L’honneur a de moins en moins de sens dans cette société où au nom de la tolérance idolâtrée les valeurs s’inversent, les pensées s'avilissent, le vice devient vertu...
Les gens d'envergure qui ont de l’éclat et tiennent à le conserver sont persécutés, bafoués, vilipendés par un système galeux. C’est-à-dire non seulement par l’Etat mais aussi par une partie des français eux-mêmes contaminés par la peste de ce régime infecté.
La police est aux ordres de l’officielle corruption, la justice tombée dans la fosse de l’iniquité, le pouvoir au service non pas des citoyens équilibrés mais d’idéologies perverses qui dénaturent l’humain. Et les médias complices -par intérêt purement crapuleux ou doctrinal- entretiennent consciencieusement ces miasmes politico-sociaux.
Comment dans ces conditions défendre les idées de gloire, de probité morale, de décence ?
Laissons tomber l’honorabilité.
A quoi bon faire preuve de hauteur, s’évertuer à nager à contre-courant d’une civilisation vouée à la ruine, s’ingénier à demeurer debout, digne, propre, intègre, quand tout autour de soi se vautre religieusement dans la fange ?
Au contraire entrons dans la déchéance banalisée sans aucune culpabilité, profitons de la bassesse républicaine pour mieux jouir des noirceurs de la décadence qu’elle nous offre en guise de lauriers car, de surcroit, nous serons applaudis, considérés, valorisés pour avoir contribué à répandre un peu plus de merde dans cette France vouant un culte suprême à la décrépitude de ses enfants.
Jetons la noblesse dans les tas de purin de nos porcheries.
La pureté est une notion ringarde pour les pauvres arriérés qui croient encore à la grandeur de l’homme. L’honorabilité à l’ancienne, cela ne vaut plus rien dans ce monde où le bien est devenu le mal, où le péché s’est transformé en bénédiction. Ce que nos aïeux, et pas si loin, nos parents, appelaient sacrilèges, blasphèmes, profanations, ce sont aujourd’hui des “droits pour tous”. Autrement dit des biens de consommation élémentaires.
Envoyons le mérite jusqu’au fond des trous de nos chiottes.
Si vous promouvez l’honnêteté, le bon sens commun, le respect de vous-même et d’autrui, la bienséance, bref si vous suivez les mouvements de votre coeur imprégné de principes sains et sensés, la voie droite de votre conscience éclairée par la charité universelle, les élans de votre âme animée par le souci du bien commun, alors vous serez harcelés, ostracisés, persécutés, voués à l’opprobre générale et finalement condamnés.
La dignité ne servant plus à rien, laissons-la pourrir dans nos esprits et déposons ce fumier nouveau au pied de la république afin de mieux faire fleurir la déviance, cette flétrissure des moeurs qui désormais sert d'étendard (LGBT) aux progressistes et de référence à notre jeunesse.
VOIR LA VIDEO :
https://youtu.be/s5gj1qSj5aw
VOIR LA VIDEO :
https://youtu.be/s5gj1qSj5aw
4 commentaires:
Tu as raison, c'est une société sans honneur.
Elle donne le droit aux gros connards homophobes, machistes, passéistes et limites antisémites de s'exprimer librement sur les réseaux sociaux.
Quelle honte!
Quelle honte dites-vous ? Le comble de l'humour involontaire...
L'homophilie est la nouvelle religion de la république matérialiste dévoyée.
Moi je suis allergique à l'homosexualité masculine revendiquée, je n'ai pas le droit ?
Il y en a qui sont fiers d'être homosexuels, moi je suis fier de n'être pas homosexuel.
Raphaël Zacharie de IZARRA
Quand est-ce que tu t'attaques aux vrais problèmes de la société comme:
– les gens qui ne mettent pas leur clignotant quand ils changent de voies
– les pots de compote trop durs à ouvrir
– les crottes de chien et de chats qui jonchent notre chère ville du mans.
– ou le bruit de la tondeuse le dimanche matin
Voila de beaux sujets pour ton blog avec lesquels tu ne seras pas à côté de la plaque.
Anonyme,
En ce qui concerne les déjections canines sur la voie publique de la ville mancelle, c'est fait. J'ai écrit au maire Jean-Claude BOULARD qui m'a fort aimablement répondu et a réglé le problème, du moins dans mon quartier, en faisant nettoyer régulièrement les lieux pollués par ces canins oublis.
Raphaël Zacharie de IZARRA
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