Noirs comme l'enfer, plus nuisibles que la peste, affreux à voir, les
cafards grouillent partout où règne la saleté, s'engraissant d'erreurs et
d'horreurs, omniprésents dans le monde de la crasse.
Ils prospèrent à où il y a à boire et à manger à portée de leurs idéaux
plus bas que les rats, c'est-à-dire là où sombre l'ordure et germent les
ténèbres.
Ils raffolent des immondices, se vautrent dans l'excrément, jouissent de
tous les vices, se jettent avec bonheur dans chaque gouffre qui s'ouvre à eux,
avides d'ombre, de pourriture, de laideur, sans cesse en quête de destruction,
de blasphème, de néant.
Ils aiment violer les lois, emprunter des voies tordues, s'enivrer de
purin.
Ils sont ouverts aux travers, sans entrave ! Généreux à l'infini, ils
souhaitent partager leur fécalité sacrée avec les êtres les plus nobles de la
Création, se réjouissant de corrompre les papillons, de faire caca dans le ciel,
d'empuantir les fleurs, de souiller l'âme des enfants, de vomir sur le Cosmos,
de tuer le Soleil, de transmuer la lumière en cauchemar et le rêve céleste
en ver de terre...
Ils adorent dégrader le Beau, vénérant démesurément la hideur.
Altruistes jusqu'à l'héroïsme dès qu'il s'agit de répandre leurs déjections
sur la face des anges, ils sont prêts à se sacrifier pour donner l'exemple, à
offrir leur vie pour leur cause suprême, à descendre au fond de leur abîme, trop
heureux de prouver qu'ils sont capables de se transformer en d'énormes
merdes.
Je veux parler, bien évidemment, des gauchistes.
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