lundi 23 février 2015

1101 - Aimez la vie !

Tandis que tout autour de moi n’est qu’opulence, beauté, légèreté, douceur de vivre, justice sociale (et même privilèges et chances inouïes en règles générales pour qui a vu le jour en France), je n’entends que plaintes, doléances, jérémiades en tous genres.

Alors qu’un paradis est réellement sur cette Terre, du moins en France, je vis entouré d’une humanité mécontente, insatisfaite, aigrie...

Plus on leur donne à mes contemporains ces bagnoles, ces frigos, ces télévisions, ces canapés, bref toutes ces babioles qu’ils réclament sans cesse en se persuadant qu’ils trouveront dans cette accumulation matérielle leur bonheur, moins ils sont heureux.

Afin que ces ingrats qui maudissent leur sort de repus commencent enfin à apprécier leur existence d’éternels blasés, il faudrait les priver de cette graisse matérialiste qui les étouffe.

Ces pachas qui s’ignorent ne méritent pas leur luxe car ils ne savent pas le goûter. Au lieu de rendre grâces au Ciel pour ces trésors dont ils jouissent depuis toujours, ils le maudissent parce qu’ils aimeraient avoir plus de chaînes de télévisions, une seconde voiture, des vacances plus magnifiques, des chaussures plus chères, une maison plus vaste, un bateau, etc.

Et dans leurs regrets de ne pas posséder encore plus, ils insultent le monde dont les richesses gratuites, universelles, accessibles ne les touchent point.

Le destin leur a offert santé, revenus, facilités, liberté, biens élémentaires mais surtout superflus, aides et avantages en tous genres, et pourtant ils pleurent. Ils se prétendent pauvres, victimes, malheureux, malchanceux, tristes... Ils n’aiment pas leur existence, ils estiment que leur vie est un fardeau, ils trouvent dix reproches à faire à chaque journée qui passe. Ils ont tant de choix de nourritures que le repas du midi devient un problème et le souper un casse-tête, l’indécision face à toute cette abondance les rendant encore moins reconnaissants... Leur salaire, leurs rentes ou leurs allocations ne sont jamais assez élevés, les services publics toujours défaillants selon eux, les restaurants pas assez bons, la météo rarement en accord avec leurs attentes...

Bref, ces enfants de roi sont pourris.

Et lorsque je leur annonce mon bonheur sain de simplement pouvoir rêver sous les étoiles, me promener dans les bois, contempler la Lune (tout en les invitant à suivre mon exemple), ils prennent mes joies virgiliennes pour une injure à leurs aspirations de consommateurs.

Ils se moquent de mon dépouillement qu’ils assimilent à de la misère... A leurs yeux se contenter des choses essentielles et mépriser le secondaire, c’est être un minable. Eux ne désirent que jouir des choses qui se monnayent. Ils ne comprennent pas que je puisse aimer la vie sans artifice car la vie, selon leurs critères, est un puits sans fond à combler de bagatelles, c’est à dire une éternelle insatisfaction.

Ils piétinent ce joyau qui brûle en eux parce qu’ils se sont enchaînés à des vanités. Leur dignité, ils la mettent dans l’apparence de leur voiture, dans le choix de leurs vêtements, dans leur pouvoir d’achat. Et dans leurs sempiternelles récriminations.

En effet, ils se figurent être des esprits estimables, libres et rebelles parce qu’ils se révoltent contre leur condition, font entendre leurs “souffrances”, luttent pour l’amélioration de leur situation... Sur le plan social, matériel, humain, ils sont au sommet mais se croient au fond du gouffre.

Et ils se lamentent du chômage, de la pauvreté, des inégalités sociales, de l’essence de plus en plus chère dont, sans rire, ils se disent les proies...

S’ils ne sont pas heureux, c’est qu’ils ne méritent pas de l’être.

Si, pleins d’ingratitude à l’égard de tout, ils se désolent d’être nés sous cet azur rempli de manne et de lumière, moi je m’envole à leur place. S’ils ne savourent pas ce qu’ils ont et se désolent de ce qu’ils n’ont pas, moi je me délecte du contenu de leurs poubelles. S’ils se voient en martyrs de la vie, moi je les éclaire en leur montrant qu’ils ont tort de cracher sur leur fortune.

Au lieu de leur souhaiter encore et toujours plus de confort, d’argent, de distractions toutes plus imbéciles et abrutissantes les unes que les autres, je leur dis : aimez la vie !

VOIR LES TROIS VIDEOS :

https://rutube.ru/video/b81a8450b3a04c372ba3c27ea7c56018/

https://rutube.ru/video/28ff08062d2791ae08ede2e3202f56ce/

http://www.dailymotion.com/video/x3pzopq

http://www.dailymotion.com/video/x2hzc29_aimez-la-vie-raphael-zacharie-de-izarra_school

vendredi 20 février 2015

1100 - Eloge funèbre pour Monsieur Diard

Vous voilà donc mort monsieur Diard, vous qui sembliez solide comme un marbre, durable comme un siècle...

