mardi 12 novembre 2013

1020 - Interview poussée

Une âme avisée me soumet dix questions essentielles. J'y réponds avec coeur et sincérité.

1 - Les cathédrales (essentiellement celle de Chartres), les églises (Sillé-le-Guillaume et la basilique d'Albert notamment) sont de muettes et constantes présences dans vos oeuvres. Vous préférez, de toute évidence, les galaxies aux canapés en cuir, même si les deux représentent de la matière... Cela contredit-il vos articles intitulés “La pierre pulvérisée” et “La marche sur le feu” où vous dénigrez l’aspect sacré de ces érections de pierre ?

Si j’évoque avec respect et admiration certains aspects des oeuvres terrestres consacrées à la gloire de l’esprit, je ne m’interdis pas pour autant la critique lorsqu’elle se justifie. Les représentations (et interprétations) du sacré, aussi somptueuses, inspirées, essentielles soient-elles, ne sont pas nécessairement exemptes d’erreurs, de maladresses, de puérilités. Je ne fais que relever les incohérences et outrances de la religiosité, simples reflets de l’imperfection des mortels. Je suis d’ailleurs fort indulgent à l’égard des travers cultuels. Je ne les condamne pas vraiment, je m’en amuse surtout.

2 - Un des thèmes qui vous inspire particulièrement concerne les déshérités du sort : bossus, vieilles filles, laiderons. Est-ce un simple hasard ou avez-vous une explication ?

Le sort cruel, pathétique et pitoyable, souvent drôle, tragique, toujours singulier des “damnés de l’hyménée” m’inspire. Sur le plan littéraire ce thème est d’une intarissable richesse. A travers les feux suprêmes du coeur en proie aux pires vicissitudes et injustices de l’amour,  je sonde (non sans une délectation faite de frayeur et de voyeurisme, certes malsaine dans les  apparences mais éminemment pédagogique pour moi comme pour les autres) la complexité de l’âme humaine et de ses passions, parfois étranges et magnifiques. Gouffres et sommets, telles sont les “bornes interdites” autour desquelles ma plume se plaît à “papillonner”... C’est dans la férocité des destins les plus âpres, les plus improbables, les plus humbles que j’explore avec lucidité les profondeurs éclatantes -ou bien sombres- de cette créature bipède tellement intrigante, douée d’intelligence autant que de stupidité (mais ne me croyez pas cynique, en réalité je crois en la perfectibilité, l’amélioration, la rédemption de l’Homme, ses pires erreurs n’étant que de douloureux mais nécessaires apprentissages de vie, d’amour, d’humanité). Je suis un pionnier des sentiments enfouis, un débusqueur de trésors perdus, un explorateur des contrées intérieures les plus reculées, voire inconnues. Et croyez bien que s’il m’arrive de m’attarder avec une malicieuse jubilation sur les travers de mes contemporains jusqu’à les enfler exagérément et en faire des monstruosités conceptuelles, c’est bien la lumière que je cherche à mettre en évidence chez mon semblable ainsi scruté, cette étincelle divine éclipsée par des dehors peu flatteurs. Je suis le révélateur de l’éclat dissimulé, de la flamme irradiant sous les haillons que peu de gens savent voir. Je rétablis les vérités abîmées, ce qui parfois déplaît à un point extrême et je peux le comprendre, c’est humain, car je fracasse quelques belles illusions du siècle.

3 - Les fictions sur votre propre mort sont cruelles. Seul Dieu décide de l'heure de notre départ dans la file d'attente vers l'au-delà. Il est injuste d'obliger ceux qui vous aiment a participer -même de manière littéraire- à vos funérailles. N’y avez-vous jamais songé ?

Cette sensiblerie rapportée à ma personne est ridicule et ceux qui m’aiment vraiment n’éprouvent pas ce genre de puérilités. L’amour véritable est viril, marmoréen, voire assez rude. Il cogne, frappe, brûle, surprend, transperce, crucifie. Il n’est point mollesse et pleurnicheries de concierges. L’humour noir est l’apanage des âmes fortes, non des coeurs de limaces.

4 - On apprécie beaucoup l'humour cinglant de vos écrits : vous nous amusez avec vos obsessions de "radin" et vos vieilles filles étranges, mais pourquoi pas une histoire triste sur une vieille fille ? Auriez-vous peur de déplaire à l’époque qui a tendance à occulter la tristesse au profit de la légèreté ?

