dimanche 29 septembre 2013

1010 - Déclaration d'amour

Madame,

Vous me plaisez madame car vous n’avez pas de bosse sur le dos et vous n’êtes pas une naine. J’apprécie aussi que vos semelles ne sentent pas le caca de chien. Vous avez de beaux cheveux blonds et toutes vos dents. Pas une de cariée !

Votre haleine n’a rien d’infect madame. J’en connais qui puent de la gueule  toute la journée ! Vous, non.

Vous êtes jeune encore, avec des traits charmants et une voix douce.  Au restaurant vous ne vous mettez pas à chier soudainement devant tout le monde dans les soupières et les plats qu’on sert, ça aussi c’est important.

Jamais je n’aurais accepté un tel comportement, comprenez-le.

Votre corsage est bien rempli et vous ne vomissez pas en autocar même quand ça tourne souvent. Aux enterrements vous n’ouvrez pas les cercueils en cachette pour voir  ce qu’il y a dedans et vous ne bavez pas quand vous buvez du champagne. Ca aussi c’est bien.

Vous aimez recevoir d’énormes phallus entre vos cuisses et détestez les petits pois. Moi non plus je n’aime pas les petits pois, ni les épinards d’ailleurs.

Vous ne distribuez pas d’urine de vache aux curés du canton et vous avez la courtoisie de porter de beaux chapeaux à dentelles le dimanche chez l’épicier qui ferme à midi.

Pour toutes ces raisons hautement escargotiques, madame je vous déclare ma flamme izarrienne.

Puis-je apporter un marteau à notre prochaine rencontre ?

Lorsque je serai sur le point de vérifier si vous n’avez pas de verrue dans le dos je vous forcerai à manger de la salade avec des écorces d’orange amère et vous finirez par aimer ce mets (ça se mange sans faim de la laitue parfumée à l’écorce d’orange) mais jamais je ne vous ferai d’enfant car j’ai oublié de vous dire que je déteste les femmes enceintes.

Au fait, que pensez-vous des serpents dans la peinture hongroise du XVIème siècle ?

samedi 28 septembre 2013

1009 - Je n'ai pas de coeur

Moi, je ne fais pas dans la sensiblerie. Je ne distribue pas des caresses sentimentales mais des raclées mentales.

Je suis un sans-coeur. Un vrai, un dur, un tempérament tout de rigueur et d’acier.

A la place de cette guimauve émotive qui fait chialer les faibles et ramollit leur matière grise, j’ai un cerveau.

Un cerveau mes amis.

Une pierre qui médite. Un diamant cérébral. Un soleil glacé.

Une pure machine, une mécanique cognitive tournant à la perfection.

J’ai remplacé les larmes de la compassion stérile par l’impartiale, froide, souveraine et féconde raison.

Plus mon “palpitant” est dur, plus mes pensées sont éclatantes. Plus je le ferme aux implorations insistantes et indignes des souffrants, plus ma divine cervelle voit juste. L’accès à la vérité est au prix de la dureté de ce caillou battant dans ma poitrine. 

J’ai éteint depuis longtemps la flamme de mon coeur pour allumer celle de mon esprit.

Et paradoxalement l’intellect est de glace : c’est ce qui fait sa supériorité sur la sotte ébullition du "puits à haines et tendresses."

En devenant insensible par le bas, je suis devenu  brillant par le haut. En abandonnant toute pitié, j’ai découvert l’olympienne réflexion.

La “limace à passions” est bête, grossière, capricieuse, injuste, aveugle, intéressée, mauvaise, égoïste, perverse, brutale et impure.

L’organe neuronal est efficace, sensé, équitable, noble, fraternel, altruiste, doux, vertueux, juste et bon.

Le “cognant” et ses tempêtes stupides est fatalement dans l’erreur. Le “crâne raisonnant”, qui est de marbre, ne fait jamais rien hors de la droiture, il demeure dans le vrai quelles que soient les saisons. 

La “tripe affective” fonce comme une folle, la tête calcule sagement.

Celui qui écoute sa corde sensible brait comme un âne et trébuche car il lève les yeux au ciel en soupirant, celui qui pense se tait et marche droit car il regarde ses pieds sans état d’âme.

La “fleur qui bat” est une mauvaise herbe générant des fruits écoeurants -trop acides ou trop sucrés-, c’est un insatiable chardon engraissant sur les vomissures des éclopés, des cancéreux, des clochards, des moribonds et des malodorants orphelins.

Avec ses vains emballements, ses brûlures imbéciles et ses regards de myope, le “cloaque à bons sentiments” est un animal  pouilleux. Alors que l’intelligence et ses justesses de vue est une statue évoluée.