Je vous ai toujours connu vieillard. En réalité vous paraissiez immortel dans vos cheveux blancs. Vous aviez la ride profonde et le regard silencieux des grands sages. Votre visage était un terreau, vos mains des massues. Et votre parole, rare mais féconde, résonnait comme d’immémoriales sentences paysannes. 

Vous étiez de la race révolue des hiboux d’antan. Le berger de la bête et de la flore, l’ami de la graine et du fagot, l’amant du Soleil et de la Lune. Un oiseau agreste d’envergure onirique. Un seigneur agraire, le dernier des Mohicans sarthois, un poète des labours, le troubadour des pissenlits.

Chaste et vertueux.

Vous sentiez le foin, la pluie, les saisons...

Pour la société vous n’étiez rien qu’un vieux bouseux sans intérêt, un péquenaud dépassé par son époque, un rescapé de la féodalité perdu dans la modernité, un gueux du passé oublié par le reste du monde.

Pour moi et tous les esprits subtils et supérieurs, vous étiez un prince.

Crotté et magnifique. 

Votre univers, votre réalité, votre passé et votre avenir, votre idéal et votre éternité, c’étaient vos champs.

Et rien d’autre.

L’âtre auprès duquel vous réchauffiez votre vie humble et fruste, c’était pour moi un paradis intime qui brûlait délicieusement dans le soir. Un authentique refuge poétique. L’incarnation simple et brute de mes rêves virgiliens les plus purs.

Et lorsque vous avanciez sous la bourrasque d’un pas lent et résolu, inébranlable, le front nu, le regard altier, fourche en pogne,  je voyais en vous une statue en marche. Ou un épouvantail plein de paille et de mystère...

Votre évasion, votre fantasme, votre ambition, votre chimère, votre folie c’était la terre, toujours la terre et rien d‘autre que la terre.

Vous l’aimiez comme un père aime son fils, vous qui n’aviez pas de descendant, pas d’épouse, point de foyer. Votre enfant, le seul que vous avez aimé passionnément, ce fut le sillon.

Vous conceviez la mort comme une prairie sans fin où pousseraient des gerbes d’or que vous faucheriez à l’infini sous un astre étincelant... Je me souviens que vous souriiez à l’évocation de cette rêverie agricole, vous souriiez doucement, les yeux pleins de bonheur, les lèvres murmurant d’indistinctes bénédictions à l’adresse de ce Dieu des paysans qui rayonnait en vous comme l’unique soleil d’une existence vouée au travail champêtre...

J’ignore si en mourant vous êtes arrivé dans ces inépuisables étendues de blés qui vous sont si chères, peut-être avez-vous trouvé encore mieux que ce à quoi vous vous attendiez, mais j’aime à me figurer votre silhouette éternelle parmi les épis dorés, fauchant les récoltes de l’Eden dans un été perpétuel...

Adieu monsieur Diard, je vous aimais beaucoup. Adieu et bon vol dans votre ciel d’azur et d’herbes sauvages, de chaume et d’épeautre, de corbeaux et de chats-huants.

mercredi 18 février 2015

1099 - Preuve de l'existence de Dieu par le miel

La Création est non seulement grandiose mais encore pleine de délicatesse. Elle est mystérieuse, complexe et théâtrale dans ses grandes lignes comme dans ses moindres détails.

Infiniment élevé, cet azur chargé de nuages énigmatiques est pourtant à portée de notre vue, à hauteur de nos pas : le Ciel est un génie qui porte le linge blanc de la simplicité.

Dans ses principes suprêmes, le symbole vaut l’atome et la beauté fait partie des briques élémentaires de la matière. Conçu à l’image divine, l’Univers est plein de sens, de miroirs, de jeux, d’énigmes et de réponses en formes de questions.

La forme révèle le fond, le songe est l’éther du réel, la lumière la pierre de l’impalpable.

Et le roc, la terre, les astres, l’onde et la flamme sont des reflets de l’invisible.

Bref, Dieu a semé des fleurs sur les cailloux et répandu des diamants dans le sable.

Il a truffé la merde de poésie et mis le feu à la neige. Il a inclus des merveilles dans la pourriture qui renaît et insufflé de l’espoir à la cendre issue de l’illumination.

Mais il a aussi orné les sommets de joyaux et jeté des roses dans les étoiles.

Même ce qui est laid est beau : le ver, l’araignée, la fange ou le parasite sont des miracles eux aussi.

Il a donné leur éclat propre aux éléments qui se combinent entre eux tels des feux d’artifices sans cesse renouvelés.

Ainsi les abeilles sont pour moi la preuve de l’existence de Dieu.

