086 - Thaïs d’Escufon
2085 - Les tomates de Clinchamp
2084 - Jérôme Bourbon
2083 - Les chats de Clinchamp
2082 - Poupée d’ailleurs
2081 - Pierre de feu
2080 - Les champs de Clinchamp
2079 - L’éclosion
2078 - Vacuité des bouquinistes
2077 - Les toits
2076 - Freud
2075 - Sport
2074 - Le simplet de Clinchamp
2073 - Les oiseaux de Clinchamp
2072 - Je ne suis pas cartésien
2071 - Au cimetière de Clinchamp
2070 - Le Panthéon pour Hugo, l’évasion pour Izarra
2069 - Les rats de la France
2068 - Le curé de Clinchamp
2067 - Mon trou à Clinchamp
2066 - Saint-Léonard-des-Bois
2065 - Les cloches de Clinchamp
2064 - Un épouvantail à Clinchamp
2063 - Les rêves de Clinchamp
2062 - Je suis raciste
2061 - L’injustice sociale ne me choque pas
2060 - Les femmes de Clinchamp
2059 - Les jours vides de Clinchamp
2058 - Une grand-mère
2057 - Clinchamp vers 1970
2056 - La femme de soixante ans
2055 - Sale temps à Clinchamp
2054 - Un grand voyage en forêt
2053 - L’ailé et l’aliéné
2052 - Souvenirs lointains
2051 - Domestication d’une greluche
2050 - Déprime à Clinchamp
2049 - L’amour à Clinchamp
2048 - Les Droits de l'Homme, c'est la négation de l'homme !
2047 - Les hivers de Clinchamp
2046 - Les chemins de Clinchamp
2045 - Seul au monde
2044 - Ne me parlez pas d’amour
2043 - Tristesse de l’été
2042 - Jour de fête à Clinchamp
2041 - Monsieur Lecon
2040 - Châtelain
2039 - Les ailes de Clinchamp
2038 - Tremblement de terre
2037 - Nuit d’amour
2036 - Pluie de joie à Clinchamp
2035 - Les gauchistes
2034 - Clinchamp sous les clartés lunaires
2033 - Henri d’Anselme, héros hétéro rétro
2032 - Les hirondelles
2031 - Retraite dans la forêt
2030 - Mon bosquet
2029 - L’or de Clinchamp
2028 - Sur le chemin
2027 - La souche
2026 - Clinchamp, ce voyage sans fin
2025 - Sardines à l’huile
2024 - Les fantômes
2023 - Le silence de la forêt
2022 - Les arbres
2021 - Les joies de Clinchamp
2020 - La merde républicaine
2019 - Les ailés
2018 - Les soirées de Clinchamp
2017 - Parasite
2016 - Clinchamp, les routes de l’ennui
2015 - Moi français, je déteste les migrants !
2014 - Répugnante
2013 - Les complotistes
2012 - Je déteste les livres de philosophie !
2011 - Le bossu de Clinchamp
2010 - La lumière de Clinchamp
2009 - Les crépuscules de Clinchamp
2008 - Les nuits à Clinchamp
2007 - Les aubes de Clinchamp
2006 - Je suis un oiseau à Clinchamp
2005 - Les rats de Clinchamp
2004 - Les papillons de Clinchamp
2003 - Les richesses de la normalité
2002 - Le Rimbaud des bobos
2001 - Les vaches de Clinchamp
2000 - La folle de Clinchamp
1999 - Mon ego solaire
1998 - Vague Lune
1997 - Ma cabane à Clinchamp
1996 - Moi, IZARRA
1995 - Mais qui donc est Dardinel ?
1994 - La Dame Blanche de Clinchamp
1993 - Le Dalaï-Lama
1992 - Pluie à Clinchamp
1991 - Je suis sexiste
1990 - Les flammes du printemps
1989 - Le rustaud de Clinchamp
1988 - Les larmes d’Amsterdam
1987 - Clinchamp, terre d’envol
1986 - La Joconde de Clinchamp
1985 - Face cachée de Clinchamp
1984 - La clocharde de Clinchamp
1983 - Je suis un extraterrestre
1982 - Clinchamp sous les éclats de novembre
1981 - Clinchamp au bord des larmes
1980 - Les fantômes de Clinchamp
1979 - Les pissenlits de Clinchamp
1978 - Clinchamp : fin et commencement de tout
1977 - Amsterdam
1976 - J’habite sur la Lune
1975 - Secret de Lune
1974 - Les ailes de la Lune
1973 - Voir Clinchamp et sourire
1972 - La pierre et l’éther
1971 - Clinchamp, au bonheur des larmes
1970 - Clinchamp, mon dernier refuge
1969 - Croissant de Lune
1968 - Mais d’où vient donc la Lune ?
