mardi 27 février 2024

2135 - Attente à Clinchamp

Je suis sur le sol de la réalité et sous le ciel de mes rêves, à Clinchamp précisément. 

C'est aussi la terre des sédentaires et l'azur des voyageurs, le paysage des mortels et l'infini des oiseaux, la vérité des hommes et l'horizon des vaches.

Là, je me trouve face à rien et attends que tout se passe, sachant que même le néant en ce lieu reste encore un évènement notable. Je ne doute pas que tout espoir assez sûr sera comblé soit de flammes pures soit de poires bien mûres tant ce microcosme champêtre est chargé de petits riens fracassants, d'ombres fulgurantes et de vides recélant des tempêtes. Jamais je ne serai déçu à demeurer là, les pieds dans le présent, la tête ailleurs.

Je me tiens debout entre le pire et le meilleur, à cheval entre le silence et la lumière, juste au milieu du monde, à la frontière du cauchemar et de la vie. Ce n'est point de la tiédeur, loin de là, car en cet endroit ultime la moyenne n'existe pas. Mais plutôt le mélange de l'amer et du beau, du dur et du haut, de l'âpre et de l'éther.

Devant moi, les champs, quelques chemins, de l'herbe, une étendue anonyme. Au-dessus, des nuages, une immensité d'air, du vent, un océan d'imaginaire Et derrière, le cul d'une bête à cornes qui s'ouvre sur le Cosmos pour y déverser placidement une bouse molle et odorante.

Et tout est bon, tout chante et tout rayonne dans cette vaste harmonie bucolique où je me sens comme un astre au milieu d'une galaxie.

La paix règne dans ces limbes agitées de platitudes vertigineuses et d'immobilisme éclatant.

Ainsi en va-t-il de la grande aventure pastorale dans ce clocher de toutes les pétrifications où se déploient avec majesté les voiles de l'intemporel ennui.

Et voguent les pensées les plus vagabondes.

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lundi 26 février 2024

2134 - Un jour ordinaire à Clinchamp

En ce jour pareil aux autres dans ce sommet de toutes les monotonies nommé "Clinchamp", le Soleil brille par son effacement et la brume surnage triomphalement au-dessus des hommes plongés dans leurs rêves fatalement plus moroses qu'ailleurs.
 
Bienvenue au centre de la Terre ! C'est-à-dire, tout à la fois nulle part dans le monde connu et au centre de n'importe quel désert.
 
Il faut dire que ce village gisant en toutes saisons sous les pieds terreux de la Haute-Marne n'attire l'oeil de nul pigeon voyageur, fût-il chassé des feux bruyants du lointain Paris et même du proche Chaumont... En effet, personne n'a jamais eu l'idée de venir régner dans cet empire de vaches perdues et de sabots retrouvés.
 
Atterrir ici et y demeurer revient à rejoindre volontairement les statues de plâtre et les cloches fêlées. C'est comme avoir une enclume dans l'aile ou bien du plomb dans la plume et cesser de désirer voler plus haut que son ombre.
 
A moins, et c'est exactement le cas des oiseaux de prix qui me ressemblent, de cacher des idées éclatantes derrière la tête pour les faire fructifier hors des fracas du siècle. Choisir de faire germer ses idéaux en ce lieu précis, cela signifie préférer s'orienter vers le Nord poétique plutôt que vers celui, plus borné, des boussoles.
 
Au pôle il n'y a qu'une impasse, tandis qu'ici, on découvre l'infini imaginaire jusque derrière le cul des bovins.
 
Mais qui n'est pas armé pour l'éther, les hauteurs, la vie solitaire, les vents et aventures aux antipodes des villes, ne peut accepter de s'enterrer dans ce ciel loin du présent et de ses balises visibles.
 
Ce trou ultime consiste en un dépassement de soi. Seuls les corbeaux d'envergure s'y plaisent. Ces âmes supérieures y trouvent de quoi se déployer sans mesure.
 
Dans cet espace restreint s'étend l'essentiel des richesses nocturnes et des légèretés de l'esprit... De là partent d'immenses champs de vagabondages oniriques et fusent de vastes pensées nébuleuses !
 
Si on cherche bien, au fond de ce patelin sans issue apparente s'ouvre un gouffre de sagesse virgilienne où l'on y perçoit des profondeurs intemporelles, de fécondes ténèbres et de lumineuses mélancolies...
 
Les songes de rustauds y côtoient les mythes à portée d'esthètes. Là-bas le paysan devient l'égal de l'astre. Et le visiteur voyage sans se lasser.

Bref, le quotidien en ce royaume anonyme que l'on croit fait d'ennui, en réalité resplendit chaque matin, chaque crépuscule, chaque nuit de l'année de ses flammes intérieures.

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vendredi 23 février 2024

2133 - Or de France

Les antiracistes se croient humanistes en promouvant le métissage de masse.
 
Comme l'acte ultime et sanctificateur de leur suicide racial.
 