J’ai abordé le sujet des vierges infâmes aussi bien sous les angles comiques que sinistres, langoureux que mélancoliques. Mes textes mêlent pensées éthéréennes et situations grotesques, cimes olympiennes et bas-fonds d’un quotidien abject et brutal, célestes essors et chutes dans les trivialités de la matière. Une exquise indigestion de perles contrastées. Les hauteurs, exactement comme dans la vie, ne se révèlent que lorsqu’on a les pieds plongés dans la fange. Mes anti-héroïnes de fiel aux rêves furieux et aux désirs inassouvis se situent entre la marmite et l’infini, entre la soupe aux navets et le cosmos, entre le potager de leur jardinet et l’Eden. Vous voyez, le saugrenu côtoie la gravité chez mes “poupées de lettres et de chiffon”, encore faut-il savoir digérer mes textes dans le silence, une fois la lecture achevée, telle la saveur persistante d’un vin aussi fin que fort. Comme chez Mozart dont on dit que le silence qui suit la partition terminée, c’est encore de la musique, je dirais que chez IZARRA, une fois le livre refermé, c’est encore de la littérature. IZARRA, c’est le Mozart des mots, en somme. Le virtuose du verbe. En toute modestie.

5 - Dans vos textes vous vous définissez en tant qu’Esthète. Les traits de ce personnage sont significatifs. Dans quelle mesure cela se reflète-t-il -ou pas- dans votre personnalité ?

Un auteur met toujours plus ou moins de lui-même à travers ses “reflets de plume”, n’est-ce pas ? Ses oeuvres sont à divers degrés imprégnées de son égo. Hé bien ici je mets beaucoup de moi-même, le principal pour tout vous dire.

6 - Quel est le visage de votre personne que vous voudriez que vos lecteurs retiennent en priorité : l’esthète, le Pierrot sensible, timide et inadapté, le dandy ou le magicien des mots ?

Contre toute attente, le Pierrot sensible. La Poésie que je porte en moi surpasse toutes les autres facettes de ma personnalité. Pierrot incarne le mieux cet idéal désincarné qui fait vibrer le monde et les astres. Ce personnage est l’essence de ce que je suis profondément, intimement, définitivement.

7 - Certains pourraient vous reprocher de vouloir réduire l’esprit à des usages pragmatiques étriqués, d’exploiter ses principes divins pour des desseins triviaux, par exemple dans vos positions pédagogiques où vous vous donnez la mission d’"éduquer les ânes”, de “réveiller les abrutis de la Terre" etc... Que pensez-vous de l'Amour inconditionnel et de la liberté d'individu de faire son chemin, même si c'est une fausse route ?

Peut-être bien que le Ciel a mis IZARRA sur le chemin des ânes de la Terre afin de les guider... Qu’en savons-nous ? Pourquoi ma mission ne serait-elle pas là ? L’étoile que je représente (mon nom IZARRA signifie d’ailleurs “ETOILE”, dois-je le rappeler ?) aurait été déposée sur la route des sots afin de les illuminer. Ou pas. En ce cas j’endosse volontiers le rôle de redresseur de torts. Ou plutôt, d’éveilleur de consciences. On se forge son destin comme on peut, à sa mesure... Et moi, je vois grand.

8 - Quel thème vous enflamme le plus ?

Celui de l’amour sous la pluie de mars. Plus largement, les sentiments amoureux trempés de fol espoir et en même temps paralysés par le froid des habitudes, pris entre les flaques d’eau, déprimantes, et les nuages, libérateurs mais inaccessibles. Cela dit, ce qui m’enflamme n’est pas ce qui me séduit le plus. La Poésie, je le répète, est ma substance fondamentale. Elle ne m’enflamme pas mais me glace. La Poésie n’est pas rouge mais bleue. Elle n’est pas une jungle étouffante mais un paysage de givre.

9 - Si vous pouviez rencontrer en réel un des personnages de vos créations littéraires, lequel serait-il ?

Et si je vous disais : moi-même ? Je veux dire, rencontrer tel ou tel personnage, après tout ne serait-ce pas me rencontrer moi-même en partie ou en totalité ? Mes créations, ne sont-ce pas les projections de ce que je suis, en germes ou en désirs, mais aussi, plus subtilement, de ce que je n’aimerais pas être ?

10 - Vous analysez de manière fort incisive (et controversée) les faits de l’actualité et vous êtes également le créateur de situations et personnages imaginaires très marqués, outranciers, banals, dérangeants, héroïques, inhumains, admirables, répugnants, poétiques... Où vous sentez-vous plus a l'aise: dans la sphère du quotidien ou du fantastique ?

Chez moi fiction et réalité se rejoignent, en définitive. Les deux sont imbriquées. Je m’inspire du quotidien dans mes écrits. Que vous répondre de plus ? Le réel sera toujours plus surprenant que l’imaginaire et ce que j’écris, je ne l’invente pas : ça vient de loin, de très loin. Et de très près puisque ça vient du fond de moi-même. Du Ciel diront certains.

VOIR LA VIDEO :

https://rutube.ru/video/4b5848dbd9dfcf66a2177c280f75bf84/

samedi 9 novembre 2013

1019 - La discrimination, c'est quoi ?

La discrimination est nécessaire. Dans tous les domaines des échanges humains.

