C’est avec une malicieuse et légitime jubilation mais également avec pédagogie, autrement dit souci d’éduquer, que le soleil IZARRA s'adresse ici en termes cinglants et rédempteurs aux guimauves crachant sur sa lumière.
Valeureuse entreprise, en effet, que de tenter de séduire, corriger puis convertir dans les flammes de l’intelligence ces éternels traînards de l’esprit bavant stérilement comme des mollusques que sont les adeptes de la philosophie de cornichons. Et autres salades de la pensée flasque...
Ennemis de la vérité, réfractaires à l’évangile du bien, rebelles à la Beauté, vous qui êtes cachés dans vos ténèbres vous me haïssez et me combattez parce que mes rayons sont un outrage à votre nuit. Je suis le jour triomphant, vous transpirez le mensonge, la lâcheté, la perversité.
Je brille tandis que vous dégoulinez. Je sais que vous jalousez secrètement mon éclat. Ce qui vous enrage, c’est que vous avez trop conscience de n’avoir ni mon courage ni mes ailes. Ma face sans fard, ma droiture sans masque, ma parole sans fumée, sans flatterie ni moindre édulcoration sont comme autant de coups de massue dans les sables mouvants de vos valeurs.
Je suis une pierre précieuse que ne saurait ternir aucune de vos éclaboussures : elles glissent sur ma surface inaltérable. Je m’expose sans peur, aussi anguleux, acéré et tranchant que l’épée séparant le OUI du NON, ces deux visages du monde inconciliables que dans votre corruption vous aimez mêler, confondre, permuter, inverser...
Bref ce diamant que j’incarne coupe net vos langues faites pour dire le faux.
Parce que mes mots, intemporels, indémodables, incorruptibles, reposent sur le granit du vrai, je demeure debout, fier, imperturbable sur mes simples pieds. Alors que vos châteaux en toc et vastes palais aux piliers clinquants, construits sur vos péchés et petits intérêts personnels tremblent et s’enlisent dès que résonne ma voix.
Vos grands principes de liberté débridée comiquement humanistes s’opposant à mes flots purs, à mes vues chastes, sont des portes donnant sur des caves à vices. Votre vin est fait de fange, loin des anges. Votre faim est noire, votre soif trouble. Le pain maudit nourrit vos espoirs de rats. Mes eaux vives et mes feux ardents sont soit pieusement canalisés soit décemment voilés, et jamais il ne me viendrait à l’idée de faire de mes humaines ordures un temple de la jouissance comme vous le faites, vous les promoteurs de la faiblesse et chantres de la débauche.
C’est dire la portée dupontesque des beuglements de vos vaches sacrées...
Vous n’avez ni mon talent ni mon envergure, mais je ne vous le reproche nullement car je respecte les petitesses de chacun. Je vous blâme seulement de vouloir salir plus élevé, plus fort, plus beau que vous, par dépit de vous savoir si petits.
Je vous dépasse en splendeur, vous devriez me glorifier pour ma volonté de vous montrer le chemin au lieu d’injurier ces sommets que je représente, vous les larves, moi l’aigle.
Détracteurs, c’est parce que vous détestez ce qui est juste, immense et noble que mon image et mon verbe vous offensent.
Moi IZARRA, je suis le reflet inversé de ce que vous êtes réellement.
Ce qui explique la profondeur de votre colère et justifie la hauteur de mon vol.
VOIR LA VIDEO :
https://rutube.ru/video/535e99ef3ae0040da0a177c4b8bd0256/
http://www.dailymotion.com/video/x4c1i50
VOIR LA VIDEO :
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http://www.dailymotion.com/video/x4c1i50
8 commentaires:
Non. Ta gueule.
Il y a dans ce texte un relent narcissique infâme. L'auteur entre dans une illusion platonicienne typique où sa critique éventuelle ne saurait être justifiable ou légitime : "il n'y a rien de juste sinon moi, avec moi marche les vertueux, contre moi luttent les médiocres". L'auteur a échangé toute vision objective de la réalité contre ses affects qui le rassurent en cloisonnant sa bulle narcissique. Platon y aurait trouvé une magnifique illustration de son allégorie de la caverne. Merci Raphaël, vos illusions sont très instructives.
