mardi 27 février 2018

1251 - Le chant des peuples

Ha ! Comme je suis touché par les flûtes et tambourins du monde !

Au sommet de leur accord, au plus profond de leur identité, les civilisations produisent leur folklore.

Des danses et des airs, tristes, joyeux, virgiliens, élégiaques, glorifiant les roses et les nations, les blés et les étoiles, les neiges et les nobles choses... Le meilleur des sentiments populaires.

Le choeur des humains, c’est le fruit le plus léger de leur terre, la récolte des anges dans leur coeur de mortels.

Et cette eau claire qui jaillit des races multiples éparpillées autour du globe, c’est un peu de Ciel qui s’exprime dans chaque contrée, chaque pays, chaque continent.

C’est là l’âme des peuples.

Les femmes y ont des voix d’oiseaux, les hommes des rires de loups, et le vent se mêle toujours de leurs affaires...

Le trésor des civilisations, des peuples, des races, des nations, des cultures, c’est leur sang, leur chant, chacun ayant sa couleur propre.

Ces sèves différentes mêlées à leurs légendes, à leur Histoire, à leurs traditions, et qui font que ces civilisations, ces peuples, ces races, ces nations, ces cultures génèrent tant de floraisons depuis la nuit des temps...

L’Homme sait que ses plus belles oeuvres ne sont pas faites de palpable mais d’intemporel. Et qu’il y a plus essentiel que son pain : l’esprit.

Ce sont ces oeuvres-là qu’il faut préserver, défendre, encourager, et non niveler, déprécier, supprimer, oublier avec cette infâme imposture qu’est le mondialisme !

La musique des provinces, la lyre des patries, la poésie des royaumes, ce sont tout simplement les chorégraphies des groupes de terriens tout autour de leur planète.

VOIR LA VIDEO :


https://youtu.be/n9-2rpSsj8c

lundi 26 février 2018

1250 - Portrait de Marc-Édouard NABE

NABE est excellent tapageur, superbe lion aboyeur qui maîtrise comme un chef cuistot l’art de faire acte de présence de poids avec ses semelles fines. En deux-trois mots bien cirés valant leur pesant de fumée, d’entrée de jeu il meuble l’espace mondain avec la force de l’enclume et le sourire de la vipère.

L’acteur est brillant, volubile, incisif. Son jeu sophistiqué est magistralement mis au service de ses livres envolés, introuvables, recherchés, méconnus.

Autrement dit légendaires.

Qui a vu NABE ? Tout le monde.

Qui a lu NABE ? Moi.

Beaucoup de non-concernés ont entendu parler du merle blanc, de l’oiseau rare, du mythe médiatique aux ailes fameuses. Peu de curieux sont allés becqueter dans la gamelle de ce vif volatile...

L’auteur brille mieux à l’oral qu’à la plume, comme ces maîtres coq du dimanche beuglant d’aise et de certitudes aux cuisines, forts en promesses, faibles en plats.

Ce personnage aussi sérieux que cocasse, Tartarin des causes légères, seigneur de guerre virtuelle, matadore d’artifices, combattant des conflits de confettis, héros prêt à mourir au champ des futilités, est incontestablement le roi des cons abscons.

Directeur noeud-papillonné des enjeux impérieusement minces, fatalement nébuleux, fâcheusement “pas-rigolos-mais-risibles-quand-même”.

Croupier superbe ayant la mainmise sur des trésors de billes de terre cuite... Amuseur éclairé jetant ses dés obscurs avec son nez de clown épatant. Singe érudit au comique sophistiqué. Docte parleur au son de cloche grave.

Bref, cet hôte des soirées feutrées plus ou moins masquées n’est pas n’importe qui et je vous dévoile ici son fin visage de littérateur lustré, tout en flou et fluidité mêlés : NABE est une vague en vogue qui ne blague pas !

La preuve qu’il n’est nullement une farce en marge, c’est qu’il est une force en marche ! 

Et il faut reconnaître qu’il a du succès, ce Marc-Edouard Gugusse.

VOIR LA VIDEO :

mercredi 21 février 2018

1249 - Réponses à sept questions

Bonjour cher Maitre. Emportée par le feu de mes interviews  précédentes à propos des mystères de vos obsessions esthétiques, j aimerais sonder les autres profondeurs de l’astre de la littérature que vous êtes. Sujet quasi inépuisable que tous vos questionneurs cherchent à creuser un peu plus à chaque entretien... 

1. Quel serait le code, s’il y en avait un, pour une lecture “efficace” de vos textes : l’âme dorée du lecteur ou la confiance en l’âme d’azur de l’auteur ?