Parce que la pompe à sang ne génère aucune idée mais plein de rêves poisseux, je la déclare définitivement infirme.

Moi, à la place de cette éponge à ordures sociales, j’ai un astre gelé qui illumine mon front impassible.

VOIR LA VIDEO :

mercredi 18 septembre 2013

1008 - Solaire Soral

Monsieur Soral n’est certes pas la plus fine plume du sérail des grands subversifs mais c’est un coq éclatant, un coeur intègre, un tempérament ardent, un oiseau de haut vol, un bec d’envergure qui ne l’ouvre que pour laisser échapper les plus cinglantes vérités.

Soral brille par devant quand d’autres, prudemment, étincellent par derrière. A voix basse.

Ce qu’on reproche au soleil Soral ? De briller en plein jour.

La vérité est parfois si crue que tout aigle à la vue perçante qui la détecte et veut la démocratiquement répandre autour de lui est fatalement coupable de vouloir agresser celle (la vue) des taupes, fort basse et maladivement sensible à la lumière, comme on le sait.

C’est l’éternelle histoire qui dure depuis que le mensonge est mensonge et que la vérité est... lumineuse.

Soral n’est pas un subtil menteur, c’est un grossier honnête. Il injurie le monde en le désignant tel qu’il est. Ses analyses sont tranchantes. Trop justes pour être acceptables. Parce qu’il sème le vrai, il récolte l’ivraie. Tel est l’ordre du monde.

La presse proprette classe ce chanteur de notes discordantes dans la catégorie des “haineux aux idées trop brèves pour être laïques”... L’astre Soral, c’est certain, chauffe les oreilles des canards frileux avec le son trop catholique de ses trompettes...

Soral siffle, on le traite de fasciste. Soral raisonne, on le taxe de cloche. Soral vise en plein dans le mille, on le fustige... Bref Soral déplaît aux herbivores adeptes de l’intelligence aseptisée.

Mais...

Soral pense, les beaux esprits l’encensent.

VOIR LES DEUX VIDEOS :


https://youtu.be/nqBkag7sFDo

dimanche 15 septembre 2013

1007 - Vert de bonheur

Les jours d’été ensoleillés me dépriment.

Ce que l’on nomme communément le “beau temps” plonge systématiquement mon âme dans le deuil.

Un ciel sans nuage est pour moi synonyme d’ennui, d’inertie, de tristesse, de mort.

L’azur nu que chauffe l’astre de juillet n’est à mes yeux qu’un désert céleste vide de vie, de joie et d’espoir.

C’est un silence qui assèche, un feu qui plombe, une lumière qui tue.

Mon équilibre se rétablit lorsque l’onde s’annonce. Quand la saison chaude se dérègle et fait place à la grêle, je revis. Et dès que l’automne arrive, je suis totalement délivré.

De juin à août je suis un exilé, je deviens un étranger sur mon sol natal, absent à ce monde surchauffé, dans la seule attente des nuages fertiles, des joyeuses tempêtes et de la pluie chantante.

La bienfaisante brume d’octobre, le divin brouillard d’arrière-saison, la magique grisaille des matins d’équinoxe m’enchantent, m’allègent, me font rêver jusqu’au crépuscule.

Par dessus tout, le crachin, la fraicheur et la nue sombre sont les ors fluides et mélancoliques de mon royaume aqueux.

Je suis une créature des marécages, un homme de la bruyère, un chercheur d’humidité. Je ne respire pleinement que dans la bruine, ne suis parfaitement heureux que sous des océans de cirrus, me sens plein de vie sous les immensités nuageuses qui abreuvent le monde.

Je prends mon essor dans l’air imbibé d’eau, plane dans l’intempérie, m’égaie de la tourmente, m’enivre de flotte, me fait baptiser par tous les orages.

Je suis une grenouille ailée.

VOIR LES QUATRE VIDEOS :

https://rutube.ru/video/f2b28d9e76932e05e09bb8e4a0d35913/

https://rutube.ru/video/158dcf482f6695758fb955cc267e7501/

https://rutube.ru/video/227578ca1f4a08cfd5a73a4ff89259f9/

1006 - Vive le mariage entre homosexuels !

Je me suis radicalement gouré sur l’homosexualité.

En réalité l’hétérosexualité est contre-nature et l’homosexualité est la chose la plus courante, la plus commune et la plus ordinaire qui soit dans toute la Création..

Sauf que les gens qui refusent cette réalité sont des hypocrites. Et même je dis que tous ceux qui nient la normalité de l’homosexualité sont des bougres refoulés. Des hypocrites. Des dégénérés, des tordus, des êtres corrompus par une éducation hétérosexuelle discriminante, criminelle, malsaine.