Insérées dans la dentelle du Cosmos, elles font partie de ses plus fins et plus admirables rouages.

De leur vol industrieux et fécond, intégré dans le cycle de la vie, sort du miel. Etrange coulée de Soleil surgie de leurs ailes...

De fleurs en fleurs, elles offrent cet or à la Terre à travers une chaîne d’événements aussi aériens qu’absolus...

Dans ce fruit de la nature, je vois le plus grand des prodiges ! Faut-il être divin pour imaginer un processus aussi ingénieux qu’empreint de grâce, de sainteté, de majesté ! Ce nectar est la réunion parfaite de l’utilité et de l’Art.

Toute la poésie, la littérature, l’inventivité, la musique et l’élégance du monde créé sont dans cette onde sucrée.

VOIR LA VIDEO :

lundi 16 février 2015

1098 - L'hétérosexualité est un vice, l'homosexualité une vertu

La promotion de l'hétérosexualité devrait être interdite au profil de la seule promotion de l'homosexualité...

Il faut glorifier encore et toujours les pratiques sexuelles entre hommes, répandre dans toutes les couches sociales la douce subversion des moeurs sodomites !

Aujourd’hui l’Education Nationale sensibilise nos enfants aux passions de l’inversion sexuelle dès la maternelle, et c’est une excellente chose. “Papa porte une jupe”, quoi de plus normal dans un monde progressiste ?

La culture gay doit définitivement s’enraciner dans les petits cerveaux de nos chères têtes d’androgynes.

Inculquer aux héritiers de nos idéaux super égalitaires et dégenrés qu’ils ne sont ni des petits garçons ni des petites filles, leur marteler pédagogiquement, dans un esprit tout républicain, que leur sexe physique ne détermine pas leur genre et qu’ils peuvent même, s’il le veulent, porter à la fois les attributs de Mars et de Vénus, telle est la priorité des priorités...

Les futurs mariés homosexuels de notre pays doivent bien comprendre, avant même d’atteindre l’âge de raison, de puberté, que leur sexe est interchangeable, que le déterminisme des genres est une imposture de la Nature, une pure oppression déiste arriérée dont il faut s’affranchir de toute urgence : il n’y a pas de dieu, si ce n’est le dieu de l’homosexualité et les lois du Cosmos sont faites pour être violées par les lois des hommes.
L’école maternelle, puis l’école primaire, sont là pour initier nos poupons à ces réalités suprêmes. C’est même une urgence civilisationnelle. Il faut impérativement HOMOSEXUALISER la société française !

Quant à l’apprentissage de l’orthographe, c’est une chose parfaitement secondaire.

Voire ignominieuse.

En effet, il ne faut surtout pas établir de discrimination entre les élèves. D’ailleurs l’orthographe doit elle aussi être nivelée (c’est dans les projets des philanthropes de notre gouvernement) afin que chacun puisse avoir le droit d’écrire selon sa fantaisie et non selon des règles traditionnelles aussi rétrogrades que discriminantes ! Le vrai progrès c’est de faire correspondre l’orthographe aux nouvelles exigences intellectuelles de nos adolescents dont l’esprit a été reformaté par leurs écrans, et non de tenter de faire entrer un carré dans un rond !

Contrarier la nature des êtres est une violence inadmissible.

Bref, toute volonté de refouler les tendances natives des gens doit désormais être considérée comme un crime !

jeudi 5 février 2015

1097 - La France izarrienne

Je rêve d’une France de lys, d’une France de sceptre, d’une France bleue.

Une France royale.

Catholique, aristocratique, élitiste, toute en arabesques, dentelles et perruques poudrées.

Une France chantée, maniérée, éduquée, une France roulant en carrosse lustré, une France tirée par de grands chevaux aux fers dorés, une France écrite en belles lettres, une France étendue dans la soie de Versailles, vautrée dans le culte de la particule, parfumée d’azur, éclairée par un grand Soleil hautain qui se lève à quatorze heures...

Je rêve, la rage aux tripes, la bave au coeur, du fiel dans les yeux, d’une France peuplée de Louis où le 14 juillet serait oublié au profil d’un quatorze régnant non en chiffres mais en lettres : XIV.

Une France ou le mot RÉPUBLIQUE serait synonyme de rire, de chimère, d’hérésie, de honte et de misère...

Une couronne, un trône, un palais, de la sainte consanguinité, du parler ancien et d’honnêtes et reconnaissants laboureurs cultivant les terres de leurs seigneurs, voilà la France figée, classique, sacrée, éternelle qui manque à mon âme idéaliste, rétrograde, éprise d’images d’Épinal et de poésie plus que de sens des réalités !

Le peuple, l’aristocratie, le clergé et rien d’autre.

Rien d’autre que le roi.

Le roi. Le Roy dirais-je même, avec le R roulé et le Y obsolète.