Il n’y a aucun code pour me lire, il faut être un humain, tout simplement. Crapules ou esthètes, ignares ou érudits, durs-à-cuire ou mollassons, chacun en aura pour son compte, en avantages ou en amertumes. Je distribue à mes lecteurs du sucre et du sel, du poivre et du vinaigre, de l’eau et du vin, des épines et des caresses à profusion : il y en a pour tous les goûts, en toutes circonstances. A l’image de la vie, des choses, des êtres, des événements. En un mot, à l’exemple de ce qui se déroule dans l’Univers. Je ne fais que raconter les grandes et petites aventures des créatures peuplant ce monde. Je parle de leurs oeuvres, de leurs paroles, de leurs désirs, de leurs pensées, de leur vérité et de leurs mensonges. Il m’arrive également de m’attarder sur l’inerte et de lui donner la parole, histoire d’éveiller les esprits les plus épais aux subtilités de l’invisible. De leur donner de l’appétit pour la Poésie. En somme pour me lire pleinement il faut être bête et méchant ou bien aimable et fin : ça marche dans les deux sens car ma plume parle à tous, elle est universelle. 

2 . L’humour est comme le caviar, plus il va vers le noir, meilleur il est. Le rire d’encre est votre condiment favori, vous en aspergez même abondamment presque tous vos mets. Pourquoi tant d’esprits qui se voudraient éclairés ne le savourent-ils pas, le prenant bêtement pour de la méchanceté pure ?

Pour me lire il faut effectivement jouir de toutes ses facultés, être assez ouvert pour saisir les “légèretés de la nuit”, ce qui n’est évidemment pas le cas de tous les hommes sur cette Terre. Pourtant je m’adresse à tous sans exception. Sans filet ni édulcoration. Je suis comme un nectar fort : je laisse une saveur délicieuse aux uns, une infecte âcreté aux autres. Il faut être initié pour savoir apprécier les grands crus. Pour certains lecteurs il faudra soit du temps, soit de l’intelligence supplémentaire, ou les deux à la fois, afin de savourer ma liqueur.

3. Vous qui n’avez jamais craint d’être considéré comme ringard à une époque où plus personne ne chante la Lune, tandis que vous la chantez sans retenue et sous tous les tons, vous avez des réticences à écrire selon votre éclatante inspiration sur Farrah Fawcett afin, dites-vous, de ne pas lasser votre lectorat. Pouvez vous nous éclairer sur cette inconséquence de caractère?

La Lune est banale aux yeux de beaucoup de gens. Tout comme ce qui est omniprésent, éclatant au-dessus d’eux, tels le Soleil, les étoiles, le ciel, les nuages. Ce qui est magnifique est souvent ignoré, négligé, voire moqué. Moi je suis là pour rappeler à mes semblables les merveilles que, par habitude, ils ne voient plus. Mais si justement je leur donne trop l’habitude de ces miracles en les leur mettant sans cesse sous le nez, ils auront tendance à s’en lasser. C’est pourquoi je préfère leur parler des sommets avec modération, sans forcer.

4. Beaucoup de vos textes parlent de gens aux multiples infirmités comme les bossus, les tordus, les trisomiques, les diminués, pourtant vous prétendez ne pas les aimer. Où est la vérité, maître?

Vous vous trompez lourdement. C’est la faiblesse, l’infirmité, la tare que je n’aime pas, non les individus qui en sont les victimes. Bien des irresponsables en voulant de bonne foi défendre les chétifs, les débiles, les exclus, du même coup font la promotion de la pathologie physique, mentale, sociale, culturelle, leur trouvant des charmes exotiques, des vertus artificielles, des éclats frelatés, ce qui est fort douteux. Moi je mets le doigt là où nul n’ose le mettre : là où il faut, en totale justesse.

5.  Vos textes sont faits pour être lus sous les étoiles, un bouquet d’épines à la main. Ils ne sont pas pour tout le monde, quoique brefs, clairs, simples, techniquement accessibles à tous. Vous devez avoir conscience que même avec toutes ces qualités, il y a un nombre restreint de lettrés capables de les apprécier. Alors pourquoi votre manque de popularité vous contrarierait-t-elle ?

Ma vocation est, en concertation avec mes muses, d’émouvoir les âmes, de les éduquer, de les élever en chantant les beautés de la Création, de les faire rire avec fruit en mettant en scène nos travers, de les faire rêver en leur désignant les astres, dans ce contexte il est normal que leur indifférence à l’égard de cette fresque izarrienne me contrarie... Je suis là pour montrer, non pour cacher, pour parler et non me taire, pour voler et non dormir.