Un anus masculin est anatomiquement conçu pour recevoir un phallus. Cela tombe sous le sens. On se demande comment à notre époque des arriérés, des gens bornés, butés, de purs imbéciles peuvent encore contester cette lapalissade...

Le mariage est surtout et avant tout fait pour les couples homosexuels.

Malheureusement depuis la nuit des temps l’institution du mariage a été perversement détournée par des hétérosexuels archaïques, hystériques, primaires, brefs de vrais fascistes, exerçant à travers le globe la tyrannie de la ségrégation des genres. Alors que le monde entier a toujours été composé d’homosexuels contenus.

Adam était un sodomite. Ève une gouine. Et Dieu un sale homophobe sectaire créateur de ”différences stigmatisant les sexes”.

On nous a raconté des bobards avec cette pouffiasse d’Ève pour laquelle Adam n’éprouva jamais aucune attirance. Adam s'est accouplé avec des chèvres pour faire pression sur Dieu qui, ému par sa solitude amoureuse, a fini par lui retirer de la côte un beau mâle à sa ressemblance. Soit-dit en passant, pour un homme équilibré sodomiser des caprins est une réaction tout ce qu’il y de plus normale lorsqu’il n’a pas de viril amant sous la verge.

Il faut avoir l’esprit ouvert, nous ne sommes plus au Moyen-Âge tout de même !

De nos jours les formes multiples de la sexualité humaine se revendiquent fièrement ! Hélas ! Certains réactionnaires étriqués qualifient ces diversités sensuelles de déviances, de vices, de décadences... Les pauvres, ils vivent dans leur tête comme aux temps des cavernes alors qu’aujourd’hui on peut changer de sexe, louer des ventres, vendre des embryons, etc... Ces rétrogrades réduisent la femme à leur unique attirance alors qu’elle est émancipée, asexuée, libre et homosexuelle ! Ces hétérosexuels sans nuance ni ouverture du coeur n’ont aucun autre objet de désir dans leur vie intime que la femme. Ils pensent comme des animaux...

Pire que des bêtes d’ailleurs puisque nos amis non bipèdes sont tous homosexuels eux aussi. Cela a été prouvé scientifiquement.

Les hétérosexuels sont de vrais handicapés dont il faut avoir pitié.

Bref l’homosexualité tout comme la zoophilie et même la pédophilie (pédophilie malheureusement réprimée après les années 1970 -âge d’or de l’amour sans préjugé- par des bourgeois culs-bénis haineux et intolérants) sont des choses fort naturelles, saines et morales. Il faut vraiment être un sale intégriste puritain pour dénoncer ces pratiques sexuelles qui font la richesse, la diversité et la dignité de l’Homme progressiste !

L’homme n’est pas fait pour la femme. Prétendre que l’homme est fait pour unir sa chair avec celle de la femme est une hérésie millénaire que notre siècle de progrès gauchiste a eu le courage de dénoncer. L’homme est fait pour l’homme, c’est une vérité qui ne se discute pas. L'homosexualité observée chez la gent à quatre pattes, à poils et à plumes prouve même de manière flagrante, définitive et indiscutable que l’homosexualité est universelle et que le mariage entre homosexuels est par conséquent parfaitement légitime.

C’est le mariage hétérosexuel qui est choquant, offensant pour notre civilisation avancée, moralement répréhensible car DISCRIMINATOIRE à l’égard de la majorité homosexuelle qui peuple cette planète tant chez les humains que chez les non-humains !

Le mariage est fait pour les couples homosexuels, c’est l’évidence même.

On nous a menti, lobotomisé, perverti depuis les temps bibliques avec des archétypes hétérosexuels aliénants, rigides, réducteurs !

VIVE LE MARIAGE ENTRE HOMOSEXUELS !

VIVE L’AVORTEMENT !

VIVE L’ÉGALITÉ UNIVERSELLE CAR UN HOMME VAUT UN ARROSOIR ET UNE BANANE ÉQUIVAUT A UN CHINOIS !

VOIR LES DEUX VIDEOS :

https://rutube.ru/video/5151b4b5347102715100ce5d734ed6bd/

https://rutube.ru/video/fd50cb2ceebf5a562641b089fff29673/

https://rutube.ru/video/443702409180c748947ac92620a5b290/

mercredi 11 septembre 2013

1005 - La pensée à la sauce tomate

Cheminant sans but mais non sans fruit dans les rues paisibles de la petite ville sarthoise, je me sens seul au monde. Plongé dans mes songes abstraits, je ne vois que les nuages de mes pensées élevées.

Arrivé au bord du gouffre de mes méditations essentielles et bientôt pétrifié par le vertige des mes interrogations ultimes, je stoppe le pas.

