Non seulement je n'adhère pas aux mouvements de défense de la femme, mais
je nie ses "droits".
Artificiels, contre-nature, purement théoriques, déphasés avec le réel,
contre-productifs, ces acquis sociaux ne contribuent nullement au bonheur de la
suffragette mais à sa déchéance. Et à sa déprime car privée de son dieu
producteur de semence, déracinée de sa seule source de joie, elle ne vit plus
que pour elle-même, c'est-à-dire pour du vent. Et son existence se remplit de
néant. Qu'elle meublera bien vite avec des sornettes féministes.
En rompant les liens sacrés l'unissant de manière innée au mâle supérieur,
l'émancipée divorce et part à la dérive.
Et en se jetant ainsi dans le vide, elle devient lesbienne, transexuelle,
avorte, hurle des âneries dans les églises avec les mamelles dénudées, scie des
croix géantes à la tronçonneuse, perturbe des meetings politiques de machos,
revendique des bêtises, manifeste pour des causes délirantes...
Bref en perdant ses repères génésiques, elle tombe folle hystérique.
Moi je dis que la femelle digne de ce nom est heureuse, je le sais, je le
sens, je le clame, dans sa naturelle soumission aux lois phallocrates issues
d'un patriarcat triomphant.
Et non dans la mollesse d'une idéologie émasculée.
A mes yeux ses vrais libertés sont des devoirs : élever les enfants, chérir
son époux, faire la cuisine, passer la serpillère, garder le foyer.
Là est la gloire de la créature fragile et tremblante qui se réfugie aux
pieds de son maître. En échange de ses services et douceurs, elle reçoit de
l'être viril bénédiction, honneur, protection. Et surtout, hommages phalliques
aux plus profonds de ses flancs.
Le sort d'Ève est de sortir les poubelles, aimer son conjoint et
transmettre les valeurs éternelles à sa descendance.
Comment voulez-vous que la porteuse de petites culottes s'épanouisse loin du
porteur de bottes, que la fleur bleue croisse hors de sa terre de feu, que
l'adepte des chaînes s'illumine sans l'ombre du chêne ?
La pucelle a besoin avant tout d'un bras inflexible, d'une main de fer,
d'un coeur de lion.
Et non d'un castré épousant les idées flasques en vogue !
La vérité est que le vrai statut de la jouvencelle est dans la poigne de
l'homme et que le salut de notre monde abâtardi dépend de la perpétuation de ce modèle ancestral sans nuance, aussi percutant que tranchant.
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