6. Vous vous définissez en tant que PLUME. Quelle serait donc l’aile a laquelle vous appartenez ?

J’appartiens au Cosmos. Comme tout ce qui est. Nous sommes tous les enfants du Beau, c’est à dire les enfants de Dieu.

7. Vous avez des activités que vous estimez secondaires, mais selon moi pas négligeables du tout, d’artiste plastique auteur de dessins abstraits. Et également de vidéaste. On admire toujours sur YOUTUBE vos choix musicaux et vous dansez très bien. Vous considérez comme vous une cathédrale vivante dédiée aux arts ?

En effet je fus artiste abstrait jadis mais j’ai délaissé depuis longtemps cet art incertain... Mes vidéos sur YOUTUBE sont un simple amusement, toutefois je prends un soin particulier à choisir des musiques de qualité, du classique en règle générale. La musique permet de sublimer les images de mes vidéos, parfois même de suppléer à leur faiblesse. Et si en même temps cela peut éveiller la sensibilité des profanes à la grande musique, alors j’aurais déjà “modestement fait une grande chose”.  Quant à la danse, là encore vous êtes dans la risible erreur car en réalité je danse comme un hippopotame chaussé de bottes de cul-terreux ! Je me considère comme un fétu de conscience emporté dans la grande tempête cosmique, une poussière de bonheur qui danse dans l’infini de la Vie, un grain de lumière en route vers un océan solaire.

lundi 12 février 2018

1248 - De Vénus à la Terre

Elle était blonde comme ces cailloux bleus que l’on découvre, incrédule et charmé, dans les songes pleins d’oranges et d’écume.

Sa face brillait, acide, sucrée, effrayante d’irréalité. Et son sourire ressemblait à un hurlement esthétique. A une gueule florale. A des crocs d’azur.

Cette femme faisait songer à un soleil pressé tel un agrume. Du pur jus de beauté sortait d’elle. Un mélange de nuages et de lumière.

Parée des ors pareils à des fées d’artifice, avec des orages de citrons sur ses traits et des flots de folie sur son front, ainsi fut Farrah Fawcett...

Elle irradiait du rêve à la façon des astres majeurs.

Inspirait des pensées qui nous dépassent. Eblouissait les nuits de sa clarté. Nourrissait le ciel de ses airs.

Elle était blonde comme ces brumes blanches que l’on rencontre, perdu et allégé, dans les voyages pleins de mystère, de vent, de mer et de vagues.

http://farrah-fawcett.blogspot.fr/2018/02/32-de-venus-la-terre.html

VOIR LES TROIS VIDEOS :

https://www.youtube.com/watch?v=KvlEH6DehGs&feature=youtu.be

https://www.youtube.com/watch?v=1YSVqC-hNEI

https://www.youtube.com/watch?v=vJV1KYuSAUo&feature=youtu.be

dimanche 11 février 2018

1247 - Dégel à flots

Le dégel agit en moi comme un feu de feuilles vives, éveille des rêves de betteraves à sucre et de patates douces, déclenche dans ma tête des germes de pensées humides.

Et arrose les sous-bois de gerbes de pluies insensées.

Je patauge dans la joie fraîche et le froid flasque des jours d’averses et d’abondance.

Je m’enfonce dans les flaques molles où le Soleil s’allie à la boue pour faire briller mes chaussures.

Mes chaussettes trempées sont lourdes de promesses fertiles et d’espoirs aqueux.

Mon manteau imbibé d’eau fait trembler mes os.

Mon chapeau gorgé de nuages allège ma cervelle faite de chair et d’esprit.

Et je regarde le ciel qui pisse de froid sur les clochers.

Je nage dans un bonheur visqueux, riche de flotte féconde et de fêtes de fruits juteux !

Et, tandis que je m’embourbe massivement dans le mois de mars, de la confiture de terre plein les bottes et de l’azur jusqu’au cou, la lumière d’Hélios tombe avec légèreté sur les champs d’asperges.

VOIR LA VIDEO :

https://youtu.be/LLXlmgqlcgU

1246 - Dégel

Sous le verglas des derniers jours de février perlent les premières larmes du printemps.

Le mois s’achève, les flocons fondent, la terre grelote et mes chaussures sont trempées... 

Tout cela m’enchante, m’effraie, m’enflamme.

Une immense vague de tristesse lumineuse et de joie glacée s’abat sur le monde. Les rayons du soleil sont comme des silex, l’azur est coupant et le sol imbibé de glace molle.

Pas de chaleur. Mais de la lumière.

Pas de couleurs. Mais de la pureté.

Pas de douceur. Mais de la beauté.