Qu’est-ce que la vie ? Son but ? La mort ? L’infini ? La raison et la cause des choses ?

Au même moment dans la rue de cette cité si calme nommée Sillé-le-Guillaume où je me trouve, madame Michelard, imposante, pragmatique et résolue ménagère présentement préoccupée par la confection de la soupe du soir, tranche tout net la tête d’une grosse truite sur sa planche de cuisine dans un fracas gras et spongieux ! Ceci fait elle éventre la bête d’un coup ajusté afin de l’éviscérer dans les règles de l’art. Pas d’état d’âme, l’heure du repas approche et il y a encore la soupe à préparer. D’ailleurs quelques ingrédients manquent, ce qui la soucie franchement.

Absorbé par mes fumées philosophiques, je ne perçois rien de ces énormités domestiques, alors que je me situe non loin de la demeure aux fenêtres ouvertes où se déroulent ces faits anodins mais crus.

Que fait l’Homme dans cet Univers plein de mystère ? Partout où se porte mon regard, tout n’est qu’énigme... Naître, chercher, mourir... Poids de la condition humaine, quête de sens...

- Ha ben  tiens te v’la enfin fainéasse ! C’est à c’t’heure là que t’arrives ? Ousque t’as encore été boire ? Dis, tu pues la gnôle à vingt mètres à la ronde espèce d’ivrogne ! Tu sais que c’est un vrai chantier près des cabinets, qu’est-ce que t’attends pour aller débordeliser tout ça ? C’est-y pas honteux ! Tu crois quand même pas que tu vas aller cuver dans ton fauteuil pendant que je fais la popote ! Allez ! Va nettoyer les saloperies près des cabinets depuis le temps que tu devais le faire !

Echanges ordinaires entre notre brave cuisinière -au giron aussi développé que son sens pratique- et son tendre époux quelque peu oublieux de ses devoirs communs.

Cette fois les échos de ces témoignages de vie épaisse me parviennent.

Et me sortent de ma profonde rêverie spéculative...

Des manifestations rudes, frustes, perçantes, outrancières et bien réelles de ce monde sur lequel précisément je suis en train de me poser des questions sans réponse.

Intrigué, je m’approche de la fenêtre et aperçois madame Michelard, son grand couteau de cuisine à la main, affairée entre la truite étêtée aux entrailles ouvertes étalée sur la table et son époux imbibé d’alcool titubant vers les cabinets, à ses oeuvres...

Alors dans un élan insensé de vérité, de franchise et de colère mêlées je m’adresse à l’ogresse en des termes radicaux, ne m’embarrassant nullement de précautions verbales dans l‘état de questionnement fondamental où je suis :

- Madame, à vous voir et vous entendre votre existence semble se réduire à de vulgaires activités ménagères dignes de l’impératrice des concierges de province que vous êtes !

Sa réponse, prompte, claquante, désarmante, aussi dénuée de fioritures que ma métaphysique :

- Tu tombes à pic mon coco ! Il me manquait justement un petit cornichon, une grosse tomate et une bonne patate pour ma soupe...  Tu fais les trois en un à ce que je vois, ben tu feras vite l’affaire avec moi !

VOIR LES DEUX VIDEOS :


https://youtu.be/fAipAsXHFnU

https://rutube.ru/video/9fb88029240e12f7cd6d1c6153edcd5e/


http://www.dailymotion.com/video/x1jepwd_la-pensee-a-la-sauce-tomate-raphael-zacharie-de-izarra_webcam