Ils se font une gloire de mêler leur sang à celui d'allogènes, de s'ouvrir aux civilisations les plus exotiques possible, de s'afficher socialement avec des physionomies issues de contrées lointaines... Ils se prennent pour de grandes âmes sous prétexte qu'ils renient les valeurs de leurs aïeux, l'héritage de leur sol natal, le ciel sous lequel ils ont grandi, et ce afin de mieux adopter les couleurs, les pensées, les coutumes de minorités ethniques qu'ils ont sottement sacralisées ou de populations colorées en vogue, sans aucun rapport avec leur patrimoine originel.
 
Déracinés volontaires de leur propre terre qu'ils ont démystifiée, ils s'enorgueillissent de couver de leur flamme nationale pervertie des graines venues de l'étranger, d'arroser de leur sève la plus intime des sillons apatrides, d'irriguer sans retenue les fleuves du monde extérieur de leur amour de traîtres.
 
Pour rendre la France exsangue, la priver de sa vitalité, l'assécher de ses mythes et légendes, remplacer ses fleurs natives par des chardons incompatibles avec son Histoire, ses trésors ancestraux, ses cathédrales intemporelles et ses nuages blancs.
 
Bref, ils sont fiers de pouvoir faire de notre royaume français millénaire un vaste champ de ruine mondialiste. Au nom de leur tolérance universelle, ils ne tolèrent plus nos frontières. Ils veulent que notre pays chéri devienne la porte d'accueil prioritaire de la planète entière. Le moulin ouvert à tous les oiseaux égarés. L'asile de tous les hères sans passeport.
 
Moi je me glorifie de défendre ma culture, mes traditions, ma race.
 
Le véritable acte de générosité, d'héroïsme, d'altruisme, de grandeur, c'est de protéger les membres de sa famille, de lutter pour les intérêts de sa patrie, de résister aux vents contraires du siècle, de préserver son territoire contre les envahisseurs.
 
Au lieu d'inciter à le peupler d'exilés, de proscrits, d'indésirables.... Nécessairement porteurs d'autres évangiles que les nôtres.
 
Sous couvert que ces importuns sont tout simplement noirs, africains, migrants, enfants de nos anciennes colonies ou bien qu'ils fuient l'incompétence de leurs dirigeants, les progressistes qui leur tendent les bras estiment ces gens fatalement meilleurs que nous, plus respectables, plus dignes d'occuper la place du roi, chez nous !
 
Ils les considèrent même plus bretons que nos armoricains de souche, plus normands que nos paysans des bocages, plus élégants que les hôtes de nos châteaux de la Loire. Pour la seule raison qu'ils ont posé le pied sur le tapis de nos ancêtres et se sont vautrés dans leur salon sans y être invités.
 
Et nous, pauvres gaulois dénigrés, nous devons subir les fruits amers de leur imbécile logique...
 
Les vrais hommes se tiennent debout ! Que le peuple encore en vie de notre hexagone se lève et marche !
 
La vérité c'est que notre richesse, ce ne sont pas ces obscurs soleils venus d'ailleurs.

Mais notre unique, exclusive, éternelle lumière.

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mercredi 14 février 2024

2132 - La compagne des esseulés

Les hommes qui veillent dans leur lit enflammé par les rayons lunaires sont habités par une cause qui les dépasse.

Cette chose lointaine qu'ils fixent, fascinés qu'ils sont par son mol éclat, ressemble à une âme.
 
La forme qui les hante a une face pareille à une tombe, un front ambigu, des joues pleines, une tête débordante d'ombres et de pensées profondes.
 
Mais elle est aussi auréolée de gloire, embellie d'une mortelle allure, soutenue par des ailes.
 
Telle une fumée blanche.
 
Sous leurs regards troublés, elle devient une bulle dans la nuit, une boule dans la nue, une bille autour du globe, une image qui vogue et vole, erre à heures fixes, monte et déambule, exacte comme une pendule, se dilate et divague, passe et s'efface...
 
Une sorte d'abstraction blonde et morne, mate et froide, haute dans l'éther, loin de la Terre.
 
Mais belle malgré tout.
 
Bien accrochée à son sommet de mystère.
 
Elle à l'aspect d'une enclume légère, d'une plume aux traits de plomb, d'un visage aux airs de pierre, d'un être à la mine de statue...
 
Cette bouille vague qui navigue dans le vide fait naître des rêves de granit.
 
La Lune n'est qu'une ampoule dans le ciel qui n'a pas de coeur, guère de chaleur, aucune valeur, si pauvre et si seule dans son triste azur... Depuis toujours, l'égale d'un caillou sans vie. Pourtant elle se fait aimer des natures simples et sauvages : bergers, vagabonds, mélancoliques, isolés, éplorés.... Et même des loups !

Proche des humbles, elle brille surtout dans les yeux des gens ordinaires.

Le ballon de la voûte est un astre logé au fond de l'Univers.

C'est-à-dire, tout près des solitaires.

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dimanche 11 février 2024

2131 - Loup de lumière

On me prend pour un arriéré parce que j'ai rejeté les raffinements de ce siècle, les mollesses des idées en vogue, les artifices de cette société trop flasque pour mes hauteurs de marbre.
 
Je suis effrayant aux yeux des frileux car ma lumière est tranchante, mon âme radicale, ma poigne martiale. Je pense sans voile, parle avec des mots de feu, crache des vérités que nul ne veut entendre.
 