Le ROY avec l’accent poussiéreux, en vieux françois qui fleure le bon vieux temps des fiefs, des troubadours et des serfs courbant le dos devant les petits marquis dédaigneux mais cependant bienveillants...

Telle est ma France izarrienne, ma France chérie, ma France magnifiée, ma France intime, ma France authentique.

mercredi 4 février 2015

1096 - Lettre d'adieu à mon voisin Pierre

Tu pars donc, mon voisin du dessous...

Tu pars et moi je reste. Je reste comme restent les pierres.

Toi Pierre tu vas rouler ta bosse ailleurs, loin, là-bas, je ne sais où, à l'autre bout de la Terre. Ou bien sur une autre Lune. En haut d'un escalier différent. Dans le creux d'un songe plus profond. En bas d'une colline plus verte, là où coulera la source de tes jours nouveaux. Une onde à travers laquelle, crois-tu, tes reflets seront clairs, ta vie lumineuse.

Oui et non. Je ne sais pas. Peut-être. Tout changera certes. Mais tout restera figé, tout sera comme avant, tout fera croire à un rêve pétrifié, à un train faisant du sur-place. Comme une roue qui se meut et qui pourtant dans sa course autour d’elle-même revient exactement au même endroit, sempiternellement. Tout part, tout passe, tout tourne et tout revient. Seules les illusions changent.

Bref tu seras loin d’ici et ton fantôme demeurera à jamais sous mes pieds.

Parce que moi, vois-tu, je prends racine sous mes ailes. Je suis un grand oiseau, de plus en plus vaste. Tu en ris oui mais tu le sais. Et plus je m’alourdis, plus mes ailes grandissent. Cet escalier que tu quittes, c’est mon piédestal. Pour m’élever toujours plus haut, je ne dois plus en redescendre. Je te regarde donc t’envoler avant l’heure, Pierre. Tu pars et je t’accompagne de ma plume. Elle est légère, timide, mélancolique un peu.

Je penserai à toi, à ton nouveau toit, à ton ciel d’avenir là-bas et à tes nuits passées dans ton nid ici, invisible. Et de temps en temps j’irai voir l’écume de tes vols poétiques laissée dans l’azur de la Toile. Par curiosité, intérêt, par envie peut-être...

Un hôte te remplacera, au 2 Bis. Et ce hibou peuplera mes insomnies d’interrogations nouvelles. Ce chat-huant sera -qui sait ?- une ardente créature hautement sexuée qui me fera baver comme un vieux crapaud pustuleux d’un désir follement impur. Ou une sorte de Farrah Fawcett qui fera vibrer ma fibre esthétique à en avoir la diarrhée. A moins que ne niche sous mon sol un pur laideron... Que je devrai néanmoins faire souffrir d’un espoir d’amour cruel et beau, par sens du devoir lyrique.

Alors que tu es sur le point de t’évanouir dans le monde, me voilà prêt pour une neuve aventure izarrienne avec celui ou celle qui te succédera.

Pierre, mon denier mot pour toi ne sera pas une surprise. Tu t’attends à cette chose ultime que je vais t’adresser car elle m’est chère, tu ne l’ignores pas.

Ce n’est pas banalement de l’amitié que je t’envoie (nous n’avions d’ailleurs aucun rapport d’amitié à part d’insipides “bonjours”), ce n’est pas non plus une pomme, pas un serpent, pas une étoile, pas plus mes initiales ou même un encrier en forme d’entonnoir, non ce n’est rien de toutes ces bêtises, ce n’est rien qui vienne de moi non plus, c’est bien mieux, infiniment mieux car ça vient d’ailleurs, nul ne sait d’où exactement...

Mais c’est un diamant.

C’est impersonnel, éternel, froid et suprême : ce trésor que je te destine, c’est la Poésie.

VOIR LA VIDEO :

http://www.dailymotion.com/video/x2gffw7_lettre-d-adieu-a-mon-voisin-pierre-raphael-zacharie-de-izarra-1