Liste des textes

2222 - Leurre ou lueur ?
2221 - Clinchamp, cet ailleurs sans fin
2220 - La tempête Trump
2219 - Femme de lune
2218 - Une plume de poids
2217 - Douches glacées
2216 - Les arbres et moi
2215 - Je pulvérise le féminisme !
2214 - J’aime les vieux “fachos”
2213 - La surprise
2212 - Promenade en forêt
2211 - Je vis dans une cabane
2210 - Plouc
2209 - Je suis un mâle primaire
2208 - Musique triste
2207 - Ma cabane au fond des bois
2206 - Hommage à Christian FROUIN
2205 - Installation sur la Lune
2204 - Barreaux brisés
2203 - Affaire Pélicot : juste retour de bâton du féminisme
2202 - L’abbé Pierre, bouc-émissaire des féministes
2201 - Par tous les flots
2200 - Votre incroyable aventure !
2199 - Je ne suis pas en vogue
2198 - Jadis, je rencontrai un extraterrestre
2197 - Dernière pitrerie
2196 - Alain Delon
2195 - Je déteste les livres !
2194 - L’esprit de la poire
2193 - Je ne suis pas citoyen du monde
2192 - Ma cabane dans la prairie
2191 - Devant l’âtre
2190 - Plus haut que tout
2189 - Pourquoi la femme vieillit si mal ?
2188 - Je prends l’avion
2187 - Sous la Lune
2186 - La pourriture de gauche
2185 - Je dors à la belle étoile
2184 - L’obèse et l’aristocrate
2183 - Le hippy et moi
2182 - Croyant de feu
2181 - Les gens importants
2180 - Le Beau
2179 - Michel Onfray
2178 - J’irai cracher sur leurs charentaises !
2177 - Clodo
2176 - Corbeaux et corneilles
2175 - Un dimanche plat atomique
2174 - Promenade en barque
2173 - Juan Asensio, ce rat lumineux
2172 - Il va pleuvoir bientôt
2171 - Au bord de la lumière
2170 - Dans mes nuages
2169 - J’ai dormi dehors
2168 - Les roses
2167 - Perdu en mer
2166 - Un jeune heureux
2165 - Le vagabond
2164 - Un ogre
2163 - Brigitte
2162 - Les gens simples
2161 - L’azur de Warloy-Baillon
2160 - Cause majeure
2159 - Je n’ai aucune élégance
2158 - La rivière
2157 - Il n’est pas raciste
2156 - Elle me fait peur
2155 - L’horloge
2154 - A la boulangerie de Mont-Saint-Jean
2153 - L’écologiste, ce primitif
2152 - Madame Junon
2151 - Chemins de pluie à Clinchamp
2150 - Voyage vers Mars
2149 - Galaxies
2148 - Je suis de la droite honteuse
2147 - Les écrivains sont des poids morts
2146 - L’héritage de Clinchamp
2145 - Clinchamp, une histoire sans fin
2144 - Vent de mystère à Clinchamp
2143 - Ma cachette à Clinchamp
2142 - Randonnée à Clinchamp
2141 - Eclipse de Lune à Clinchamp
2140 - Un arc-en-Ciel à Clinchamp
2139 - Clinchamp sous l’orage
2138 - J’ai rêvé de Clinchamp
2137 - Jour de l’An à Clinchamp
2136 - Vacances d’été à Clinchamp
2135 - Attente à Clinchamp
2134 - Un jour ordinaire à Clinchamp
2133 - Or de France
2132 - La compagne des esseulés
2131 - Loup de lumière
2130 - Spleen
2129 - Le pitre
2128 - Les corbeaux de Clinchamp
2127 - Un homme heureux à Clinchamp
2126 - Le mouton
2125 - Des lutins à Clinchamp ?
2124 - Je suis fort !
2123 - Paroles prophétiques
2122 - L’égalité entre les hommes est injuste !
2121 - L’idéaliste de gauche
2120 - La femme est la monture de l’homme
2119 - Clinchamp sous la neige
2118 - Le Nord et le Sud
2117 - Pourquoi j’aime Clinchamp ?
2116 - Convaincre Blandine
2115 - Un couple de vieillards à Clinchamp
2114 - Le facteur de Clinchamp
2113 - Tristesse et beauté à Clinchamp
2112 - L’Art
2111 - Botte à l’oeuf
2110 - Les bûcherons de Clinchamp
2109 - Le coucou de Clinchamp
2108 - BFMTV : l’écran de la vérité
2107 - Lettre anonyme
2106 - Je ne suis pas amoureux de Paris !
2105 - Un jour d’hiver à Warloy-Baillon
2104 - La femme soumise brille comme une casserole
2103 - Les chouettes de Clinchamp
2102 - Quand la tempête s’abat sur Clinchamp...
2101 - L’aile et la pierre
2100 - Mes amis les maudits
2099 - Le brouillard de Clinchamp
2098 - Artiste de gauche
2097 - L’éternité dans la tête