Rares sont les hommes qui, au nom des valeurs que je défends, ont le courage de ruiner leur image publique en franchissant la ligne fatale séparant le vrai du faux. S'afficher à mes côtés, c'est renoncer à la respectabilité des masses, accepter les coups, payer le prix exorbitant de la vraie justice.
 
M'aimer, c'est brûler. Me haïr, c'est s'endormir dans les limbes de la tiédeur ambiante.
 
Celui qui n'ose pas se compromettre sous mon anguleuse clarté ne sera jamais digne des sommets. Il demeurera dans l'ombre lénifiante où les moutons paissent en paix.
 
Pour mériter la gloire des loups, il faut baisser le masque, regarder le Soleil en face, sortir l'épée.
 
Dans mon sérail de carnassiers, pas de place pour les brouteurs de pensées insipides ! Je me montre doux envers les durs mais sans pitié à l'égard des faibles, brutal avec les brindilles tremblantes, féroce à l'encontre des fétus de paille.
 
Qui ne veut pas faire de vague par peur d'assumer l'éclat du ciel, c'est-à-dire par refus de déplaire au monde, par lâche complaisance envers le confort de ses jours voués aux mensonges, celui-là récoltera non ma morne indifférence mais le tonnerre de mes crachats sur son front pâle !
 
Mes caresses, je les réserve aux astres de ma race, non à ces larves craintives que je méprise et piétine sans remords ! Aux baisers sucrés, fades et écoeurants de ces caniches humanistes ayant abandonné leur mâle fierté, je réponds par la flamme de mes crocs.
 
Et tant pis pour eux s'ils préfèrent la modernité de leur soumission à l'intemporelle liberté des messagers de l'azur.

Qui mord me suive !

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samedi 10 février 2024

2130 - Spleen

Aujourd'hui l'ombre s'étend partout, mon âme n'est plus aux anges, elle plonge dans ses sommets pleins de plomb et d'esprit.
 
Il pleut dehors, je brille de tristesse au fond de mon lit et, à demi conscient dans mes nuages intimes, je deviens un astre de mort et d'ennui.
 
Une pierre éclatante. Un caillou vif. Une rocaille palpitante.
 
Cette ivresse d'esthète porte les fruits âpres et beaux d'un rêve noir qui ressemble à une terre féconde, car chez moi les états crépusculaires inspirés par les ronces, les pleurs ou les pluies ne sont ni misère ni néant mais vagues de joie, flots de flammes et averses d'azur.
 
Je bois la mélancolie des jours de deuil comme une liqueur de vie, m'inocule cette lumière molle avec extase pour la recracher à travers la sève de ma plume sous forme de gerbes de fleurs et d'épines mêlées.
 
Et je vogue, heureux, dans des champs de larmes, sous un ciel d'euphorie, au bord de hauteurs calmes...
 
Entre la caresse des sanglots et la piqûre de l'allégresse, je ne sais plus si je monte ou si je plane, mais je crois bien que mes ailes sont blanches, qu'elles s'éclaircissent et que l'altitude me fait perdre la tête.
 
Au fil de mon ascension je me charge d'air.
 
Et je deviens une bulle.
 
Vidé de toute pesanteur, il n'y a plus que de la clarté en moi.

Et c’est là précisément que j'éclate de bonheur.

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vendredi 9 février 2024

2129 - Le pitre

Sur son dos tordu il porte le poids de vos rires.
 
Comme un martyre, une malédiction, l'épreuve d'une incarnation contrefaite.

Mais aussi comme un calvaire plus sanctifié encore que ses simples ailes brisées : vous amuser, là est toute sa mission. 

Dérisoire et sublime.

Et il la prend très à coeur car c'est tout ce qu'il a pour demeurer parmi les humains.
 
Vous lui faites l'honneur de vos éclats de joies et lui il vous fait le cadeau de ses sombres douleurs.
 
Il est né sur cette Terre pour plaire aux enfants et alimenter la cruauté des adultes. Il s'acquitte de sa tâche avec zèle, trop heureux de voler malgré tout avec les grands oiseaux de son siècle.
 
Il ne se lasse point de vos ravissements, bals et bagatelles dont il est et le rouage et la cible, et le centre et le prétexte, et le singe et l'artifice : beau joueur, il brille comme un hochet au service de vos salons dorés et soirées sans fin.
 
Il supporte avec humour vos flèches qui percent sa poitrine et déchirent son âme. Il transforme vos mots méchants en salves d'hilarité et pointes d'esprit : son sort est d'alléger vos lourdeurs et d'embellir vos laideurs, quitte à forcer le trait.
 
Mais qui en réalité fait l'âne ? Vous ou lui ? Cette question est votre jeu, c'est également le sien.
 
Vous vous moquez de ses difformités, vous les hôtes choisis des châteaux en fête et théâtres aux décors de rêve... Et lui vous chante, l'air de rien, ses couplets de farces et de sanglots salués par vos chapeaux d'opportuns.

Ses bosses et misères enchanteront vos souvenirs de fortunés, soulageront vos soucis de seigneurs et apaiseront vos mauvaises humeurs de rois.
 
Il est votre bouffon démantibulé, votre saltimbanque rompu, votre drôle de bête, votre tête de turc à grelots.
 