C‘est la saison âpre des rêves tranchants. Le temps austère du dégel. Un mystère frigorifiant entre les cailloux et les racines.

Le cycle furtif où la neige génère de la sève, où la mort engendre la fleur. Le point crucial où le froid se fait fluide et le blanc devient onde...

Le sillon dégouline d’espoir. Le givre pleure, mourant d’allégresse. Le terreau ruisselle de vie et la giboulée inonde le germe.

Mars s’éveille.

Demain l’Univers sèmera ses étoiles dans les labours.

VOIR LES DEUX VIDEOS :

https://www.youtube.com/watch?v=VQY7KALKsKw&feature=youtu.be

https://www.youtube.com/watch?v=cuYNW8ahbPY&feature=youtu.be

jeudi 8 février 2018

1245 - Quentin ROUCHET

Quentin ROUCHET est une tomate mûre.

C’est à dire bien verte, dure, pleine de compote de silex à l’intérieur. Avec des morceaux de vérités anguleuses douces comme des oranges amères, aussi drôles que des stèles mortuaires.

Bref, Quentin ROUCHET est un coq à part, un être de plume et d’ailes, un oiseau aux grands airs en somme...

Ce bec fin à la patte sûre vole au-dessus des clochers, entre les lignes, hors des apparences.

Il est habillé comme un voleur, sont front est ceint par le bonnet du pauvre, ses semelles sont grossières mais il marche avec l’assurance des vrais esprits.

Autrement dit il plane.

Il fait aussi plein d‘autres choses rares et remarquables :

- Il fume, son cerveau je veux dire.

- Il boit, l’eau de la pluie je précise.

- Il joue en travaillant, sur et avec les mots, sachez-le.

J’oubliais : il est jeune et même si ça ne durera pas, il sera plein de sève demain car ses racines puisent dans le VRAI, c’est à dire l’âpre, le clair, le beau.

Ce qui ne l’empêche nullement de faire du houblon son autre source de rêves de bois. C’est un roseau avec des réflexions de chêne.

Un volatile perché sur la dernière branche. Une histoire racontée par les légendes. Un astre isolé dans le ciel.

Il aime le vrai, le vin, le vent, la vie...

Et la vertu.

La vertu, cette verrue selon ce siècle qui l'a vu naître... Il chérit ce que sa génération maudit : les mythes, le roc, les hauteurs.

Aux vogues qui passent, il choisit la vérité qui demeure. Ce qui fait de lui l’ennemi, le moqué, l’oublié.

Corps étranger de son époque, il chemine en solitaire, indifférent aux vagues. Il va, droit devant lui. Sans illusion, sans indulgence pour le toc, sans un regard pour le faux.

Il est seul. Seul et fou. Dans le froid, les nuages, l’infini. Il voit si loin que le monde le perd de vue.

C’est un aigle givré voltigeant dans les cimes.

VOIR LES DEUX VIDEOS :