2096 - Toussaint à Clinchamp
2095 - Chagrin échappé
2094 - Clinchamp-sur-Mystère
2093 - Les cafards
2092 - Loup des airs
2091 - Le loup de Clinchamp
2090 - En latin, c’est plus beau !
2089 - Les patates de Clinchamp
2088 - L’enfant des airs
2087 - Ciel de France
2086 - Thaïs d’Escufon
2085 - Les tomates de Clinchamp
2084 - Jérôme Bourbon
2083 - Les chats de Clinchamp
2082 - Poupée d’ailleurs
2081 - Pierre de feu
2080 - Les champs de Clinchamp
2079 - L’éclosion
2078 - Vacuité des bouquinistes
2077 - Les toits
2076 - Freud
2075 - Sport
2074 - Le simplet de Clinchamp
2073 - Les oiseaux de Clinchamp
2072 - Je ne suis pas cartésien
2071 - Au cimetière de Clinchamp
2070 - Le Panthéon pour Hugo, l’évasion pour Izarra
2069 - Les rats de la France
2068 - Le curé de Clinchamp
2067 - Mon trou à Clinchamp
2066 - Saint-Léonard-des-Bois
2065 - Les cloches de Clinchamp
2064 - Un épouvantail à Clinchamp
2063 - Les rêves de Clinchamp
2062 - Je suis raciste
2061 - L’injustice sociale ne me choque pas
2060 - Les femmes de Clinchamp
2059 - Les jours vides de Clinchamp
2058 - Une grand-mère
2057 - Clinchamp vers 1970
2056 - La femme de soixante ans
2055 - Sale temps à Clinchamp
2054 - Un grand voyage en forêt
2053 - L’ailé et l’aliéné
2052 - Souvenirs lointains
2051 - Domestication d’une greluche
2050 - Déprime à Clinchamp
2049 - L’amour à Clinchamp
2048 - Les Droits de l'Homme, c'est la négation de l'homme !
2047 - Les hivers de Clinchamp
2046 - Les chemins de Clinchamp
2045 - Seul au monde
2044 - Ne me parlez pas d’amour
2043 - Tristesse de l’été
2042 - Jour de fête à Clinchamp
2041 - Monsieur Lecon
2040 - Châtelain
2039 - Les ailes de Clinchamp
2038 - Tremblement de terre
2037 - Nuit d’amour
2036 - Pluie de joie à Clinchamp
2035 - Les gauchistes
2034 - Clinchamp sous les clartés lunaires
2033 - Henri d’Anselme, héros hétéro rétro
2032 - Les hirondelles
2031 - Retraite dans la forêt
2030 - Mon bosquet
2029 - L’or de Clinchamp
2028 - Sur le chemin
2027 - La souche
2026 - Clinchamp, ce voyage sans fin
2025 - Sardines à l’huile
2024 - Les fantômes
2023 - Le silence de la forêt
2022 - Les arbres
2021 - Les joies de Clinchamp
2020 - La merde républicaine
2019 - Les ailés
2018 - Les soirées de Clinchamp
2017 - Parasite
2016 - Clinchamp, les routes de l’ennui
2015 - Moi français, je déteste les migrants !
2014 - Répugnante
2013 - Les complotistes
2012 - Je déteste les livres de philosophie !
2011 - Le bossu de Clinchamp
2010 - La lumière de Clinchamp
2009 - Les crépuscules de Clinchamp
2008 - Les nuits à Clinchamp
2007 - Les aubes de Clinchamp
2006 - Je suis un oiseau à Clinchamp
2005 - Les rats de Clinchamp
2004 - Les papillons de Clinchamp
2003 - Les richesses de la normalité
2002 - Le Rimbaud des bobos
2001 - Les vaches de Clinchamp
2000 - La folle de Clinchamp
1999 - Mon ego solaire
1998 - Vague Lune
1997 - Ma cabane à Clinchamp
1996 - Moi, IZARRA
1995 - Mais qui donc est Dardinel ?
1994 - La Dame Blanche de Clinchamp
1993 - Le Dalaï-Lama
1992 - Pluie à Clinchamp
1991 - Je suis sexiste
1990 - Les flammes du printemps
1989 - Le rustaud de Clinchamp
1988 - Les larmes d’Amsterdam
1987 - Clinchamp, terre d’envol
1986 - La Joconde de Clinchamp
1985 - Face cachée de Clinchamp
1984 - La clocharde de Clinchamp
1983 - Je suis un extraterrestre
1982 - Clinchamp sous les éclats de novembre
1981 - Clinchamp au bord des larmes
1980 - Les fantômes de Clinchamp
1979 - Les pissenlits de Clinchamp
1978 - Clinchamp : fin et commencement de tout
1977 - Amsterdam
1976 - J’habite sur la Lune
1975 - Secret de Lune
1974 - Les ailes de la Lune
1973 - Voir Clinchamp et sourire
1972 - La pierre et l’éther
1971 - Clinchamp, au bonheur des larmes
1970 - Clinchamp, mon dernier refuge