Enrichir vos vies de dérisions, les combler d'ironie, vous dilater la rate, vous faire penser à autre chose, bref vous distraire depuis votre berceau jusqu'à votre lit la mort, tel est son rôle.
 
Il a accepté le fardeau de vos légèretés, ayant choisi votre bonheur en échange de son malheur. Il vous aime et vous bénit tous, certain de sa récompense au ciel.

Vous les hommes, lui Polichinelle.

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dimanche 4 février 2024

2128 - Les corbeaux de Clinchamp

Leur chant de rocaille dans la plaine mortelle résonne plus lugubrement qu'ailleurs.
 
Plus délicieusement aussi.
 
A Clinchamp les corbeaux sont bien mieux que de simples ombres des airs : ils incarnent par-dessus tout les hauteurs morbides et flamboyantes d'un azur semé de cailloux, peuplé de mythes et fleuri d'idées noires.
 
Un doux mélange de rêves de plomb et de réalités de plumes.
 
Comme un inextinguible crépuscule de flammes et de sanglots. Un cauchemar céleste d'encre et d'ailes. Un  intarissable déluge de bleu et d'agonie.
 
Ils errent dans les lourdeurs de notre siècle et volent dans les légèretés de l'intemporel, menacent les hommes de leur lyre rauque et agrémentent les sillons de leur présence de roc, vont et viennent entre terre et brume, hantent les champs de leurs ténèbres et ôtent tout espoir de printemps, vivent heureux dans leur isolement d'ermites à la détestable renommée, croassant dans le ciel et trépassant dans la fosse.
 
Ce village de moribonds en sabots et d'horizons de deuil est le lieu idéal pour leurs comédies sinistres jouées devant un public de vaches et d'esthètes. Dans ce théâtre mortuaire, ces beaux oiseaux pleins d'envergure rayonnent comme des astres obscurs.

Leur violons grinçants bercent cette campagne de reclus et de crottés d'une musique funèbre qui enchante mon coeur d'initié, lorsqu'à l'aube ou en fin de journée je me perds dans les espaces de cette contrée mythique ayant sombré dans l'oubli et la torpeur.