https://www.youtube.com/watch?v=ifZiGA03GbI&feature=youtu.be

https://www.youtube.com/watch?v=2TbK0cOEZT8&t=2s

Liste des textes

2222 - Leurre ou lueur ?
2221 - Clinchamp, cet ailleurs sans fin
2220 - La tempête Trump
2219 - Femme de lune
2218 - Une plume de poids
2217 - Douches glacées
2216 - Les arbres et moi
2215 - Je pulvérise le féminisme !
2214 - J’aime les vieux “fachos”
2213 - La surprise
2212 - Promenade en forêt
2211 - Je vis dans une cabane
2210 - Plouc
2209 - Je suis un mâle primaire
2208 - Musique triste
2207 - Ma cabane au fond des bois
2206 - Hommage à Christian FROUIN
2205 - Installation sur la Lune
2204 - Barreaux brisés
2203 - Affaire Pélicot : juste retour de bâton du féminisme
2202 - L’abbé Pierre, bouc-émissaire des féministes
2201 - Par tous les flots
2200 - Votre incroyable aventure !
2199 - Je ne suis pas en vogue
2198 - Jadis, je rencontrai un extraterrestre
2197 - Dernière pitrerie
2196 - Alain Delon
2195 - Je déteste les livres !
2194 - L’esprit de la poire
2193 - Je ne suis pas citoyen du monde
2192 - Ma cabane dans la prairie
2191 - Devant l’âtre
2190 - Plus haut que tout
2189 - Pourquoi la femme vieillit si mal ?
2188 - Je prends l’avion
2187 - Sous la Lune
2186 - La pourriture de gauche
2185 - Je dors à la belle étoile
2184 - L’obèse et l’aristocrate
2183 - Le hippy et moi
2182 - Croyant de feu
2181 - Les gens importants
2180 - Le Beau
2179 - Michel Onfray
2178 - J’irai cracher sur leurs charentaises !
2177 - Clodo
2176 - Corbeaux et corneilles
2175 - Un dimanche plat atomique
2174 - Promenade en barque
2173 - Juan Asensio, ce rat lumineux
2172 - Il va pleuvoir bientôt
2171 - Au bord de la lumière
2170 - Dans mes nuages
2169 - J’ai dormi dehors
2168 - Les roses
2167 - Perdu en mer
2166 - Un jeune heureux
2165 - Le vagabond
2164 - Un ogre
2163 - Brigitte
2162 - Les gens simples
2161 - L’azur de Warloy-Baillon
2160 - Cause majeure
2159 - Je n’ai aucune élégance
2158 - La rivière
2157 - Il n’est pas raciste
2156 - Elle me fait peur
2155 - L’horloge
2154 - A la boulangerie de Mont-Saint-Jean
2153 - L’écologiste, ce primitif
2152 - Madame Junon
2151 - Chemins de pluie à Clinchamp
2150 - Voyage vers Mars
2149 - Galaxies
2148 - Je suis de la droite honteuse
2147 - Les écrivains sont des poids morts
2146 - L’héritage de Clinchamp
2145 - Clinchamp, une histoire sans fin
2144 - Vent de mystère à Clinchamp
2143 - Ma cachette à Clinchamp
2142 - Randonnée à Clinchamp
2141 - Eclipse de Lune à Clinchamp
2140 - Un arc-en-Ciel à Clinchamp
2139 - Clinchamp sous l’orage
2138 - J’ai rêvé de Clinchamp
2137 - Jour de l’An à Clinchamp
2136 - Vacances d’été à Clinchamp
2135 - Attente à Clinchamp
2134 - Un jour ordinaire à Clinchamp
2133 - Or de France
2132 - La compagne des esseulés
2131 - Loup de lumière
2130 - Spleen
2129 - Le pitre
2128 - Les corbeaux de Clinchamp
2127 - Un homme heureux à Clinchamp
2126 - Le mouton
2125 - Des lutins à Clinchamp ?
2124 - Je suis fort !
2123 - Paroles prophétiques
2122 - L’égalité entre les hommes est injuste !
2121 - L’idéaliste de gauche
2120 - La femme est la monture de l’homme
2119 - Clinchamp sous la neige
2118 - Le Nord et le Sud
2117 - Pourquoi j’aime Clinchamp ?
2116 - Convaincre Blandine
2115 - Un couple de vieillards à Clinchamp
2114 - Le facteur de Clinchamp
2113 - Tristesse et beauté à Clinchamp
2112 - L’Art
2111 - Botte à l’oeuf
2110 - Les bûcherons de Clinchamp
2109 - Le coucou de Clinchamp
2108 - BFMTV : l’écran de la vérité
2107 - Lettre anonyme
2106 - Je ne suis pas amoureux de Paris !
2105 - Un jour d’hiver à Warloy-Baillon
2104 - La femme soumise brille comme une casserole
2103 - Les chouettes de Clinchamp
2102 - Quand la tempête s’abat sur Clinchamp...
2101 - L’aile et la pierre
2100 - Mes amis les maudits