1969 - Croissant de Lune
1968 - Mais d’où vient donc la Lune ?
1967 - Lune lointaine
1966 - Lune éternelle
1965 - Sandrine, notre voisine
1964 - Rêve de Lune
1963 - Lune des rêves
1962 - La Lune dans le bleu
1961 - Lune ultime
1960 - Les tourmentés
1959 - Clinchamp, paradis des ombres
1958 - Lune absente
1957 - Je raffole des commérages !
1956 - Clinchamp : royaume des humbles
1955 - La Dame dans le ciel
1954 - Palmade : de la gloire au gouffre
1953 - Evasion
1952 - Tatouages, ces marques de faiblesse
1951 - L’égalité est un enfer !
1950 - Repas sur l’herbe à Clinchamp
1949 - Escale à Clinchamp
1948 - Beauté morbide de la Lune
1947 - J’ai dormi dehors à Clinchamp
1946 - Les humanitaires sont des parasites !
1945 - Sur les routes de Clinchamp
1944 - Une année à Clinchamp
1943 - Tristesse du printemps
1942 - Bulle de Terre
1941 - Jour de joie à Clinchamp
1940 - L’inconnu de Clinchamp
1939 - Le ciel de Clinchamp
1938 - Les éclats de Clinchamp
1937 - Le voyageur
1936 - Fête triste
1935 - Les antiracistes
1934 - Jean Messiha
1933 - Coeur gelé
1932 - Romantisme de pierre
1931 - La femme est sous mes pieds
1930 - Burcu Güneş, un air léger
1929 - Je déteste les pauvres !
1928 - Quand mon coeur s’allume
1927 - Intègre, entier, râpeux
1926 - Le cheval
1925 - Homme mauvais
1924 - Un trou sous le ciel
1923 - Hauteur de la Lune
1922 - Nulle part, là-bas, ailleurs
1921 - Belle Lune
1920 - Salades lunaires
1919 - Lettre à Reynouard
1918 - MARGUERITE OU L’HISTOIRE D’UNE VIEILLE FILLE
1917 - Récoltes lunaires
1916 - Je suis français de souche
1915 - Lune mortuaire
1914 - Clinchamp, cité des oubliés
1913 - Clinchamp, l’air de rien
1912 - Clinchamp, sommet du monde
1911 - La pollution, c’est la vie !
1910 - Seule au monde ?
1909 - Le Ciel et la Terre
1908 - Lune de haut vol
1907 - La Lune s’allume
1906 - Nuit sombre
1905 - Soupe de Lune
1904 - Puretés raciales
1903 - Lune-pizza
1902 - La grande question
1901 - Amiens
1900 - Pleur de Lune
1899 - Rêve d’amour
1898 - Vive le patriarcat !
1897 - La libellule
1896 - L’eau qui m’éclaire
1895 - Une question de clarté
1894 - La Lune dort
1893 - Les artifices du spirituel
1892 - Lune normale
1891 - Ni chauffage ni travail
1890 - Lune de fer
1889 - Molle Lune
1888 - Insensible aux malheurs des autres
1887 - Mon visage de vérité
1886 - Amante russe
1885 - J’écris
1884 - Lune martiale
1883 - Je suis un incapable
1882 - Lune creuse
1881 - 1975
1880 - L’éclat d’un fard
1879 - Amour impossible
1878 - Femme au foyer
1877 - L’esprit de la Lune
1876 - Ingérence féministe
1875 - Cratères lunaires
1874 - Lune d’effroi
1873 - Lune des chats
1872 - Les athées
1871 - Lune d’or
1870 - Lune carrée
1869 - Lune de miel
1868 - Folle lune
1867 - Jour de joie
1866 - SMARPHONES : abrutissement des masses
1865 - Sombre lune
1864 - Les mouches
1863 - Ma vie simple
1862 - Clinchamp, terre lointaine
1861 - Je suis un conservateur
1860 - Lune de glace
1859 - Le lac
1858 - Qu’est-ce que la beauté ?
1857 - Lune blanche
1856 - Lune de mer
1855 - Lune de feu
1854 - Présence immortelle
1853 - Surprenante Lune !
1852 - L’éclat de la Lune
1851 - Epis lunaires
1850 - L’autre Lune
1849 - L’amie des cheminées
1848 - Lune morte
1847 - Lune Parmentier
1846 - Lune fatale
1845 - Amour céleste
1844 - Grâces et disgrâces
1843 - Ma maison, c'est la Lune
1842 - Poids de la Lune
1841 - La morte visiteuse
1840 - Ma cabane sous la Lune
1839 - Bleu ciel
1838 - Histoire de lune
1837 - Suc de Turque
1836 - Stéphane Blet
1835 - Ciel bleu
1834 - Bonheur de rat
1833 - Redneck
1832 - Sur le rivage
1831 - Attraction lunaire
1830 - Je suis anti-féministe radical
1829 - Mais qui est-il ?
1828 - Je veux des frontières !
1827 - Les francs-maçons
1826 - Folies lunaires
1825 - Alunir, en un mot
