Moi, les migrants extra-européens, je ne veux pas les recevoir dans mon
pays.
Qu'ils demeurent dans leur contrée natale car c'est là qu'ils ont
pleinement le droit de séjourner ! Mais pas chez les autres. Je ne me sens pas
concerné par leurs problèmes dans la mesure où, eux-mêmes, sont indifférents à
mon sort et à celui de ma patrie.
Je n'éprouve nulle compassion envers ces envahisseurs qui polluent notre
sol national au lieu de l'enrichir. Leur présence chez nous n'apporte ni la
beauté, ni la fortune, ni aucune élévation à notre société comme le croient (ou
feignent de le croire) les idéalistes de gauche, mais la misère, la ruine,
l'insécurité.
Leur venue est un appauvrissement pour notre nation. L'intrus africain
incarne le naufrage, non la chance.
Qui force nos frontières pour s'installer illégalement dans nos rues,
déféquer sous nos fenêtres, camper au coeur de nos jardins, se vautrer jusque
dans les fauteuils de nos salons, ne mérite surtout pas d'être accueilli en
grandes pompes et de toucher des écus mais plutôt d'être reçu à coups de pompes
dans le cul !
N'est-ce pas l'exacte raison d'être de la souveraine barrière encerclant
l'hexagone ? Si le mur sacré censé nous préserver des gêneurs, indésirables et
autres salissures venues de tous horizons n'empêche pas les rats d'entrer et de
répandre leur peste, alors pourquoi l'édifier ?
Si les progressistes souhaitent ouvrir définitivement nos portes à tous les
malheurs, tous les vices, tous les fardeaux, à quoi peuvent-elles bien servir ?
Si au nom de leur humanisme délirant et désordonné il est interdit de faire
barrage à la boue migratoire, pourquoi continuer à appeler nos terres gauloises
la "France" ?
Un royaume qui n'a pas la capacité de protéger son espace, sa culture, ses
trésors, ne s'appartient plus. Il devient la poubelle des autres. L'asile des
oiseaux troubles, le râtelier des parasites, le port des opportunistes, la
basse-cour de tous les cochons de la planète.
Au nom de ce principe totalement irresponsable de générosité universelle si
cher aux libertaires, celui qui vient occuper nos prés carrés sans y être invité
devrait donc se sentir chez lui et y revendiquer des droits prioritaires ?
Dans le monde droit et juste tel que je le conçois, l’étranger venu
infecter notre azur, assombrir notre soleil, salir nos couleurs n’a pas sa place
sous nos lustres, il n’a pas à poser son pied d’errant pouilleux sur notre
verdure, il n’a pas à empuantir notre soie de ses semelles crottées, car en dépit
de toutes les folies dans le vent et mensonges en vogue, que je sache et selon
le bon sens commun, le français est roi chez lui.
VOIR LA VIDEO :
Sur Odysee : https://odysee.com/@IZARRA:9/izarra:1
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