https://www.youtube.com/watch?v=_Ly1Xoi60Tk

Liste des textes

2222 - Leurre ou lueur ?
2221 - Clinchamp, cet ailleurs sans fin
2220 - La tempête Trump
2219 - Femme de lune
2218 - Une plume de poids
2217 - Douches glacées
2216 - Les arbres et moi
2215 - Je pulvérise le féminisme !
2214 - J’aime les vieux “fachos”
2213 - La surprise
2212 - Promenade en forêt
2211 - Je vis dans une cabane
2210 - Plouc
2209 - Je suis un mâle primaire
2208 - Musique triste
2207 - Ma cabane au fond des bois
2206 - Hommage à Christian FROUIN
2205 - Installation sur la Lune
2204 - Barreaux brisés
2203 - Affaire Pélicot : juste retour de bâton du féminisme
2202 - L’abbé Pierre, bouc-émissaire des féministes
2201 - Par tous les flots
2200 - Votre incroyable aventure !
2199 - Je ne suis pas en vogue
2198 - Jadis, je rencontrai un extraterrestre
2197 - Dernière pitrerie
2196 - Alain Delon
2195 - Je déteste les livres !
2194 - L’esprit de la poire
2193 - Je ne suis pas citoyen du monde
2192 - Ma cabane dans la prairie
2191 - Devant l’âtre
2190 - Plus haut que tout
2189 - Pourquoi la femme vieillit si mal ?
2188 - Je prends l’avion
2187 - Sous la Lune
2186 - La pourriture de gauche
2185 - Je dors à la belle étoile
2184 - L’obèse et l’aristocrate
2183 - Le hippy et moi
2182 - Croyant de feu
2181 - Les gens importants
2180 - Le Beau
2179 - Michel Onfray
2178 - J’irai cracher sur leurs charentaises !
2177 - Clodo
2176 - Corbeaux et corneilles
2175 - Un dimanche plat atomique
2174 - Promenade en barque
2173 - Juan Asensio, ce rat lumineux
2172 - Il va pleuvoir bientôt
2171 - Au bord de la lumière
2170 - Dans mes nuages
2169 - J’ai dormi dehors
2168 - Les roses
2167 - Perdu en mer
2166 - Un jeune heureux
2165 - Le vagabond
2164 - Un ogre
2163 - Brigitte
2162 - Les gens simples
2161 - L’azur de Warloy-Baillon
2160 - Cause majeure
2159 - Je n’ai aucune élégance
2158 - La rivière
2157 - Il n’est pas raciste
2156 - Elle me fait peur
2155 - L’horloge
2154 - A la boulangerie de Mont-Saint-Jean
2153 - L’écologiste, ce primitif
2152 - Madame Junon
2151 - Chemins de pluie à Clinchamp
2150 - Voyage vers Mars
2149 - Galaxies
2148 - Je suis de la droite honteuse
2147 - Les écrivains sont des poids morts
2146 - L’héritage de Clinchamp
2145 - Clinchamp, une histoire sans fin
2144 - Vent de mystère à Clinchamp
2143 - Ma cachette à Clinchamp
2142 - Randonnée à Clinchamp
2141 - Eclipse de Lune à Clinchamp
2140 - Un arc-en-Ciel à Clinchamp
2139 - Clinchamp sous l’orage
2138 - J’ai rêvé de Clinchamp
2137 - Jour de l’An à Clinchamp
2136 - Vacances d’été à Clinchamp
2135 - Attente à Clinchamp
2134 - Un jour ordinaire à Clinchamp
2133 - Or de France
2132 - La compagne des esseulés
2131 - Loup de lumière
2130 - Spleen
2129 - Le pitre
2128 - Les corbeaux de Clinchamp
2127 - Un homme heureux à Clinchamp
2126 - Le mouton
2125 - Des lutins à Clinchamp ?
2124 - Je suis fort !
2123 - Paroles prophétiques
2122 - L’égalité entre les hommes est injuste !
2121 - L’idéaliste de gauche
2120 - La femme est la monture de l’homme
2119 - Clinchamp sous la neige
2118 - Le Nord et le Sud
2117 - Pourquoi j’aime Clinchamp ?
2116 - Convaincre Blandine
2115 - Un couple de vieillards à Clinchamp
2114 - Le facteur de Clinchamp
2113 - Tristesse et beauté à Clinchamp
2112 - L’Art
2111 - Botte à l’oeuf
2110 - Les bûcherons de Clinchamp
2109 - Le coucou de Clinchamp
2108 - BFMTV : l’écran de la vérité
2107 - Lettre anonyme
2106 - Je ne suis pas amoureux de Paris !
2105 - Un jour d’hiver à Warloy-Baillon
2104 - La femme soumise brille comme une casserole
2103 - Les chouettes de Clinchamp
2102 - Quand la tempête s’abat sur Clinchamp...
2101 - L’aile et la pierre
2100 - Mes amis les maudits
2099 - Le brouillard de Clinchamp
2098 - Artiste de gauche