Discriminer, cela signifie sélectionner. On a donné un sens péjoratif au terme DISCRIMINER, à tort.

La sélection (c’est à dire la discrimination) est permanente, impérative chez les humains.

L’existence serait invivable s’il n’y avait pas de discrimination chez les citoyens. Par exemple lorsqu’un homme choisit une femme pour se marier avec, il opère fatalement une discrimination draconienne à l’égard de toutes les autres femmes, éliminant les obèses, les maigres, les bretonnes, les maliennes, les prolétaires, les  infirmes, etc., pour se focaliser sur l’élue qui sera saine, fortunée, bien éduquée, agréable à regarder, ou que sais-je encore...

De même sur le terrain de l’embauche, contrairement à ce que l’on pense il y a une inique discrimination même lorsque le patron ne regarde ni la couleur de peau du candidat ni son sexe ni son état de santé. Cette discrimination est légale : elle se fait sur les compétences.

Sauf que...

Pourquoi celui qui a moins de compétences que le voisin, et sous ce seul prétexte, n’aurait-il pas le droit de jouir républicainement des biens de la société ?  Pourquoi celui qui n’a pas eu la chance de naître avec les mêmes capacités de travail, les mêmes avantages intellectuels que son collègue, devrait-il gagner moins que celui qui est né avec un QI plus élevé, un tempérament plus combatif, une capacité de travail plus développée ?

Ce qu’on appelle sélection sur les compétences est aussi injuste et ignoble que ce qu’on appelle discrimination sur la couleur de la peau.

Celui qui n’est pas choisi par un patron  parce qu’il est venu au monde avec un tempérament peu porté sur le labeur est dans le même cas de figure révoltant que celui qui n’est pas choisi par un patron parce qu’il a la “mauvaise'” couleur de peau, qu’il est infirme ou homosexuel.

Le principe de la sélection injuste -du moins ce qui est considéré comme étant injuste dans notre système- est exactement le même.

Tantôt la discrimination est inadmissible pour la société, tantôt elle est admise, encouragée sous prétexte qu’elle se fait sur les compétences. Les deux pourtant sont iniques puisqu’elles pénalisent le sujet de manière arbitraire.

La sélection sur les compétences est une profonde injustice. On appelle cela l’égalité des chances. Ce qui est profondément faux, mensonger, hypocrite. Les chances ne sont pas égales dans ce cas, les hommes étant naturellement inégaux devant les capacités d’apprentissages, de compréhension, de talents, de savoir-faire.

L'authentique justice sociale, la vraie égalité entre les travailleurs serait de les rémunérer avec le même salaire afin que tous puissent jouir des mêmes choses à égalité et non pas injustement selon les capacités intellectuelles ou physiques des uns et des autres, réduisant ou  optimisant ainsi leur accès aux biens de consommation de manière arbitraire sur cette base des compétences, du courage ou des dispositions naturelles...

Pourquoi l'ouvrier devrait-il être interdit de saumon frais quand le pilote de ligne aurait droit d'en consommer tous les jours ? Mais nous n'en sommes pas là dans  notre société faussement égalitaire...

La vraie égalité sociale consisterait à rétribuer avec le même salaire tous les travailleurs, du moins efficace au plus compétent, du plus bête au plus brillant, du plus faible au plus fort, du plus passif au plus courageux. Au lieu de cela on a placé à l’embauche un filtre inique aux apparences démocratiques : injustice acceptée par tous.

La discrimination est un vocable à connotation dépréciative. Or la discrimination, c’est à dire la sélection, a toujours existé, elle est naturelle et utile mais on a utilisé le terme DISCRIMINATION, mot à forte connotation péjorative, afin d’endormir les Dupont et faire croire aux travailleurs-esclaves, aux féministes, aux lobotomisés du quotidien que ce sont des humanistes.

Il y a d’énormes différences entre une femme et un homme, un infirme et un costaud, un jeune et un vieux, surtout et particulièrement par rapport à un emploi de terrassier.

Et moi je ferais ces nettes différences si j’étais un employeur cherchant un terrassier.

Je discriminerais un candidat par rapport à sa musculature, son sexe ou son état de santé.

Un patron cherchant un terrassier établit nécessairement des différences par rapport aux compétences, au sexe, à la santé, à la musculature, à l’âge.

Encore une fois la discrimination dans le travail est NÉCESSAIRE.

Cela dit, sélectionner des candidats selon leurs compétences et calculer le montant de leur salaire par rapport à ces compétences est du point de vue de la justice, de l’égalité des chances, une profonde iniquité. Et cette iniquité est pourtant admise par tous.

Si vous voulez une vraie égalité entre les hommes, alors adoptez le régime communiste.

Bref, vive la discrimination !