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Liste des textes

2344 - Une belle journée
2343 - L’intruse
2342 - La chasse à courre
2341 - Les vers luisants
2340 - L’hôte qui pique
2339 - Dans la pénombre
2338 - Le ballon
2337 - Ma lanterne
2336 - La barque
2335 - Le chemin creux
2334 - Les deux chasseurs
2333 - Flamme noire
2332 - Deux corbeaux dans un arbre
2331 - Insomnie
2330 - Cris des corbeaux
2329 - Papillons de nuit
2328 - Froid et pluies
2327 - Les ronces
2326 - Chemins de boue
2325 - Tristesse de la forêt
2324 - Provisions de bois
2323 - Dans les buissons
2322 - Pluie matinale
2321 - Les grands arbres
2320 - Terribles crépuscules
2319 - Les rats
2318 - Un ami frappe à ma porte
2317 - Entouré de rusticité
2316 - Le sanglier
2315 - Mon sac
2314 - Le renard
2313 - Ma marmite
2312 - Des bruits dans la nuit
2311 - Les lapins
2310 - Un signe sous le ciel
2309 - La Lune vue de mon toit
2308 - Une gauchiste explosive
2307 - Sortie nocturne
2306 - Le vent sur la forêt
2305 - Un air de feu
2304 - Rêve dans les branches
2303 - L’écolo
2302 - Les papillons
2301 - La corneille
2300 - Les patates
2299 - L’escorte des souches
2298 - Un orage au dessert
2297 - Nulle femme dans ma forêt
2296 - Indispensables pommes de pin
2295 - Promenade
2294 - La pluie sur mon toit
2293 - A la chandelle
2292 - Un soir de brume
2291 - Vie de feu
2290 - La rosée matinale
2289 - Dans l’herbe
2288 - Par la fenêtre
2287 - Ma cheminée
2286 - Mes chemins d’ermite
2285 - Au réveil
2284 - Les cailloux sur mes chemins
2283 - Mes sentiments de bûche
2282 - Nuit de pleine lune en forêt
2281 - Ivresse de femme
2280 - Loin de ma grotte
2279 - Tempête dans mon trou
2278 - Baignades d'ermite
2277 - Un hibou dans la nuit
2276 - Mes ennemis les frileux
2275 - Ermite aux pieds sur terre
2274 - Mon jardin d’ermite
2273 - La récolte des fagots
2272 - Un étrange visiteur
2271 - Ma demeure d’ermite
2270 - Un homme clair
2269 - Un foyer au fond de la forêt
2268 - Les raisons du peintre
2267 - La célibataire
2266 - Les femmes
2265 - Une femme
2264 - France sous les étoiles
2263 - Un homme hors du monde
2262 - Homme de feu
2261 - Rencontre du troisième type
2260 - Voyage
2259 - Déprime
2258 - Fiers de leur race
2257 - La fille lointaine
2256 - Le Noir méchant
2255 - L’attente
2254 - J’ai entendu une musique de l’an 3000
2253 - Le modèle
2252 - Blonde ordinaire
2251 - Mâle archaïque mais authentique
2250 - La femme et la flamme
2249 - Voyages au bout de la terre
2248 - Ma chambre
2247 - Le vieil homme entre ses murs
2246 - L'ovin
2245 - Vous les mous, les mouches, les mouchards
2244 - Mon humanisme fracassant
2243 - Ma cabane sur la Lune
2242 - Les marques rouges du ciel
2241 - Je reviens !
2240 - Une fille de toque
2239 - La légèreté de la Lune
2238 - Janvier
2237 - Elena Yerevan
2236 - Oiseaux de rêve ?
2235 - J’irai vivre à la campagne
2234 - Fiers de leurs péchés
2233 - Deux faces
2232 - Le soleil de la jeunesse
2231 - Dans les bois
2230 - Nuit de vents
2229 - Mon fauteuil de lune
2228 - Le sourire d’une marguerite
2227 - Je ne suis pas antiraciste
2226 - Qui est-elle ?
2225 - L’arc-en-ciel
2224 - Je suis parti dormir sur la Lune
2223 - La sotte intelligence
2222 - Leurre ou lueur ?
2221 - Clinchamp, cet ailleurs sans fin
2220 - La tempête Trump
2219 - Femme de lune
2218 - Une plume de poids
2217 - Douches glacées
2216 - Les arbres et moi
2215 - Je pulvérise le féminisme !
2214 - J’aime les vieux “fachos”
2213 - La surprise
2212 - Promenade en forêt
2211 - Je vis dans une cabane
2210 - Plouc
2209 - Je suis un mâle primaire
2208 - Musique triste
2207 - Ma cabane au fond des bois
2206 - Hommage à Christian FROUIN
2205 - Installation sur la Lune
2204 - Barreaux brisés
2203 - Affaire Pélicot : juste retour de bâton du féminisme
2202 - L’abbé Pierre, bouc-émissaire des féministes
2201 - Par tous les flots
2200 - Votre incroyable aventure !
2199 - Je ne suis pas en vogue
2198 - Jadis, je rencontrai un extraterrestre
2197 - Dernière pitrerie
2196 - Alain Delon
2195 - Je déteste les livres !
2194 - L’esprit de la poire
2193 - Je ne suis pas citoyen du monde
2192 - Ma cabane dans la prairie
2191 - Devant l’âtre
2190 - Plus haut que tout
2189 - Pourquoi la femme vieillit si mal ?
2188 - Je prends l’avion
2187 - Sous la Lune
2186 - La pourriture de gauche
2185 - Je dors à la belle étoile
2184 - L’obèse et l’aristocrate
2183 - Le hippy et moi
2182 - Croyant de feu
2181 - Les gens importants
2180 - Le Beau
2179 - Michel Onfray
2178 - J’irai cracher sur leurs charentaises !
