Pour contrer les adeptes de l'hérésie millénariste du "Veau d'Or vert" en proie à l'hystérie climatique qui annihile jusqu'aux plus critiques et érudits des esprits de ce monde aliéné à la vérité médiatique unilatérale, je propose l'électro-choc izarrien : la libération effrénée des particules vivifiantes de l'intelligence dans l'atmosphère de la pensée contemporaine polluée, enfumée, sclérosée par les versets écologiques.
Quoi qu'on fasse, quoi qu'on dise, tout le pétrole sera brûlé, d'une façon ou d'une autre. Nos lois anti-pollution et "moteurs propres" ne sont que décrets de fourmis et agitations de papillons au regard de leur impact réel sur la planète : insignifiant.
Plus vite on brûlera nos réserves d'hydrocarbures, plus vite le problème psychologique de la "pollution" sera réglé.
Car le problème de la pollution est plus dans les têtes que dans les faits.
Puisque de toute façon notre énergie fossile sera consumée (plus ou moins vite il est vrai, mais là encore à l'échelle géologique un an, un siècle ou mille ans reviennent au même), autant mener rondement l'affaire en profitant pleinement des bénéfices que cela nous apporte. Culpabiliser pour "la planète" comme disent les messies d'opérette et leurs disciples infantilisés, (tous persuadés de "rouler propre" avec leurs voitures thermiques), n'empêche pas les hydrocarbures de brûler. Ni ne fait qu'ils se consument plus légèrement...
Au passage il est intéressant de noter que les termes "pour la planète" sont en voie de devenir magiques : l'argument purement émotif se suffisant à lui-même. Vide mais efficace. De l'ordre du superstitieux.
Dans leur acception intrinsèque les voitures propres n'existent pas. Rappelons que "polluer moins", c'est comme "tuer moins", "empoisonner moins", "détruire moins".
Faire "moins sale" n'a jamais fait propre.
Ou plus exactement, parce que quand il s'agit de brûler les réserves de pétrole la notion de "polluer moins" n'a plus aucun sens, il serait plus juste, plus honnête de dire : POLLUER PLUS LENTEMENT A L'ECHELLE HUMAINE.
Ce qui revient à dire polluer à l'échelle de la psychologie collective. Mais non à l'échelle géologique. Ce qui dans les faits, et rien que dans les faits, est dérisoire. Encore une démonstration éclatante que la pollution de la planète est surtout dans les cerveaux !
Non l'humanité n'est pas folle au pont de se suicider, asphyxiée par ses propres exhalaisons ! C'est sous-estimer l'Homme et son génie que de lui prêter de si piètres instincts ! Les écologistes ne sont que les manifestations hystériques de l'humanité, une fausse alarme, non ses anticorps.
A l'échelle mondiale l'écologie est une fièvre passagère, une réaction épidermique, un frisson d'obscurantisme.
Une diarrhée bruyante mais peu virulente.
Les écologistes sont très actifs. Le monde malgré tout poursuit ses activités industrielles et économiques, les émanations carboniques de la Chine étant la preuve réconfortante de la bonne santé de l'humanité qui heureusement ne s'arrête pas de respirer pour une simple allergie locale.
De toute façon nous ne polluerons jamais plus que nos réserves ne nous le permettent. Or, à entendre les Verts, nos rejets nocifs sont comme des vannes de plus en plus larges ouvertes sur le ciel, toutes issues de puits intarissables... Fumée ! Hystérie ! Absurdités !
Ce n'est pas parce que les écologistes font plus de bruit que les cheminées des usines qu'ils ont raison. En général les malades se plaignent avec fracas : ils gémissent, crachent, pleurent, crient.
Tandis que les bien-portants restent discrets.