2097 - L’éternité dans la tête
2096 - Toussaint à Clinchamp
2095 - Chagrin échappé
2094 - Clinchamp-sur-Mystère
2093 - Les cafards
2092 - Loup des airs
2091 - Le loup de Clinchamp
2090 - En latin, c’est plus beau !
2089 - Les patates de Clinchamp
2088 - L’enfant des airs
2087 - Ciel de France
2086 - Thaïs d’Escufon
2085 - Les tomates de Clinchamp
2084 - Jérôme Bourbon
2083 - Les chats de Clinchamp
2082 - Poupée d’ailleurs
2081 - Pierre de feu
2080 - Les champs de Clinchamp
2079 - L’éclosion
2078 - Vacuité des bouquinistes
2077 - Les toits
2076 - Freud
2075 - Sport
2074 - Le simplet de Clinchamp
2073 - Les oiseaux de Clinchamp
2072 - Je ne suis pas cartésien
2071 - Au cimetière de Clinchamp
2070 - Le Panthéon pour Hugo, l’évasion pour Izarra
2069 - Les rats de la France
2068 - Le curé de Clinchamp
2067 - Mon trou à Clinchamp
2066 - Saint-Léonard-des-Bois
2065 - Les cloches de Clinchamp
2064 - Un épouvantail à Clinchamp
2063 - Les rêves de Clinchamp
2062 - Je suis raciste
2061 - L’injustice sociale ne me choque pas
2060 - Les femmes de Clinchamp
2059 - Les jours vides de Clinchamp
2058 - Une grand-mère
2057 - Clinchamp vers 1970
2056 - La femme de soixante ans
2055 - Sale temps à Clinchamp
2054 - Un grand voyage en forêt
2053 - L’ailé et l’aliéné
2052 - Souvenirs lointains
2051 - Domestication d’une greluche
2050 - Déprime à Clinchamp
2049 - L’amour à Clinchamp
2048 - Les Droits de l'Homme, c'est la négation de l'homme !
2047 - Les hivers de Clinchamp
2046 - Les chemins de Clinchamp
2045 - Seul au monde
2044 - Ne me parlez pas d’amour
2043 - Tristesse de l’été
2042 - Jour de fête à Clinchamp
2041 - Monsieur Lecon
2040 - Châtelain
2039 - Les ailes de Clinchamp
2038 - Tremblement de terre
2037 - Nuit d’amour
2036 - Pluie de joie à Clinchamp
2035 - Les gauchistes
2034 - Clinchamp sous les clartés lunaires
2033 - Henri d’Anselme, héros hétéro rétro
2032 - Les hirondelles
2031 - Retraite dans la forêt
2030 - Mon bosquet
2029 - L’or de Clinchamp
2028 - Sur le chemin
2027 - La souche
2026 - Clinchamp, ce voyage sans fin
2025 - Sardines à l’huile
2024 - Les fantômes
2023 - Le silence de la forêt
2022 - Les arbres
2021 - Les joies de Clinchamp
2020 - La merde républicaine
2019 - Les ailés
2018 - Les soirées de Clinchamp
2017 - Parasite
2016 - Clinchamp, les routes de l’ennui
2015 - Moi français, je déteste les migrants !
2014 - Répugnante
2013 - Les complotistes
2012 - Je déteste les livres de philosophie !
2011 - Le bossu de Clinchamp
2010 - La lumière de Clinchamp
2009 - Les crépuscules de Clinchamp
2008 - Les nuits à Clinchamp
2007 - Les aubes de Clinchamp
2006 - Je suis un oiseau à Clinchamp
2005 - Les rats de Clinchamp
2004 - Les papillons de Clinchamp
2003 - Les richesses de la normalité
2002 - Le Rimbaud des bobos
2001 - Les vaches de Clinchamp
2000 - La folle de Clinchamp
1999 - Mon ego solaire
1998 - Vague Lune
1997 - Ma cabane à Clinchamp
1996 - Moi, IZARRA
1995 - Mais qui donc est Dardinel ?
1994 - La Dame Blanche de Clinchamp
1993 - Le Dalaï-Lama
1992 - Pluie à Clinchamp
1991 - Je suis sexiste
1990 - Les flammes du printemps
1989 - Le rustaud de Clinchamp
1988 - Les larmes d’Amsterdam
1987 - Clinchamp, terre d’envol
1986 - La Joconde de Clinchamp
1985 - Face cachée de Clinchamp
1984 - La clocharde de Clinchamp
1983 - Je suis un extraterrestre
1982 - Clinchamp sous les éclats de novembre
1981 - Clinchamp au bord des larmes
1980 - Les fantômes de Clinchamp
1979 - Les pissenlits de Clinchamp
1978 - Clinchamp : fin et commencement de tout
1977 - Amsterdam
1976 - J’habite sur la Lune
1975 - Secret de Lune
1974 - Les ailes de la Lune
1973 - Voir Clinchamp et sourire
1972 - La pierre et l’éther
1971 - Clinchamp, au bonheur des larmes
1970 - Clinchamp, mon dernier refuge