2177 - Clodo
2176 - Corbeaux et corneilles
2175 - Un dimanche plat atomique
2174 - Promenade en barque
2173 - Juan Asensio, ce rat lumineux
2172 - Il va pleuvoir bientôt
2171 - Au bord de la lumière
2170 - Dans mes nuages
2169 - J’ai dormi dehors
2168 - Les roses
2167 - Perdu en mer
2166 - Un jeune heureux
2165 - Le vagabond
2164 - Un ogre
2163 - Brigitte
2162 - Les gens simples
2161 - L’azur de Warloy-Baillon
2160 - Cause majeure
2159 - Je n’ai aucune élégance
2158 - La rivière
2157 - Il n’est pas raciste
2156 - Elle me fait peur
2155 - L’horloge
2154 - A la boulangerie de Mont-Saint-Jean
2153 - L’écologiste, ce primitif
2152 - Madame Junon
2151 - Chemins de pluie à Clinchamp
2150 - Voyage vers Mars
2149 - Galaxies
2148 - Je suis de la droite honteuse
2147 - Les écrivains sont des poids morts
2146 - L’héritage de Clinchamp
2145 - Clinchamp, une histoire sans fin
2144 - Vent de mystère à Clinchamp
2143 - Ma cachette à Clinchamp
2142 - Randonnée à Clinchamp
2141 - Eclipse de Lune à Clinchamp
2140 - Un arc-en-Ciel à Clinchamp
2139 - Clinchamp sous l’orage
2138 - J’ai rêvé de Clinchamp
2137 - Jour de l’An à Clinchamp
2136 - Vacances d’été à Clinchamp
2135 - Attente à Clinchamp
2134 - Un jour ordinaire à Clinchamp
2133 - Or de France
2132 - La compagne des esseulés
2131 - Loup de lumière
2130 - Spleen
2129 - Le pitre
2128 - Les corbeaux de Clinchamp
2127 - Un homme heureux à Clinchamp
2126 - Le mouton
2125 - Des lutins à Clinchamp ?
2124 - Je suis fort !
2123 - Paroles prophétiques
2122 - L’égalité entre les hommes est injuste !
2121 - L’idéaliste de gauche
2120 - La femme est la monture de l’homme
2119 - Clinchamp sous la neige
2118 - Le Nord et le Sud
2117 - Pourquoi j’aime Clinchamp ?
2116 - Convaincre Blandine
2115 - Un couple de vieillards à Clinchamp
2114 - Le facteur de Clinchamp
2113 - Tristesse et beauté à Clinchamp
2112 - L’Art
2111 - Botte à l’oeuf
2110 - Les bûcherons de Clinchamp
2109 - Le coucou de Clinchamp
2108 - BFMTV : l’écran de la vérité
2107 - Lettre anonyme
2106 - Je ne suis pas amoureux de Paris !
2105 - Un jour d’hiver à Warloy-Baillon
2104 - La femme soumise brille comme une casserole
2103 - Les chouettes de Clinchamp
2102 - Quand la tempête s’abat sur Clinchamp...
2101 - L’aile et la pierre
2100 - Mes amis les maudits
2099 - Le brouillard de Clinchamp
2098 - Artiste de gauche
2097 - L’éternité dans la tête
2096 - Toussaint à Clinchamp
2095 - Chagrin échappé
2094 - Clinchamp-sur-Mystère
2093 - Les cafards
2092 - Loup des airs
2091 - Le loup de Clinchamp
2090 - En latin, c’est plus beau !
2089 - Les patates de Clinchamp
2088 - L’enfant des airs
2087 - Ciel de France
2086 - Thaïs d’Escufon
2085 - Les tomates de Clinchamp
2084 - Jérôme Bourbon
2083 - Les chats de Clinchamp
2082 - Poupée d’ailleurs
2081 - Pierre de feu
2080 - Les champs de Clinchamp
2079 - L’éclosion
2078 - Vacuité des bouquinistes
2077 - Les toits
2076 - Freud
2075 - Sport
2074 - Le simplet de Clinchamp
2073 - Les oiseaux de Clinchamp
2072 - Je ne suis pas cartésien
2071 - Au cimetière de Clinchamp
2070 - Le Panthéon pour Hugo, l’évasion pour Izarra
2069 - Les rats de la France
2068 - Le curé de Clinchamp
2067 - Mon trou à Clinchamp
2066 - Saint-Léonard-des-Bois
2065 - Les cloches de Clinchamp
2064 - Un épouvantail à Clinchamp
2063 - Les rêves de Clinchamp
2062 - Je suis raciste
2061 - L’injustice sociale ne me choque pas
2060 - Les femmes de Clinchamp
2059 - Les jours vides de Clinchamp
2058 - Une grand-mère
2057 - Clinchamp vers 1970
2056 - La femme de soixante ans
2055 - Sale temps à Clinchamp
2054 - Un grand voyage en forêt
2053 - L’ailé et l’aliéné
2052 - Souvenirs lointains
2051 - Domestication d’une greluche
2050 - Déprime à Clinchamp
2049 - L’amour à Clinchamp
2048 - Les Droits de l'Homme, c'est la négation de l'homme !
2047 - Les hivers de Clinchamp
2046 - Les chemins de Clinchamp
2045 - Seul au monde
2044 - Ne me parlez pas d’amour
2043 - Tristesse de l’été
2042 - Jour de fête à Clinchamp
2041 - Monsieur Lecon
2040 - Châtelain
2039 - Les ailes de Clinchamp
2038 - Tremblement de terre
2037 - Nuit d’amour
2036 - Pluie de joie à Clinchamp
2035 - Les gauchistes
2034 - Clinchamp sous les clartés lunaires
2033 - Henri d’Anselme, héros hétéro rétro
2032 - Les hirondelles
2031 - Retraite dans la forêt
2030 - Mon bosquet
2029 - L’or de Clinchamp
2028 - Sur le chemin
2027 - La souche
2026 - Clinchamp, ce voyage sans fin
2025 - Sardines à l’huile
2024 - Les fantômes
2023 - Le silence de la forêt
2022 - Les arbres
2021 - Les joies de Clinchamp