2099 - Le brouillard de Clinchamp
2098 - Artiste de gauche
2097 - L’éternité dans la tête
2096 - Toussaint à Clinchamp
2095 - Chagrin échappé
2094 - Clinchamp-sur-Mystère
2093 - Les cafards
2092 - Loup des airs
2091 - Le loup de Clinchamp
2090 - En latin, c’est plus beau !
2089 - Les patates de Clinchamp
2088 - L’enfant des airs
2087 - Ciel de France
2086 - Thaïs d’Escufon
2085 - Les tomates de Clinchamp
2084 - Jérôme Bourbon
2083 - Les chats de Clinchamp
2082 - Poupée d’ailleurs
2081 - Pierre de feu
2080 - Les champs de Clinchamp
2079 - L’éclosion
2078 - Vacuité des bouquinistes
2077 - Les toits
2076 - Freud
2075 - Sport
2074 - Le simplet de Clinchamp
2073 - Les oiseaux de Clinchamp
2072 - Je ne suis pas cartésien
2071 - Au cimetière de Clinchamp
2070 - Le Panthéon pour Hugo, l’évasion pour Izarra
2069 - Les rats de la France
2068 - Le curé de Clinchamp
2067 - Mon trou à Clinchamp
2066 - Saint-Léonard-des-Bois
2065 - Les cloches de Clinchamp
2064 - Un épouvantail à Clinchamp
2063 - Les rêves de Clinchamp
2062 - Je suis raciste
2061 - L’injustice sociale ne me choque pas
2060 - Les femmes de Clinchamp
2059 - Les jours vides de Clinchamp
2058 - Une grand-mère
2057 - Clinchamp vers 1970
2056 - La femme de soixante ans
2055 - Sale temps à Clinchamp
2054 - Un grand voyage en forêt
2053 - L’ailé et l’aliéné
2052 - Souvenirs lointains
2051 - Domestication d’une greluche
2050 - Déprime à Clinchamp
2049 - L’amour à Clinchamp
2048 - Les Droits de l'Homme, c'est la négation de l'homme !
2047 - Les hivers de Clinchamp
2046 - Les chemins de Clinchamp
2045 - Seul au monde
2044 - Ne me parlez pas d’amour
2043 - Tristesse de l’été
2042 - Jour de fête à Clinchamp
2041 - Monsieur Lecon
2040 - Châtelain
2039 - Les ailes de Clinchamp
2038 - Tremblement de terre
2037 - Nuit d’amour
2036 - Pluie de joie à Clinchamp
2035 - Les gauchistes
2034 - Clinchamp sous les clartés lunaires
2033 - Henri d’Anselme, héros hétéro rétro
2032 - Les hirondelles
2031 - Retraite dans la forêt
2030 - Mon bosquet
2029 - L’or de Clinchamp
2028 - Sur le chemin
2027 - La souche
2026 - Clinchamp, ce voyage sans fin
2025 - Sardines à l’huile
2024 - Les fantômes
2023 - Le silence de la forêt
2022 - Les arbres
2021 - Les joies de Clinchamp
2020 - La merde républicaine
2019 - Les ailés
2018 - Les soirées de Clinchamp
2017 - Parasite
2016 - Clinchamp, les routes de l’ennui
2015 - Moi français, je déteste les migrants !
2014 - Répugnante
2013 - Les complotistes
2012 - Je déteste les livres de philosophie !
2011 - Le bossu de Clinchamp
2010 - La lumière de Clinchamp
2009 - Les crépuscules de Clinchamp
2008 - Les nuits à Clinchamp
2007 - Les aubes de Clinchamp
2006 - Je suis un oiseau à Clinchamp
2005 - Les rats de Clinchamp
2004 - Les papillons de Clinchamp
2003 - Les richesses de la normalité
2002 - Le Rimbaud des bobos
2001 - Les vaches de Clinchamp
2000 - La folle de Clinchamp
1999 - Mon ego solaire
1998 - Vague Lune
1997 - Ma cabane à Clinchamp
1996 - Moi, IZARRA
1995 - Mais qui donc est Dardinel ?
1994 - La Dame Blanche de Clinchamp
1993 - Le Dalaï-Lama
1992 - Pluie à Clinchamp
1991 - Je suis sexiste
1990 - Les flammes du printemps
1989 - Le rustaud de Clinchamp
1988 - Les larmes d’Amsterdam
1987 - Clinchamp, terre d’envol
1986 - La Joconde de Clinchamp
1985 - Face cachée de Clinchamp
1984 - La clocharde de Clinchamp
1983 - Je suis un extraterrestre
1982 - Clinchamp sous les éclats de novembre
1981 - Clinchamp au bord des larmes
1980 - Les fantômes de Clinchamp
1979 - Les pissenlits de Clinchamp
1978 - Clinchamp : fin et commencement de tout
1977 - Amsterdam
1976 - J’habite sur la Lune
1975 - Secret de Lune
1974 - Les ailes de la Lune
1973 - Voir Clinchamp et sourire
1972 - La pierre et l’éther
1971 - Clinchamp, au bonheur des larmes