VOIR LA VIDEO :

https://youtu.be/OhJPAmFhvhc

https://rutube.ru/video/f8d920dee03b783c8bdd202b9296de04/

vendredi 8 novembre 2013

1018 - Points communs entre homosexualité et pédophilie

Alors que dans notre société les déviances sexuelles sont considérées comme des maladies, des anomalies, des perversités, curieusement l’homosexualité jouit d’un statut particulier.

En toute illogique.

L’homosexualité a gagné une image de grande honorabilité. De hautes qualités sont quasi systématiquement associées à l’homosexualité. Etre homosexuel dans notre société équivaut à une véritable promotion morale. C’est accéder à une haute reconnaissance socio-culturelle.

L’homosexualité est même prioritaire en termes d’acceptation, de revendications, d’élections, “d’image de marque”.

La pédophilie consiste en une attirance sexuelle naturelle, innée, involontaire, incontrôlée d’un adulte à l’égard des êtres impubères. L’homosexualité consiste également en une attirance naturelle, innée, involontaire, incontrôlée d’une personne envers une personne de même sexe. 

A ce titre l’homosexualité ne se distingue nullement de la pédophilie.

Ni le pédophile ni le sodomite ne sont responsables de leurs préférences intimes. Ces deux archétypes séduits par leur objet respectif ne sont pas maîtres de leur sort sexuel. La pédophilie comme l’homosexualité procèdent d’un même principe instinctif, d’une semblable flamme déviante dont le sujet n’a pas choisi l‘orientation.

Etrangement, le premier (non actif, bien entendu) sera sujet à l’opprobre générale, le second (actif) à la considération unanime.

Or dans les deux cas ils se sont contentés de naître, l’un avec ce qui est admis comme étant une tare, l’autre avec ce qui est jugé comme une nouvelle norme parée de toutes les vertus.

Il en est de même en ce qui concerne les autres “sensibilités sexuelles” telles la zoophilie, la nécrophilie, la scatologie, la coprophagie, etc., injustement écartées de ce système préférentiellement homophile.

Ces pratiques, pour répugnantes qu’elles soient, émanent pourtant de cette même source naturelle logée en chacun de nous -dont nul n’est fautif- et devraient par conséquent être prises en compte avec les mêmes égards hyper-révérencieux dont bénéficie l’homosexualité de la part de ce régime de gauche se donnant comme mission d’inverser les repères les plus légitimes de notre civilisation, les plus sains de nos aïeux...

Repères ancestraux remis en questions pour leur caractère odieusement “discriminatoire” envers les citoyens mâles annelés, piercés, tatoués, épilés, féminisés, jupés...

Et ce, au nom de l’égalité républicaine si chère à notre époque obsédée par le nivellement des aspérités humaines, l’indifférenciation des individus, si soucieuse de la défense des minorités ostracisées, quelles qu’elles soient. Et surtout préoccupée d’ôter toute connotation morale aux aberrations sexuelles sous prétexte qu’elles relèvent du domaine “de la vie privée”.

L’homosexualité est de plus en plus reconnue en tant que garantie de respectabilité. A l’homosexualité sont assimilées les plus flatteuses valeurs du siècle : tolérance, humanisme, égalitarisme, progrès, intelligence, sociabilité...

Il y a bien là une incohérence flagrante. A l’aune de cette analyse objective des faits, je me demande pour quelle raison le fait d’être homosexuel donne droit aux honneurs publics, alors que le fait d’être pédophile, zoophile, nécrophile ou scatophile provoque encore des résistances... Il serait logique, selon les critères actuels avec lesquels les individus sont estimés, exactement à l’image de l’homosexualité, de réhabiliter les autres “exclus sexuels”.

Le sacro-saint droit à la différence n’est pas encore totalement appliqué dans cette France prétendument progressiste !

Mais heureusement, grâce à la formidable évolution des moeurs que représente le “mariage pour tous”, bientôt la pédophilie, la nécrophilie, la zoophilie et la scatophilie seront enfin reconnus comme des orientations sexuelles comme les autres, débarrassées de leur ridicule fardeau moral, héritage de plusieurs siècles d’obscurantisme vis-à-vis de ces “variétés amoureuses”, et ses adeptes acclamés tels des héros modernes par les défenseurs des “minorités cachées”.