2020 - La merde républicaine
2019 - Les ailés
2018 - Les soirées de Clinchamp
2017 - Parasite
2016 - Clinchamp, les routes de l’ennui
2015 - Moi français, je déteste les migrants !
2014 - Répugnante
2013 - Les complotistes
2012 - Je déteste les livres de philosophie !
2011 - Le bossu de Clinchamp
2010 - La lumière de Clinchamp
2009 - Les crépuscules de Clinchamp
2008 - Les nuits à Clinchamp
2007 - Les aubes de Clinchamp
2006 - Je suis un oiseau à Clinchamp
2005 - Les rats de Clinchamp
2004 - Les papillons de Clinchamp
2003 - Les richesses de la normalité
2002 - Le Rimbaud des bobos
2001 - Les vaches de Clinchamp
2000 - La folle de Clinchamp
1999 - Mon ego solaire
1998 - Vague Lune
1997 - Ma cabane à Clinchamp
1996 - Moi, IZARRA
1995 - Mais qui donc est Dardinel ?
1994 - La Dame Blanche de Clinchamp
1993 - Le Dalaï-Lama
1992 - Pluie à Clinchamp
1991 - Je suis sexiste
1990 - Les flammes du printemps
1989 - Le rustaud de Clinchamp
1988 - Les larmes d’Amsterdam
1987 - Clinchamp, terre d’envol
1986 - La Joconde de Clinchamp
1985 - Face cachée de Clinchamp
1984 - La clocharde de Clinchamp
1983 - Je suis un extraterrestre
1982 - Clinchamp sous les éclats de novembre
1981 - Clinchamp au bord des larmes
1980 - Les fantômes de Clinchamp
1979 - Les pissenlits de Clinchamp
1978 - Clinchamp : fin et commencement de tout
1977 - Amsterdam
1976 - J’habite sur la Lune
1975 - Secret de Lune
1974 - Les ailes de la Lune
1973 - Voir Clinchamp et sourire
1972 - La pierre et l’éther
1971 - Clinchamp, au bonheur des larmes
1970 - Clinchamp, mon dernier refuge
1969 - Croissant de Lune
1968 - Mais d’où vient donc la Lune ?
1967 - Lune lointaine
1966 - Lune éternelle
1965 - Sandrine, notre voisine
1964 - Rêve de Lune
1963 - Lune des rêves
1962 - La Lune dans le bleu
1961 - Lune ultime
1960 - Les tourmentés
1959 - Clinchamp, paradis des ombres
1958 - Lune absente
1957 - Je raffole des commérages !
1956 - Clinchamp : royaume des humbles
1955 - La Dame dans le ciel
1954 - Palmade : de la gloire au gouffre
1953 - Evasion
1952 - Tatouages, ces marques de faiblesse
1951 - L’égalité est un enfer !
1950 - Repas sur l’herbe à Clinchamp
1949 - Escale à Clinchamp
1948 - Beauté morbide de la Lune
1947 - J’ai dormi dehors à Clinchamp
1946 - Les humanitaires sont des parasites !
1945 - Sur les routes de Clinchamp
1944 - Une année à Clinchamp
1943 - Tristesse du printemps
1942 - Bulle de Terre
1941 - Jour de joie à Clinchamp
1940 - L’inconnu de Clinchamp
1939 - Le ciel de Clinchamp
1938 - Les éclats de Clinchamp
1937 - Le voyageur
1936 - Fête triste
1935 - Les antiracistes
1934 - Jean Messiha
1933 - Coeur gelé
1932 - Romantisme de pierre
1931 - La femme est sous mes pieds
1930 - Burcu Güneş, un air léger
1929 - Je déteste les pauvres !
1928 - Quand mon coeur s’allume
1927 - Intègre, entier, râpeux
1926 - Le cheval
1925 - Homme mauvais
1924 - Un trou sous le ciel
1923 - Hauteur de la Lune
1922 - Nulle part, là-bas, ailleurs
1921 - Belle Lune
1920 - Salades lunaires
1919 - Lettre à Reynouard
1918 - MARGUERITE OU L’HISTOIRE D’UNE VIEILLE FILLE
1917 - Récoltes lunaires
1916 - Je suis français de souche
1915 - Lune mortuaire
1914 - Clinchamp, cité des oubliés
1913 - Clinchamp, l’air de rien
1912 - Clinchamp, sommet du monde
1911 - La pollution, c’est la vie !
1910 - Seule au monde ?
1909 - Le Ciel et la Terre
1908 - Lune de haut vol
1907 - La Lune s’allume
1906 - Nuit sombre
1905 - Soupe de Lune
1904 - Puretés raciales
1903 - Lune-pizza
1902 - La grande question
1901 - Amiens
1900 - Pleur de Lune
1899 - Rêve d’amour
1898 - Vive le patriarcat !
1897 - La libellule
1896 - L’eau qui m’éclaire
1895 - Une question de clarté
1894 - La Lune dort
1893 - Les artifices du spirituel
1892 - Lune normale
1891 - Ni chauffage ni travail
1890 - Lune de fer
1889 - Molle Lune
1888 - Insensible aux malheurs des autres
1887 - Mon visage de vérité
1886 - Amante russe
1885 - J’écris
1884 - Lune martiale
1883 - Je suis un incapable
1882 - Lune creuse
1881 - 1975
1880 - L’éclat d’un fard
1879 - Amour impossible
1878 - Femme au foyer
1877 - L’esprit de la Lune
1876 - Ingérence féministe
1875 - Cratères lunaires
1874 - Lune d’effroi
1873 - Lune des chats
1872 - Les athées
1871 - Lune d’or
1870 - Lune carrée
1869 - Lune de miel
1868 - Folle lune
1867 - Jour de joie
1866 - SMARPHONES : abrutissement des masses
1865 - Sombre lune
1864 - Les mouches
1863 - Ma vie simple
1862 - Clinchamp, terre lointaine
1861 - Je suis un conservateur
1860 - Lune de glace
1859 - Le lac