1967 - Lune lointaine
1966 - Lune éternelle
1965 - Sandrine, notre voisine
1964 - Rêve de Lune
1963 - Lune des rêves
1962 - La Lune dans le bleu
1961 - Lune ultime
1960 - Les tourmentés
1959 - Clinchamp, paradis des ombres
1958 - Lune absente
1957 - Je raffole des commérages !
1956 - Clinchamp : royaume des humbles
1955 - La Dame dans le ciel
1954 - Palmade : de la gloire au gouffre
1953 - Evasion
1952 - Tatouages, ces marques de faiblesse
1951 - L’égalité est un enfer !
1950 - Repas sur l’herbe à Clinchamp
1949 - Escale à Clinchamp
1948 - Beauté morbide de la Lune
1947 - J’ai dormi dehors à Clinchamp
1946 - Les humanitaires sont des parasites !
1945 - Sur les routes de Clinchamp
1944 - Une année à Clinchamp
1943 - Tristesse du printemps
1942 - Bulle de Terre
1941 - Jour de joie à Clinchamp
1940 - L’inconnu de Clinchamp
1939 - Le ciel de Clinchamp
1938 - Les éclats de Clinchamp
1937 - Le voyageur
1936 - Fête triste
1935 - Les antiracistes
1934 - Jean Messiha
1933 - Coeur gelé
1932 - Romantisme de pierre
1931 - La femme est sous mes pieds
1930 - Burcu Güneş, un air léger
1929 - Je déteste les pauvres !
1928 - Quand mon coeur s’allume
1927 - Intègre, entier, râpeux
1926 - Le cheval
1925 - Homme mauvais
1924 - Un trou sous le ciel
1923 - Hauteur de la Lune
1922 - Nulle part, là-bas, ailleurs
1921 - Belle Lune
1920 - Salades lunaires
1919 - Lettre à Reynouard
1918 - MARGUERITE OU L’HISTOIRE D’UNE VIEILLE FILLE
1917 - Récoltes lunaires
1916 - Je suis français de souche
1915 - Lune mortuaire
1914 - Clinchamp, cité des oubliés
1913 - Clinchamp, l’air de rien
1912 - Clinchamp, sommet du monde
1911 - La pollution, c’est la vie !
1910 - Seule au monde ?
1909 - Le Ciel et la Terre
1908 - Lune de haut vol
1907 - La Lune s’allume
1906 - Nuit sombre
1905 - Soupe de Lune
1904 - Puretés raciales
1903 - Lune-pizza
1902 - La grande question
1901 - Amiens
1900 - Pleur de Lune
1899 - Rêve d’amour
1898 - Vive le patriarcat !
1897 - La libellule
1896 - L’eau qui m’éclaire
1895 - Une question de clarté
1894 - La Lune dort
1893 - Les artifices du spirituel
1892 - Lune normale
1891 - Ni chauffage ni travail
1890 - Lune de fer
1889 - Molle Lune
1888 - Insensible aux malheurs des autres
1887 - Mon visage de vérité
1886 - Amante russe
1885 - J’écris
1884 - Lune martiale
1883 - Je suis un incapable
1882 - Lune creuse
1881 - 1975
1880 - L’éclat d’un fard
1879 - Amour impossible
1878 - Femme au foyer
1877 - L’esprit de la Lune
1876 - Ingérence féministe
1875 - Cratères lunaires
1874 - Lune d’effroi
1873 - Lune des chats
1872 - Les athées
1871 - Lune d’or
1870 - Lune carrée
1869 - Lune de miel
1868 - Folle lune
1867 - Jour de joie
1866 - SMARPHONES : abrutissement des masses
1865 - Sombre lune
1864 - Les mouches
1863 - Ma vie simple
1862 - Clinchamp, terre lointaine
1861 - Je suis un conservateur
1860 - Lune de glace
1859 - Le lac
1858 - Qu’est-ce que la beauté ?
1857 - Lune blanche
1856 - Lune de mer
1855 - Lune de feu
1854 - Présence immortelle
1853 - Surprenante Lune !
1852 - L’éclat de la Lune
1851 - Epis lunaires
1850 - L’autre Lune
1849 - L’amie des cheminées
1848 - Lune morte
1847 - Lune Parmentier
1846 - Lune fatale
1845 - Amour céleste
1844 - Grâces et disgrâces
1843 - Ma maison, c'est la Lune
1842 - Poids de la Lune
1841 - La morte visiteuse
1840 - Ma cabane sous la Lune
1839 - Bleu ciel
1838 - Histoire de lune
1837 - Suc de Turque
1836 - Stéphane Blet
1835 - Ciel bleu
1834 - Bonheur de rat
1833 - Redneck
1832 - Sur le rivage
1831 - Attraction lunaire
1830 - Je suis anti-féministe radical
1829 - Mais qui est-il ?
1828 - Je veux des frontières !