Liste des textes

2222 - Leurre ou lueur ?
2221 - Clinchamp, cet ailleurs sans fin
2220 - La tempête Trump
2219 - Femme de lune
2218 - Une plume de poids
2217 - Douches glacées
2216 - Les arbres et moi
2215 - Je pulvérise le féminisme !
2214 - J’aime les vieux “fachos”
2213 - La surprise
2212 - Promenade en forêt
2211 - Je vis dans une cabane
2210 - Plouc
2209 - Je suis un mâle primaire
2208 - Musique triste
2207 - Ma cabane au fond des bois
2206 - Hommage à Christian FROUIN
2205 - Installation sur la Lune
2204 - Barreaux brisés
2203 - Affaire Pélicot : juste retour de bâton du féminisme
2202 - L’abbé Pierre, bouc-émissaire des féministes
2201 - Par tous les flots
2200 - Votre incroyable aventure !
2199 - Je ne suis pas en vogue
2198 - Jadis, je rencontrai un extraterrestre
2197 - Dernière pitrerie
2196 - Alain Delon
2195 - Je déteste les livres !
2194 - L’esprit de la poire
2193 - Je ne suis pas citoyen du monde
2192 - Ma cabane dans la prairie
2191 - Devant l’âtre
2190 - Plus haut que tout
2189 - Pourquoi la femme vieillit si mal ?
2188 - Je prends l’avion
2187 - Sous la Lune
2186 - La pourriture de gauche
2185 - Je dors à la belle étoile
2184 - L’obèse et l’aristocrate
2183 - Le hippy et moi
2182 - Croyant de feu
2181 - Les gens importants
2180 - Le Beau
2179 - Michel Onfray
2178 - J’irai cracher sur leurs charentaises !
2177 - Clodo
2176 - Corbeaux et corneilles
2175 - Un dimanche plat atomique
2174 - Promenade en barque
2173 - Juan Asensio, ce rat lumineux
2172 - Il va pleuvoir bientôt
2171 - Au bord de la lumière
2170 - Dans mes nuages
2169 - J’ai dormi dehors
2168 - Les roses
2167 - Perdu en mer
2166 - Un jeune heureux
2165 - Le vagabond
2164 - Un ogre
2163 - Brigitte
2162 - Les gens simples
2161 - L’azur de Warloy-Baillon
2160 - Cause majeure
2159 - Je n’ai aucune élégance
2158 - La rivière
2157 - Il n’est pas raciste
2156 - Elle me fait peur
2155 - L’horloge
2154 - A la boulangerie de Mont-Saint-Jean
2153 - L’écologiste, ce primitif
2152 - Madame Junon
2151 - Chemins de pluie à Clinchamp
2150 - Voyage vers Mars
2149 - Galaxies
2148 - Je suis de la droite honteuse
2147 - Les écrivains sont des poids morts
2146 - L’héritage de Clinchamp
2145 - Clinchamp, une histoire sans fin
2144 - Vent de mystère à Clinchamp
2143 - Ma cachette à Clinchamp
2142 - Randonnée à Clinchamp
2141 - Eclipse de Lune à Clinchamp
2140 - Un arc-en-Ciel à Clinchamp
2139 - Clinchamp sous l’orage
2138 - J’ai rêvé de Clinchamp
2137 - Jour de l’An à Clinchamp
2136 - Vacances d’été à Clinchamp
2135 - Attente à Clinchamp
2134 - Un jour ordinaire à Clinchamp
2133 - Or de France
2132 - La compagne des esseulés
2131 - Loup de lumière
2130 - Spleen
2129 - Le pitre
2128 - Les corbeaux de Clinchamp
2127 - Un homme heureux à Clinchamp
2126 - Le mouton
2125 - Des lutins à Clinchamp ?
2124 - Je suis fort !
2123 - Paroles prophétiques
2122 - L’égalité entre les hommes est injuste !
2121 - L’idéaliste de gauche
2120 - La femme est la monture de l’homme
2119 - Clinchamp sous la neige
2118 - Le Nord et le Sud
2117 - Pourquoi j’aime Clinchamp ?
2116 - Convaincre Blandine
2115 - Un couple de vieillards à Clinchamp
2114 - Le facteur de Clinchamp
2113 - Tristesse et beauté à Clinchamp
2112 - L’Art
2111 - Botte à l’oeuf
2110 - Les bûcherons de Clinchamp
2109 - Le coucou de Clinchamp
2108 - BFMTV : l’écran de la vérité
2107 - Lettre anonyme
2106 - Je ne suis pas amoureux de Paris !
2105 - Un jour d’hiver à Warloy-Baillon
2104 - La femme soumise brille comme une casserole
2103 - Les chouettes de Clinchamp
2102 - Quand la tempête s’abat sur Clinchamp...
2101 - L’aile et la pierre
2100 - Mes amis les maudits
2099 - Le brouillard de Clinchamp
2098 - Artiste de gauche
2097 - L’éternité dans la tête