1824 - “Comme ils disent”, chanson d’Aznavour
1823 - Lune tiède
1822 - Globe de rêve
1821 - Effroi
1820 - Vangelis
1819 - L’air de la Lune
1818 - La campagne
1817 - Lune tombale
1816 - Les cailloux
1815 - Je déteste Paris !
1814 - Boules de neige
1813 - Je n’ai pas peur
1812 - Parler vrai
1811 - Les hommes simples
1810 - Quand la Lune panse
1809 - Régine : extinction d’un feu
1808 - Morte veilleuse
1807 - Coeur de pierre
1806 - Noir
1805 - Mystère de la Lune
1804 - Jackson Pollock
1803 - En pleine lumière
1802 - Harmonie des sexes
1801 - Dix ans dans l’azur
1800 - Pluie d’avril
1799 - Le gueux
1798 - Les pommes de pin
1797 - Voyage vers la Lune
1796 - Mystère d’une nuit
1795 - Une lumière turque
1794 - Sans coeur et avec écorce
1793 - Envolé !
1792 - Galante ou l’abcès crevé
1791 - La lumière du Bosphore
1790 - Claude Monet
1789 - Rat aristocrate
1788 - Ukraine : sortez de vos ornières mentales !
1787 - Tranche de ciel et plumes de la Terre
1786 - Les sots écolos
1785 - L’astre turc
1784 - L’Ukraine, je m’en fous totalement !
1783 - Vive la guerre !
1782 - Réponses à un coatch
1781 - Droite pure
1780 - Vains hypersensibles
1779 - Mes valeurs vives
1778 - Le secret
1777 - Force et lumière
1776 - De l’herbe à l’aiguillon
1775 - Jusqu’à la mort
1774 - Zemmour et les journalistes de gauche
1773 - Dur et juste
1772 - La flamme et le marbre
1771 - Mon chat est mort
1770 - Les frères Bogdanoff
1769 - J’ai rêvé de Natacha
1768 - Technologie
1767 - Vers la Lune
1766 - C’était la guerre
1765 - La “tondue de Chartres”
1764 - Dans le métro
1763 - Naissance d’un virus
1762 - Zemmour est-il un de Gaulle ?
1761 - Je suis grand
1760 - Jour de gloire
1758 - Une muse du Bosphore
1758 - Je suis un extrémiste
1757 - Les éoliennes
1756 - Femme terminale
1755 - Autoportrait
1754 - Je suis un sanglier
1753 - Faux fou
1752 - Les affaires
1751 - Octobre
1750 - Le fantôme
1749 - Les écrivains
1748 - Sauvez la France !
1747 - Mes sentiments de pierre
1746 - Une araignée raconte
1745 - Un coeur clair
1744 - Phallocrate
1743 - Les vaches
1742 - Les faibles sont mauvais
1741 - Les sans-visage
1740 - Le trouillard de gauche
1739 - Léonard de Vinci enfant
1738 - Mes froideurs sublimes
1737 - Le romantisme, c’est la décadence
1736 - La Joconde
1735 - La tour Eiffel
1734 - Le Soleil
1733 - Une boule de mystère
1732 - Les masqués
1731 - Burcu Günes, l’or turc
1730 - Léa Désandre
1729 - Le père Dédé
1728 - “Blanc lumière” de Pollock
1727 - Les kikis et les cocos
1726 - Les funérailles de Belmondo
1725 - Pôle Sud
1724 - Vierge au mariage
1723 - La forêt
1722 - Le réveil des clochers
1721 - En septembre
1720 - Extraterrestre
1719 - Ni cagoule ni sérum
1718 - L’astre des morts
1717 - L’idéaliste
1716 - Un ange noir pour les Blancs ?
1715 - Trois heures du matin
1714 - Dur et vivant
1713 - Homme des bois
1712 - De flamme et de sang
1711 - Mes bas potentiels
1710 - Je suis un anti-progressiste
1709 - Eléonore et les Noirs
1708 - Eléonore et les Juifs
1707 - Une française
1706 - Femme d’idées
1705 - Joie de vivre
1704 - Auteur de rêves
1703 - Raison féminine
1702 - Vieillard
1701 - Face de France
1700 - 1789
1699 - Adieu, France
1698 - Célibataire
1697 - L’envers vert
1696 - Avant la chute
1695 - L’aube d’Ève
1694 - Amour raté
1693 - À vue d’homme
1692 - Le loup et l’agnelle
1691 - Têtes à corps
1690 - Trêve de la nuit
1689 - L’été
1688 - L’hiver
1687 - Les âmes de la forêt
1686 - Enfin libre !
1685 - Je vis sans masque
1684 - Enfants du monde
1328 - Je suis apolitique
115 - Le cygne
114 - Le spleen de Warloy-Baillon
113 - Les visiteurs
112 - La Lune
111 - L’amant des laides
110 - Mémoires d’un libertin
109 - Une existence de pompiste
108 - Lettre à mes amis des listes sur Internet