1970 - Clinchamp, mon dernier refuge
1969 - Croissant de Lune
1968 - Mais d’où vient donc la Lune ?
1967 - Lune lointaine
1966 - Lune éternelle
1965 - Sandrine, notre voisine
1964 - Rêve de Lune
1963 - Lune des rêves
1962 - La Lune dans le bleu
1961 - Lune ultime
1960 - Les tourmentés
1959 - Clinchamp, paradis des ombres
1958 - Lune absente
1957 - Je raffole des commérages !
1956 - Clinchamp : royaume des humbles
1955 - La Dame dans le ciel
1954 - Palmade : de la gloire au gouffre
1953 - Evasion
1952 - Tatouages, ces marques de faiblesse
1951 - L’égalité est un enfer !
1950 - Repas sur l’herbe à Clinchamp
1949 - Escale à Clinchamp
1948 - Beauté morbide de la Lune
1947 - J’ai dormi dehors à Clinchamp
1946 - Les humanitaires sont des parasites !
1945 - Sur les routes de Clinchamp
1944 - Une année à Clinchamp
1943 - Tristesse du printemps
1942 - Bulle de Terre
1941 - Jour de joie à Clinchamp
1940 - L’inconnu de Clinchamp
1939 - Le ciel de Clinchamp
1938 - Les éclats de Clinchamp
1937 - Le voyageur
1936 - Fête triste
1935 - Les antiracistes
1934 - Jean Messiha
1933 - Coeur gelé
1932 - Romantisme de pierre
1931 - La femme est sous mes pieds
1930 - Burcu Güneş, un air léger
1929 - Je déteste les pauvres !
1928 - Quand mon coeur s’allume
1927 - Intègre, entier, râpeux
1926 - Le cheval
1925 - Homme mauvais
1924 - Un trou sous le ciel
1923 - Hauteur de la Lune
1922 - Nulle part, là-bas, ailleurs
1921 - Belle Lune
1920 - Salades lunaires
1919 - Lettre à Reynouard
1918 - MARGUERITE OU L’HISTOIRE D’UNE VIEILLE FILLE
1917 - Récoltes lunaires
1916 - Je suis français de souche
1915 - Lune mortuaire
1914 - Clinchamp, cité des oubliés
1913 - Clinchamp, l’air de rien
1912 - Clinchamp, sommet du monde
1911 - La pollution, c’est la vie !
1910 - Seule au monde ?
1909 - Le Ciel et la Terre
1908 - Lune de haut vol
1907 - La Lune s’allume
1906 - Nuit sombre
1905 - Soupe de Lune
1904 - Puretés raciales
1903 - Lune-pizza
1902 - La grande question
1901 - Amiens
1900 - Pleur de Lune
1899 - Rêve d’amour
1898 - Vive le patriarcat !
1897 - La libellule
1896 - L’eau qui m’éclaire
1895 - Une question de clarté
1894 - La Lune dort
1893 - Les artifices du spirituel
1892 - Lune normale
1891 - Ni chauffage ni travail
1890 - Lune de fer
1889 - Molle Lune
1888 - Insensible aux malheurs des autres
1887 - Mon visage de vérité
1886 - Amante russe
1885 - J’écris
1884 - Lune martiale
1883 - Je suis un incapable
1882 - Lune creuse
1881 - 1975
1880 - L’éclat d’un fard
1879 - Amour impossible
1878 - Femme au foyer
1877 - L’esprit de la Lune
1876 - Ingérence féministe
1875 - Cratères lunaires
1874 - Lune d’effroi
1873 - Lune des chats
1872 - Les athées
1871 - Lune d’or
1870 - Lune carrée
1869 - Lune de miel
1868 - Folle lune
1867 - Jour de joie
1866 - SMARPHONES : abrutissement des masses
1865 - Sombre lune
1864 - Les mouches
1863 - Ma vie simple
1862 - Clinchamp, terre lointaine
1861 - Je suis un conservateur
1860 - Lune de glace
1859 - Le lac
1858 - Qu’est-ce que la beauté ?
1857 - Lune blanche
1856 - Lune de mer
1855 - Lune de feu
1854 - Présence immortelle
1853 - Surprenante Lune !
1852 - L’éclat de la Lune
1851 - Epis lunaires
1850 - L’autre Lune
1849 - L’amie des cheminées
1848 - Lune morte
1847 - Lune Parmentier
1846 - Lune fatale
1845 - Amour céleste
1844 - Grâces et disgrâces
1843 - Ma maison, c'est la Lune
1842 - Poids de la Lune
1841 - La morte visiteuse
1840 - Ma cabane sous la Lune
1839 - Bleu ciel
1838 - Histoire de lune
1837 - Suc de Turque
1836 - Stéphane Blet
1835 - Ciel bleu
1834 - Bonheur de rat
1833 - Redneck
1832 - Sur le rivage
1831 - Attraction lunaire
1830 - Je suis anti-féministe radical
1829 - Mais qui est-il ?
1828 - Je veux des frontières !
1827 - Les francs-maçons
1826 - Folies lunaires