1858 - Qu’est-ce que la beauté ?
1857 - Lune blanche
1856 - Lune de mer
1855 - Lune de feu
1854 - Présence immortelle
1853 - Surprenante Lune !
1852 - L’éclat de la Lune
1851 - Epis lunaires
1850 - L’autre Lune
1849 - L’amie des cheminées
1848 - Lune morte
1847 - Lune Parmentier
1846 - Lune fatale
1845 - Amour céleste
1844 - Grâces et disgrâces
1843 - Ma maison, c'est la Lune
1842 - Poids de la Lune
1841 - La morte visiteuse
1840 - Ma cabane sous la Lune
1839 - Bleu ciel
1838 - Histoire de lune
1837 - Suc de Turque
1836 - Stéphane Blet
1835 - Ciel bleu
1834 - Bonheur de rat
1833 - Redneck
1832 - Sur le rivage
1831 - Attraction lunaire
1830 - Je suis anti-féministe radical
1829 - Mais qui est-il ?
1828 - Je veux des frontières !
1827 - Les francs-maçons
1826 - Folies lunaires
1825 - Alunir, en un mot
1824 - “Comme ils disent”, chanson d’Aznavour
1823 - Lune tiède
1822 - Globe de rêve
1821 - Effroi
1820 - Vangelis
1819 - L’air de la Lune
1818 - La campagne
1817 - Lune tombale
1816 - Les cailloux
1815 - Je déteste Paris !
1814 - Boules de neige
1813 - Je n’ai pas peur
1812 - Parler vrai
1811 - Les hommes simples
1810 - Quand la Lune panse
1809 - Régine : extinction d’un feu
1808 - Morte veilleuse
1807 - Coeur de pierre
1806 - Noir
1805 - Mystère de la Lune
1804 - Jackson Pollock
1803 - En pleine lumière
1802 - Harmonie des sexes
1801 - Dix ans dans l’azur
1800 - Pluie d’avril
1799 - Le gueux
1798 - Les pommes de pin
1797 - Voyage vers la Lune
1796 - Mystère d’une nuit
1795 - Une lumière turque
1794 - Sans coeur et avec écorce
1793 - Envolé !
1792 - Galante ou l’abcès crevé
1791 - La lumière du Bosphore
1790 - Claude Monet
1789 - Rat aristocrate
1788 - Ukraine : sortez de vos ornières mentales !
1787 - Tranche de ciel et plumes de la Terre
1786 - Les sots écolos
1785 - L’astre turc
1784 - L’Ukraine, je m’en fous totalement !
1783 - Vive la guerre !
1782 - Réponses à un coatch
1781 - Droite pure
1780 - Vains hypersensibles
1779 - Mes valeurs vives
1778 - Le secret
1777 - Force et lumière
1776 - De l’herbe à l’aiguillon
1775 - Jusqu’à la mort
1774 - Zemmour et les journalistes de gauche
1773 - Dur et juste
1772 - La flamme et le marbre
1771 - Mon chat est mort
1770 - Les frères Bogdanoff
1769 - J’ai rêvé de Natacha
1768 - Technologie
1767 - Vers la Lune
1766 - C’était la guerre
1765 - La “tondue de Chartres”
1764 - Dans le métro
1763 - Naissance d’un virus
1762 - Zemmour est-il un de Gaulle ?
1761 - Je suis grand
1760 - Jour de gloire
1758 - Une muse du Bosphore
1758 - Je suis un extrémiste
1757 - Les éoliennes
1756 - Femme terminale
1755 - Autoportrait
1754 - Je suis un sanglier
1753 - Faux fou
1752 - Les affaires
1751 - Octobre
1750 - Le fantôme
1749 - Les écrivains
1748 - Sauvez la France !
1747 - Mes sentiments de pierre
1746 - Une araignée raconte
1745 - Un coeur clair
1744 - Phallocrate
1743 - Les vaches
1742 - Les faibles sont mauvais
1741 - Les sans-visage
1740 - Le trouillard de gauche
1739 - Léonard de Vinci enfant
1738 - Mes froideurs sublimes
1737 - Le romantisme, c’est la décadence
1736 - La Joconde
1735 - La tour Eiffel
1734 - Le Soleil
1733 - Une boule de mystère
1732 - Les masqués
1731 - Burcu Günes, l’or turc
1730 - Léa Désandre
1729 - Le père Dédé
1728 - “Blanc lumière” de Pollock
1727 - Les kikis et les cocos
1726 - Les funérailles de Belmondo
1725 - Pôle Sud
1724 - Vierge au mariage
1723 - La forêt
1722 - Le réveil des clochers
1721 - En septembre
1720 - Extraterrestre
1719 - Ni cagoule ni sérum
1718 - L’astre des morts
1717 - L’idéaliste
1716 - Un ange noir pour les Blancs ?
1715 - Trois heures du matin
1714 - Dur et vivant
1713 - Homme des bois
1712 - De flamme et de sang
1711 - Mes bas potentiels
1710 - Je suis un anti-progressiste
1709 - Eléonore et les Noirs
1708 - Eléonore et les Juifs
1707 - Une française
1706 - Femme d’idées
1705 - Joie de vivre
1704 - Auteur de rêves
1703 - Raison féminine
1702 - Vieillard
1701 - Face de France
1700 - 1789
1699 - Adieu, France
1698 - Célibataire
1697 - L’envers vert
1696 - Avant la chute
1695 - L’aube d’Ève
1694 - Amour raté
1693 - À vue d’homme
1692 - Le loup et l’agnelle
1691 - Têtes à corps
1690 - Trêve de la nuit
1689 - L’été
1688 - L’hiver
1687 - Les âmes de la forêt
1686 - Enfin libre !
1685 - Je vis sans masque
1684 - Enfants du monde
1328 - Je suis apolitique
115 - Le cygne
114 - Le spleen de Warloy-Baillon
113 - Les visiteurs
112 - La Lune
111 - L’amant des laides
110 - Mémoires d’un libertin
109 - Une existence de pompiste
108 - Lettre à mes amis des listes sur Internet