Les hommes n'existent plus.
Les grands, les forts, les vrais.
A la place, des larves, des mauviettes, des frileux, des castrés.
Moi je dis que l'homme, le mâle, est un seigneur de naissance. Aux antipodes de la pitoyable vision contemporaine le réduisant à un clone de la femme. Pour les châtrés-dégénérés s'épilant les jambes et se couvrant la peau de crèmes protectrices, l'homme est une limace bien lisse qui bave en se trainant aux pieds de poulettes dégradées pour pleurer leurs faveurs.
Dans ce siècle aseptisé le mâle ne conquiert plus, il quémande.
Conscient de l'inaliénable supériorité que me confère ce glaive hérité de Mars, je me comporte sans complexe en astre dominateur, puissant et radieux, viril et impérial jusque dans mes pensées les plus élevées, indifférent à l'anti-machisme ambiant. Ce qui a pour effet de déplaire aux femmes dénaturées, aux bécasses hystériques, aux féministes invétérées et même à la masse des eunuques, je veux parler de ces caniches formant la majorité du genre masculin de notre société. Ces toutous habitués à subir la loi des femelles ont perdu toute dignité phallique.
La femme en rébellion contre l'homme déchoit de son demi-trône naturel consistant à laver les pieds de son maître. Devenue insignifiante, ridicule et sans valeur en voulant singer son dieu, elle caquète, glougloute, agite dans le vide ses ailes de volaille trop lourde, hurle stérilement à s'en égosiller pendant que le lion, nonchalant mais sûr de lui, couvre sa voix aiguë de petite créature pleureuse d'un paisible, rauque, souverain rugissement.
Lui n'a pas besoin de se déchirer les cordes vocales pour manifester sa divine autorité et faire sentir à la femme que sa crinière est une couronne, ses testicules des bijoux royaux, son membre un sceptre de pharaon.
La descendante de Vénus a un tempérament docile. Molle, tiède, inconstante, indécise, elle est faite pour obéir à son étoile et la suivre fidèlement. C'est dans sa nature.
Tandis que l'homme, ce reflet du soleil, est fait pour régner sur ses terres conquises.
Voilà pourquoi je dis que les hommes n'existent plus : parce que, éteints de l'intérieur par l'eau glaciale de l'hérésie féministe, ils ont fini par croire que le soleil était l'égal de la lune.
VOIR LA VIDEO :
https://youtu.be/MOZv7rX0zZc
https://youtu.be/Aqcv0FGKOPQ
VOIR LA VIDEO :
https://youtu.be/MOZv7rX0zZc
https://youtu.be/Aqcv0FGKOPQ
4 commentaires:
Décidément vous avez vraiment peur de la Femme, ce qui me réjouit profondément
Cette peur naturelle et insurmontable qui vous domine atténue singulièrement la luminosité de votre esprit
Comment peuvent-ils être beaux et forts puisqu'ils n'existent plus ?
Du réchauffé tout ça !
Ah, non, c'est vrai...j'avais oublié...ça fait partie de la méthode "Assimil".
(J'ai pas dit la méthode à Mimile !)
Quel triste réalité!
Le temps ou la femme tombait prosternée aux pieds du mâle ithyphallique, est révolu.
Il ne reste plus qu'à vous retirer en silence, à supporter cette tragédie;le monde foisonnent de femelles homasses et de pleutres émasculés..
Nuls êtres au monde ne changeront cette déconfiture.
C'est bel et bien fini.
"Nuls êtres au monde ne changeront cette déconfiture.
C'est bel et bien fini."
On sent la frustration amère dans ces mots. Presque comme un regret dans la dernière phrase, qui au contraire d'être victorieuse, semble pleine de regrets.
Tant pis pour vous si vous avez assassiné vos mâles par hystérie, les dégénérées, vous vous suffirez de phallus en plastique et d’inséminations artificielles à présent. Les mâles butinent déjà ailleurs depuis longtemps!
Vous voyagez des fois, les ploucardes? Il n'y a que dans les grandes métropoles occidentales que c'est ainsi, ailleurs c'est toujours la classique Homme masculin Femme féminine. Et on est 7 milliards sur terre...
Ça fait peu pour vous, les monstres de l'Hybris.
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