2096 - Toussaint à Clinchamp
2095 - Chagrin échappé
2094 - Clinchamp-sur-Mystère
2093 - Les cafards
2092 - Loup des airs
2091 - Le loup de Clinchamp
2090 - En latin, c’est plus beau !
2089 - Les patates de Clinchamp
2088 - L’enfant des airs
2087 - Ciel de France
2086 - Thaïs d’Escufon
2085 - Les tomates de Clinchamp
2084 - Jérôme Bourbon
2083 - Les chats de Clinchamp
2082 - Poupée d’ailleurs
2081 - Pierre de feu
2080 - Les champs de Clinchamp
2079 - L’éclosion
2078 - Vacuité des bouquinistes
2077 - Les toits
2076 - Freud
2075 - Sport
2074 - Le simplet de Clinchamp
2073 - Les oiseaux de Clinchamp
2072 - Je ne suis pas cartésien
2071 - Au cimetière de Clinchamp
2070 - Le Panthéon pour Hugo, l’évasion pour Izarra
2069 - Les rats de la France
2068 - Le curé de Clinchamp
2067 - Mon trou à Clinchamp
2066 - Saint-Léonard-des-Bois
2065 - Les cloches de Clinchamp
2064 - Un épouvantail à Clinchamp
2063 - Les rêves de Clinchamp
2062 - Je suis raciste
2061 - L’injustice sociale ne me choque pas
2060 - Les femmes de Clinchamp
2059 - Les jours vides de Clinchamp
2058 - Une grand-mère
2057 - Clinchamp vers 1970
2056 - La femme de soixante ans
2055 - Sale temps à Clinchamp
2054 - Un grand voyage en forêt
2053 - L’ailé et l’aliéné
2052 - Souvenirs lointains
2051 - Domestication d’une greluche
2050 - Déprime à Clinchamp
2049 - L’amour à Clinchamp
2048 - Les Droits de l'Homme, c'est la négation de l'homme !
2047 - Les hivers de Clinchamp
2046 - Les chemins de Clinchamp
2045 - Seul au monde
2044 - Ne me parlez pas d’amour
2043 - Tristesse de l’été
2042 - Jour de fête à Clinchamp
2041 - Monsieur Lecon
2040 - Châtelain
2039 - Les ailes de Clinchamp
2038 - Tremblement de terre
2037 - Nuit d’amour
2036 - Pluie de joie à Clinchamp
2035 - Les gauchistes
2034 - Clinchamp sous les clartés lunaires
2033 - Henri d’Anselme, héros hétéro rétro
2032 - Les hirondelles
2031 - Retraite dans la forêt
2030 - Mon bosquet
2029 - L’or de Clinchamp
2028 - Sur le chemin
2027 - La souche
2026 - Clinchamp, ce voyage sans fin
2025 - Sardines à l’huile
2024 - Les fantômes
2023 - Le silence de la forêt
2022 - Les arbres
2021 - Les joies de Clinchamp
2020 - La merde républicaine
2019 - Les ailés
2018 - Les soirées de Clinchamp
2017 - Parasite
2016 - Clinchamp, les routes de l’ennui
2015 - Moi français, je déteste les migrants !
2014 - Répugnante
2013 - Les complotistes
2012 - Je déteste les livres de philosophie !
2011 - Le bossu de Clinchamp
2010 - La lumière de Clinchamp
2009 - Les crépuscules de Clinchamp
2008 - Les nuits à Clinchamp
2007 - Les aubes de Clinchamp
2006 - Je suis un oiseau à Clinchamp
2005 - Les rats de Clinchamp
2004 - Les papillons de Clinchamp
2003 - Les richesses de la normalité
2002 - Le Rimbaud des bobos
2001 - Les vaches de Clinchamp
2000 - La folle de Clinchamp
1999 - Mon ego solaire
1998 - Vague Lune
1997 - Ma cabane à Clinchamp
1996 - Moi, IZARRA
1995 - Mais qui donc est Dardinel ?
1994 - La Dame Blanche de Clinchamp
1993 - Le Dalaï-Lama
1992 - Pluie à Clinchamp
1991 - Je suis sexiste
1990 - Les flammes du printemps
1989 - Le rustaud de Clinchamp
1988 - Les larmes d’Amsterdam
1987 - Clinchamp, terre d’envol
1986 - La Joconde de Clinchamp
1985 - Face cachée de Clinchamp
1984 - La clocharde de Clinchamp
1983 - Je suis un extraterrestre
1982 - Clinchamp sous les éclats de novembre
1981 - Clinchamp au bord des larmes
1980 - Les fantômes de Clinchamp
1979 - Les pissenlits de Clinchamp
1978 - Clinchamp : fin et commencement de tout
1977 - Amsterdam
1976 - J’habite sur la Lune
1975 - Secret de Lune
1974 - Les ailes de la Lune
1973 - Voir Clinchamp et sourire
1972 - La pierre et l’éther
1971 - Clinchamp, au bonheur des larmes
1970 - Clinchamp, mon dernier refuge