Polluons donc sans remords car la pollution n'existe pas, du moins ses effets concrets sur les éléments sont insignifiants. L'homme qui a plus d'un tour dans son sac et jamais ne dit son dernier mot trouvera toujours des solutions à ses problèmes. Plus vite nous épuiserons nos réserves d'énergie fossile, plus vite nous trouverons d'autres "sources de vie" pour faire tourner nos moulins.
Dans cette perspective, polluer c'est oeuvrer indirectement pour le progrès. Plus nous "polluerons", plus l'ingéniosité humaine brillera pour inventer des soleils, mettre de la lumière dans nos moteurs, de l'intelligence dans nos centrales électriques.
Polluez, polluez au lieu de vivre dans la peur et la culpabilité, polluez et vous serez sauvés de l'inanité des Verts -amis des bêtes et ennemis des hommes, laudateurs des oeuvres de la friche et détracteurs de la Civilisation- qui à force d'imaginer des noirceurs finissent par voir rouge quand -et c'est dans l'ordre réel des choses, la loi douce de l'évolution- l'avenir s'annonce définitivement rose.
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SUITE
(réponse à un détracteur me reprochant ce présent discours)
Comme la plupart des irresponsables complices de l'hystérie collective, vous êtes simplement victime du discours médiatique qui vous sert son mets préparé favori. Les médias depuis des décennies ont proposé pleins d'autres plats plus ou moins racoleurs, plus ou moins dans l'air du temps et c'est la purée verte qui a eu le plus de succès : elle est donc devenue vérité officielle.
Infiniment plus urgent, plus vital et réel est le problème de la faim ou le problème de la malaria, fléaux REELS complètement tus par les médias.
La pollution est une hérésie médiatique reprise par certains politiques et répercutée sur les populations repues plus réceptives aux idéaux "modernes" (idéaux gratifiants en terme d'image socio-culturelle) qu'aux soumissions à des nécessités pesantes. "Sauver la planète" -qui n'a jamais été en péril- donne du lustre à l'ego, à la communauté.
Comme si 100 millions de bras pouvaient renverser les océans, abattre les montagnes, déplacer les continents...
Bref, les moutons écologistes bêlent en choeur dans leur pré vert pendant que leurs frères humains du sud souffrent dans un silence médiatiquement correct.
Chaque époque a cru à la fin du monde : comètes, sorcières, athéisme, an mille, avènement de la poudre à canon, de l'imprimerie source de diffusion de toutes les hérésies, etc... Les prétextes les plus absurdes faisaient entrevoir le pire.
A chaque siècle ses névroses.
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SUITE
(réponse à un détracteur me reprochant ce présent discours)
Comme la plupart des irresponsables complices de l'hystérie collective, vous êtes simplement victime du discours médiatique qui vous sert son mets préparé favori. Les médias depuis des décennies ont proposé pleins d'autres plats plus ou moins racoleurs, plus ou moins dans l'air du temps et c'est la purée verte qui a eu le plus de succès : elle est donc devenue vérité officielle.
Infiniment plus urgent, plus vital et réel est le problème de la faim ou le problème de la malaria, fléaux REELS complètement tus par les médias.
La pollution est une hérésie médiatique reprise par certains politiques et répercutée sur les populations repues plus réceptives aux idéaux "modernes" (idéaux gratifiants en terme d'image socio-culturelle) qu'aux soumissions à des nécessités pesantes. "Sauver la planète" -qui n'a jamais été en péril- donne du lustre à l'ego, à la communauté.
Comme si 100 millions de bras pouvaient renverser les océans, abattre les montagnes, déplacer les continents...
Bref, les moutons écologistes bêlent en choeur dans leur pré vert pendant que leurs frères humains du sud souffrent dans un silence médiatiquement correct.
Chaque époque a cru à la fin du monde : comètes, sorcières, athéisme, an mille, avènement de la poudre à canon, de l'imprimerie source de diffusion de toutes les hérésies, etc... Les prétextes les plus absurdes faisaient entrevoir le pire.
A chaque siècle ses névroses.