1827 - Les francs-maçons
1826 - Folies lunaires
1825 - Alunir, en un mot
1824 - “Comme ils disent”, chanson d’Aznavour
1823 - Lune tiède
1822 - Globe de rêve
1821 - Effroi
1820 - Vangelis
1819 - L’air de la Lune
1818 - La campagne
1817 - Lune tombale
1816 - Les cailloux
1815 - Je déteste Paris !
1814 - Boules de neige
1813 - Je n’ai pas peur
1812 - Parler vrai
1811 - Les hommes simples
1810 - Quand la Lune panse
1809 - Régine : extinction d’un feu
1808 - Morte veilleuse
1807 - Coeur de pierre
1806 - Noir
1805 - Mystère de la Lune
1804 - Jackson Pollock
1803 - En pleine lumière
1802 - Harmonie des sexes
1801 - Dix ans dans l’azur
1800 - Pluie d’avril
1799 - Le gueux
1798 - Les pommes de pin
1797 - Voyage vers la Lune
1796 - Mystère d’une nuit
1795 - Une lumière turque
1794 - Sans coeur et avec écorce
1793 - Envolé !
1792 - Galante ou l’abcès crevé
1791 - La lumière du Bosphore
1790 - Claude Monet
1789 - Rat aristocrate
1788 - Ukraine : sortez de vos ornières mentales !
1787 - Tranche de ciel et plumes de la Terre
1786 - Les sots écolos
1785 - L’astre turc
1784 - L’Ukraine, je m’en fous totalement !
1783 - Vive la guerre !
1782 - Réponses à un coatch
1781 - Droite pure
1780 - Vains hypersensibles
1779 - Mes valeurs vives
1778 - Le secret
1777 - Force et lumière
1776 - De l’herbe à l’aiguillon
1775 - Jusqu’à la mort
1774 - Zemmour et les journalistes de gauche
1773 - Dur et juste
1772 - La flamme et le marbre
1771 - Mon chat est mort
1770 - Les frères Bogdanoff
1769 - J’ai rêvé de Natacha
1768 - Technologie
1767 - Vers la Lune
1766 - C’était la guerre
1765 - La “tondue de Chartres”
1764 - Dans le métro
1763 - Naissance d’un virus
1762 - Zemmour est-il un de Gaulle ?
1761 - Je suis grand
1760 - Jour de gloire
1758 - Une muse du Bosphore
1758 - Je suis un extrémiste
1757 - Les éoliennes
1756 - Femme terminale
1755 - Autoportrait
1754 - Je suis un sanglier
1753 - Faux fou
1752 - Les affaires
1751 - Octobre
1750 - Le fantôme
1749 - Les écrivains
1748 - Sauvez la France !
1747 - Mes sentiments de pierre
1746 - Une araignée raconte
1745 - Un coeur clair
1744 - Phallocrate
1743 - Les vaches
1742 - Les faibles sont mauvais
1741 - Les sans-visage
1740 - Le trouillard de gauche
1739 - Léonard de Vinci enfant
1738 - Mes froideurs sublimes
1737 - Le romantisme, c’est la décadence
1736 - La Joconde
1735 - La tour Eiffel
1734 - Le Soleil
1733 - Une boule de mystère
1732 - Les masqués
1731 - Burcu Günes, l’or turc
1730 - Léa Désandre
1729 - Le père Dédé
1728 - “Blanc lumière” de Pollock
1727 - Les kikis et les cocos
1726 - Les funérailles de Belmondo
1725 - Pôle Sud
1724 - Vierge au mariage
1723 - La forêt
1722 - Le réveil des clochers
1721 - En septembre
1720 - Extraterrestre
1719 - Ni cagoule ni sérum
1718 - L’astre des morts
1717 - L’idéaliste
1716 - Un ange noir pour les Blancs ?
1715 - Trois heures du matin
1714 - Dur et vivant
1713 - Homme des bois
1712 - De flamme et de sang
1711 - Mes bas potentiels
1710 - Je suis un anti-progressiste
1709 - Eléonore et les Noirs
1708 - Eléonore et les Juifs
1707 - Une française
1706 - Femme d’idées
1705 - Joie de vivre
1704 - Auteur de rêves
1703 - Raison féminine
1702 - Vieillard
1701 - Face de France
1700 - 1789
1699 - Adieu, France
1698 - Célibataire
1697 - L’envers vert
1696 - Avant la chute
1695 - L’aube d’Ève
1694 - Amour raté
1693 - À vue d’homme
1692 - Le loup et l’agnelle
1691 - Têtes à corps
1690 - Trêve de la nuit
1689 - L’été
1688 - L’hiver
1687 - Les âmes de la forêt
1686 - Enfin libre !
1685 - Je vis sans masque
1684 - Enfants du monde
1328 - Je suis apolitique
115 - Le cygne
114 - Le spleen de Warloy-Baillon
113 - Les visiteurs
112 - La Lune
111 - L’amant des laides
110 - Mémoires d’un libertin
109 - Une existence de pompiste
108 - Lettre à mes amis des listes sur Internet