1825 - Alunir, en un mot
1824 - “Comme ils disent”, chanson d’Aznavour
1823 - Lune tiède
1822 - Globe de rêve
1821 - Effroi
1820 - Vangelis
1819 - L’air de la Lune
1818 - La campagne
1817 - Lune tombale
1816 - Les cailloux
1815 - Je déteste Paris !
1814 - Boules de neige
1813 - Je n’ai pas peur
1812 - Parler vrai
1811 - Les hommes simples
1810 - Quand la Lune panse
1809 - Régine : extinction d’un feu
1808 - Morte veilleuse
1807 - Coeur de pierre
1806 - Noir
1805 - Mystère de la Lune
1804 - Jackson Pollock
1803 - En pleine lumière
1802 - Harmonie des sexes
1801 - Dix ans dans l’azur
1800 - Pluie d’avril
1799 - Le gueux
1798 - Les pommes de pin
1797 - Voyage vers la Lune
1796 - Mystère d’une nuit
1795 - Une lumière turque
1794 - Sans coeur et avec écorce
1793 - Envolé !
1792 - Galante ou l’abcès crevé
1791 - La lumière du Bosphore
1790 - Claude Monet
1789 - Rat aristocrate
1788 - Ukraine : sortez de vos ornières mentales !
1787 - Tranche de ciel et plumes de la Terre
1786 - Les sots écolos
1785 - L’astre turc
1784 - L’Ukraine, je m’en fous totalement !
1783 - Vive la guerre !
1782 - Réponses à un coatch
1781 - Droite pure
1780 - Vains hypersensibles
1779 - Mes valeurs vives
1778 - Le secret
1777 - Force et lumière
1776 - De l’herbe à l’aiguillon
1775 - Jusqu’à la mort
1774 - Zemmour et les journalistes de gauche
1773 - Dur et juste
1772 - La flamme et le marbre
1771 - Mon chat est mort
1770 - Les frères Bogdanoff
1769 - J’ai rêvé de Natacha
1768 - Technologie
1767 - Vers la Lune
1766 - C’était la guerre
1765 - La “tondue de Chartres”
1764 - Dans le métro
1763 - Naissance d’un virus
1762 - Zemmour est-il un de Gaulle ?
1761 - Je suis grand
1760 - Jour de gloire
1758 - Une muse du Bosphore
1758 - Je suis un extrémiste
1757 - Les éoliennes
1756 - Femme terminale
1755 - Autoportrait
1754 - Je suis un sanglier
1753 - Faux fou
1752 - Les affaires
1751 - Octobre
1750 - Le fantôme
1749 - Les écrivains
1748 - Sauvez la France !
1747 - Mes sentiments de pierre
1746 - Une araignée raconte
1745 - Un coeur clair
1744 - Phallocrate
1743 - Les vaches
1742 - Les faibles sont mauvais
1741 - Les sans-visage
1740 - Le trouillard de gauche
1739 - Léonard de Vinci enfant
1738 - Mes froideurs sublimes
1737 - Le romantisme, c’est la décadence
1736 - La Joconde
1735 - La tour Eiffel
1734 - Le Soleil
1733 - Une boule de mystère
1732 - Les masqués
1731 - Burcu Günes, l’or turc
1730 - Léa Désandre
1729 - Le père Dédé
1728 - “Blanc lumière” de Pollock
1727 - Les kikis et les cocos
1726 - Les funérailles de Belmondo
1725 - Pôle Sud
1724 - Vierge au mariage
1723 - La forêt
1722 - Le réveil des clochers
1721 - En septembre
1720 - Extraterrestre
1719 - Ni cagoule ni sérum
1718 - L’astre des morts
1717 - L’idéaliste
1716 - Un ange noir pour les Blancs ?
1715 - Trois heures du matin
1714 - Dur et vivant
1713 - Homme des bois
1712 - De flamme et de sang
1711 - Mes bas potentiels
1710 - Je suis un anti-progressiste
1709 - Eléonore et les Noirs
1708 - Eléonore et les Juifs
1707 - Une française
1706 - Femme d’idées
1705 - Joie de vivre
1704 - Auteur de rêves
1703 - Raison féminine
1702 - Vieillard
1701 - Face de France
1700 - 1789
1699 - Adieu, France
1698 - Célibataire
1697 - L’envers vert
1696 - Avant la chute
1695 - L’aube d’Ève
1694 - Amour raté
1693 - À vue d’homme
1692 - Le loup et l’agnelle
1691 - Têtes à corps
1690 - Trêve de la nuit
1689 - L’été
1688 - L’hiver
1687 - Les âmes de la forêt
1686 - Enfin libre !
1685 - Je vis sans masque
1684 - Enfants du monde
1328 - Je suis apolitique
115 - Le cygne
114 - Le spleen de Warloy-Baillon
113 - Les visiteurs
112 - La Lune
111 - L’amant des laides
110 - Mémoires d’un libertin
109 - Une existence de pompiste
108 - Lettre à mes amis des listes sur Internet