1969 - Croissant de Lune
1968 - Mais d’où vient donc la Lune ?
1967 - Lune lointaine
1966 - Lune éternelle
1965 - Sandrine, notre voisine
1964 - Rêve de Lune
1963 - Lune des rêves
1962 - La Lune dans le bleu
1961 - Lune ultime
1960 - Les tourmentés
1959 - Clinchamp, paradis des ombres
1958 - Lune absente
1957 - Je raffole des commérages !
1956 - Clinchamp : royaume des humbles
1955 - La Dame dans le ciel
1954 - Palmade : de la gloire au gouffre
1953 - Evasion
1952 - Tatouages, ces marques de faiblesse
1951 - L’égalité est un enfer !
1950 - Repas sur l’herbe à Clinchamp
1949 - Escale à Clinchamp
1948 - Beauté morbide de la Lune
1947 - J’ai dormi dehors à Clinchamp
1946 - Les humanitaires sont des parasites !
1945 - Sur les routes de Clinchamp
1944 - Une année à Clinchamp
1943 - Tristesse du printemps
1942 - Bulle de Terre
1941 - Jour de joie à Clinchamp
1940 - L’inconnu de Clinchamp
1939 - Le ciel de Clinchamp
1938 - Les éclats de Clinchamp
1937 - Le voyageur
1936 - Fête triste
1935 - Les antiracistes
1934 - Jean Messiha
1933 - Coeur gelé
1932 - Romantisme de pierre
1931 - La femme est sous mes pieds
1930 - Burcu Güneş, un air léger
1929 - Je déteste les pauvres !
1928 - Quand mon coeur s’allume
1927 - Intègre, entier, râpeux
1926 - Le cheval
1925 - Homme mauvais
1924 - Un trou sous le ciel
1923 - Hauteur de la Lune
1922 - Nulle part, là-bas, ailleurs
1921 - Belle Lune
1920 - Salades lunaires
1919 - Lettre à Reynouard
1918 - MARGUERITE OU L’HISTOIRE D’UNE VIEILLE FILLE
1917 - Récoltes lunaires
1916 - Je suis français de souche
1915 - Lune mortuaire
1914 - Clinchamp, cité des oubliés
1913 - Clinchamp, l’air de rien
1912 - Clinchamp, sommet du monde
1911 - La pollution, c’est la vie !
1910 - Seule au monde ?
1909 - Le Ciel et la Terre
1908 - Lune de haut vol
1907 - La Lune s’allume
1906 - Nuit sombre
1905 - Soupe de Lune
1904 - Puretés raciales
1903 - Lune-pizza
1902 - La grande question
1901 - Amiens
1900 - Pleur de Lune
1899 - Rêve d’amour
1898 - Vive le patriarcat !
1897 - La libellule
1896 - L’eau qui m’éclaire
1895 - Une question de clarté
1894 - La Lune dort
1893 - Les artifices du spirituel
1892 - Lune normale
1891 - Ni chauffage ni travail
1890 - Lune de fer
1889 - Molle Lune
1888 - Insensible aux malheurs des autres
1887 - Mon visage de vérité
1886 - Amante russe
1885 - J’écris
1884 - Lune martiale
1883 - Je suis un incapable
1882 - Lune creuse
1881 - 1975
1880 - L’éclat d’un fard
1879 - Amour impossible
1878 - Femme au foyer
1877 - L’esprit de la Lune
1876 - Ingérence féministe
1875 - Cratères lunaires
1874 - Lune d’effroi
1873 - Lune des chats
1872 - Les athées
1871 - Lune d’or
1870 - Lune carrée
1869 - Lune de miel
1868 - Folle lune
1867 - Jour de joie
1866 - SMARPHONES : abrutissement des masses
1865 - Sombre lune
1864 - Les mouches
1863 - Ma vie simple
1862 - Clinchamp, terre lointaine
1861 - Je suis un conservateur
1860 - Lune de glace
1859 - Le lac
1858 - Qu’est-ce que la beauté ?
1857 - Lune blanche
1856 - Lune de mer
1855 - Lune de feu
1854 - Présence immortelle
1853 - Surprenante Lune !
1852 - L’éclat de la Lune
1851 - Epis lunaires
1850 - L’autre Lune
1849 - L’amie des cheminées
1848 - Lune morte
1847 - Lune Parmentier
1846 - Lune fatale
1845 - Amour céleste
1844 - Grâces et disgrâces
1843 - Ma maison, c'est la Lune
1842 - Poids de la Lune
1841 - La morte visiteuse
1840 - Ma cabane sous la Lune
1839 - Bleu ciel
1838 - Histoire de lune
1837 - Suc de Turque
1836 - Stéphane Blet
1835 - Ciel bleu
1834 - Bonheur de rat
1833 - Redneck
1832 - Sur le rivage
1831 - Attraction lunaire
1830 - Je suis anti-féministe radical
1829 - Mais qui est-il ?
1828 - Je veux des frontières !
1827 - Les francs-maçons
1826 - Folies lunaires