1969 - Croissant de Lune
1968 - Mais d’où vient donc la Lune ?
1967 - Lune lointaine
1966 - Lune éternelle
1965 - Sandrine, notre voisine
1964 - Rêve de Lune
1963 - Lune des rêves
1962 - La Lune dans le bleu
1961 - Lune ultime
1960 - Les tourmentés
1959 - Clinchamp, paradis des ombres
1958 - Lune absente
1957 - Je raffole des commérages !
1956 - Clinchamp : royaume des humbles
1955 - La Dame dans le ciel
1954 - Palmade : de la gloire au gouffre
1953 - Evasion
1952 - Tatouages, ces marques de faiblesse
1951 - L’égalité est un enfer !
1950 - Repas sur l’herbe à Clinchamp
1949 - Escale à Clinchamp
1948 - Beauté morbide de la Lune
1947 - J’ai dormi dehors à Clinchamp
1946 - Les humanitaires sont des parasites !
1945 - Sur les routes de Clinchamp
1944 - Une année à Clinchamp
1943 - Tristesse du printemps
1942 - Bulle de Terre
1941 - Jour de joie à Clinchamp
1940 - L’inconnu de Clinchamp
1939 - Le ciel de Clinchamp
1938 - Les éclats de Clinchamp
1937 - Le voyageur
1936 - Fête triste
1935 - Les antiracistes
1934 - Jean Messiha
1933 - Coeur gelé
1932 - Romantisme de pierre
1931 - La femme est sous mes pieds
1930 - Burcu Güneş, un air léger
1929 - Je déteste les pauvres !
1928 - Quand mon coeur s’allume
1927 - Intègre, entier, râpeux
1926 - Le cheval
1925 - Homme mauvais
1924 - Un trou sous le ciel
1923 - Hauteur de la Lune
1922 - Nulle part, là-bas, ailleurs
1921 - Belle Lune
1920 - Salades lunaires
1919 - Lettre à Reynouard
1918 - MARGUERITE OU L’HISTOIRE D’UNE VIEILLE FILLE
1917 - Récoltes lunaires
1916 - Je suis français de souche
1915 - Lune mortuaire
1914 - Clinchamp, cité des oubliés
1913 - Clinchamp, l’air de rien
1912 - Clinchamp, sommet du monde
1911 - La pollution, c’est la vie !
1910 - Seule au monde ?
1909 - Le Ciel et la Terre
1908 - Lune de haut vol
1907 - La Lune s’allume
1906 - Nuit sombre
1905 - Soupe de Lune
1904 - Puretés raciales
1903 - Lune-pizza
1902 - La grande question
1901 - Amiens
1900 - Pleur de Lune
1899 - Rêve d’amour
1898 - Vive le patriarcat !
1897 - La libellule
1896 - L’eau qui m’éclaire
1895 - Une question de clarté
1894 - La Lune dort
1893 - Les artifices du spirituel
1892 - Lune normale
1891 - Ni chauffage ni travail
1890 - Lune de fer
1889 - Molle Lune
1888 - Insensible aux malheurs des autres
1887 - Mon visage de vérité
1886 - Amante russe
1885 - J’écris
1884 - Lune martiale
1883 - Je suis un incapable
1882 - Lune creuse
1881 - 1975
1880 - L’éclat d’un fard
1879 - Amour impossible
1878 - Femme au foyer
1877 - L’esprit de la Lune
1876 - Ingérence féministe
1875 - Cratères lunaires
1874 - Lune d’effroi
1873 - Lune des chats
1872 - Les athées
1871 - Lune d’or
1870 - Lune carrée
1869 - Lune de miel
1868 - Folle lune
1867 - Jour de joie
1866 - SMARPHONES : abrutissement des masses
1865 - Sombre lune
1864 - Les mouches
1863 - Ma vie simple
1862 - Clinchamp, terre lointaine
1861 - Je suis un conservateur
1860 - Lune de glace
1859 - Le lac
1858 - Qu’est-ce que la beauté ?
1857 - Lune blanche
1856 - Lune de mer
1855 - Lune de feu
1854 - Présence immortelle
1853 - Surprenante Lune !
1852 - L’éclat de la Lune
1851 - Epis lunaires
1850 - L’autre Lune
1849 - L’amie des cheminées
1848 - Lune morte
1847 - Lune Parmentier
1846 - Lune fatale
1845 - Amour céleste
1844 - Grâces et disgrâces
1843 - Ma maison, c'est la Lune
1842 - Poids de la Lune
1841 - La morte visiteuse
1840 - Ma cabane sous la Lune
1839 - Bleu ciel
1838 - Histoire de lune
1837 - Suc de Turque
1836 - Stéphane Blet
1835 - Ciel bleu
1834 - Bonheur de rat
1833 - Redneck
1832 - Sur le rivage
1831 - Attraction lunaire
1830 - Je suis anti-féministe radical
1829 - Mais qui est-il ?
1828 - Je veux des frontières !
1827 - Les francs-maçons
1826 - Folies lunaires
1825 - Alunir, en un mot