Anonyme,
Ce ne sont pas mes affects qui déterminent mes choix moreaux et esthétiques, comme vous le pensez naïvement, mais mon adhésion aux lois cosmiques.
C'est à dire aux lois naturelles, donc divines. Lorsqu'on ne s'écarte pas de la lumière du Soleil, qu'on ne se laisse pas corrompre par les mensonges du siècle, on n'a pas besoin d'autre chose que la simple clarté du jour pour voir avec lucidité.
Raphaël Zacharie de IZARRA
Votre réponse prouve mes propos, illusionné est celui qui se pense le plus lucide ! Et quelle lucidité je vous le demande ? Les "lois cosmiques" ? La "clarté du jour"? Vous vous dîtes objectif et sincère mais la haine qui circule dans vos textes et vidéos prouve bien que vos passions vous guident. L'homme qui a atteint la vraie raison ne parle pas avec une telle colère! Vous êtes en perpétuelle recherche de reconnaissance et je le montre de ce pas: par vos textes ouvertement racoleurs, vous insultez par médiocrité voulue afin de vous faire connaître et, ne trouvant pas une telle reconnaissance vous vous glorifiez en cherchant en vous même le regard que vous ne trouvez pas chez les autres. Vous parlez par images, mais le vide se cache derrière vos métaphores. Vous n'êtes une lumière pour personne Raphaël, et accuser les autres ne vous rend pas plus lumineux, cela prouve votre perdition et votre incompréhension. Vous êtes un planqué du réel. Revenez à la raison !
Anonyme,
Les "planqués du réel", comme vous dites sont, selon moi, prioritairement ceux qui parlent sous anonymat. La lâcheté, la mauvaise foi, la fausseté, l'erreur justifient ordinairement cet anonymat.
Qui parle juste n'a nullement besoin de se cacher.
N'ayant personnellement rien à cacher, rien à craindre, rien à me reprocher, je n'ai par conséquent aucune raison de me dissimuler sous l'anonymat.
Raphaël Zacharie de IZARRA
Vous jouez sur les mots et jouant sur les mots vous jouez sur leur sens. Planqué du réel n'est pas synonyme de "planqué derrière son ordinateur", le juste peut venir de partout même sous anonymat le contraire n'a pas de sens ! Le tout du non sens de vos propos tiens dans le "ordinairement": vous faites une généralité perdant ainsi toute justesse de propos, vous vous contentez du vague ce qui rejoins mes arguments (que vous n'avez pas pris la peine de commenter par ailleurs): restant dans le vague vous ne pouvez répondre à un argumentaire qui n'est pas excellent je l'admet mais qui a le mérite d'être précis et concis. Vous ne pouvez pas répondre aux arguments pointant la réalité de ce que vous êtes alors vous vous attardez sur des points de détail de mon argumentaire. Mon anonymat n'a rien à voir avec vos illusions.
Ivan Tournier
Ivan,
Vous avez le droit de penser, à tort ou à raison, que je suis un "planqué du réel".
En admettant que vous soyez dans le vrai et que je manque de lucidité pour le reconnaître à mon tour, et donc que ma vue soit effectivement faussée, je vous réponds que je préfère encore avoir une vue faussée vers le haut plutôt qu'une vue faussée vers le bas. Si j'y vois peu clair selon vous, ma vue basse a au moins l'immense mérite d'être sciemment dirigée vers les hauteurs et non vers mes pieds comme tous ceux qui construisent leur existence sur des valeurs temporelles.
En ce sens j'ai aussi le droit de me tromper. Et quitte à me tromper, autant que ce soit dans le "bon sens".
C'est dire que même égaré, je ne suis finalement pas si loin de la vérité...
Plus près en tous cas que mes détracteurs.
Raphaël Zacharie de IZARRA
Je conçoit bien cela par contre on ne peut se tromper dans le "bon sens". D'où l'expression" l'enfer est pavé de bonnes intentions". Une vue faussée est une vue faussée, un mythe n'est pas préférable à un autre si il reste un mythe. Vos "hauteurs" ne sont pas celles de votre voisin et la seule chose qui puisse les distinguer c'est leur adéquation avec ce qui est vrai. Que vous vous trompiez en beauté n'enlève rien au fait que vous vous trompiez.
Ivan Tournier
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