1825 - Alunir, en un mot
1824 - “Comme ils disent”, chanson d’Aznavour
1823 - Lune tiède
1822 - Globe de rêve
1821 - Effroi
1820 - Vangelis
1819 - L’air de la Lune
1818 - La campagne
1817 - Lune tombale
1816 - Les cailloux
1815 - Je déteste Paris !
1814 - Boules de neige
1813 - Je n’ai pas peur
1812 - Parler vrai
1811 - Les hommes simples
1810 - Quand la Lune panse
1809 - Régine : extinction d’un feu
1808 - Morte veilleuse
1807 - Coeur de pierre
1806 - Noir
1805 - Mystère de la Lune
1804 - Jackson Pollock
1803 - En pleine lumière
1802 - Harmonie des sexes
1801 - Dix ans dans l’azur
1800 - Pluie d’avril
1799 - Le gueux
1798 - Les pommes de pin
1797 - Voyage vers la Lune
1796 - Mystère d’une nuit
1795 - Une lumière turque
1794 - Sans coeur et avec écorce
1793 - Envolé !
1792 - Galante ou l’abcès crevé
1791 - La lumière du Bosphore
1790 - Claude Monet
1789 - Rat aristocrate
1788 - Ukraine : sortez de vos ornières mentales !
1787 - Tranche de ciel et plumes de la Terre
1786 - Les sots écolos
1785 - L’astre turc
1784 - L’Ukraine, je m’en fous totalement !
1783 - Vive la guerre !
1782 - Réponses à un coatch
1781 - Droite pure
1780 - Vains hypersensibles
1779 - Mes valeurs vives
1778 - Le secret
1777 - Force et lumière
1776 - De l’herbe à l’aiguillon
1775 - Jusqu’à la mort
1774 - Zemmour et les journalistes de gauche
1773 - Dur et juste
1772 - La flamme et le marbre
1771 - Mon chat est mort
1770 - Les frères Bogdanoff
1769 - J’ai rêvé de Natacha
1768 - Technologie
1767 - Vers la Lune
1766 - C’était la guerre
1765 - La “tondue de Chartres”
1764 - Dans le métro
1763 - Naissance d’un virus
1762 - Zemmour est-il un de Gaulle ?
1761 - Je suis grand
1760 - Jour de gloire
1758 - Une muse du Bosphore
1758 - Je suis un extrémiste
1757 - Les éoliennes
1756 - Femme terminale
1755 - Autoportrait
1754 - Je suis un sanglier
1753 - Faux fou
1752 - Les affaires
1751 - Octobre
1750 - Le fantôme
1749 - Les écrivains
1748 - Sauvez la France !
1747 - Mes sentiments de pierre
1746 - Une araignée raconte
1745 - Un coeur clair
1744 - Phallocrate
1743 - Les vaches
1742 - Les faibles sont mauvais
1741 - Les sans-visage
1740 - Le trouillard de gauche
1739 - Léonard de Vinci enfant
1738 - Mes froideurs sublimes
1737 - Le romantisme, c’est la décadence
1736 - La Joconde
1735 - La tour Eiffel
1734 - Le Soleil
1733 - Une boule de mystère
1732 - Les masqués
1731 - Burcu Günes, l’or turc
1730 - Léa Désandre
1729 - Le père Dédé
1728 - “Blanc lumière” de Pollock
1727 - Les kikis et les cocos
1726 - Les funérailles de Belmondo
1725 - Pôle Sud
1724 - Vierge au mariage
1723 - La forêt
1722 - Le réveil des clochers
1721 - En septembre
1720 - Extraterrestre
1719 - Ni cagoule ni sérum
1718 - L’astre des morts
1717 - L’idéaliste
1716 - Un ange noir pour les Blancs ?
1715 - Trois heures du matin
1714 - Dur et vivant
1713 - Homme des bois
1712 - De flamme et de sang
1711 - Mes bas potentiels
1710 - Je suis un anti-progressiste
1709 - Eléonore et les Noirs
1708 - Eléonore et les Juifs
1707 - Une française
1706 - Femme d’idées
1705 - Joie de vivre
1704 - Auteur de rêves
1703 - Raison féminine
1702 - Vieillard
1701 - Face de France
1700 - 1789
1699 - Adieu, France
1698 - Célibataire
1697 - L’envers vert
1696 - Avant la chute
1695 - L’aube d’Ève
1694 - Amour raté
1693 - À vue d’homme
1692 - Le loup et l’agnelle
1691 - Têtes à corps
1690 - Trêve de la nuit
1689 - L’été
1688 - L’hiver
1687 - Les âmes de la forêt
1686 - Enfin libre !
1685 - Je vis sans masque
1684 - Enfants du monde
1328 - Je suis apolitique
115 - Le cygne
114 - Le spleen de Warloy-Baillon
113 - Les visiteurs
112 - La Lune
111 - L’amant des laides
110 - Mémoires d’un libertin
109 - Une existence de pompiste
108 - Lettre à mes amis des listes sur Internet