1824 - “Comme ils disent”, chanson d’Aznavour
1823 - Lune tiède
1822 - Globe de rêve
1821 - Effroi
1820 - Vangelis
1819 - L’air de la Lune
1818 - La campagne
1817 - Lune tombale
1816 - Les cailloux
1815 - Je déteste Paris !
1814 - Boules de neige
1813 - Je n’ai pas peur
1812 - Parler vrai
1811 - Les hommes simples
1810 - Quand la Lune panse
1809 - Régine : extinction d’un feu
1808 - Morte veilleuse
1807 - Coeur de pierre
1806 - Noir
1805 - Mystère de la Lune
1804 - Jackson Pollock
1803 - En pleine lumière
1802 - Harmonie des sexes
1801 - Dix ans dans l’azur
1800 - Pluie d’avril
1799 - Le gueux
1798 - Les pommes de pin
1797 - Voyage vers la Lune
1796 - Mystère d’une nuit
1795 - Une lumière turque
1794 - Sans coeur et avec écorce
1793 - Envolé !
1792 - Galante ou l’abcès crevé
1791 - La lumière du Bosphore
1790 - Claude Monet
1789 - Rat aristocrate
1788 - Ukraine : sortez de vos ornières mentales !
1787 - Tranche de ciel et plumes de la Terre
1786 - Les sots écolos
1785 - L’astre turc
1784 - L’Ukraine, je m’en fous totalement !
1783 - Vive la guerre !
1782 - Réponses à un coatch
1781 - Droite pure
1780 - Vains hypersensibles
1779 - Mes valeurs vives
1778 - Le secret
1777 - Force et lumière
1776 - De l’herbe à l’aiguillon
1775 - Jusqu’à la mort
1774 - Zemmour et les journalistes de gauche
1773 - Dur et juste
1772 - La flamme et le marbre
1771 - Mon chat est mort
1770 - Les frères Bogdanoff
1769 - J’ai rêvé de Natacha
1768 - Technologie
1767 - Vers la Lune
1766 - C’était la guerre
1765 - La “tondue de Chartres”
1764 - Dans le métro
1763 - Naissance d’un virus
1762 - Zemmour est-il un de Gaulle ?
1761 - Je suis grand
1760 - Jour de gloire
1758 - Une muse du Bosphore
1758 - Je suis un extrémiste
1757 - Les éoliennes
1756 - Femme terminale
1755 - Autoportrait
1754 - Je suis un sanglier
1753 - Faux fou
1752 - Les affaires
1751 - Octobre
1750 - Le fantôme
1749 - Les écrivains
1748 - Sauvez la France !
1747 - Mes sentiments de pierre
1746 - Une araignée raconte
1745 - Un coeur clair
1744 - Phallocrate
1743 - Les vaches
1742 - Les faibles sont mauvais
1741 - Les sans-visage
1740 - Le trouillard de gauche
1739 - Léonard de Vinci enfant
1738 - Mes froideurs sublimes
1737 - Le romantisme, c’est la décadence
1736 - La Joconde
1735 - La tour Eiffel
1734 - Le Soleil
1733 - Une boule de mystère
1732 - Les masqués
1731 - Burcu Günes, l’or turc
1730 - Léa Désandre
1729 - Le père Dédé
1728 - “Blanc lumière” de Pollock
1727 - Les kikis et les cocos
1726 - Les funérailles de Belmondo
1725 - Pôle Sud
1724 - Vierge au mariage
1723 - La forêt
1722 - Le réveil des clochers
1721 - En septembre
1720 - Extraterrestre
1719 - Ni cagoule ni sérum
1718 - L’astre des morts
1717 - L’idéaliste
1716 - Un ange noir pour les Blancs ?
1715 - Trois heures du matin
1714 - Dur et vivant
1713 - Homme des bois
1712 - De flamme et de sang
1711 - Mes bas potentiels
1710 - Je suis un anti-progressiste
1709 - Eléonore et les Noirs
1708 - Eléonore et les Juifs
1707 - Une française
1706 - Femme d’idées
1705 - Joie de vivre
1704 - Auteur de rêves
1703 - Raison féminine
1702 - Vieillard
1701 - Face de France
1700 - 1789
1699 - Adieu, France
1698 - Célibataire
1697 - L’envers vert
1696 - Avant la chute
1695 - L’aube d’Ève
1694 - Amour raté
1693 - À vue d’homme
1692 - Le loup et l’agnelle
1691 - Têtes à corps
1690 - Trêve de la nuit
1689 - L’été
1688 - L’hiver
1687 - Les âmes de la forêt
1686 - Enfin libre !
1685 - Je vis sans masque
1684 - Enfants du monde
1328 - Je suis apolitique
115 - Le cygne
114 - Le spleen de Warloy-Baillon
113 - Les visiteurs
112 - La Lune
111 - L’amant des laides
110 - Mémoires d’un libertin
109 - Une existence de pompiste
108 - Lettre à mes amis des listes sur Internet